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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 5 juin 2015

Ah, Venise !

Le grand canal, le palais des doges et … Luigi !

Son père est à l'hôpital et reçoit la visite de tous les siens, amis y compris.
À tous, il raconte qu'il a le sida et qu'il va mourir de cette maladie terrible.
Son fils, Luigi est près de lui à l'hôpital, ne le quitte pas une seconde, mais lorsqu'il se trouve enfin seul avec son père, il l'interroge étonné :
« – Papa, pourquoi dis-tu à tout le monde que tu vas mourir du sida alors que tu sais très bien que c'est le cancer que tu as ?
– Laisse-moi faire, mon fils. Une fois mort, personne n'osera baiser ta mère ! »
 
Un couple, composé d’un nain une personne de petite-taille (PPT) et une femme vénitienne, vont assister à une représentation à « La Fenice » (l’opéra local).
Au moment de payer leurs entrées la guichetière leur demande :
« – C'est pour « la Belle et la Bête » ?
– Non ! C'est pour ma femme et moi ! »
 
C'est un couple de vieux agriculteurs Piémontais. Un beau jour, ils gagnent au Loto vénitien et ils sont invités à venir toucher leur chèque dans la cité des Doges.
Pris en charge dès le début de leur périple jusqu’au Danieli, ils arrivent en gondole.
Et là, c'est l'esclandre. Le ton monte très vite.
Madame hurle au groom :
« – Il n'est pas question que l'on passe la nuit dans une chambre aussi petite ! Qu'il n'y ait pas de salle de bains, passe encore, mais pas de fenêtre, pas de lit, ça c'est trop !
– Mais madame…
– Il n'y a pas de « Mais madame » ! Vous ne pouvez pas nous traiter comme de la merde simplement parce qu'on débarque de la campagne et qu’on n’est jamais allé à l'hôtel. Je vais me plaindre au directeur. Où est-il ? »
Alors le groom lui dit :
« Mais madame, ce n'est pas votre chambre, c'est l'ascenseur. »
 
Un couple de vénitien se présente dans une école de langues.
« – Nous voudrions apprendre le cambodgien avec la méthode accélérée…
– Écoutez, » dit le directeur, « pour l'anglais, le français, l'espagnol, pas de problème. Mais le cambodgien c'est une langue très difficile, surtout pour des Européens. Pourquoi voulez-vous l'apprendre en accéléré ?
– Parce qu'on vient d'adopter un petit Cambodgien d'un an, » dit le mari.
« Alors dans quelques mois, quand il va commencer à parler, on voudrait comprendre ce qu'il dira… » 
 
Une vénitienne dit à son mari qu'elle veut avoir un enfant, mais le mari hésite beaucoup.
Insistant sa femme lui dit :
« – Tu sais, chéri, j'aimerai gouter à l'instinct maternel !
– Tu n'as qu'à retourner chez ta mère ! »
 
Une femme, à Venise, demande à son mari :
« – Mon amour… pourquoi te mets-tu toujours à la fenêtre quand je chante ?
– Mais, chérie, pour que les voisins ne croient pas que je te tape dessus ! »
 
Après un terrible accident de voiture, madame doit avoir recourt à la chirurgie.
Brûlée partout sur le corps, le chirurgien doit prélever de la peau sur les fesses de son Marcel de mari pour réparer les blessures sur les joues de la femme.
Un mois plus tard, les résultats sont assez satisfaisants, Madame est presque aussi belle qu'avant.
Elle dit à son mari :
« – Chéri, ce que tu as fait pour moi est formidable ! Qu'est-ce que je peux faire pour te remercier ?
– Rien, rien chérie. Ça me fait tellement plaisir de regarder ta mère t’embrasser sur la joue ! »
 
Marcel : « Ma femme et moi on a atteint un parfaite compatibilité sexuelle : Hier on a eu tous les deux mal à la tête. »
 
Marcel et un pote parlent de leurs femmes et de leurs fréquentes disputes avec elles :
« Oh ! Tu sais, moi j'ai trouvé la solution. Je ne perds plus mon temps à la contredire. Maintenant j'attends qu'elle ait changé d'avis. »
 
Marcel arrive chez lui et crie à sa femme :
« – Chérie, prépare-toi à faire l'amour cinq fois !
– Waooow, t'es en forme, toi !
– Non. J'ai amené quatre copains. »
 
Marcel dit à son copain :
« – Chaque fois que je me dispute avec ma femme, elle devient historique !
– Tu veux dire hystérique !
– Non, non, historique ! Elle se souvient de tout ce que j'ai fait de travers, du jour et de l'heure. »
 
Un pote de Marcel vantant les mérites de son épouse, se confie à son copain :
« – Ma femme est une vraie fée !
– La mienne aussi : Elle me mène à la baguette ! »
 
Marcel remarque une jeune femme dans un bar.
Il s'approche et engage la conversation.
Au bout de quelques minutes, pensant avoir impressionné la belle, il lui propose d'aller « un peu plus loin ».
La jeune femme lui répond :
« – Oh non ! Je suis désolée… Ça va vous paraître un peu désuet à notre époque, mais j'ai décidé de me garder pure et innocente jusqu'à ce que je sois certaine d'avoir trouvé l'homme que j'aime !
– Ben dites donc, ça doit être plutôt dur, non ?
– Oh, moi ça va… mais mon mari, ça le rend fou ! »
 
Marie-Chantal demande à Germaine :
« – Comment avez-vous fait pour empêcher Marcel, votre mari, de rentrer si tard le soir ?
– Oh… C'est très simple ! Une nuit où il est rentré particulièrement tard, je lui ai chuchoté à l'oreille : « C'est toi Henri ? ». »
 
En rentrant du travail le soir à la maison, le jeune papa est accueilli par son épouse, radieuse :
« – Mon chéri, c'est formidable ! Notre bébé a dit son premier mot…
– Ah oui ? » répond le mari. « C'est super ! Qu’est-ce qu'il a dit ?
– Ah, là tu vas être content : il a dit « PAPA » !
– C'est pas vrai ? Qu'il est mignon ce petit bout d'chou ; et ça s'est passé quand ?
– Tout à l'heure, au zoo, devant la cage du gorille. »
 
« – Ma chérie tu vas être obligée de préparer tes affaires et de partir…
– Pourquoi ça ?
– Je t'ai jouée au poker et je t'ai perdue.
– Mais, Marcel, d'habitude tu gagnes tout le temps ! Comment c'est arrivé ?
– Oh ben ! J'ai triché ! »
 
Madame : « Qu'est-ce que tu aimes le plus chez moi ? Mon esprit ou ma beauté naturelle ? »
Marcel : « Ton sens de l'humour. »
 
« – Chéri, tu ne trouves pas que j'ai des petits seins ?
– Non, non » répond Marcel
« – Mais si : Regarde !
– Mais non, Rooolalahh ! Bon écoute je vais te donner une astuce : Tu te frottes les seins tous les matins avec du papier cul.
– Ah bon ? Tu es sûr que cela va marcher ?
– Ça a bien marché pour tes fesses ! »
 
« – J'ai fait un cauchemar épouvantable », raconte sa femme à Marcel. « On se promenait, tous les deux, dans le parc municipal, quand surgit « Al-Un Deux-long », jeune. Et tu ne devineras jamais ce qu'il me disait ?
– Non.
– Toi, tu es trop belle ! Je vais te violer !
– Ça ne paraît pas trop méchant, comme cauchemar, » fait Marcel en ricanant.
« Si, parce que toi, pour défendre mon honneur, tu te battais avec lui. Et, dans mon rêve, c'est toi qui gagnais ! »
 
Mon boss-monégasque se fâche après Marcel :
«  Marcel ! Vous deviez reprendre le travail il y a quinze jours. Où étiez-vous passé ?
– J'étais… heu ! En vacances à la montagne !
– Et c'est ce qui justifie vos quinze jours de retard ?
– En quelque sorte, oui. Parce que, là-bas, il y avait un magnifique écho, avec lequel ma femme entretenait de passionnantes conversations. Mais, chaque soir, ce qui la désolait, c'était l'idée de partir sans qu'elle ait pu avoir le dernier mot ! »
 
Une fille demande à sa mère :
« – Mon fiancé a demandé ma main.
– Il te plaît ?
– Oui mais il n'y a qu'une chose qui me tracasse : Il a des idées bizarres. Par exemple, il ne croit pas à l'enfer.
– Qu'il t'épouse et il y croira ! »
 
Comme ce sont des histoires « vénitiennes », ville possédant quelques canaux et de magnifiques collections de ceintures de chasteté dans plusieurs de ses musées, on finit par ces quelques-unes rapportées par Luigi, le « local » de l’étape ! 
 
Un chevalier part en croisade. Auparavant il met une ceinture de chasteté à sa jeune épouse, puis il convoque l'écuyer de la dame en disant :
« Je te confie la clé de la ceinture de chasteté. Conserve-là en permanence sur toi et ne la donne à personne. Si dans trois ans, jour pour jour, je ne suis toujours pas de retour, c'est que j'aurai péri sous les murs de Jérusalem. Alors, et alors seulement, tu ouvriras la serrure. »
Et il s'en va…
Trois heures plus tard, sur la route, un cavalier le rejoint au grand galop dans un nuage de poussière.
C'est l'écuyer, qui lui dit d'une voix haletante :
« Ah, monsieur le comte, c'est une chance que j'aie réussi à vous rattraper !
Vous ne m'avez pas donné la bonne clé… »
 
C'est un chevalier au temps des croisades qui part de son château pour chasser l'infidèle en Terre Sainte.
Mais avant de le faire, et pour s'assurer de la pureté de sa chère et tendre, il décide d'acheter une ceinture de chasteté, un modèle qui comporte une guillotine au niveau du vagin, et l’a fait installer sur sa dulcinée.
Quand il revint au château après 3 ans d'âpres combats, il décide d'aller voir son amour et par la même occasion vérifie si la ceinture n'a pas été forcée.
Il est vite rassuré car elle est intacte et fonctionne encore très bien.
Cependant, il décide de réunir tous les hommes de la cour pour vérifier si leur « service trois pièces » est bien complet.
Il découvre avec stupeur qu'il n'y en a qu’un parmi toute l'assemblée qui n'a aucune blessure.
Il s'agit d'un jeune homme, fort, beau et bien bâti.
Le seigneur décide donc de l'appeler pour le féliciter de sa fidélité envers son maître.
« Toi, le jeune homme là-bas, viens ici et dis-moi ton nom. »
Le jeune homme approche mais de sa bouche ne sort que des sons incompréhensibles.
« – Mmmmoiiiiffffff mouuffffssss seebbbbiueeeeeuurrr ?
– Mais enfin, parle sans crainte mon ami, t'aurait-on coupé la langue ?
– Mmmaiiiiiisssssss nouunffff … »
 
Deux chevaliers en armure partent pour la guerre de Cent Ans et le premier dit à l’autre :
« – Pourquoi as-tu mis un cadenas à la ceinture de chasteté de ta femme ? De toute façon, elle est tellement moche, ta femme, que personne ne te l’aurait prise !
– Justement », répond l’autre, « c’est pour ça que je lui ai mis un cadenas. Comme ça, quand la guerre sera finie, je dirais que j’ai perdu la clef… »
 
Bon rassurez-vous, depuis ces ceintures ne sont plus utilisées : On a mieux !
Le Rapex !
(Attention : Pubs intempestives en rafale)
 
Bon week-end à toutes et tous !
Demain, « je débarque »… 
 
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