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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 1 juillet 2015

Destructions-créatrices de Schumpeter ou l’agonie des taxis…

Et à qui la faute ?
 
On a un bel exemple in vivo des théories du bonhomme, qui fait suite à quelques-uns tout autant « tragiques » pour les métiers plus anciens…
Qui se souvient encore des « canuts » anglais des siècles dépassés, détruisant les métiers à tisser ?
Encore plus lointain, la tronche des chinois qui en ont fermé la « route de la soie » quand les « Gaulois » se sont mis à cultiver les mûriers à soie ?
Jusqu’à être la seconde industrie de mon pays avec un épicentre en Ardèche…
Plus personne ne déroule les cocons de vers à soie en ces régions-là (on préfère filer le nylon ailleurs) et on visite encore ces « usines » comme autant de musées.
 
L'Américain « Uber », au centre des violences de la semaine dernière, s'affranchit-il des lois avec son service « UberPOP » nous demande-t-on ? Jugée totalement « illégale » par le gouvernement et même récemment interdit de circulation, vécue comme une provocation par les taxis, l'application pour téléphone mobile continue pourtant d'exister.
Et sur le terrain, la situation a depuis une dizaine de jours dégénéré dans la violence.
À côté de son service de véhicule de transport avec chauffeur (VTC) classique (voire chauffeur de groupe et minibus ou mototaxi), « Uber » met en relation avec « UberPop » des clients avec des conducteurs amateurs, qui utilisent leur propre véhicule : Du covoiturage ou de l’auto-partage payant, en quelque sorte.
On fait déjà ça pour les « B&B », pour les hôtels « normaux », pour les voyagistes, pour les livres, les disques, pour l’usage du « cloud » et tant d’autres applications comme les sites de rencontres qui ont tué les « marieuses » et agences-matrimoniales…
Mais là, tout d’un  coup, et depuis le premier rapport de « D’Jack@talis » qui avait pourtant prévenu, il s’agirait là de concurrence déloyale.
En fait, une application qui n’a fait que créer une brèche de plus dans le monopole des taxis en mettant au départ uniquement en relation passagers et VTC.
 
Car c’est un service à « prix cassés », plébiscité par un millions de clients réguliers, dont 400.000 « exclusifs » (… quand j’affirmais il y a trois ans que la « guerre économique », dans ma série des « déclinistes », se ferait sur les prix et pas autrement…) est aussi dans le viseur des autorités car les conducteurs occasionnels « d'UberPOP » sont des particuliers qui ne paieraient ni cotisations sociales ni impôts. Ils n'ont pas non plus suivi les 250 heures de formation nécessaires pour obtenir un agrément VTC et ne sont pas assurés professionnellement.
« Mais ça, c’était avant » !
Réponse des autorités : Interdiction dans plusieurs départements (Gironde, Bas-Rhin, Nord, Bouches-du-Rhône, Loire-Atlantique, Paris, Rhône). Ni VTC, ni covoiturage, « UberPOP est en situation d'illégalité absolue », a insisté mardi dernier le ministre de l'Intérieur.
Car en « Gauloisie-libérale et avancée », on préfère « interdire la Liberté », façon « proto-post-marxiste-dictatoriale » pour faire barrage à la marée du progrès !
Comment il s’appelait celui qui courrait après les moulins à vent, déjà ?
 
En vertu de la loi « T’es-venu-d’où », vous savez notre brillant député « énarque-phobique-administratif », fraudeur à ses heures perdues, votée en octobre 2014 , il est en effet interdit de proposer une prestation de transport routier « à titre onéreux » si l'on n'est pas enregistré comme chauffeur de taxi ou VTC. « Ceux qui organisent ce système sans respecter les règles sont passibles de deux ans d'emprisonnement et 300.000 euros d'amende ».
Les conducteurs encourent eux des sanctions pouvant aller jusqu'à 1 an de prison, 15.000 euros d'amende, suspension du permis et confiscation du véhicule.
Depuis le début de l'année plus de 420 procédures ont été engagées à ce titre contre des chauffeurs « UberPOP ». Des conducteurs utilisant des applications concurrentes (Heetch, Djump) ont également été épinglés.
À Paris-capitale, une centaine de condamnations à des amendes ont été prononcées.
Et alors, serait-ce la fin des modes de déplacements alternatifs comme le covoiturage et l'auto-partage pourtant promus par ailleurs par les mêmes autorités publiques pour désengorger le réseau routier ?
Complètement schizophrènes, nos « sachants » !
Jusqu’à l’hérésie.
 
Bon, parce que les causes du désastre sont partagées.
Un taxi, il a un tarif imposé par l’autorité administrative.
Un tarif plafond : Il peut faire les remises, ristournes et Cie qu’il veut à son client.
Mais le « tarif-plafond » devient très vite un tarif « minimum » pour le fisc et le RSI…
Il ne faut pas non plus l’oublier…
Et pour bien cerner l’artisan-taxi, on lui colle des mouchards que sont la location des compteurs (obligatoires). Il y en a deux : Celui qui compte les courses et celui qui compte les heures.
Parce que le quidam, il ne peut pas conduire autant qu’il le veut, bien sûr…
Et puis il y en a un troisième, mais celui-là équipe tous les véhicules : Le compteur kilométrique.
Et que ce n’est pas très compliqué de faire des règles de trois pour mieux taxer l’artisan.
Alors c’est vrai que le tarif est bâti pour qu’ils puissent en rester assez pour payer les charges, toutes leurs charges y compris assurance et essence, et réussir à survivre avec le peu qui leur reste.
Donc c’est cher pour le client final, sauf quand on dirige un musée ou un institut public quelconque : Là, on se fait rembourser sans compter, même quand on dispose d’une voiture de fonction avec chauffeur, le tout payé par l’impôt piqué à d’autres.
Il n’y avait que la « cousine Xav’ » (l’épouse du « cousin Tiberi ») qui ne prenait jamais le taxi pour disposer de la voiture du Maire.
Car j’ai ainsi pu voir de mes yeux le Doyen Vedel, celui qui a formé tant de « juristes-publicistes », au moins deux générations et demie, qui disposait aussi de voitures de fonction avec chauffeur.
Ce qui lui, ne l’empêchait pas de prendre des taxis à l’occasion…
 
Le premier fautif, c’est donc le fisc.
Artisans-libéraux ? Et arnaqueurs ?
Dans les livres seulement : C’est le fisc qui « arnaque » et les régimes sociaux tout de suite après. Le chauffeur de taxi (tout comme les ambulanciers), ils ne font que la collecte !
Un chauffeur va exercer en « nom propre ». Cela veut dire qu’il est solidairement responsable de son activité. Si notre chauffeur de taxi ne rembourse pas son crédit, ou ne paye pas ses charges (le très célèbre RSI), la banque comme les organismes sociaux n’hésiteront pas un instant à venir saisir ses biens, ou sa maison, il ne faut jamais oublier.
 
Et donc, quand on additionne le tout, ce prix-là payé par le client final reste élevé, c’est sûr, et il y réfléchit à deux fois, contraint et forcé.
Alors qu’à New-York ou Londres, voire Washington, des taxis, ils sont si nombreux et si peu onéreux que s’en est tellement pratique quand on ne connaît pas bien le plan du métro.
Presqu’un plaisir.
 
Résultat, le second responsable c’est l’artisan-taxi lui-même : Le client se faisant plus rare, parce qu’il y a également un effort de la puissance publique, avec vos impôts, pour multiplier l’offre de transport des personnes, la corporation a obtenu un « numerus-clausus » avec ce raisonnement de pétoncle !
Simple : Puisque le gâteau rétrécit, autant, pour survivre, qu’on soit moins nombreux à se le partager.
Les plaques, les licences de faire ne sont plus distribuées et désormais elles peuvent être cédées !
Vous imaginez la suite ?
On vous a fait le même coup avec le chômage et les RTT bien des années plus tard…
La pénurie, ils n’ont pas d’autres solutions à portée du neurone que de la « partager ».
 
Un métier dans lequel les premiers qui partent se les font en or.
Les autres, ils rament pour rembourser jusqu’à 200/240 K€ d’avoir « acheté le droit de travailler ».
Je vous demande un peu : Payer pour pouvoir travailler, même quand l’esclavage existait encore, on n’avait jamais imaginé cette solution invraisemblable mise en place dans une « économie-administrée » qui, paraît-il, reste une « horreur libérale » !
J’adore ce paradoxe-là aussi, complètement « à la masse ».
 
Bon, il faut, pour être honnête, vous dire que c’est à peu-près pareil pour beaucoup de professions.
Un, une licence (les débits de boissons, de tabac), importateur-assermenté, parfois avec une caution en garantie ;
Deux, une formation parfois lourde et payante (jusqu’à 250 heures sur un an pour un taxi, 5 ans minimum pour un pharmacien, un avocat, un médecin, un expert-comptable, mais un à deux ans pour un coiffeur, un boulanger, un pâtissier, et leur CAP minimum) ;
Trois, un pas de porte, un bail, quand on ne peut pas faire autrement que d’avoir un local dédié et équipé, même pour un commerçant de victuailles.
Et à chaque fois, tout plein d’obligations à respecter et à payer !
 
Et pour être totalement honnête, il faut aussi vous dire que les taxis ont plusieurs statuts possibles : Artisan-indépendant, certes, mais aussi salariés de boutiques qui ont licence et véhicule, ou encore locataires de la plaque et du véhicule.
Là au moins, dans les deux derniers cas, ils peuvent arrêter quand ils en ont vraiment marre. Les premiers ne peuvent arrêter que quand ils ont remboursé leur emprunt. Et un emprunt, ça ne se déduit pas des revenus de l’outil de travail : On paye impôts et charges dessus avant d’en disposer pour son banquier.
Et s’ils ne savent faire que conduire, ils deviennent chauffeur de maître, voiturier-placier, ambulancier-salarié, ou carrément VTC ou « Uberiste ».
La galéjade, les amis…
 
Les taxis ayant peu évolué, « se situent mal dans cette jungle, étant eux-mêmes à mi-chemin entre un statut libéral – le chauffeur est maître à bord – et un statut public du fait qu'ils sont soumis à une réglementation et à une autorité publique (la préfecture de police dans l'agglomération parisienne, une préfecture en province) », souligne la Fnaut.
« Uber » a par ailleurs réagi. Mi-février, l’entreprise a informé par courriel les chauffeurs concernés qu’ils devaient, d’ici le 21 mars, créer une structure juridique (c’est-à-dire concrètement s’inscrire comme autoentrepreneur) et prendre une assurance en responsabilité civile professionnelle. Ils doivent également produire une attestation d’aptitude physique délivrée par un médecin agréé par la préfecture.
En revanche, « Uber » conteste la constitutionnalité de la loi applicable et a multiplié les offensives judiciaires pour défendre « UberPOP » comme les droits des VTC, avec pour effet de contrecarrer sa pleine application.
L'entreprise a fait appel de sa condamnation en octobre dernier devant le tribunal correctionnel de Paris à 100.000 euros d'amende pour avoir abusivement présenté « UberPOP » comme un service de covoiturage.
Position rejetée par le TGI parigot : À suivre…
 
Résultat, puisque leur métier est en train de mourir, il est assez logique que cette profession voit rouge lorsque des chauffeurs particuliers, qui n’étaient pas assurés pour le transport de personnes, qui font cela occasionnellement donc sans avoir à remplacer un véhicule ou à acheter spécifiquement un véhicule pour cet usage, ne paient pas (ou peu) de charges ou d’impôts.
Et pourtant ils rendent le service que ne veulent plus rendre les taxis depuis des lustres aux sorties des boîtes de nuit ou des vols de nuit de Roissy-CDG : La nature a horreur du vide.
Même s’il est de bon ton de dire qu’« Uber » c’est super car c’est moderne, la réalité c’est que les profits d’« Uber » proviennent d’une distorsion de concurrence évidente en exploitant les « niches » laissées en jachère par toute une profession.
« Uber » s’arroge le droit de faire conduire des gens par des gens au mépris de quasiment toutes les règles à applicables aux taxis nous assure-t-on.
C’est parce que ses chauffeurs sont des amateurs qu’« Uber » peut gagner de l’argent, nous en dit-on.
Et attention, quand dans moins de 10 ans ils seront confrontés à la version « 2.0 d’Uber », la voiture sans chauffeur dans laquelle « Uber » avec Google, est particulièrement en pointe, là, ce sera la mise à mort définitive !
C’est dire si on n’arrête pas le progrès, jeunes-gens, même avec des interdits.
 
Et de rappeler que toutes les entreprises ont pour vocation unique de faire toujours plus de profits pour payer impôts et apporteurs de capitaux (actionnaires et/ou banquiers).
Et quand les entreprises de transports pourront se passer des chauffeurs… elles se passeront des chauffeurs. Cela concernera les routiers mais également les taxis.
On pose bien des caisses automatiques dans vos supermarchés, à vos pompes à essence, dans vos barrières de péages, sur les quais de la SNCF ou dans les aérogares.
Les avions se pilotent eux-mêmes tout seul et ne tombent que quand ils sont trahis par leurs pilotes, les métros n’ont plus de conducteur et les cheminots pilotent leur TGV que s’ils sont capable d’arrêter l’alarme « homme-mort ». Sans ça, le convoi s’arrête tout seul en rase-campagne.
 
Vous vous rendez compte les gains de productivité ? Votre camion pourra en plus rouler sans s’arrêter en permanence… plus besoin de pauses ou de sommeil.
Un même investissement matériel qui « produit » du service 24 heures sur 24, 365 jours par an, au lieu de 44 heures par semaine, 11 heures par jour avec des pauses toutes les 5 heures, 5 semaines de vacances obligatoires par an, et le risque de grèves impromptues…
 
Ce qui est scandaleux, ce n’est pas tant que les taxis aient pu bloquer le périph’, les abords des aéroports ou toute autre voie publique.
C’est qu’il n’y aucun clairvoyant pour trouver des solutions, dans leurs rangs, mais aussi chez les « sachants » dont le ministre ne sait que manier le bâton et le législateur « interdire » : Quelles marques et témoignages de leur profonde konnerie qui touche à l’autisme !
 
Il faut aller plus loin. Il faudrait revoir la profession et aligner le régime des taxis sur celui des VTC et autres.
Si on aligne ces deux régimes, il faut évidemment indemniser les taxis pour l’acquisition de leur licence dont le prix, à terme, va tendre vers 0 (je suis tombé par hasard sur une annonce qui en proposait une à 80 K€ sur le BonCoin.com il y a quelques semaines, un peu étonné).
Soit, on ouvre le transport des personnes à la concurrence. Dès lors on demande aux nouveaux venus, les VTC, de s’acquitter d’une soulte de disons 5 ou 10.000 euros afin d’avoir le droit d’exercer les premières années et jusqu’à éteindre toutes les licences des taxis.
Cette soulte alimente un fonds qui rachètera progressivement aux taxis leurs licences à la valeur du marché.
On fixe évidemment le prix de la plaque en le figeant à son prix actuel afin que personne ne soit lésé.
Soit, dans l’hypothèse contraire comme actuellement choisie et protégée tellement ça « rapporte gros » au Trésor-Public, si on n’indemnise pas les taxis… eh bien on n’ouvre pas leur marché à la concurrence sinon cela veut dire que l’État s’arroge le droit de ruiner des citoyens, des familles entières et de façon générale, autant de procédés inacceptables.
 
Et il s’agirait d’aller vite (et loin) : L’évolution économique amène à penser que ce métier est condamné à brève échéance. VTC, Uber, co-voiturage, taxis clandestins, sans oublier voiture sans chauffeur et augmentation de toutes les charges et impôts tous les ans font du modèle économique d’un taxi un échec financier à venir.
Ça ne sert à rien de jouer les « bonnets-rouges ». Depuis moins de 5 ans, le changement est palpable, évident même. Et ce statut finira par craquer, comme l’enseignement et l’Éducation nationale sous la pression des MOOCs qui sont les cours en ligne et où, du fin fond de la Corrèze – mais pas encore dans mes montagnes Corses, puisqu’il n’y a pas de réseau –, vous pourrez apprendre en écoutant le meilleur des professeurs de médecine, de philosophie, de langues ou de physique quantique du monde.
Les enseignants n’en sont même pas conscients et pourtant leur métier, dans sa forme actuelle, est déjà mort (sans même avoir à évoquer leurs résultats souvent pitoyables). 
 
Notez que lorsque l’industrie du disque en pleine déconfiture fait tout ce qu’elle peut pour criminaliser les « pirates » qui sont aussi ses clients, elle se tire une balle dans le pied.
Mettre ses propres clients en prison n’est pas une solution durable !
On ne peut pas bâtir un modèle économique sur la contrainte pénale.
Il faut donc se réinventer ou évoluer, au choix.
De la même manière, ce n’est pas en cassant la gueule des clients « d’Uber » ou des VTC que les chauffeurs de taxi gagneront la « bataille des cœurs ».
Dans la majorité des cas, la violence est contre-productive. L’image renvoyée par les taxis au reste de l’opinion est désastreuse.
 
Bref, la convergence entre les technologies de l’information, de la robotique et de l’intelligence artificielle va totalement bouleverser le monde du travail dans les 10 prochaines années.
Cela signifie qu’il faut anticiper cette future réalité et que les reconversions à venir doit se faire vers des métiers qui soient non-délocalisables et non-robotisables et  non-informatisables.
Ce qui restreint vraiment le champ des « possibles ».
 
C’est un peu du « monde d’avant » qui laisse sa place au « monde d’après ».
L’en empêcher ne fait seulement que le retarder, alors qu’il vaudrait mieux l’accompagner, le prendre par la main au lieu de le laisser vous pendre par le cou.
Mais, force est de constater qu’ils ne sont pas très nombreux à avoir cette sagesse, finalement. Et aucun ne se souvient de Schumpeter : Ils préfèrent tous leurs dogmes à eux, même quand ils amènent des catastrophes.

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