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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 janvier 2015

Ils étaient déchaînés !

Blagues entendues au réveillon… 
 
Un homme arrive au commissariat et demande à parler au cambrioleur arrêté qui s’est introduit chez lui la semaine précédente.
« – C’est impossible », dit le policier, « il est en garde à vue.
– Mais j’ai juste une petite chose à lui demander.
– N’insistez pas monsieur, c’est strictement interdit.
– Dommage, je voulais juste savoir comment il a fait pour rentrer dans notre maison à deux heures du matin sans réveiller ma femme.
Moi ça fait quinze ans que j’essaie… » 
 
Un représentant en aspirateur débarque chez une vieille dame qui habite une maison isolée au bout du village. Sans lui laisser placer un mot il lui dit :
« Madame, je vais vous faire une démonstration de la merveille des merveilles, le nouvel aspirateur « Cyclone », celui qui aspire tout en quelques secondes ! Où est votre poubelle ? Dans la cuisine ? Je m’en doutais ! Permettez-moi de la prendre… »
Il l’emporte dans le salon et vide tout le contenu par terre.
« – Ne vous inquiétez pas ! Car à présent, avec l’aspirateur « Cyclone », je vais faire disparaître totalement, jusqu’à la dernière parcelle, toutes ces ordures ! Je m’engage, chère madame, à manger devant vous tout ce qui resterait au sol !
– Attendez, monsieur », dit la vieille dame. « Je vais vous chercher du sel et du poivre, parce que je n’ai pas l’électricité. » 
 
Une femme appelle son mari et lui demande :
« – Chéri ?
– Ouais ! Qu'est-ce que tu me veux encore ?
– L'autre jour, j'ai acheté un livre et je ne le retrouve plus. Tu te souviens, il s'appelait "L'art de devenir centenaire". Qu'est-ce que tu en as fait ?
– Je l'ai jeté.
– Tu as du culot, je l'avais payé avec mon argent ! Pourquoi l'as-tu jeté ?
– Parce que j'ai vu que ta mère commençait à le lire. » 
 
Deux collègues terminent leur déjeuner à la cantine.
Le premier, après avoir coupé une poire en deux, aligne les pépins sur la table. Son collègue lui demande pourquoi il fait cela.
« Tu ne sais pas que les pépins mangés à part rendent plus intelligent ? » lui répond le premier.
« – Tiens donc ? Je peux essayer ?
– Ok ! Cela fait 4 euros le pépin. Comme il y en a huit, tu me dois 32 euros. »
Le type paie et mange les pépins. Soudain il lance :
« – Quand même, tu me prends pour un idiot ! Pour 32 euros j’aurais pu m’acheter plusieurs kilos de poires !
– Tu vois, les pépins font déjà de l’effet. » 
 
Après l’avoir examiné, le docteur dit à son patient alcoolique :
« – Monsieur, il faut absolument arrêter de boire. Dites-vous bien que chaque bouteille de whisky que vous absorbez raccourcit votre vie d’un mois.
– Dans ce cas docteur, sachez que l’homme que vous avez devant vous est mort depuis quinze ans… » 
 
Un vétérinaire qui ne se sent pas bien va chez son médecin.
Le médecin lui pose les questions de routine : Où avez-vous mal, depuis quand, etc…
Le vétérinaire l’interrompt :
« Dites donc, faites comme moi, je suis véto, je n’ai pas besoin de demander à mes patients où ils ont mal et depuis quand ?… Je trouve ce qu’ils ont tout seul ! Pourquoi pas vous ? »
Alors le médecin ne répond pas.
Il poursuit son examen en silence. 
Quand il a fini, il fait une ordonnance et la remet au vétérinaire en lui disant :
« Voilà, vous suivez le traitement pendant dix jours. S’il n’y a pas d’amélioration, c’est l’abattoir. » 
 
Fatigué par une journée de travail particulièrement pénible, Marcel regagne son domicile au volant de sa voiture et se fait traiter de cocu par un autre automobiliste.
Et ce mot le taraude pendant tout le trajet, au point qu’en arrivant chez lui il demande d’entrée à sa femme, hors de lui :
« Combien de fois m’as-tu trompé depuis qu’on est mariés ? Combien de fois ? Allez, réponds ! »
Elle le regarde abasourdie et lui lance :
« Tu ferais mieux d’aller prendre une douche froide… »
Il sort de la pièce en claquant la porte, puis se dit qu’après tout une bonne douche le détendra.
Et un quart d’heure plus tard, il revient calmé en disant : 
« Chérie, excuse-moi pour tout à l’heure j’étais énervé. Pour me faire pardonner, veux-tu que nous allions au cinéma et au restaurant ce soir ? »
Alors elle met le doigt sur la bouche en murmurant :
« Chut ! Ne me trouble pas. Je compte … » 
 
Marcel vend des merguez dans une petite camionnette garée quotidiennement à un endroit très passager, juste devant l’agence de la banque Rothschild à Monaco.
Un jour un de ses amis lui dit :
« – J’ai plus de sous pour finir le mois. Comme tes affaires marchent bien, j’ai pensé que tu pourrais peut-être me prêter cent euros ?
– Ma parole », fait Marcel, « je voudrais tellement te rendre ce petit service, mon ami ! Mais je ne peux pas ! J’ai un accord de partenariat avec Rothschild : Je ne prête pas d’argent et lui ne vend pas de merguez… » 
 
Une blonde est avec son copain Marcel dans une voiture garée à l’abri des regards indiscrets.
Ils s’embrassent tendrement et langoureusement quand le garçon lui propose :
« Tu ne veux pas aller sur la banquette arrière ? »
La blonde fait la moue et refuse l’invitation.
Marcel, courtois, ne brusque pas les choses.
Les deux amoureux repartent de plus belle dans des embrassades sans fin…
Au bout de quelque temps, le Marcel réitère sa proposition :
« Tu ne veux pas aller sur la banquette arrière ? »
La blonde ne semble décidément pas d’accord.
Marcel reste dubitatif, car tout se passe bien et il ne comprend pas les motifs de son refus.
Il lui demande :
« – Mais pourquoi ne veux-tu pas aller sur la banquette arrière ?
– Parce que je préfère rester avec toi ! » 
 
Deux amies de longue date discutent dans un café à Monaco.
L’une d’elle regarde avec envie son amie, qui arbore une nouvelle fourrure, un renard argenté de la plus belle facture.
Curieuse, elle lui demande :
« – Je n’arrive vraiment pas à comprendre comment tu fais pour convaincre ton mari de t’offrir ce genre de cadeau à tout bout de champ ?
– Oh, mais ce n’est pas lui qui me l’a offert…
– Ne me dis pas que tu as un amant ?
– Non, non ! Mais je me le suis offert toute seule.
– Ah… Mais comment tu as trouvé l’argent ?
– Oh, ça c’est facile. Un jour sur deux, je dis à mon mari que j’ai décidé de le quitter et de rentrer chez ma mère au Québec…
Et à chaque fois, il me donne l’argent du billet d’avion ! » 
 
Une diététicienne donne une conférence devant un auditoire bondé.
« Tous les aliments que nous mettons dans notre estomac peuvent presque tous nous tuer dans quelques années. La viande rouge, les boissons gazeuses qui usent les parois de l’estomac, les légumes et personne ne réalise les méfaits à long terme de consommer l’eau qui est pleine de germes.
Mais il y a une chose qui est encore plus terrible et dangereuse pour nous tous qui en avons ou en mangerons un jour. Il y a-t’il quelqu’un dans la salle qui pourrait me dire quel est l’aliment qui peut causer le plus de malheur et de souffrance après en avoir consommé ? »
Un vieux monsieur de 75 ans, assis dans la première rangée se lève et dit alors :
« Le gâteau de noce ! » 
 
Une femme regarde les résultats de l’euromillion et s’aperçoit qu’elle a les 5 bons numéros et les 2 bonnes étoiles. 
Bingo !!!
Folle de joie elle crie par la fenêtre à son mari qui est de l’autre côté de la route :
« Chéri grouille-toi, on a gagné à l’euromillion ! »
Marcel saute de joie, traverse la route, un camion passe et l’écrase.
Sa femme :
« Yeeeeesss !!! Quand la journée est bonne, elle est bonne !!! » 
 
Un mari est exaspéré :
« – En voilà assez ! J'en ai marre. On n'a jamais réussi à se mettre d'accord en 20 ans de mariage.
– 21 ans », répond sa femme doucement. 
 
Marcel et sa femme marchent dans la forêt et tombent soudainement sur un puits.
Marcel se penche au-dessus, fait un vœu et jette une pièce.
Sa femme se penche à son tour mais elle se penche trop, tombe au fond du puits et se noie. 
Le mari est abasourdi quelques secondes, puis il murmure :
« Ça alors !!! Ça marche vraiment ! » 
 
Un restaurateur a mis une petite annonce pour trouver un cuisinier.
Le premier candidat qui se présente se dépeint en ces termes :
« Je suis un sous-officier en retraite. J'ai cuisiné pendant vingt ans dans une cantine d'officiers et j'ai été blessé trois fois. »
Le restaurateur décide de lui faire faire un essai, puis il goûte le plat préparé par l'ancien cuisinier du mess.
Il conclut avec une mine dégoûtée :
« Vous avez de la chance qu'ils vous aient seulement blessé ! » 
 
C'est un vieux paysan, au marché, qui essaie de vendre sa vache 100 euros.
La vache est une vielle bête avec la peau sur les os, qu'il vend parce qu'il ne parvient plus à la nourrir.
Évidemment, aucun client ne se manifeste.
Marcel observe puis s'approche...
« Tu n'as rien compris à la vente, Pépé, laisse-moi faire. Si je te la vends, on fait 50 % pour moi et 50 % pour toi. »
Résigné, le paysan accepte.
Et Marcel commence la vente : 
« Voici la toute dernière race de bovin, enfin mise à votre disposition. »
La foule commence à s'avancer, se masser.
« Eh oui, mesdames et messieurs, cette vache est le dernier cri de la génétique africaine. »
Pour cette curiosité, les enchères commencent à monter : 100 euros, 200, 300, 500 euros.
« Et plus fort, elle a été inséminée artificiellement et elle fera bientôt deux veaux. »
Et les enchères continuent de montent 550, 600, 1.000 euros.
Marcel continue :
« Avec les veaux, une vache et un taureau, plus de problème de descendance. » 
Et les enchères s'enflamment : 1.500 euros, 2.000 euros !
Alors à ce moment-là, le paysan va voir Marcel et lui dit :
« – Je ne vends plus ma vache !
– Et pourquoi, regarde tout l'argent qu'on va gagner, Pépé…
– Oui, mais elle vaut si cher que je préfère la garder ! » 
 
Une mère sort avec son tout jeune fils et rencontre en chemin une de ses amies fort jolie.
« Marcel », demande la mère, « embrasse la dame.
– Non maman !
– Enfin Marcel, obéis !
– Non maman ! 
– Mais ne fais pas ta mauvaise tête ! Pourquoi ne veux-tu pas embrasser la dame ?
– Parce que papa a essayé hier et il a reçu une paire de gifles ! » 
 
Un vieil avare va mourir seul, sans famille et sans ami.
Peu avant sa mort, il reçoit son avocat, son docteur et son curé pour leur confier à chacun 50.000 € en espèces avec pour mission d'enterrer cet argent avec lui le jour de ses funérailles.
Peu après, il meurt.
L'enterrement a lieu quelques jours plus tard.
Après les funérailles, le curé, le docteur et l'avocat discutent :
Le curé confie que son église ayant un besoin urgent d'un nouveau clocher, il a gardé 20.000 € pour sa réfection.
Le docteur, faisant des recherches sur le cancer, confesse que lui aussi a gardé de l'argent : 30.000 € pour continuer ses recherches.
L'avocat les blâme tous les deux sévèrement : « Comment pouvez-vous être si malhonnêtes ? Moi, j'ai placé dans le cercueil un chèque du montant total de ce qu'il m'avait confié. » 
 
Marcel rentre chez lui le soir.
Son père lui demande :
« – Ce n'est pas aujourd'hui que l'on devait vous donner vos carnets ?
– Si, mais j’ai prêté le mien à Jérôme pour qu'il fasse peur à son père. » 
 
Déchaînés, vous avais-je prévenus…
Et encore, j'ai laissé tomber les blagues belges et sur les blondes !
Bon début d’année pour votre premier week-end à toutes et à tous ! 
 
 
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