Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 1 juillet 2014

Prologue (1/5)

Avertissement : Ceci est un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Entretiens … surréalistes !
 
Closerie des lilas, dimanche 13 juillet 2014
 
L’amiral Gustave Morthe de l’Argentière est quelque peu anxieux. Non pour le résultat de la finale du mondial de football, dont il se moque éperdument.
Qui va-t-il s’installer à sa table, sous les marronniers, à proximité immédiate de l’ombre de la statue du Maréchal Ney, duc d’Elchingen, prince de la Moskowa, maréchal d’Empire, Grand-Aigle de la Légion d'honneur, fusillé le 7 décembre 1815 place de l’Observatoire à Paris sur l’emplacement de la gare du RER B « Port-Royal », surnommé « Le Brave des braves » par Napoléon 1er, « Le Lion rouge » par les anglais, « Le Rougeaud » par ses troupes ?
 
Il y a quelques semaines, il a envoyé à tout hasard un courriel à l’Ignoble Infreequentable via le blog qui porte ce pseudo sur la plate-forme OverBlog.com depuis quelques années.
Blog devenu quasiment inerte peu après l’élection européenne marquée par une abstention moins forte que le précédent scrutin de même nature et une poussée historique du FN : 25 % des bulletins, 30 % des élus…
Son « administrateur » aura voulu se « mettre à l’abri », et créer un second site hors du domaine de la loi française qu’il pressent comme allant se durcissant dans les mois à venir quant à la liberté d'expression.
Courriel qu’il n’a pas pu lire en mai 2014, sa boîte ayant été « bloquée » par quelques « autorités » non-identifiées, tout comme celles d'un terroriste, pas moins.
Il aura fallu quelques exploits de Nathalie pour redécouvrir le second site ouvert fin mai, et la nouvelle boîte associée, sur Google, de droit américain.
 
Et l’administrateur desdits blogs, contre toute attente, a répondu en signant encore et toujours « I-Cube » !
Qui est donc ce « I-Cube » qui publie régulièrement, sous forme de roman, en masquant heureusement les noms par des pseudos, changeant parfois les lieux et les dates, bien des secrets de la République ?
De ceux qui doivent être oubliés pour ne pas faire exploser les institutions…
Sans compter des milliers de billets divers sur presque tous les sujets depuis plus de 7 ans quand même !
 
Quand il était encore « d’active », il y aura bientôt deux ans, alors qu’il était le patron des services de renseignements militaires du pays, il avait fait compiler toutes les données sur cet énigmatique personnage, depuis toutes les sources connues.
Plusieurs hypothèses s’étaient dégagées.
Un obscur parisien qui vivrait de ses peintures, Gabriel-Henri Deux-Gares, dont les expositions sont des flops réguliers.
C’est la piste suivie, il y a quelques années, par la DCRI, à l’occasion du premier des volumes pas encore publiés, sauf à être en ligne sur Google, déjà en mai 2010.
Ce qui avait d’ailleurs déclenché des alertes jusque dans les plus hautes sphères du renseignement international (les robots fouineurs du NSA et de quelques autres sont assez puissants pour ce genre de sport), notamment parce que les hypothèses romanesques étaient proprement ahurissantes.
Le bonhomme avait même été « approché » au plus près par le service, sur « ordre supérieur » comme on dit, pour mieux espionner son ordinateur.
Un autre service avait mis sur écoute ses lignes téléphoniques.
Il avait été suivi, un temps et bien plus tard, croit-on savoir, par encore un autre « service qui n’existe pas », mais plus pour sa protection personnelle que pour lui tirer les vers du nez. Et ce n’était pas le bon bonhomme.
Son physique ne correspondait pas : trop petit, trop vieux, pas assez gros, trop nul et fort occupé entre son loft parisien, sa maison à Ramatuelle, sa mère, sa femme et sa belle-famille, qui œuvre dans le show-biz.
Lui qui se disait avoir des clémentiniers en Balagne … Pas sur les hauteurs de Saint-Tropez !
 
Il y avait eu évidemment Henri Hossin, un retraité ancien cadre supérieur d’une compagnie pétrolière qui n’existe plus aujourd’hui, qui aurait eu le temps et des réseaux bien informés pour le fournir en données diverses et « discrètes », plus ou moins instrumentalisé, et qui s’occupe de diverses associations caritatives pour éviter de se retrouver seul aux prises avec son épouse entre son appartement parisien et sa maison de Sologne.
Ça pouvait être lui.
Mais là encore, le physique ne correspondait pas, les déplacements potentiels non plus et les écoutes et filatures n’avaient rien donné.
Il y avait eu également Romain Midi, un avocat de deuxième classe. Là, les lieux correspondaient, le physique à peu près si on forçait un peu le trait, puisqu’à plusieurs reprises « I-Cube » se décrit comme une sorte de sosie du Président Landau, en nettement plus gros et plus grand.
Le langage surtout pouvait être similaire.
Et les idées pseudo-anarchistes de juriste écœuré, également.
 
Tous ces impétrants ont le temps d’écrire tant et tant. Même s’il est évident pour l’amiral, qu’il y a plusieurs personnes qui postent des articles sur ce blog. Ça ne peut pas être le travail d’un seul.
Il y a un spécialiste du droit, c’est sûr, peut-être même deux ou trois en comptant l’aspect fiscal, l’aspect social et le droit du travail, des matières dont personne ne sait faire la synthèse hors quelques grands cabinets qui ont des spécialistes en tout.
Il y avait un « politique », disons un journaliste aux aguets des informations, capables de se tenir au courant des investigations de ses collègues, voire d’en conduire lui-même.
Il y a forcément un « comique » et ses blagues idiotes du vendredi.
Et peut-être plusieurs « sapiteurs », un ou deux, ou plus, au moins en économie et en finance.
Le tout « drivé » par un seul homme, semble-t-il, qui signe, qui anime les commentaires et réalise l’unité d’écriture.
Peut-être même est-ce lui qui « romance », ou qui rewrite les dits romans qui ont mis sur les dents et à plusieurs reprises les services concernés, dont la DRM et le ministère de la défense, la place Beauvau, Matignon, Bercy et jusqu’à l’Élysée et la Maison-Blanche dit-on, tellement les faits rapportés dans lesdits romans étaient jusque-là tous fondés sur des événements en principe relevant du secret-défense, quand ce n’était pas du « secret-d’État ».
 
En cette veille de fête nationale, l’occasion de monter à la capitale depuis sa maison du Gers pour rencontrer le bonhomme, puisqu’ils s’étaient entendus sur le lieu et l’heure, était trop belle. Il lui avait juste fallu « ruser » pour que son épouse le laisse seul : I-Cube lui avait impérativement commandé de venir seul, sans appareil photo ni d’enregistrement quelconque, dans ses échanges internetiques et, bien sûr, sans « sous-marin ».
Une exigence compréhensible quand on est atteint profondément de paranoïa aiguë, même si les enjeux d’un anonymat dans une République démocratique telle que la France ne sont pas nécessaires pour assurer sa sécurité, même pour un « méfiant » qui se sent en danger, alors qu’il n’a en réalité rien à risquer. C’est ce que compte lui faire savoir Gustave Morthe-de-l’Argentière.
Tout juste un prix littéraire, quoique… sa prose n’est pas à la hauteur, sauf à lire entre les lignes quant au fond. Et encore, tout cela n’en fait qu’un plumitif-amateur.
 
Car il n’empêche, la cohérence des récits et surtout leur incroyable « réalité » pour quelques-uns comme l’amiral, parce que véritablement calquée sur des faits bien réels, survenus à peu près dans les moments indiqués et décrits tels qu’ils s’étaient à peu près déroulés de la sorte, rend insupportable l’idée « d’une fuite » d’informations qui ne sont jamais apparues au public comme un tout !
Comment ce type – ou ces types – avait-il fait pour en savoir autant et de façon si précise ?
Voilà un mystère qui méritait bien un repas à « La Closerie des Lilas », posée au bout du boulevard Montparnasse à Paris.
 
Un lieu chargé d’histoire. Avec « Le Dôme », « La Rotonde », « Le Select », et « La Coupole », situés plus en aval sur le boulevard, « La Closerie des Lilas » est l'un des cafés d'artistes et d'intellectuels qui ont animé la vie de Montparnasse, autour notamment du carrefour Vavin, l’actuelle place Pablo-Picasso.
La première closerie des lilas fut construite par François Bullier en 1847.
Le nom fut emprunté à une pièce à succès de l'époque : La Closerie des Genets écrite par Frédéric Soulié et joué à « l'Ambiguë comique ».
François Bullier planta des lilas et créa son fameux bal qui devient par la suite « le bal Bullier » sur l’emplacement du « Centre Bullier », dépendance du CROUS et comportant divers services pour les étudiants, notamment une résidence et un restaurant, mais aussi une piscine, des cours de tennis et un terrain de hand-ball transformable en deux aires de basket-ball.
 
D'après la légende, la closerie serait construite sur le domaine du château de Vauvert (ou Val vert) château appartenant au fils de Hugues Capet, Robert le Pieux.
Abandonné à la mort de ce dernier, le château aurait été hanté par le diable – d'où l'expression « aller au diable vauvert ».
Deux siècles plus tard Saint Louis donna le domaine aux Chartreux afin qu'ils exorcisent le lieu.
 
Voisin immédiat du bal Bullier, un relais de poste devient le lieu de rassemblement des gens qui venaient au bal. En 1883, ce relais s'entendit avec les héritiers de M. Bullier et l'établissement fut rebaptisé « La closerie des lilas » devenu le rendez-vous des artistes de tous horizons. On y rencontre Zola, Cézanne, Théophile Gautier, Charles Baudelaire et les frères Jules et Edmond de Goncourt.
Au début du XXème siècle, succédant à Paul Verlaine, autre habitué du lieu, Paul Fort vient y disputer des parties d'échecs enragées avec Lénine et se réunir avec ses amis hommes de lettres, Guillaume Apollinaire ou Alfred Jarry.
Le critique dramatique Paul Gordeaux accompagné de son épouse Amable, en sortant du théâtre y écrivait sa critique sur le coin d’une table avant de rejoindre le marbre de France-Soir.
Les peintres du Bateau-Lavoir et Edmond-Marie Poullain fréquentent également le célèbre établissement.
Les « Mardis de la Closerie » deviendront un fameux rendez-vous d’intellectuels.
 
La Closerie, dont la vie nocturne est passée dans la légende parisienne, devient aussi un des hauts lieux de l'intelligentsia américaine : Hemingway, Fitzgerald, Miller… qui font la réputation de Montparnasse. C'est à la terrasse de la Closerie que Fitzgerald fait lire le manuscrit de « Gatsby le Magnifique » à Hemingway.
Amedeo Modigliani, Germaine Tailleferre, André Breton, Louis Aragon, Kees van Dongen, Pablo Picasso, Jean-Paul Sartre, André Gide, Paul Éluard, Oscar Wilde, Samuel Beckett, Man Ray, Ezra Pound ou plus récemment Jean-Edern Hallier, fils d’officier supérieur de la « grande muette » et tant d’autres ont également fréquenté La Closerie des Lilas.
D’ailleurs, ce dernier et ses amis, parfois désargentés, jouaient le prix du repas à la course à pied autour du pâté de maisons le long de la rue d’Assas ou autour des jardins de l’Observatoire qui prolongent celui du Luxembourg, ancien Palais-Médicis où siège le Sénat français : une façon de prendre la poudre d’escampette sans payer…
 
Depuis 1980 une toile hyperréaliste de Jean-Claude Meynard intitulée « Closing Time » surplombe le bar de La Closerie des Lilas. Elle représente des noctambules accoudés au bar.
Et depuis 2006, le jury du « prix du livre incorrect » se réunit, au début de chaque année, à « La Closerie », perpétuant la tradition artistique et littéraire du fameux restaurant ainsi que d’autres prix littéraires quand les bourgeons des marronniers apparaissent.
Renaud fait l'éloge de ce célèbre bar parisien dans sa chanson « À la Close », tirée de son album « Rouge Sang », café qu'il fréquentait pendant sa dépression et où il rencontra sa future épouse, Romane Serda.
C’est cher, constate l’amiral Morthe de l’Argentière quand il s’installe, pour arriver en avance à une table de la brasserie où le garçon le guide et qu’on lui apporte une carte.
Et c’est sans doute surfait.
Mais c’est bien plus calme que « La Coupole ».


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4 commentaires:

  1. J’ai toujours été surpris par le niveau des notes de votre blog, tant pour les informations contenues qui sont souvent pas si évidentes que cela à dénicher, que par les analyses perspicaces qui en découlent.

    J’ai l’habitude d’écrire, de me documenter, et je sais le temps que cela prend.
    C’est environ une heure par page sur un sujet que l’on découvre, ou même que l’on connait bien.
    Faire un billet de six à sept pages tous les jours est possible uniquement que si on ne fait que cela et quasiment impossible pour quelqu’un qui redresse des entreprises, s’occupe de ῝petites crèches῝, etc…

    Aussi, il y a longtemps, qu’effectivement, j’ai envisagé la possibilité que votre blog soit le fruit d’un travail collectif.
    J’ajouterais dans la liste que vous donnez un ou deux spécialistes en physique quantique, astronomie, théorie des cordes, car c’est assez difficile d’aborder des thèmes aussi spécialisés que le voyage galactique, les Univers parallèles ou encore le voyage temporel.

    Aussi, qui êtes-vous ?...
    Je n’en sais absolument rien, même si je vous ai eu trois ou quatre fois au téléphone…
    J’ai même émis l’hypothèse que vous étiez dans un ῝futur῝ insaisissable pour mes neurones car je suis loin de maîtriser, et pour cause, des paradigmes scientifiques encore à découvrir !...

    Mais peut-être en saurons-nous un peu plus dans le roman « Mains invisibles »…

    Bonne journée à vous !...

    « L’Ami-rame » (de plus en plus)

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    1. Très drôle, "Ami-rame", très drôle...

      Personnellement, je vous laisse avec vos interrogations et mes mystères : il y aura seulement qu'une explication très classique dans cet opus (qui, il est vrai, m'a demandé beaucoup de temps... et n'est pas terminé tellement l'actualité est surabondante), une description seulement "romanesque" bien sûr.

      En fait, je reste éclectique et très curieux de tout. de plus je travaille vite (et parfois bien), tel que les billets quotidiens ne représentent à peu près qu'une ou deux heures de travail. Et encore, j'en ai plus de 2.000 en réserve qui n'ont jamais été publiés.
      Alors réfléchissez : 10 à 20 heures par semaine avec des semaines de 50 à 70 heures de travail effectif, bé il m'en reste assez pour gérer "les petites-crèches", assurer quelques missions de redressement épisodiques (même si parfois, j'ai eu un peu de mal, effectivement et "VCRM" a pu alors venir en rajouter à ma place), les conseils fiscaux et même les cours de fiscalité-appliquée.
      En fait, ce sont ceux-là qui me demandent le plus de temps : 5 heures/semaine, le samedi matin, c'est carrément 20 heures de préparation (plus les épreuves, les corrections et les jurys).
      Heureusement, ça n'est pas toutes les semaines non plus. Et seulement 9 semaines dans l'année (qui en compte 52 comme vous le savez).

      Il est vrai que parfois, je "sature-grave" et la perspective de longues "grandes-vacances", loin des rivages de la future dictature francilienne n'est pas fait pour me déplaire.
      D'autant mieux si je peux me consacrer à "apprendre" à mon bord grâce à internet (si ça veut bien marcher correctement : parce que je ne sais pas lire, pas écrire et pas compter pour être un enfant de "l'ékole-pue-blique" et j'ai besoin des machines de Bill Gates - grand merci à lui - pour y parvenir).

      Notamment ces "romans" : je les ai pondus dans ma caboche au moins, sur les plages de Balagne : Une table, une chaise, un parasol, un verre avec des glaçons et une prise électrique avec rallonge me suffisent...
      Mais peut-être plus pour 2015.

      A suivre, "Ami-rame"

      I-Cube

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  2. Nous ne sommes pas tous égaux !...
    Il y en a quand même qui ont des capacités de travail franchement supérieures à la moyenne !...

    Pour ma part, trois heures par jour de travail me suffisent.
    Parfois, je monte à 7 ou 8 heures de rédaction dans la journée, mais c’est assez rare.
    D’où ma production de ῝petit rédacteur῝, sans grande envergure…

    J’attends avec impatience vos autres chapitres.

    « L’Amiral »

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  3. Et pourtant vous animez quantité de blogs, sans même parler de votre compte "fesse-book" !
    Toutes choses que je n'arrive pas à suivre...

    Quant à vous dire que je n'aspire pas à "lever le pied", en bon "Corsu" que je peux être parfois, vous ne me croirez pas de toute façon.
    3 heures d'activité par jour... Le rêve, là. Picoler, buller 21 heures par jour, mon rêve !
    Encore inaccessible, mais j'espère plus pour très longtemps, à vrai dire !

    Bien à vous !

    I-Cube

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