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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 15 octobre 2014

L’avenir que l’on vous réserve


Propositions iconoclastes de la deuxième fortune mondiale.
 
Nous sommes dans un sacré pétrin.
Économiquement, c'est la catastrophe.
Socialement… c'est la Bérézina.
Fiscalement c’est l’hécatombe.
Nous sommes ruinés, et nos gamins aussi, de nos dettes abyssales.
La situation géopolitique est à feu et à sang et les foyers de tensions sont chaque jour plus nombreux.
 
À l'arrivée, nous assistons à un phénomène parfaitement prévisible et logique : Plus personne ne semble savoir à quel « sein saint se vouer », tout devient hésitant, inquiétant.
Aucune vision positive de l'avenir ne se dégage, aucune ligne directrice.
C’est le propre des crises : Elles naissent de la faillite d’un système épuisé qui empêche encore l’émergence de son successeur.
(C’est de qui au juste ? Je ne me souviens plus… Mussolini ou Gramsci ?)
 
Le pouvoir politique est absent (et ce n'est pas la faute ni de la droâte ni de la gôche, il s'agit d'une succession d'erreurs et de démissions depuis plusieurs décennies) : Un autisme puissant et récurrent qui ne peut pas voir l’avenir.
Les « idéologues » sont à court d’idées, de nouveautés, de projets.
Le monde s'embrase, la « Gauloisie-profonde » gronde, manifeste, menace, s’exile, l'économie s'effondre… et où que vous regardiez, quel que soit le domaine, il n'y a plus aucune solution simple et sans douleur. 
 
Ce qui est sûr c'est qu'encore une fois, partout dans le monde, le « travail » est en voie de disparition accélérée sous les coups de boutoir de la mondialisation et de ses délocalisations (pour l'Occident) mais surtout avec les progrès informatiques et robotiques, même jusqu’en Orient.
On en a déjà causé ici même… 
 
Et le « très riche » Carlos Slim, dont la fortune est évaluée par Forbes à 79,4 milliards de dollars, pense et nous a annoncé qu'il était grand temps de réformer le temps de travail pour prendre en compte aussi bien l'allongement de la durée de vie que celle de la vie active.
Pour lui, l'idéal serait donc de travailler 3 jours par semaine mais rassurez-vous, jusqu'à 75 ans et à raison de 11 heures par jour…
J’adore la perspective. 
 
Et voilà bien le paradoxe, car qu’on compte bien avant d’hurler avec les loups et autres acéphales trisomiques : Une carrière de 41 ans, de 35 heures hebdomadaires, de 220 jours ouvrés par an, ça donne 9.020 jours travaillés. Soit 63.140 heures au total.
Une carrière de seulement 10 ans de plus, de 220 jours ouvrés, c’est 11.220 jours travaillés. Mais à raison de 11 heures sur 3 jours par semaine de 7 jours, ce n’est plus que 52.894 heures !
À peine 83 % de la situation actuelle… 
 
Un grand classique de « l’esclavagisme-capitalistique » nous disent pourtant tous les détracteurs de la proposition (qui aura été oubliée depuis l’été où elle a été émise).
Bien sûr, parce que c’est une honte d’user des machines-outils précieuses et toujours plus pointues et onéreuses, des bâtiments qui les abritent et imperméabilisent définitivement des terres nourricières toujours plus largement, tous ces investissements qui existent et coûtent 24 heures sur 24 et 365 jours par an, soit 8.760 heures/an, pour ne les « faire tourner » que 220 jours de 7 heures par an (1.540 heures, soit 17,5 % seulement…).
On pourrait même faire « tourner » les outils de production plus de 5 fois plus si toutes les entreprises étaient « à feu continu »…
C’est dire toute la « compétitivité » que nous avons sous le pied ! 
 
Mais il n’y a pas que ça.
En fait, Carlos nous fait toucher du doigt un « cercle vertueux » oublié :
– En travaillant plus par jour, mais moins de jours, le « prolo » gagnerait en temps de loisir (pour consommer les productions supplémentaires) ;
– En laissant la place à l’équipe B, le niveau de chômage réduirait plus que sensiblement, coûtant nettement moins cher en cotisation, réduisant également les trappes à pauvreté (créant de nouveaux besoins absorbant les productions accrues …) ;
– De plus, on diviserait par autant les taux de cotisation des assurances-maladies, rendant au salarié le salaire originellement dû, accroissant son pouvoir d’achat, puisqu’il y aurait plus de monde à « mutualiser » au titre des recettes ;
– En allongeant la période d’activité sur une vie entière, le temps de service des régimes de pension de vieillesse serait réduit d’autant, alors même que les cotisations couvriraient largement les financements nécessaires…
Quitte d’ailleurs à généraliser le système du CET (Compte-Épargne-Temps) aujourd’hui limité en durée et en quotité (tout comme tout autre système d’épargne-salariale d’ailleurs, qui devrait avoir vocation à financer des investissements productifs des laborieux et non pas nourrir les assurances-vie qui nourrissent les emprunts publics).
– Et, cerise sur le gâteau, toutes ces activités supplémentaires généreraient des assiettes accrues d’impôt sur les revenus, les bénéfices et taxes sur la consommation, telle que les taux pourraient être réduits après avoir absorbé déficit public et endettement de même nature. 
 
Autrement dit, en en laissant « plus » aux simples citoyens, on entrerait aussi dans le cercle vertueux des réductions du poids relatif de la dépense publique dans l’activité économique.
C’était d’ailleurs le credo de « Made-Lin », le chantre du « libéralisme » d’antan, de sous le « Chi ».
C’était d’ailleurs résumé assez bêtement (parce qu’il ne comprend même pas ce qu’il dit), par « Bling-bling » avec son « travailler plus pour gagner plus ».
Travailler plus, collectivement, oui, mais pour gagner plus individuellement : Il n’est jamais arrivé jusqu’à l’imaginer, lui ! 
 
Elle n’est pas belle la vie, dans ces conditions-là ?
Bon d’accord, le « dogme-ambiant » et la « pensée-unique » est exactement à l’inverse de ce qui apparaît comme d’une utopie-iconoclaste, et tous souquent-ferme, pagayent dans la direction diamétralement opposée.
Le sentiment dominant qui anime encore les classes laborieuses et bourgeoises, ça reste le « péché d’envie » : Je veux ce qu’il a, ses avantages à lui, je veux être l’égal de l’autre, en avoir autant que lui, même si je n’ai pas le talent, pas l’intelligence, pas les kouilles de prendre les mêmes risques et responsabilités que lui.
Je veux tout pour être son « égal », même sa « pouliche » aux yeux si « mouillants » !
Globalement, c’est d’ailleurs ce que propose « Marinella-tchi-tchi » et il faudra qu’on y revienne tôt ou tard…
Parce que finalement, l’échec ci-dessus décrit en introduction est imputé directement au système « UMPS » chez nous en « Gauloisie-débile », alors elle, elle boxe ailleurs et ça fonctionne plutôt bien chez les innuméristes et autres illettrés formatés aux « ékoles-pue-bliques » depuis deux générations d’ignorants.
Tout un univers d’autistes en marche… 
 
D’accord aussi, on n’en est pas là.
– D’abord, il y a nos fameux « déclinistes » pour qui le travail, la production, est une denrée qui doit devenir toujours plus rare, plus étroite pour vivre sur un marché global étriqué, et qu’une pénurie doit se partager, même de façon autoritaire (Cf. les RTT, la cinquième semaine de congés-payés, etc.).
– Ensuite, ils sont relayés par les fascismes écologiques ambiants, pour qui l’homme est une saloperie ambulante qui saccage sa planète et qu’il convient de punir de sa liberté de la transformer en poubelle pour le préserver contre lui-même (Cf. GIEC & Cie).
– Enfin, il y a aussi ces « maîtres du monde », qui financent globalement toute activité, même celle des « déclinistes » et des écologistes, qui nous préparent le « monde d’après », ouvert à une seule petite « minorité » assez riche pour se l’offrir et son Graal de vie éternelle, quitte à sacrifier le reste du genre humain pour sa bonne cause, la meilleure qui soit.
– Et puis naturellement, il y a aussi le Léviathan étatique, a qui plus on en donne, plus il vous en réclame. Son rêve est que nous devenions tous, tôt ou tard, ses obligés éternels en qualité de fonctionnaire, pour nous pourvoir en  logements, aliments dans ses cantines, consommateurs de ses « folles parades kul-turelles » et flamboyantes, soumis que nous serons à ses diktats, pour notre bonheur, rien que notre bonheur, naturellement…
Lui sait tout de nous, de nos besoins, de nos urgences, de notre bien-être : Omniscient. 
 
Ce qui me fait bien marrer quand il s’agira de n’être rémunéré que de nos propres impôts… On touchera alors à l’apogée d’une utopie bouleversante. 
Même si je ne suis pas trop inquiet, finalement : L’État ne sait fonctionner qu’avec de la monnaie (qu’il a inventé, accaparé depuis Charlemagne) et nous aurons inventé des « bons d’échange », non monétaire, entre-temps…
Comme sous l’occupation, comme pendant les meilleures années du régime de l’URSS.
Et vous savez ce qu’il en est advenu… 
 
Et puis il faudrait organiser tout ça à l’échelle mondiale, pour empêcher telle ou telle autorité régionale de tirer profit, à son usage exclusif, de ces bouleversements à venir.
C’est là qu’on devrait pouvoir compter sur notre « puissance publique », animée et dirigée par des hommes de profonde conscience de l’intérêt général des populations qui leur délèguent pouvoir et mandat de préparer l’avenir.
Et le problème, c’est que non seulement elle est impuissante à « changer les choses » et qu’on ne voit toujours pas ces « leaders-naturels » émerger dans nos horizons intellectuels.
Peut-être la génération suivante ? 
 
C’est dire s’il flotte dans mon esprit, en ce moment, quelques « perles » qui fleurent bon le délire, quant à l’avenir qu’on nous prépare.
Ce n’est pas de ma faute, c’est notre époque de crises qui veut ça.
Où c’est le Chianti, je ne sais pas…

2 commentaires:

  1. Le plus simple, c'est de se vouer aux deux seins en même temps! Surtout si on n'a qu'un seul neurone ...
    C'est pas pour critiquer mais faut bien reconnaitre que c'est un sacré bordel votre nouvelle plateforme!
    On fait comment pour recevoir vos nouveaux articles au fur et à mesure?

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    1. Bé là, j'avoue que je ne sais pas, Monsieur mon conseiller omnipotent !

      Il y a bien "un" abonné, mais je crois que c'est parce qu'il a un compte Gmail. Là, ça marche.
      Pour les autres, il n'y a rien à faire, semble-t-il, ça ne marche pas...
      Allez savoir pourquoi.

      La meilleure solution, c'est encore de venir de temps en temps ou tous les jours.
      Pour vous y aider, sur overblog, je reprends les posts de la semaine, avec des liens, mais seulement une fois par semaine : Pas trop le temps en fait.

      Et vous, de votre côté, vous persister à bloguer ?
      Parce que je vais vous dire, sur l'autre boîte à courriels, les mails s'accumulent : Hotmail m'autorise à ouvrir le compte, mais je ne peux ouvrir aucun courriel !
      Rien.
      Ca bloque indéfiniment : CENSURE de l'Autorité.

      J'ai beau changer de poste de travail, changer de fournisseur d'accès, de machine, passer et repasser des antivirus en pagaille, rien à faire, rien ne s'ouvre !
      Et ce n'est valable que pour le compte infreequentable, parce que pour les autres comptes du même serveur MSN, le "pro" je n'ai jamais eu ce type de déni de service, quant au compte originel (encore un autre), j'ai pu retrouver l'accès en septembre dernier...

      Et c'est depuis le mois de mai dernier que c'est comme ça : Une des raisons qui m'ont fait fuir en Italie après avoir pris le large et vendu tout ce que j'avais en "Gauloisie-merveilleuse".

      On est vraiment fliqué de partout et infreequentable@hotmail est considéré, en tout cas traité, comme d'un compte "terroriste".
      Faut le faire pour un "légitimiste" et "légaliste" de naissance comme moi !

      Alors revenez de temps en temps : Ca fait toujours plaisir...

      Bien à vous !

      I-Cube

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