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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 7 février 2015

Très déçu, mais pas réellement surpris

La détection des ondes du Big Bang n'a pas eu lieu 
 
C'est la fin d'une intrigue qui aura tenu en haleine chercheurs et curieux pendant presque un an.
En mars 2014, une nouvelle scientifique stupéfiante faisait la une de presque tous les journaux : Les chercheurs de l'expérience « BICEP2 » annonçaient avoir détecté, pour la première fois, l'empreinte des ondes gravitationnelles primordiales prédites par Einstein, autrement dit la trace des premières secousses qui auraient agité notre univers moins d'une seconde après le Big Bang.
Un signal qu'ils affirmaient avoir repéré en étudiant le fond diffus cosmologique ou « rayonnement fossile » de l'Univers, c'est-à-dire la toute première lueur émise dans le cosmos 380.000 ans après le Big Bang.
Avant cet âge avancé, l’univers était totalement opaque…
 
En effet, les ondes gravitationnelles primordiales sont supposées avoir laissé leur empreinte dans le rayonnement fossile de l'Univers, sous forme d'une orientation privilégiée des particules de lumière (photons) qui le composent. 
 
On rappelle à cette occasion que le photon est un concept pour expliquer les interactions entre les rayonnements électromagnétiques et la matière.
Comme pour les autres particules élémentaires, il a une dualité onde-particule.
On ne peut parler de photon en tant que particule qu’au moment de l’interaction. En dehors de toute interaction, on ne sait pas – et on ne peut pas savoir – quelle « forme » a ce rayonnement.
On peut imaginer que le photon serait une concentration qui ne se formerait qu’au moment de l’interaction, puis s’étalerait, et se reformerait au moment d’une autre interaction.
On ne peut donc pas parler de « localisation » ni de « trajectoire » du photon.
Il est sans masse, mais possède une quantité de mouvement.
Les expériences sont compatibles avec une masse inférieure à ×10-54 kilogramme, soit 5×10-19 eV/c2.
Rien et malgré tout, il nous éclaire.
 
Pourtant, il semble exister un paradoxe concernant cette notion à l'égard du photon. Ainsi, selon l'équation E = , où h est la constante de Planck et v la fréquence du rayon électromagnétique qui permet de calculer l'énergie de toute particule élémentaire, et selon l'équivalence entre l'énergie et la masse donnée par l'équation E = mc², on pourrait conclure a priori que le photon présente bien une masse non nulle.
Selon cette idée, le photon ultraviolet étant plus énergétique que celui de la lumière visible il aurait ainsi une masse plus grande.
Mais l'équation E = mc² ne s'applique que dans un référentiel où la particule est au repos.
Comme le photon a la vitesse c (la vitesse de la lumière dans le vide) dans tous les référentiels, il faut utiliser la forme plus générale de cette équation : E² = c²p² + m²c4, qui prend en compte la quantité de mouvement p.
Cette équation admet une masse invariable nulle m = 0 à condition que E et p soient reliées par E = cp, ce qui est bien le cas du photon ou de toute particule sans masse.
En notant que le photon est théoriquement stable, avec une limite inférieure de sa durée de vie, déterminée à partir de la limite supérieure de sa masse, de 1018 ans.
Ceci étant, le photon émis aurait une trajectoire rectiligne dans sa course folle à la vitesse de la lumière, mais qu’elle est influencée par la proximité d’une masse non-nulle : C’est l’effet des lentilles gravitationnelles remarqué jusqu’à proximité de notre étoile, le Soleil.
La lumière doit donc pouvoir garder les traces du Big bang originel.
 
Pour déceler ces traces, les chercheurs s'étaient donc intéressés à la propriété de la lumière lointaine qui renseigne sur une éventuelle orientation de ces photons : La polarisation.
Le hic, c'est que le type de polarisation censée témoigner des ondes gravitationnelles primordiales peut également être le produit d'autres choses et, en particulier, de la poussière présente dans notre galaxie, la Voie lactée.
Ainsi, pour tenter de détecter les ondes gravitationnelles primordiales depuis la Terre, l'équipe de « BICEP2 » avait choisi de se concentrer sur une toute petite portion de ciel réputée moins dense en poussière galactique.
Mais, cela n'aura pas suffi pour séparer le bon grain de l'ivraie…
 
À mesure que l'équipe du satellite Planck a livré ses propres données, plus précises et plus exhaustives, sur la polarisation du rayonnement fossile de l'Univers, les résultats de l'expérience « BICEP2 » se sont révélés de moins en moins vraisemblables.
Et la sentence a fini par tomber : Non, les ondes gravitationnelles primordiales n'ont pas été détectées par « BICEP2 », pas plus que par Planck.
Elles ne l'ont jamais été ! 
 
Le signal repéré par « BICEP2 » peut tout simplement s'expliquer par les effets de la poussière galactique de notre Voie lactée, associés à une déformation du signal lié à des phénomènes gravitationnels rencontrés par la lumière dans son voyage jusqu'à nous.
Les deux équipes, celle de « BICEP2 » et celle de Planck, l'expliquent sans ambiguïté dans un article à paraître prochainement dans la revue spécialisée Physical Review Letter. 
 
L'heure est donc à la déception, même si cette analyse comparée aura permis aux chercheurs d'établir une limite supérieure pertinente à l'intensité des ondes gravitationnelles primordiales.
Car la traque va continuer.
La détection des ondes gravitationnelles primordiales reste l'un des objectifs les plus importants en cosmologie.
Pour lire encore plus loin dans le passé de notre Univers…
 
Personnellement, je ne suis pas vraiment surpris de cet échec.
Depuis le temps qu’on traque le graviton, particule support supposée associée à l’onde gravitationnelle, qui se manifesterait comme le photon quand il heurte de la matière, alors même que nous sommes baignés à chaque instant dans le champ universel gravitationnel, il va falloir que certains se rendent compte des réalités et cessent de claquer du pognon retiré impérativement et unilatéralement aux « sans dents ». 
 
Je m’explique : Vous vous lâchez les fesses et vous choirez votre postérieur sur une chaise capable de vous retenir.
Il en est de même pour notre Lune qui « tombe » sur la Terre tous les jours, si elle n’était pas animée d’une vitesse suffisante pour contrarier cette chute par l’effet de la force centrifuge.
De même pour notre planète dans sa course « au soleil », toutes les autres planètes et même toutes les étoiles et toutes les galaxies.
Quoique ces dernières ont tendance à se regrouper entre-elles…
La gravitation n’est pas un mystère et c’est même une constante cosmologique sans laquelle Rosetta aurait loupé la comète « Tchouki ».
 
C’est même un « champ » continuel et éternel tant que les masses existeront.
Alors si on ne détecte pas le graviton, c’est qu’il n’existe peut-être pas et nos chercheurs devraient inventer une physique des champs sans particule associée.
D’ailleurs, on a un autre exemple de cette réalité sous la main que sont les champs magnétiques (qu’on utilise tous les jours jusque dans votre imprimante avec « l’électromagnétisme » qu’il ne faut pas confondre ni assimiler) : On ne sait toujours pas ce qu’est un « magnéton ».
On a juste et au mieux que des dipôles…
À moins que les champs gravitationnels ne soient rien d’autre que le fameux « éther » des anciens, qui sont modifiés par les masses en mouvement des corps célestes.
Autrement dit, hors de la physique expérimentale, pour être « ailleurs », d’une autre nature, inconnue. 
 
Pour l’heure, je ne sais pas, mais j’aurai été très surpris qu’on photographie le Big bang sur les variations de l’empreinte primordiale à travers les déformations fossiles.
Et c’est là qu’il me semble qu’il faille dépasser les théories actuellement étayées.
Parce que pour moi, la vraie question est de savoir si l’ensemble de ces mécanismes existaient ou non avant l’apparition de l’univers à travers son Big bang de naissance.
Autrement dit, pour faire court, le nombre Pi aurait-il existé avec son incroyable précision si l’univers n’existait pas ? 
 
Mais bon, ce que j’en dis, c’est qu’il y a encore des gens qui n’ont pas accès à l’eau potable, qui ne font même pas un repas par jour, voire qui meurent de froid jusque dans nos rues…
Autrement dit aussi, ça ou rien, mon opinion (qui ne vaut qu’en tant que telle, pas plus qu’une autre) n’a strictement aucune importance, d’autant que je ne suis pas « qualifié » pour en causer : Direction, la poubelle !
Il n’empêche, ça valait la peine de faire « débauche » jusque sur ce « piti-blog » pour vanter la fatuité de quelques scientifiques éminents à la recherche d’un truc qui n’existe sans doute pas…
La misère humaine, si, elle existe, elle !
 
Bonne journée à toutes et tous quand même.
 
I3

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