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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 9 août 2013

Geronimo

CHAPITRE 14ème : Ben Laden
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Plus aucun doute n’étant permis, le raid est appelé « Opération Neptune's Spear », ou « Neptune Spear » (« Trident de Neptune »), Geronimo étant le nom de code désignant Oussama ben Laden lui-même.
Il est déclenché aux environs de 1 h 15 locale et est menée conjointement par 23 SEAL transportés par deux hélicoptères de combat Sikorsky UH-60 Black Hawk, appuyés par deux hélicoptères de transport Boeing CH-47 Chinook pour le soutien, dans une version secrète furtive (peinture de camouflage, pales et hélice munis de silencieux).
Le commandement de l’opération est assuré par le Joint Special Operations Command en coopération avec la CIA dont le directeur de l'Agence, et d'autres responsables des services de renseignement ont suivi en direct le raid dans une salle de conférence de la CIA.
De même, que le Président américain et son Conseil de sécurité nationale ont suivi eux aussi en direct l'opération dans la « situation room » (ou « salle de crise »), au sous-sol de la Maison Blanche.
Si l'opération elle-même est menée entièrement par les forces américaines, selon le ministère des Affaires étrangères pakistanais, des membres des services de renseignement pakistanais (ISI) sont également présents lors du déroulement de la mission et parlent d'une « opération conjointe », information démentie par un haut responsable à Washington affirmant que leurs homologues pakistanais n'avaient pas été mis au courant de l'opération pour éviter des fuites.
Certains journaux ont spéculé sur la présence additionnelle de quelques membres du SFOD-D, plus connu sous le nom de « Delta Force » et du SAD de la CIA.
 
Les SEAL, après être déposés en « fast rope », envahissent le bâtiment fortifié et ouvrent le feu sur les hommes de Ben Laden, qui ripostent.
Le raid dure environ quarante minutes. Outre Ben Laden, abattu d'une balle dans la tête, trois autres adultes de sexe masculin présents dans le bâtiment auront été tués dans l'opération.
Selon les informations reçues, il s'agirait de deux messagers de Ben Laden et de l'un de ses fils âgé de 24 ans. De plus, l'une de ses femmes a également été blessée à la jambe.
Deux autres femmes sont blessées, mais la Maison Blanche a démenti les propos selon lesquels Ben Laden aurait utilisé une femme comme bouclier humain. On savait l’homme armé, et selon certains, en règle générale il porterait sur lui une ceinture d'explosifs pour ne pas être capturé et mourir en martyr.
 
Des déclarations faites par des sources gouvernementales américaines laissent entendre qu’un hélicoptère a été détruit par les forces américaines elles-mêmes à la suite d’une panne mécanique.
L'équipe de militaires doit alors faire appel à l'un des deux hélicoptères prévus en soutien pour quitter les lieux et retourner à leur point de départ, la base aérienne de Ghazni en Afghanistan.
 
À Karachi, on évoque dans un premier temps un accident d'hélicoptère et d'importants échanges de coups de feu dans la soirée du 1er mai près de l'Académie militaire pakistanaise de Kakul Road. L'hélicoptère utilisé pour détruire les murs de l'habitation tombe en panne mécanique et ne peut être utilisé pour évacuer les soldats. S’agissant d’un appareil de haute technologie furtive, les SEAL le détruisent et doivent emporter à pied la dépouille de Ben Laden.
Le corps de Ben Laden est d'abord identifié en utilisant des techniques de reconnaissance faciale avant confirmation par test ADN.
Sa dépouille est finalement immergée en haute mer.
 
Le 13 mai, l'Assemblée nationale Pakistanaise vote une motion condamnant l'assaut américain sur ses terres et appelant à la fin des frappes de drones américains dans les régions tribales. Les dirigeants civils et militaires ont dû s'expliquer devant le Parlement.
Le directeur général de l'ISI, Ahmed Shuja Pasha, a évoqué une négligence et a annoncé qu'il démissionnerait si le Parlement le lui demandait.
Dans la foulée, cinq pakistanais qui avait renseigné la CIA pour cette opération ont été arrêtés.
 
Car plus tard, on se souviendra qu’en février 2010, le n° 2 des talibans afghans, Abdul Ghani Baradar, a été arrêté dans une opération conjointe des services secrets américains et pakistanais.
Pourtant, on fera remarquer qu'Oussama ben Laden n'aurait pas pu vivre à Abbottābād sans le soutien de l'ISI, ou au moins d'une partie de l'institution, durant cinq années au milieu de tant de dignitaires de l'armée, en un lieu qui héberge une brigade entière de l'armée pakistanaise.
Alors que la communauté du renseignement des États-Unis aurait réclamé la liste des officiers de l'ISI susceptibles d'avoir aidé Oussama ben Laden, des espions pakistanais auraient par vengeance dévoilé dans les medias l'identité du chef de station de la CIA à Islamabad, Mark Carlton.
Ce qui revient à signer son exfiltration immédiate.
C'était la seconde fois qu'une telle divulgation eu lieu depuis décembre 2010.
 
La « nébuleuse diabolique » d’Al-Qaïda, même décapitée, n’en est pas pour autant dissoute : Elle poursuit son opération contre Londres.
Ainsi, Ayman al-Zawahiri, devient le numéro 1 après l’intérim de Saif al-Adel, responsable de la branche militaire d'Al-Qaïda. Abou Mohamed al-Masri, reste le responsable de la propagande et donc de la réalisation et de la diffusion des messages audio et vidéo. Ahmed al-Hisawi, nom de guerre Cheikh Saïd, celui des finances, depuis 1998. Mohammed Moustapha al-Yemeni, celui des opérations de la nébuleuse. Et Adnan al Khairi al Masri, est le chef du commandement général.
 
Qui s’appuient sur des chefs régionaux ou « émirs » : Abdelmalek Droukdal pour l'Algérie, Amin ul-Haq pour le sous-continent indien (région indo-pakistanaise), Farman Shinwari pour le Pakistan, Fahd al-Iraqi, pour la région frontalière entre l'Afghanistan et le Pakistan, Mohammad Omar, fut le chef des Talibans d'Afghanistan et le chef d'État de facto de ce pays de 1996 à 2001. Selon les autorités afghanes, il s’est réfugié à Quetta au Baloutchistan.
Salah al-Awadi pour le Moyen-Orient. Saoud al-Aouataybi pour le Golfe Persique. Abou Bakr al-Baghdadi al-Husseini al-Qurashi pour l'Irak. Moushin al-Fadhli, responsable pour l'Iran. Hamza Ali Saleh al Dhayani pour le Yémen. Nasser al-Wouhayshi, Yéménite, ancien secrétaire d'Oussama ben Laden, pour Al-Qaïda dans la péninsule arabique, après la fusion des branches saoudienne et yéménite. Et Mohamed Nasser al-Wahchi, pour l'Afrique.
 
Si l’organisation promet de venger la mort de son leader, par des séries d’attentats, ce sont ces trois-là, Moushin al-Fadhli, Hamza Ali Saleh al Dhayani et Nasser al-Wouhayshi qui vont porter le projet pour Londres, avec l’aide d’un quatrième, Mohamed Nasse al-Wahchi qui va œuvrer au Nigéria et procurer du « soutien logistique » pas encore prévisible à cette époque.
L’iranien est en charge d’acheminer les trois types d’armes de destruction massive, les composants chimiques du gaz sarin, les souches biologiques de l’anthrax et les deux munitions nucléaires, issues des ateliers clandestins afghans.
 
Mais rien n’est décidément simple : Fazul Abdullah Mohammed responsable pour la Corne de l'Afrique depuis fin 2009 est tué le 8 juin 2011 par la police somalienne.
Atiyah Abd-al Rahman, ex-n° 2, est tué au Pakistan par un drone américain le 22 août 2011.
Abou Hafs al-Chahri, chef opérationnel de la nébuleuse pour le Pakistan, est tué au Pakistan dans le Nord-Waziristan par un drone américain le 11 septembre 2011.
Badr Mansour, haut-responsable du Tehrik-e-Taliban Pakistan (TTP) et chef opérationnel d'Al-Qaïda pour le Pakistan, est tué le 9 février 2012 par un drone américain à proximité de la frontière pakistano-afghane.
Fahd Mohammed Ahmed al-Quso, chef des opérations extérieures d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA), l’est également par un drone américain au Yémen le 6 mai 2012.
Encore tout récemment, Abu Yahya al-Libi, ancien n° 2, idéologue et porte-parole sera tué au Pakistan par un drone américain le 4 juin 2012.
Et pourtant, rien n’arrêtera l’opération en cours et alors largement engagée.
 
Les doses de souches d’anthrax seront finalement acheminées clandestinement durant des mois et des mois depuis des laboratoires de fortune iraniens et afghans jusqu’à Leeds, par plusieurs circuits de vols civils, passant par les Pays-Bas et le Danemark.
D’abord jusqu’en Suède, dans l’entourage de Suhaila al-Allaf qui organise les réceptions et réexpéditions, à l’aide de « mules » porteuses, selon la classique méthode des barons de la drogue, utilisant des préservatifs bourrés du « Bacillus Anthracis » ou bacille du charbon, ingurgités avant leur départ.
Puis elles rejoignent la Grande-Bretagne par la mer du nord par via divers bateaux de pêche ou des navires de soutien logistique aux plates-formes pétrolières, pour être débarquer à Grimsby, Hull, Bridlington, et même Scarborough vers Leeds et Birmingham dans les Midlands, à moins de 200 km les uns des autres.
Et puis enfin être ensuite réunies discrètement à Leeds chez des « frères » de la ville.
La même d’où sont partis les premiers kamikazes en 2005.
Une filière sûre, discrète et qui n’est pas surveillée par les bobbies britanniques ni les services du MI5.

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