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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 3 septembre 2013

Débriefing

CHAPITRE 63ème : Épilogues
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
« Le pire, c’est que ce n’était pas la manœuvre que je comptais faire. J’avais imaginé poser mes flotteurs sur ses ailes et l’enfoncer à la mer avec notre masse et vitesse. »
Mais le dernier « piqué » l’avait fait « embrocher », flotteurs contre les ailes.
Ahmed avait dû voir la mer s’allumer devant lui comme par miracle divin.
Puis le choc des flotteurs avait dû le surprendre sans lui laisser le temps de réagir.
Il a percuté la surface de la mer à lui en faire perdre connaissance.
On ne retrouvera son corps, sa munition et son appareil que bien plus tard.
Il se serait noyé après avoir été fortement commotionné.
La munition n’était pas armée, mais parfaitement opérationnelle.
 
Les jeux d’été 2012 se sont finalement déroulés sans incident majeur : une très belle réussite aux retombées médiatiques mondiales !
Et personne n’aura rien su de ce qui s’était tramé pendant de longues semaines.
Le dispositif d’évacuation des VIP exigés par les Services secrets américains pour la protection du candidat républicain, n’aura pas eu à fonctionner.
Et c’est tant mieux, parce qu’il faut dire aussi qu’il n’était pas au point. Au moment d’une répétition générale, la bousculade a été telle dans les escaliers et les corridors, qu’on a compté plusieurs blessés…
Dégager sa royale Majesté dans ces conditions-là, c’était proprement impossible à moins d’un délai de 20 minutes.
 
Le 5 septembre, quatre corps étaient retrouvés sans vie sur le parking forestier de la Combe d’Ire, à Chevaline (Haute-Savoie), par un cycliste britannique.
Dans un break BMW, ce sont ceux de trois touristes anglais – Saad Al-Hilli, son épouse Iqbal et sa belle-mère Suhaila al-Allaf ; près du véhicule, celui d’un cycliste français, Sylvain Mollier, une victime « collatérale » qui tentait de s’interposer.
Tous ont été tués par balles avec la même arme de collection jamais retrouvée.
Une fillette de sept ans est gravement blessée à la tête, et a reçu une balle à l’épaule.
Huit heures après l’arrivée des secours sur les lieux de drame, ces derniers retrouvent dans la voiture, sous le corps de la mère, une petite fille de quatre ans indemne mais traumatisée à vie. Désormais, les fillettes vivent en milieu protégé, pas en famille.
Toutes les pistes et les hypothèses les plus farfelues seront exploitées.
On recherchera plus tard, un 4x4 avec un volant « à droite », mais sans succès.
Personne n’ira chercher les résultats d’enquêtes des SIS sur Suhaila al-Allaf et son rôle dans ces affaires-là.
D’autant que « l’exécuteur », un Rom pourtant pas un novice pour avoir travaillé pour les services secrets d’un pays de l’ex-bloc de l’Est, s’y ait pris comme un sauvage.
Il aura été exfiltré par la route et la Suisse.
 
Le 11 septembre suivant, l'ambassadeur des États-Unis en Libye, Christopher Stevens, et trois fonctionnaires américains sont tués dans l'attaque du consulat de Benghazi par des « islamistes » libyens.
Une affaire « bien préparée »… « planifiée », même en diront plus tard les rapports !
Les assaillants auraient agi en marge de manifestations contre un film jugé offensant pour l'islam.
Il s'agit d'un long métrage intitulé « Innocence of Muslims » (« L'Innocence des musulmans ») et réalisé par l'Israélo-Américain Sam Bacile, un « porte-nom », pour qui « l'islam est un cancer » selon le « Wall Street Journal ».
Cette fois-ci, c’est le diplomate américain qui est une victime collatérale.
Étaient seulement visés deux des « trois fonctionnaires » décédés dans la chambre forte où ils s’étaient réfugiés durant l’attaque qui a duré près de 4 heures…
Deux des trois membres de la « cellule Megiddo », réaffectés par la CIA en Libye.
Le troisième et dernier à avoir participé au commando parisien, celui qui « portait » les puces jusqu’au « Moulin Rouge », sera victime d’un « arrêt cardiaque » inexplicable et resté inexpliqué dans un train de la banlieue de Washington.
Un décès classé, pour n’apparaître pas suspect.
Rappelons que les trois hommes n’ont jamais été inquiétés pour le décès-prématuré de Charles Almont, ex-directeur de l’agence pour l’Europe occidentale … hors Grande-Bretagne.
 
Le 6 novembre suivant, le président américain et renouvelé dans un dernier mandat de 4 ans par le peuple américain.
Son concurrent avouera par la suite que, finalement, il n’avait pas eu envie de gagner ces élections…
 
Le surlendemain, le 8 novembre 2012, le patron de la CIA démissionne de ses fonctions à la suite d'un adultère reconnu avec sa biographe Paula Broadwell, de 20 ans sa cadette.
À la suite d’une longue enquête du FBI, fondée sur des écoutes téléphoniques et des tweets que s’échangent deux « favorites » en compétition, on découvre que de nombreuses informations classées secret-défense, qui auraient dû être stockées dans des conditions plus sûres, avaient été retrouvées sur le disque dur d’un ordinateur utilisé par cette dernière.
Il en dira qu’il estime avoir « fait preuve d'un énorme manque de jugement ».
C’était soit pour ce motif-là, soit pour la mort de l’ambassadeur à Benghazi, soit pour des raisons beaucoup plus graves…
« L’honneur » entaché mais sauf, le choix reste judicieux pour ne pas injurier l’avenir.
Il reste avoir quelques chances d’emporter des primaires en 2016 chez les républicains, pour avoir de nombreux supporters.
Ce qui intéresse au plus haut point quelques démocrates qui auront ainsi les moyens de le « contraindre » en cas de probable alternance.
L’homme se reclassera fin mai 2013 dans le fonds KKR après avoir envisagé de donner des cours dans une université de la côte-est.
En prenant la direction d’un nouvel institut de recherche interne du fonds d’investissement KKR, qui étudiera les interactions entre macro-économie et géopolitique, visant notamment les « pays émergeants » créé spécialement sur mesure pour lui.
 
Un peu plus tard, c’est l’épisode « fleur-bleue » pour Florence et Paul : la naissance d’Annabelle à Neuilly.
L’accouchement de Florence, dans les grandes douleurs de l’enfantement maîtrisée par péridurale – une aiguille grosse comme ça, que Paul a failli en tourner de l’œil – ce sera d’ailleurs l’occasion pour bien des ex de Paul de faire un détour par Paris, admirer le rejeton. Toutes de féliciter l’heureuse maman, toutes de reconnaître le « portrait craché de son père », aucune pour féliciter ou flatter l’organe externe qui a permis cet heureux événement : Faut dire qu’elles en avaient usé et abusé… avant !
Même Lady Joan aura fait le déplacement. Alors que Paul s’était rendu compte un peu avant combien sa fausse-couche l’a vraiment déconfite au plus haut point.
 
Toutes, non ! Cécile est restée cachée parmi le personnel de l’hôtel de Kotor de Paul et évite de circuler ailleurs. Stéphanie est soi-disant du côté de Caracas à l’abri d’une éventuelle expulsion vers la France. Carine et Claudine, les sœurs qui n’ont pas voulu piéger leur « client de Washington » au Sofitel de New-York, enverront un petit mot et une barboteuse premier-âge aux couleurs du drapeau des USA d’un goût douteux.
En revanche, Trois-Dom, qui s’est remise de son expédition aérienne au-dessus de la Manche passe mouiller du regard le petit-bout de bonne-femme. Isabelle Nivelle est fondante. Mylène, encore pire dans son rôle de « grand-mère » de substitution. Elle en a presque l’âge et Eva sa fille tarde à se reproduire…
Résultat, elle est en répétition de son futur état de « mamy » !
 
Le plus drôle, ce sont Charlotte, la vraie, et Aurélie, qui rappliquent après avoir vendu leur « nouvelle boîte » à plus gros qu’elles. Charlotte, la vraie, fait un cinéma pas possible pour avoir un « petit-bout-de-chou » aussi craquant rien qu’à elle !
«Tu peux pas, tu as horreur des bêtes à poil ! »
Et la FIV ? « Paul, tu ne peux pas me refuser ça, moi, ta vieille copine ! » Le tout devant le berceau d’Annabelle ! Fabuleux…
« Faudrait déjà que tu apprennes à branler une bite… Ça ne me paraît pas possible avant de longs siècles ! » répond Paul dans un éclat de rire communicatif.
Y’a vraiment que Florence qui n’apprécie pas, limite « baby-blues »… Et on peut comprendre !
Quant à Aurélie, elle trouve que c’est vraiment « tout-petit-petit », un bébé, tout juste comparable à insecte presque dégoûtant.
Pas encore l’instinct maternel en éveil…
 
C’est aussi l’occasion pour « la famille » de resserrer des liens distendus depuis fort longtemps : Sandrine, la première épouse de Jacques fait le détour par Paris et profite de l’hospitalité du Kremlin-Bicêtre aménagé à la hâte pour préparer Noël avec ses enfants, Alain et la petite Christine, entre les cartons de six de la troisième opération « flacons-estampillés ».
Plus inattendues, les « trois cochonnes », Arlette, Huguette et Pierrette, les filles de l’oncle-honteux, celui qui s’est fait surprendre à se faire sauter par UN clerc du cabinet, chassé par le grand-père jusqu’au diable vauvert, passent également à tour de rôle.
L’une avec sa propre marmaille, Huguette avec son mari qui n’en finit pas de « cocher-clair » et Arlette avec une boîte de chocolat et son éternel appareil dentaire… en « vieille-fille-à-caser » encore assez jolie malgré l’âge qui avance et qu’elle porte mal.
Enfin, « jolie » pour ceux qui aiment les sourires métalliques et les hanches larges et sans fesse.
Même Sylviane et Josiane, viennent en voisine un soir.
L’hôtel de long séjour médicalisé que Paul leur avait fait construire dans l’immeuble de leur propre père, le frère du grand-père de Paul et de Jacques, le « colonel » François-Henri, tourne toujours. Et Jacqueline, leur mère à la cuisse si légère en d’autres époques et aux états d’âme paranoïdes, y séjourne toujours, dans un fauteuil à roulette, atteinte précocement de la maladie d’Alzheimer doublée de syndromes parkinsoniens.
Dur !
 
Plus tous les autres, plus ou moins habitués, dont même Jean-Charles qui cherche à aplanir les difficultés pour revenir bosser avec Paul (ce qui tombe bien, parce que le dernier trimestre 2012 se termine par une tonitruante inspection fiscale des comptes de Paul, et que c’est lui qui tenait les comptes & déclarations des années contrôlées). Gabrielle qui patine à revendre les « bijoux de famille de la République ». Joëlle Lidoire, la hackeuse de la Cour des comptes. Et même Emily arrivant du Texas pour respirer l’air de Paris, la chanteuse première et unique épouse de Paul.
« Tu as bien de la chance, Florence ! C’est un peu grâce à moi qui l’ai laissé partir… »
Salope, oui !
« Vous vous êtes mariés, du coup ? »
Non ! Et pour cause : la première expérience de Paul en la matière ayant été tellement désastreuse !
« Alors tu es toujours un cœur à prendre, mon chéri ! »
Salope, oui !
Un numéro pareil devant une primipare, il faut avouer que c’est d’un déplacé absolu !
Mais elle se rattrape dans les compliments à la maman assurant elle aussi que le bébé, « c’est vraiment le portrait craché de Paul ! Bravo ! »
Il n’y est pas pour grand-chose, finalement.
Quant à la belle-famille, elle campe dans le loft parisien de Paul, qui du coup paraît bien exigu après avoir été refait suite à l’attentat qui a coûté la vie à Jackson, et se relaye au chevet de la « bestiole » et de sa mère…
 
Quant à Matilda, elle s’est signalée par l’envoi d’une jolie petite gourmette en argent gravée au prénom d’Annabelle, alors que le père José Gabriel s’est fendu d’une timbale également gravée et du même métal.

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