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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 9 décembre 2014

Dégoulinante de démagogie…

« Sœur-Âne » de donner des leçons au gouvernement… 
 
Telle qu’elle a pu me faire rire quand j’ai découvert la presse du week-end.
Bon, il y a bien d’autres points parfaitement passionnants, comme « Mélangeons » qui nous montre qu’il maîtrise totalement la langue de Goethe en insultant « Mère-Qu’elle » en VO…
Trop drôle, le fat de « l’ultra-gôche » !
Encore un qui aura tout compris… 
 
Mais aussi le père « la fraise des bois » (« François III ») qui porte moumoute sur le sommet du crâne et profite du ridicule de la situation pour aller en serrer la pince à « Poux-tine » par un détour impromptu à Moscou.
Une escale technique, en diront peut-être les aéronautes… 
En fait, c’est juste pour calmer l’ours du FSB sur l’avenir de ses beaux bateaux de Saint-Nazaire. 
 
Vous auriez eu aussi droit, paraît-il, à « Menuet-Valse » au JT, juste avant « Les intouchables ».
Quel à-propos !
Perso, j’ai regardé pour la centième fois « Fort Alamo » : Les westerns, ça reste fabuleux quand on a plus de 30 piges. Les plus jeunes, ils n’en ont jamais vu.
Et puis « Marinella-tchi-tchi » qui va vous expliquer que les « banques patriotes », elle n’a pas pu les trouver en « ma » Patrie.
Alors, elle a été bien obligée d’aller les chercher « hors la patrie », chez des vrais patriotes, eux…
Laisser moi donc en rire, SVP. 
 
Sans compter quelques « coups de torchon » en préparation, notoirement plus alarmant en Grèce, mais aussi en Italie (qu’on veut bien vous passer sous silence en « Gauloisie de l’information »).
Ça, c’est nettement plus inquiétant que je vais probablement vous en causer rapidement.
Mais revenons d’abord à mon week-end. 
 
Parce que bon, j’en ai passé une grande partie à préparer les dossiers de la semaine et aussi à jeter un œil sur le budget « investissement » présenté par « Sœur-Âne » pour sa mandature à Paris, mon ex-ville du « bonheur d’y vivre ».
Je ne te vous raconte même pas…
Même à n’en prendre que quelques réactions « piquées » sur le net (quand « Ouifi » a bien voulu fonctionner). 
 
Parce que la mairesse aura présenté jeudi dernier son premier budget et un plan ambitieux de 10 milliards d'euros d'investissements « pour soutenir l'emploi et l'attractivité de la capitale ». 
Sans augmenter les impôts, bien sûr et comme promis.
Je sens que ça va avoir l’effet inverse… et rapidement. 
 
D’une certaine façon, c’est finalement une « frondeuse » en analyse les exégètes en « épistémologie-politique ».
Parce que malgré la baisse de la dotation de l'État et l'augmentation du montant de la péréquation à verser l'année prochaine, elle a présenté jeudi 4 décembre un budget 2015 qui respecterait effectivement ses deux engagements de campagne : Aucune hausse d'impôts pour les contribuables, ni de baisse d'investissements pour Paris, au contraire !
Disparu comme par miracle le « trou » de 400 millions d'euros laissé par « De-La-Nuée », « découvert » après son élection (notez qu’il suffisait de lire les rapports de sa propre administration émise avant cette échéance « pour savoir »…) et une équation résolue grâce à des coupes dans le budget de fonctionnement de la ville, la création de nouvelles taxes (séjour, résidences secondaires…) et la hausse surprise de certaines recettes fiscales (sur la valeur ajoutée des entreprises et immobilières).
Passons : « L'opposition va devoir changer de discours car nous avons réussi » fait-elle-dire par un « second-couteau ».
« Haine-k’a-Aime », elle est prévenue. 
 
La mairesse en a d’ailleurs profité pour donner une petite leçon d'économie au gouvernement : Doté de 9,975 milliards d'euros, contre 8,5 milliards prévu initialement, ce volet des dépenses s'inscrit clairement dans une politique de relance de type keynésienne, à l'encontre de la ligne défendue par Bercy.
« L'économie a besoin d'un choc positif. Et c'est aux pouvoirs publics de donner le signal en investissement massivement. Cela doit même être la clé de la relance pour notre pays. Nous nous inscrivons dans cette pensée qui prône la relance par l'investissement à l'image du plan Juncker ».
Pan : « Mak-kron », « Mère-Qu’elle » et tous les autres pignoufs qui se la pètent, ils peuvent remballer.
Mais de quoi je me mêle, au juste ?
Faut dire que la référence à « Junk-air », elle aurait plutôt tendance à générer un fou-rire : N’a-t-il pas annoncé 300 milliards en en dépensant à peine la moitié sur plusieurs années pour une « massivité » lilliputienne compte tenu du PIB-Europe ?
Même pas sérieux…
 
On reprend : Sur ces « 10 milliards », 3 sont consacrés à la construction de logements sociaux (personne ne sait où elle va trouver le « foncier » nécessaire, bien sûr, pas même elle) et à la rénovation du bâti, 1,8 pour des opérations d'urbanisme comme l'embellissement de grandes places et l'installation de nouvelles crèches (5.000 de plus annoncées pour la mandature), 900 millions pour l'éducation ainsi que pour les transports ou encore 400 millions pour le sport.
Que c’est sûr, voilà des « investissements » bienvenus et qui vont rapporter « gros », tout le monde en est persuadé, pensez-donc !
« Nous préparons l'avenir avec ce plan. La question de la dette est portée de façon caricaturale en France. S'il ne faut pas s'endetter pour financer les dépenses de fonctionnement, nous pouvons et nous devons le faire pour investir ».
Tu rembourses comment au juste ? 
 
Et d’espérer que son action aura un retentissement pour toute la Région, voir plus loin…
C’est sûr que si les 2 millions de parigots s’endettent pour payer l’activité des 12 millions de franciliens, ça va faire tâche !
Le plus drôle, c’est le chef de file des « cocos-locaux » qui a lui salué « un plan qui fait le choix de la relance économique et de la lutte contre le chômage et la pollution dans un contexte où de nombreuses villes coupent dans leur budget faute de moyens ». 
Ouais, ouais, 185 M€ d'opérations d'aménagement (Paris Nord-Est, Paris Rive Gauche, Clichy Batignolles) et 121 M€ pour requalifier l'espace public, 30 M€ pour embellir encore les places de la Bastille, Nation, Panthéon, Place des Fêtes, Place d’Italie, Gambetta, Madeleine, etc. et quelques 262 M€ pour « végétaliser » Paris, avec 30 ha de nouveaux espaces verts, 20.000 arbres supplémentaires et surtout 100 ha de façades, murs et toitures végétalisés, c’est lutter contre le chômage, tiens donc !
Quelle bande de corniauds dogmatiques, décidément… 
 
Grâce à cette bonne gestion des finances, Paris se targue de pouvoir se payer ce grand plan. Attention les yeux : Les 10 milliards seront autofinancés à hauteur de 66 % par « l'épargne nette que dégage la ville chaque année ».
Hein ?
« Bling-bling » qui fait des émules ! Lui il finançait son Grand emprunt en remboursant des dettes par anticipation.
Elle, elle s’endette avec de « l’épargne nette » au lieu de rembourser la dette déjà existante.
Fabuleux, non !
D’ailleurs, elle l’affirme : Le reste sera emprunté mais bénéficiera d'un taux exceptionnellement bas grâce à la santé financière de Paris.
Et alors là, le pompon : « Quelques 200.000 emplois doivent être créés ou soutenus grâce à ce plan selon les prévisions des services de la ville. »
Des emplois durables au moins, parce qu’à 50.000 € le bout, c’est très, très cher ! 
 
Notez que j’en ai lu, sous couvert d'anonymat, qu’un membre de la majorité pointe une part « d'affichage » : « Ce n'est pas parce qu'on lance un plan d'investissements de dix milliards que l'on va les dépenser ».
Ah bon : Alors on cause pour ne rien dire et surtout ne rien en faire !
Fabuleux, que je vous dis-je…
Parce que le « mieux vivre » avec 100 hectares de « façades-végétalisées » (il faut s’imaginer les « vieilles-pierres » de Paris, ses monuments recouverts de ronces et d’orties et dégoulinant de traînées de boue pour avoir une petite-idée), y’a la suite et ce détour incroyable qui va transformer Paris en prison ou en zoo : On pourra venir en vélo regarder comment vivent les parigots le long des lianes qui pendront le long de leurs façades, mais eux, seront interdits de s’échapper !
C’est le plan « anti-diesel » annoncé un peu plus tard. 
 
Parce que là je me suis félicité, une fois de plus, de m’être extrait des murs de la capitale avant que les portes de plomb ne se referment : Dans un entretien au JDD, la même explique à qui veut bien encore l’écouter, qu'elle veut « la fin du diesel à Paris en 2020 », mais aussi rendre le centre de la capitale (1er, 2ème, 3ème et 4ème arrondissements) « semi-piétonnier ».
« Je veux la fin du diesel à Paris en 2020, et si possible au-delà du périphérique. Il s'agit donc d'accélérer la mutation, avec le concours de l'État. J'ai commencé en éradiquant en trois mois les voitures diesel du parc de la ville », déclare-t-elle, pour un plan antipollution qui sera discuté au Conseil de Paris le 9 février.
Oui, parce que Paris, c’est elle, et qu’elle a le bras assez long pour en imposer tout autour…
Notez également, que sa voiture de fonction est une hybride exotique (histoire de relancer la croissance en Corée avec les impôts des parigots).
Mais c’est « un détail ».
D’ailleurs, ils s’en frottent encore les mains…
 
« Par ailleurs, grâce à des pastilles ou des puces, on pourra bientôt identifier le degré de pollution de chaque véhicule. Nous comptons sur la pédagogie et le civisme, mais il y aura aussi des contrôles routiers pour éviter les infractions. J'aimerais qu'on utilise les quatre portiques installés sur le périphérique », initialement dans le cadre de l'écotaxe, envisageant aussi « d'autres types de contrôles à l'aide de caméras » : Tous fliqués !
Té : Les joggers qui polluent affreusement sur les trottoirs, ils seront priés d’être « pucés » et même de ralentir la cadence ou de retenir leur respiration et rejets de CO2, SVP… 
 
Au-delà de 2020 seulement, elle est « prête à imaginer une exception pour certains ménages peu fortunés possédant un vieux véhicule diesel qu'ils n'utilisent qu'occasionnellement », et qui « pourraient être autorisés à circuler le week-end ».
Alors, finalement, seulement si t’es pôvre, et seulement le week-end, tu pourras aller polluer en forêt de Fontainebleau avec ton « vieux tas boue à roulettes ».
Et de reconnaître qu’« aujourd'hui, 60 % des Parisiens n'ont déjà plus de voiture, alors qu'en 2001, ils étaient 40 %. Ça va vite », la paupérisation des « bobos ».
Tu m’étonnes : Même toi tu n’en as plus à titre personnel, puisque tu roules en voiture de fonction… 
 
Elle souhaite aussi « la mise en place d'axes de circulation réservés aux véhicules propres ».
Les « canyons de pollution » comme la rue de Rivoli ou les Champs-Élysées (ouvert l’un sur un large jardin qui va jusqu’à la Seine et l’autre bordé de rangées d’arbres) ne « seraient autorisés qu'aux véhicules à ultra-basse émission et interdits à tous les autres ».
Faut que ça respire, les « végétatifs » figurez-vous…
Vous suivez-là ? Non seulement tu ne peux plus rouler que le week-end, mais en plus, pas partout : Fabuleux !
Et elle veut une ville attractive ?
« Cela se fera dans un premier temps à titre expérimental », précise-t-elle.
Oui, le provisoire qui dure, qui dure… , on connaît, hélas. 
 
La majorité municipale va en outre « poursuivre l'extension des zones 30 » – où la vitesse est limitée à 30 km/h –, amenées à devenir « la règle dans tout Paris ».
« Circuler à 50 km/h sur les grands axes sera alors l'exception. »
Son chauffeur ne l’a pas encore avertie que de toute façon, 50 km/h aux heures de pointe, ce n’est matériellement pas possible sans motards qui ouvrent la route dans les couloirs de bus. 
 
Et, « dans les quatre arrondissements du centre, à l'exception des vélos, bus et taxis, seuls auraient le droit d'entrer les voitures des résidents, les véhicules d'urgence ou de livraison », ajoute-t-elle, qui « propose qu'on commence par le week-end » avant de « rapidement » l'étendre « au reste de la semaine ».
Paris réservé aux « locaux », les autres cantonnés à ne plus y venir : Vachement attractif pour le touriste et les commerces, finalement, non ?
Parallèlement, le nombre de kilomètres de pistes cyclables sera par ailleurs « doublé d'ici à 2020, avec un plan vélo très ambitieux, de 100 millions d'euros sur la mandature qui permettra le franchissement des portes de Paris, mais aussi une grande traversée nord-sud et une autre est-ouest ».
Que même, les « vélibs’ », ils sont bien installés en banlieue-proche, mais pas très nombreux à surplomber le périph’, si je me souviens bien… 
 
Elle veut également « développer le vélo à assistance électrique (pour « les montées » et « les pointes » rue de Rivoli enfin dégagée : C’est sous son ancien bureau), aussi bien dans l'aide à l'achat que dans le dispositif Vélib' ».
« Techniquement, c'est possible. De même, nous mettrons en place un plan d'installation de bornes de recharge pour les voitures électriques. Une aide financière incitera les copropriétaires à s'équiper en bornes de recharge, mais aussi en garages à vélo. »
Dans le local à poussette ou celui à poubelles ? 
 
Et pour faire « bon poids », un sondage Ifop pour le JDD, révèle opportunément qu’elle a bien raison : 54 % des personnes interrogées souhaitent une interdiction totale des véhicules diesel dans l'agglomération parisienne d'ici 2020.
Pas 2019 ni 2025, non pile-poil 2020, figurez-vous !
Par ailleurs, 75 % des sondés estiment qu'il faut encourager les propriétaires de voitures diesel à les abandonner en échange d'une réduction sur la carte de transport en commun ou sur un abonnement Autolib', et 47 % des personnes interrogées se déclarent elles-mêmes prêtes à abandonner la voiture diesel dans ces cas-là, un moteur aux si bonnes performances techniques, puisque le taux de compression est plus impressionnant que pour tous les autres…
 
Concernant la transformation du cœur de Paris en vaste ghetto zone réservée aux piétons, vélos et transports en commun, 64 % de sondés y sont favorables.
C’est dire si franchement, elle est dans « l’air du temps ».
Ça méritait d’être souligné : Ou quand la démagogie ne se cache même plus de l’être !
Ce n’est pas du « socialisme-éclairé », ni même « scientifique », ni non plus « utopique », encore moins « pragmatique » : C’est un « délire de com’ », à vocation dictatoriale.
 
Que je me félicitais encore ce week-end d’avoir pu « plier les gaules » quand il en était encore temps.

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