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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 20 mai 2015

Ils me font « frémir ».

Nouvelle cible du « Menhir » : « Phi-phi-lit-pot » !

Je ne sais même plus ce qu’il faut en penser…
On aurait pu croire à une stratégie du « confortement » : Depuis le temps qu’ils nous racontent que le « Front » a changé, qu’il en devient « fréquentable » et grimpe dans les sondages jusqu’au sommet du pouvoir de la république, les crachats de venin de son « chef-historique » troublent les esprits sains.
On en a déjà parlé jusqu’ici, souvenez-vous !
Soit c’est de la carabistouille-pure, le front reste ce qu’il est, une sorte de Sida politique et il devrait mourir à la dernière marche, épuisé par lui-même ;
Soit ils se foutent vraiment sur la gueule en vue de clore l’épisode du putsch de la fille sur l’héritage paternel.
Et, là, j’y reviens, parce qu’après le « malaise cardiaque » du père, on aurait pu affirmer qu’il acceptait, au moins inconsciemment sa défaite.
 
Ce que le bon sens lui commanderait de faire : « Place aux jeunes » et chez lui, il y a deux générations qui le poussent.
Vers quoi ?
La sortie ou un renouveau ?
 
En créant une association, le borgne de « San-Cloud » veut attiser la rébellion « anti-Phi-phi-lit-pot » pour mieux déstabiliser sa fille.
Épargner la fille pour mieux accabler son inspirateur, dénoncer l’évolution programmatique du parti pour prôner un retour aux sources du frontisme, la stratégie s’éclaire de jour en jour.
Et pourrait commencer à inquiéter durablement « Marinella-tchi-tchi ».
 
La patronne du FN mesure actuellement les dégâts que la contre-offensive de son père produit en interne, tout en faisant face aux procédures judiciaires sur ses rapines, à son tour : Qu’elle s’en réjouit, même !
Mais l’ambiance se fait plus pesante au sein « du Carré », le nouveau siège du parti à Nanterre, car en vieux roublard, son père a choisi de cibler la principale faille de sa fille : « Flo-flo Phi-phi-lit-pot ».
Et de quelle façon !
Qui devrait d’ailleurs plaire à la vieille-garde des aigris…
 
L’influence croissante et l’omniprésence médiatique du jeune vice-président du FN agacent de longue date au sein du parti. Au congrès de Lyon, en novembre dernier, il n’était d’ailleurs arrivé qu’en quatrième position lors de l’élection des membres du comité central, loin derrière « La Petite-Marion », le concubin de « Marinella-tchi-tchi » en la personne de « Luis-Aïe-Lio » (non je ne ferai pas le « Hiel-l’eau » attendu) et le maire d’Hénin-Beaumont, « Stive-Brille-au-bois ».
Un score décevant qui avait été un premier signal d’alarme pour l’impétrant.
 
Depuis, l’échec relatif du Front national au second tour des élections départementales a grossi les rangs de ses détracteurs.
Beaucoup le rendent responsable de l’incapacité du parti à conquérir la présidence du département de l’Aisne et, surtout, celle du Vaucluse.
C’est vécu ainsi en « interne », ce n’est pas forcément vrai vu d’Italie, quand on connaît un peu le système électoral de « mon-Pays » (celui que j’aime tant…) et qui vient d’être adopté chez mes « hébergeurs » de la péninsule !
 
Au deuxième tour, les reports des électeurs de droite sur les candidats FN ont en effet été « calamiteux » selon l’expression d‘un dirigeant FN. Il en impute la faute à un programme économique et social étatiste « dépensier et délirant » (sortie de l’euro, retour à la retraite à 60 ans, hausse des pensions et des salaires des fonctionnaires, etc., comme quoi, y’en a aussi qui sont lucides en interne…) qui aurait inquiété l’électorat de droite, notamment celui « âgé ».
Mais, aurait dû encourager les électeurs du « Front de Gôche », les « Frondeurs », et même quelques autres qui ne le disent pas (et qui pourtant restent constants pour une alternance qu’ils ont logiquement renoncé à conduire pour s’effacer devant le front « anti-UMPS »).
La tragédie du FN, finalement, c’est qu’il est à des années-lumière de la « droâte-Républicaine » et qu’ils ne veulent pas le reconnaître…
 
Alors, c’est le concepteur et principal porte-voix de ce programme, qui était allé jusqu’à applaudir la victoire de « Sissi-riz-ha » en Grèce (pas vraiment des meks de « l’ultra-droâte » locale qui s’est plantée à cette époque-là), qui est donc devenu une cible en interne. Il réplique en exhibant à profusion ces courbes de sondage qui illustrent la « dynamique positive » du FN depuis 2011.
J’ai fait la même analyse pour décider de mon exil anticipé.
Surtout, protégé par « Marinella-tchi-tchi » il demeurait jusqu'ici inatteignable.
C’est à cette muraille que le « paternel » s’attaque finalement.
 
En lançant l’offensive contre le vice-président du parti, qu’il juge responsable de son éviction, le fondateur du FN espère que d’autres bouches s’ouvriront au sein du parti pour s’inquiéter du poids grandissant du jeune énarque.
Et contester sa légitimité et sa stratégie.
Il fait même d’une pierre deux coups, ce qui est malin de sa part : Il cible celui qu’il considère comme le mauvais génie de sa fille… pour mieux réduire cette dernière à l’état de marionnette. « Marine n’arrivera jamais au pouvoir, elle n’a aucune chance,  elle n’est pas compétente… », a-t-il glissé à l’un de ses récents visiteurs.
Ce qui reste à voir !
 
Enfin, parce que ce n’est pas à bientôt 87 ans qu’il va abandonner ses éternelles phobies, il s’attaque de façon particulièrement violente à « Phi-phi-lit-pot » en multipliant les saillies homophobes.
Grotesque, même s’il peut faire mouche !
Il cible ainsi les « mignons » qui le secondent et fustige « les homosexuels qui chassent en meute » en espérant attiser parmi les militants cette homophobie qui continue de ronger le parti d’extrême droite comme l’avaient, par exemple, illustré les pages Facebook de plusieurs dizaines de candidats frontistes dévoilées par l’Obs à la veille des élections départementales.
Me fait rire, « pépère » : Comme si les hétéros ne chassaient pas non plus en meute… jusqu’au meurtre du père, d’ailleurs.
 
Dans le même temps, il joue sur un autre ressort qui parle, d’ordinaire, aux cadres de l’extrême droite : Le « complotisme ».
Il pointe le pedigree « chevènementiste » (un gôchiste) de « Phi-phi-lit-pot » et accuse « l'énarque » de s’appuyer sur un clan, et même sur une communauté, pour prendre le contrôle du parti et en changer la nature.
« Phi-phi-lit-pot », ni plus ni moins qu’un « agent du système », introduit au sein du FN pour le pervertir de l’intérieur ?
C’est en substance le même procès qu’il avait fait, avec succès, à « Maigre-est » lors de la scission du FN en 1998.
Comme quoi, les réflexes pavloviens ont la vie dure !
Sa vie durant, le vieux leader d’extrême droite n’a rien apprécié autant que de jouer le rôle de force de nuisance, de « grand perturbateur » de la classe politique, comme il disait jadis. Il l’endosse de nouveau avec une évidente jouissance.
Ira-t-il jusqu’au bout et l’autodafé de sa propre créature ?
Tel Chronos dévorant ses enfants…
 
En annonçant la création d'une « association des amis de Jean-Marie Le Pen », le fondateur du FN entend d’abord et manifestement tester ce qui lui reste de popularité en interne avant le congrès programmé d’ici trois mois pour le déposséder de son titre de président d’honneur.
Et il ne se fait guère d’illusion : « Pour l’instant, je n’ai pas vu grand monde, ça ne se bouscule pas », soupire-t-il, lassé, auprès d’un de ses amis venu dîner avec lui la semaine dépassée en rapporte la « presse aux ordres ».
Il a vu revenir vers lui quelques-uns de ses vieux fidèles, comme l’ancien para « Ro-Jet Hollande-geindre » ou l’ex-député européen « Martine-aise » qui avaient été écartés ces dernières années pour faire place nette à sa fille.
Mais il a résisté à ceux qui l’incitaient à se porter de nouveau candidat aux régionales en Paca maintenant que sa petite-fille, « La petite-Marion », hésite à son tour à se lancer.
C’est qu’il est aussi fatigué et n’a pas l’intention de mener une nouvelle campagne électorale.
Quarante-trois ans après avoir inauguré une PME familiale devenue prospère, il entend bien rassembler ses dernières forces pour régler ses comptes une fois pour toutes.
Et vider l’héritage plutôt que de le laisser en de mauvaises mains.
Là, j'aime bien la perspective, figurez-vous : Je pourrais enfin rentrer au pays qui est le mien.
 
Pour « Marinella-tchi-tchi », « cette tentative de division n’a aucune chance de prospérer », réagit-elle, qui moque un nouveau « fan-club regroupant tous les ramassis, les parias et les infréquentables qui ont été exclus du Front ».
C’est vrai que paradoxalement, s’ils ceux-là y vont tous, ça éclaircira le reste des rangs des militants dans ce qu'ils restent de « présentable ».
Elle assure qu’elle est assez forte pour supporter le « dilemme ».
« Pourquoi devrais-je me comporter en fille, quand il ne se comporte plus en père ? », interroge-t-elle. « A ce stade, c'était lui ou moi », lâche-t-elle plus loin.
« La violence, les coups durs et l'exposition j'y étais préparée. Tout simplement parce que j'ai eu une formation continue à ses côtés pendant des années », explique la présidente du FN.
Et de première classe, il faut rajouter : De quoi former le caractère, justement.
 
Elle en dit aujourd’hui être soulagée de l’exclusion de son père. « Avant, j'avais physiquement la boule au ventre, surtout quand j'apprenais que Jean-Marie Le Pen allait faire une interview, » raconte-t-elle. « Et bien sûr chaque vendredi avec la parution de son blog vidéo. Ces derniers temps, voyant la dérive radicale qu'il était en train de prendre, c'était même devenu une angoisse. »
Comme quoi, elle reste humaine, avec même un cœur, veut-on nous faire croire !
D’où la convocation d’un congrès extraordinaire du FN début juillet afin de remettre un peu d'ordre dans les rangs du FN. Dans ce congrès, le père devrait perdre son titre de président d’honneur du parti. 
Le Front national a le « devoir » d'écarter « l'obstacle considérable » qu’est devenu son fondateur estime de son côté « Val-les-rangs-de-Saint-Juste », le trésorier du FN et tête de liste pour les régionales en Ile-de-France.
« M. Le Pen, en tout cas son expression publique, représente un obstacle considérable quant à la bonne marche du Front national. Mme Le Pen est donnée par différents sondages actuels comme en tête dans tous cas de figure au premier tour de la présidentielle et comme pouvant éventuellement battre François Hollande au deuxième tour. Dans une telle configuration, nous avons le devoir d'écarter les obstacles, si nous pouvons le faire, qui pourraient surgir sur cette route ».
« Il est certain que, humainement, c'est extrêmement difficile », a-t-il ajouté.
 
Les propos réitérés de Président d’honneur sur les chambres à gaz, « détail de l'histoire » de la Seconde Guerre mondiale, peuvent « parfaitement être ressentis comme antisémites », a-t-il dit.
« Je ne vais pas me réfugier derrière mon petit doigt, mais j'ai toujours été l'avocat de Jean-Marie Le Pen. Dans ces conditions, j'étais tenu à un certain devoir de réserve. J'ai pris ma retraite d'avocat. (…) Les juifs ont des martyrs. Nous, les catholiques, avons eu des martyrs aussi et nous savons qu'il ne faut pas y toucher. Les martyrs des juifs, il ne faut pas y toucher. Ce n'est même pas une question politique, c'est une simple question humaine », a-t-il dit.
Les nôtres, on les sanctifie.
Ceux de Daesh filent directement dans les bras de 70 , jeunes ou vieilles pucelles…
 
Pour autant, « je sais que Jean-Marie Le Pen n'est pas antisémite », a-t-il assuré.
Ce qui de mon point de vue personnel reste à voir : Mais je suis assez mal placé pour en juger et être totalement goy et suspecté de parti-pris.
Je ne vois pas tous les antisémitismes qui s’afficheraient sur ma macula…
« Comme nous tous presque au Front national, l'origine des gens, la couleur de peau, leur religion, leur orientation sexuelle aussi, il s'en fiche complètement. Il faut s'en ficher complètement, nous nous en fichons complètement. »
Il n’a pas tort s’il veut « rassembler largement ».
« C'est ce qui rend d'autant plus pénible cette affaire, et d'autant plus paradoxale. »
Que le paradoxe, ai-je fais remarquer à mon contradicteur du week-end dernier, ça reste quand même de vouloir mener, et de l’annoncer, une politique « au faciès » particulièrement brutale avec des contours pour l’heure encore totalement flous.
On renvoie les « étrangers » chez eux ?
Ok ! Mais lesquels ? Les Irlandais, les polonais, les américains, les ukrainiens, les grecs, ou seulement les maghrébins ?
Et pourquoi seulement ceux-là, s’il vous plaît ?
Pourquoi pas nos chinois, nos allemands, nos belges et les Rom tant qu’on y est, ou seulement les pôvres et les « sans-dents » ?
Et on fait quoi de leurs gosses nés « Gaulois » ?
Et on se refait une « affaire Léonarda » tous les jours ouvrables devant chaque école ?
 
Des paradoxes qui plaisent à leurs électeurs acéphales, qui ont du mal à dépasser le bout de leur nez, il faut dire : Ils aiment les solutions simples et radicales, tant qu’à faire.
D’où d’ailleurs les derniers succès électoraux du front.
Notez qu’ils n’avaient aussi qu’à aller à l’ékole quand ils ont été jeunes et choisir des enseignants à la hauteur de la tâche en apprenant un peu des « Valeurs de la République » que nous ont léguées « les anciens ».
 
Alors, effectivement, soit « Marinella-tchi-tchi » parvient à « tuer le père » et on entre dans une nouvelle ère : Je confirme, le « timing » est presque parfait pour 2017.
En plus, elle en a les moyens : Son père semble au moins aussi mouillé que le reste de la classe politique dans « les affaires » de l’époque de « Mythe-errant » dont on parlait encore hier comme d’un vieux souvenir qui ne veut pas mourir…
Et pour l’heure, je rappelle que tout indique que ce sont quelques officiers supérieurs, un ou deux « quarterons » qui ont ces atouts-là en main et en jouent déjà parfaitement pour obtenir des budgets et autres petits-avantages liés à leur fonction.
Soit elle échoue et ne résiste pas au putsch des équipes de son père, et là, « Bling-bling » aura le chemin ouvert pour aller bouter « François III », sa Majesté « fraise des bois » hors du pédalo.
Je ne vous raconte même pas les conséquences : Je suis pratiquement sûr d’être le seul à me rappeler encore où il nous a menés.
 
En bref, dans les deux cas, c’est l’entrée de plain-pied dans l’aventure…
C’est vous dire s’il y a de quoi en frémir, finalement !

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