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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 4 février 2015

Journée « pause »…

Envie de rien, en fait ! 
 
Faut dire qu’aujourd’hui je rajoute une bougie à mon compteur personnel et que ça aurait tendance à « m’escagasser » parce que ça va finir par faire un vrai feu de forêt.
 
Et puis hier, je me suis pris un râteau phénoménal à l’occasion d’un RDV d’affaire complétement raté, la faute à ne pas l’avoir suffisamment préparé, et là, ça me fait caguer pour « mon boss-à-moi » : C’est qu’il y tenait à ce projet et qu’il me faisait confiance… à tort !
Comme quoi, en vieillissant, on en devient plus kon que nature !
Déjà que je suis né avec un lourd handicap.
Mon « Papa-à-moi » (celui qui me fait encore frémir quand je l’évoque), il me le disait à chaque occasion : À ce jeu-là, il n’en manquait pas une, d’occasion…
C’est dire l’humeur à laquelle je m’attends dans les heures qui viennent au bureau : Une affaire qui va me pourrir le moral pour la journée.
Sauf si je parviens à engueuler le client – comme il le mérite – et à remettre ce RDV à la semaine prochaine : On verra.
Sans ça, je rentre à Portoferraio plus tôt que prévu à faire la fête à ma bouteille de vodka-glacée… Celle du congélateur.
 
Et puis il y a l’actualité (même pas de quoi en faire un « billet » avec les embrouilles de l'UMP et les consignes de vote de dimanche prochain) : Les marchés américains ont du mal à retrouver leurs niveaux du début d’année, pourtant pas si lointain. Les européens, sauf la Suisse, engrangent des progressions et les monnaies dévissent lentement (même la devise helvétique se « réaligne » lentement).
On est parti, sur le Cac-40 pour faire un « rallye » haussier, que certain voient déjà l’indice porté jusqu’à 5.100/5.400 voire plus dans les mois qui viennent !
Pendant ce temps-là, les grecs discutent et négocient : Parions qu’ils vont arriver à ce sortir du guêpier dans lesquels leurs prédécesseurs les ont fourrés.
D’autant qu’ils en ont les moyens (et même le soutien de « Baraque-Au-bas-mât » : Incroyable, celui-là ! Il ose tout, même de donner des leçons hors ses frontières, et « c’est d’ailleurs comme ça qu’on les reconnaît… ») 
 
En revanche, question « Démocratie de caniveau », je ne digère toujours pas les dires de nos sénateurs du week-end (« qui osent tout », eux aussi !).
Le questeur (le sénateur chargé des finances du Sénat) « Nanar Sot-J’ai » a osé se féliciter que le budget de la chambre haute ne soit pas détaillé : « Tant mieux si le budget détaillé n'est pas publié, je suis content », a-t’il expliqué sans gêne à France 3 l’autre jour.
Il faut dire que le « détail » de ces coûts de fonctionnement est des plus opaques, et au nom de quoi, le savez-vous ?
Au nom du sacro-saint principe de la séparation des pouvoirs !
Je te jure…
Même pas de quoi en faire un « post », là aussi, même si on devrait tous s’insurger !
 
« J'estime que ce n'est pas la peine que les gens regardent des choses qu'ils vont être incapables de commenter, ils auront certainement des réflexions idiotes. Je pense que tous les gens ne sont pas capables de comprendre les règles d'un budget ».
Si, si : L’électeur de base, là, il est déclaré officiellement kon, lui aussi !
C’est sûr ! 
 
A-t’il oublié les termes de la Déclaration des droits de l’Homme attaché à la Constitution ?
« Art. 14 : Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée. »
 
Tu sais quoi, il y a des jours où il vaudrait mieux ne pas se lever.
C’est aujourd’hui en ce qui me concerne, me semble-t-il…
 
Alors que les « Gaulois » seraient favorables à une réforme en profondeur du Sénat (57 % selon un sondage publié par le JDD de dimanche dernier) le gouvernement n’en veut pas. 
Dans « Nos très chers sénateurs », un documentaire diffusé mercredi 28 janvier sur France 3, on en a appris de belles (qu’on savait déjà, mais c’est bien de le rappeler de temps en temps) sur le train de vie de cette institution qui vous coûte chaque année la bagatelle de 350 millions d'euros.
Pas qu’une bagatelle, finalement.
Les chiffres cités donnent le tournis : Le salaire moyen des 1.300 fonctionnaires attachés à l’institution atteint 7.300 euros brut par mois.
Des super-cadors, eux !
Au Sénat, une dactylo est payée 5.000 euros brut mensuels, un agent de base ou un jardinier finit à 6.500 euros brut mensuel.
Des salaires sans commune mesure avec n’importe qui d’autres assumant des tâches comparables, loin, très loin de la rémunération médiane de ces salauds de « sans-dents » qui ne sont bons qu’à payer de l’impôt…
Et encore : C’est presqu’une faveur d’une générosité incommensurable qu’il y en ait encore à qui ça reste permis !
Plus de 70 milliards/an d’impôts et de taxes diverses de plus depuis 3 ans…
 
Quant aux sénateurs eux-mêmes, non contents de bénéficier de 40 allers/retours en avion offerts par an et par élu, l'accès à une carte illimitée de la SNCF en première classe, un forfait téléphonique illimité, des nuits d'hôtel en « veux-tu en voilà », ils touchent en plus une indemnité mensuelle de 5.500 euros net, une autre enveloppe de 6.000 euros non imposable pour les « défrayer », et 7.500 euros pour payer des assistants…
Soit, au total, 23.500 euros par mois chacun !
Pour des actes de présence dans l’hémicycle du Palais Médicis pour le moins « aléatoires » et « décousus » voire… « en pointillé ».
 
Et pour ceux qui n'auraient pas réussi à mettre de côté pour leurs vieux jours (genre acheter les locaux de leur permanence pour les remettre sur le marché des locations plus tard), il reste la pension de retraite, particulièrement généreuse : Minimum 2.050 euros à 62 ans après un seul mandat !
D'ailleurs, la pension mensuelle moyenne nette de retraite d'un sénateur était au 1er février 2014 d'environ 4.342 euros contre 2.700 euros pour un député.
Parfois à peine plus que le minimum-vieillesse pour la « piétaille »…
 
De toute façon, on ne cause même pas de son « pactole » au questeur, mis en réserve pour affronter les « coups durs » au fil des ans…
Ça, c’est comme mon syndic d’antan où ma copropriété avait vendu la loge de la concierge pour payer le ravalement imposé par les services de la Kapitale.
En attendant l’injonction de faire à la « Saint-Glinglin », elle avait mis le tout sur un CEL. Bé le mek, le syndic, il n’a même pas été foutu de nous dire le solde disponible, ni même de faire mention de ma « créance » (exonérée) au moment de la « réalisation de ma plus-value » … légalement exonérée !
Qu’il faut que je l’assigne en faillite et mécomptes pour retrouver de quoi acheter ma bouteille de vodka-glacée jusqu’à la fin de mes jours !
C’est en cours…
 
Et ils sont plus de 300 à en défendre leur fromage, là où aux USA ils ne sont que 102, deux par État fédérés.
Dans quel monde vivons-nous au juste ?
Ce n’est pas que je sois « jaloux », mais il y a des moments où la coupe est pleine : Tout le monde doit faire des efforts ou la « création de richesse » des citoyens-honnêtes se fera ailleurs.
Et au moins rendre des comptes : C’est marqué comme ça dans le Code civil depuis … 1804, même pour les mandats « à titre gratuit ».
Alors les ceux-ce à « titre onéreux », c’est encore plus encadré, mais même pas pour les sénateurs !
 
Partir, c’est déjà mon cas, quoiqu’hier j’aie vraiment été nul que je ne sais plus où me cacher de honte !
Alors, on fait la « pause » : Je n’ai plus envie de rien…
C’est comme ça tant que ça durera.
 
Bonne journée quand même à toutes et tous !
 
I3

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