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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 3 novembre 2014

Pour une fois, je ne suis pas trop mécontent :


J’ai « touché » un patron pas trop kon
 
Ce qui est finalement assez rare dans ma carrière, au point qu’après avoir fait « mes armes » et « blanchi sous le harnais » pendant plus d’une décennie aux ordres de différents mégalomaniaques plus ou moins débiles, j’en ai passé deux à ne rendre des comptes qu’à « mes » clients.
Et la totalité en restent très satisfaits, alors que la première fournée où je faisais « esclave-salarié », ils ne sont plus là pour dire tout le mal qu’ils pensaient de moi tellement ils étaient trop kons de refuser de faire ce que je leur disais qu’il convenait de faire pour éviter le dépôt de bilan.
 
Que vous pensez bien que poussé à l’exil plus récemment par les autorités de mon pays à cause de mes « romans » mis en ligne et révélant quelques « secrets-d’État » (heureusement romancés), je ne me voyais pas reconstruire un « empire » dans le consulting en terre étrangère : À trente ans et sans un rond, on peut y croire, 20 ans plus tard, même avec plein de ronds, on n’y croit plus vraiment…
Parce qu’on se souvient aussi des « années-galères » à peine terminées.
En bref, « j’ai déjà donné ».
 
Celui-là, je l’ai croisé à l’occasion du sauvetage d’une entreprise : C’était leur banquier et conseiller financier. Il s’agissait de remettre le personnel au boulot, d’installer quelques carottes motivantes et de convaincre le boss des lieux de refinancer le bas de bilan pour faire la soudure avec les résultats à venir.
Ce qui a été fait et je suis passé à autre chose.
Ce n’est que l’année dernière, quand des jeunes rigolos bourrés aux as ont voulu racheter « ma boutique », que je me suis mis en quête d’une franchise à ouvrir, d’une entreprise à reprendre et à redresser.
C’est là que je l’ai recroisé.
Et qu’il m’a offert de venir à ses côtés pour le sapiter dans l’exercice de son métier de « prêteur sur gage ».
Je n’ai pas dit oui tout de suite, mais seulement ensuite, compte-tenu de l’urgence de « dégager » suite aux élections municipales, aux lois liberticides de mon pays, aux élections européennes et aux « pressions » inamicales ayant entouré la mise en ligne de « Mains invisibles » (et suivants).
Un saut dans l’inconnu pour moi que de me retrouver de nouveau « esclave-salarié », tellement j’en avais gardé un mauvais souvenir. 
 
En réalité, je découvre que je suis « en phase » avec mon « professeur cosinus ».
Je l’ai déjà dit : Lui, il vit avec des équations dans la tête et tout plein de collaborateurs qui font de la surveillance de « salle des marchés » dans un recoin de ses locaux dont les murs sont tapissés d’écrans informatiques.
Ma seule « angoisse », c’était la signification inconsciente d’une statuette en bois d’ébène et de type négroïde, la bouche entrouverte, posée sur son bureau, représentant une femme nue, jolie, gracieuse mais bien en chair, à genoux, les mains posées sur les cuisses, qui le regarde fixement toute la journée.
Un fantasme avais-je supposé. 
 
À tort : Il s’agit de la mémoire incarnée d’un de ses ancêtres lointain qui faisait du commerce triangulaire. Qui lui rappelle à chaque minute d’où vient sa fortune (et son « établissement financier »), toute la peine et la souffrance qui lui ont donné naissance.
« Pour en être digne. » Et soulager la peine et l’affliction d’autrui.
Une sorte de « restitution », en somme.
Exactement ce qui m’a fait marcher pendant 20 ans dans mes activités associatives et bénévoles, et mes « restitutions » dans l’enseignement hyper-supérieur des futurs doctorants en fiscalité de mon pays.
Restituer ce qu’on a reçu : En phase, vous dis-je ! 
 
Confirmation avec l’affaire « LSK », le suicide de « Laine » et le traitement « diabolique » qu’en font les médias.
Ce « boss-là », je sens que je vais le garder, bien au chaud, et pendant plus longtemps que je ne l’imaginais de prime abord. 
 
Parce qu’enfin, la mort d’un homme devrait toujours être traitée comme d’une tragédie : Je sais, j’ai vécu celle absolument ignoble de mon propre père, même que j’ai mis presque 25 ans à m’en remettre…
(Il me fait toujours « frémir » quand je l’évoque, d’ailleurs…)
Et dans la semaine qui vient de passer, il y en a eu trois : « Big-moustache », « Laine » et le jeune kon qui s’est fait tuer bêtement en protestations diverses et violentes contre une retenue d’eau indispensable pour réguler le cours d’un torrent, éviter des dégâts considérables (et des morts d’homme toujours possibles) comme par le passé, au moment des crues et orages.
Ainsi que de répartir l’eau vers des cultures de façon équitable entre les locaux : Où la volonté populaire s’était déjà exprimée à travers les élus locaux… 
 
Devinez quoi avec le recul d’une semaine ?
La presse, les médias, les cénacles politiques ne causent plus que du dernier.
« Big-moustache » déjà passé par pertes & profits dans les oubliettes de l’Histoire, alors que son décès devrait être une affaire d’État, parce que c'en est une.
Affaire de Mistral à livrer ou non.
Enfin quoi, ça n’étonne toujours personne qu’un avion qui décolle « normalement » revienne exploser au-dessus du terrain d’où il est parti ?
Je vous ai dit la semaine dernière qu’il s’agissait de l’avatar du « monde d’avant » qui ne veut pas mourir… 
 
Le « monde d’avant », c’est l’hégémonie du dollar et du pétrodollar.
Comme d’une confirmation, l’événement financier de la semaine passée, c’est l’arrêt des « QE » de la FED qui ne rachète désormais plus aucune créance, même « pourrie », depuis la fin du mois dernier.
Logique dans la mesure où le chômage américain se réduit. Dès lors la consommation peut repartir, ce qui va déclencher une augmentation des investissements « productifs » pour y faire face, donc une croissance retrouvée.
Six ans qu’il aura fallu et plusieurs dizaines de milliers de milliards de billets verts !
La FED a pour mission de lutter contre le chômage aux USA et nulle part ailleurs, la BCE de limiter l’inflation à 2 %, la BoJ de faire de l’inflation avec son Yen, et la BoE de thésauriser avec sa Livre et d’encaisser plus-values et dividendes. Et ces deniers, qui n’ont pas voulu faire une politique de récession sont, eux aussi en train de réduire le chômage chez eux.
Vous voyiez la suite ? Vous avez vu les dégâts ?
Le « pétrodollar » est loin d’être mort et les tentatives du « monde d’après » de s’en passer vont s’évanouir au fil du temps pour quelques décennies.
Match gagné par KO et quelques fracturations de roches profondes et bitumeuses.
Adieu tout espoir d’énergie-libre et l’E-Cat dont on parlait lundi dernier : Il s’agit de conforter l’empire-dollar. 
 
Mais ce qui m’aura étonné – et là encore je reste en phase avec « mon boss » – c’est le traitement médiatique du « suicide » de « Laine » et les retombées éventuellement désagréables pour « Déesse-khâ ».
Assez spectaculaire, finalement.
Le suicide n’est même pas remis en cause, tellement personne ne veut pas savoir autre chose : Même pas un doute émis à ce sujet.
D’ailleurs, on n’est plus dans un hôtel aux fenêtres étriquées où on a du mal à passer un bras du départ, ce n’était pas cohérent, mais au sommet d’une tour !
Comme si les tours, même à Tel-Aviv, étaient accessibles au premier suicidant venu…
J’espère que personne n’est mort du ridicule de l'assertion ubuesque.
Passons. 
 
– « Laine » est présenté comme un dépressif-profond depuis la disparition de son épouse (dans des circonstances que tout le monde veut ignorer : aucune trace sur internet ni ailleurs.)
C’est sans doute un « faux-nez » : Si je me souviens bien, le suicide par pendaison de l’épouse de « Luke-Chat-tel » alors ministre de « Les-ducs-à-Sion » en janvier 2012, n’avait pas entraîné autant de débords… 
 
– « Laine » est présenté comme un homme ruiné…
Moi je veux bien, mais avoir un retard de paiement sur une échéance de type commercial, il y a quantité de solutions juridiques et même financières avant d’en arriver à cette extrémité-là.
D’ailleurs, elles ont mises en place tranquillement par la justice Luxembourgeoise qui n’a pas l’habitude de plaisanter avec les histoires de gros-sous.
La créance finira par être payée, pas comme pour le dépeçage des filiales indélicates de la BES du Portugal qui n’a entraîné aucun suicide dans les rangs de la famille des « indignes ».
Même les créances pourries de la FED seront honorées, vous verrez, même si c’est dans « longtemps », l’opération restera bénéficiaire tant que le « Monde d’après » survivra. 
 
– « Laine » est présenté comme un escroc de haut-vol.
Là encore, un escroc qui est côté à l’Euronext de Paris depuis presque dix ans, il y en a sans doute, c’est vrai, mais franchement, croyez-vous que cela est courant ?
Ça ferait plutôt « tâche », pour tout dire. 
 
– La preuve que c’est un escroc, « Laine » a investi les deux millions réclamés par le Bâloise d’assurance en un placement pour lequel il n’avait jamais reçu mandat de faire.
La preuve, même « Déesse-khâ » affirme qu’il faisait tout le boulot (pour ramener les deux milliards annoncés), et sans être payé, insiste-t-il, alors que c’est « Laine », dont on apprend qu’il se mangeait du décalage horaire jusqu’à plus soif pour lever, non plus 2 milliards, mais à peine le quart, qui faisait tout le boulot.
Parce que la divine « Déesse-Khâ » n’avait rien pu ramener après plus d’un an d’effort (forcément, il ne les a plus comme expliqué lundi dernier et encore ailleurs, suivez donc les liens), tout juste capable de « conférer » pour 50 à 150.000 dollars la demi-heure aux quatre coins du monde, au profit de sa société immatriculée au Maroc (pour échapper au fisc-gaulois, l’ex-ministre… Il sait : Il a été patron de Bercy qui n’était pas à Bercy à son époque). 
 
– D’ailleurs, on lui avait dit que « Laine » n’avait pas bonne réputation dans le milieu financier et qu’il s’était lui-même aperçu en août dernier qu’il n’était pas « clean ».
Que en août 2014, pas en 2013 ou le deal se formait entre les deux hommes, que l’un à même lâché 20 % de son capital social et même son fauteuil de Président de sa boutique pour le sieur « Déesse-khâ » à la réputation de sauteur si solidement établie par ailleurs.
Forcément, c’était un agent du Mossad, où les « sémites-financiers » se transmutent en « sionistes-militants », donc des salopards présumés qui feraient des ronds de jambes à un « non-goy »… 
 
– Et on veut nous faire croire que « Déesse-khâ » aurait donné sa démission en octobre, quelques jours avant ledit suicide ?
« Ah non » fait « mon boss ». « Il a été viré de son poste de président » à l’occasion du Conseil d’administration du mois (et non pas de l’AGO annuelle comme on le raconte partout, qui a eu lieu avant l’été), justement « parce qu’il ne faisait pas sa part du business. »
Le Mossad a exigé de faire le ménage, oui. 
 
« Et alors patron, tu penses comme moi ? Les américains auraient voulu atteindre « Déesse-Khâ », l’homme qui souhaitait lui aussi élargir le panier des devises des DTS (Droits de Tirages Spéciaux) du FMI hors le dollar ? »
Le fameux « Monde d’après »…
Il y a de ça. 
 
« Mais je crois bien que c’était devenu un agent-double de la CIA. Sans ça, jamais il n’aurait pu entrer chez « Laine », en charge de remettre en circulation les dollars qu’il détenait et de surveiller leur usage. »
Raison pour laquelle sa démission s’imposait, finalement.
Ils l’auraient interdit. Et ils en ont les moyens, même auprès du Mossad qui aurait été obligé de reconnaître une « erreur de casting », comme on dit pudiquement.
Car « Déesse-Khâ » s’est fait doubler à l’occasion de son dernier passage en Chine en mars dernier : Exit !
« Et c’est « Laine » qui a payé de sa vie l’échec de l’opération de récupération. »
Des milliards divagants…
Magnifiques, les traits de génie de « mon boss ».
Presque magiques même. 
 
Je sens que je vais le garder, bien au chaud, et pendant plus longtemps que je ne l’imaginais de prime abord, ce « boss-là »…

2 commentaires:

  1. « Déesse-Kha » viré comme un incapable !...
    Trop bon !...

    Et « Titi-Laine » n’a pas survécu longtemps.
    Toujours mortifère le « Chimpanzé en rut » ?...
    Il en sait beaucoup trop sur les affaires « Soces » pour survivre bien longtemps en cas de révélation…

    En attendant, la société LSK vient d’être mise en faillite…

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    1. Oui j'ai vu ça : Livrée, sans défense (même pas les salariés) pieds et poings liés, décapitée de ses deux têtes, aux charognards et autre croque-mort !
      Aucune chance d'en laisser quelques bouts aux "clients".
      Alors que quoi ? La boutique "pesait" encore plusieurs centaines de millions d'euros en bourse encore au mois de juillet dernier.
      De qui se moque-t-on au juste, SVP ?

      C'est "le monde d'avant" qui fait le ménage, oui, rien de plus.
      Et il s'y entendent...

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