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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 14 août 2015

Chapitre XIII : Départ pour la Corée (2/4).

Arrivée en Chine
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Très intelligemment, l’essentiel avait été cantonné dans un trust londonien et avait financé la réunification de l’Allemagne.
Plus tard, les queues ont même financé la mise en place la Banque européenne de développement, dirigée par le sherpa du Président français, avec ses propres commissions de « cerveau de l’affaire ».
Alors que le ministre de l’industrie de l’époque, sans qui l’escroquerie des brevets-Ferrayé et l’extinction en 6 mois de 1.154 puits de pétrole en feu au Koweït n’aurait pas pu être réalisée et aurait pris plus de 5 ans d’effort, s’était contenté de toucher « sa part » qu’il avait consciencieusement dépensé dans son train de vie du moment, payer ses faux-frais et autres procédures américaines, et converti en or déposé à Hong-Kong pour l’autre moitié.
Car tout le monde sait, qu’à part à cette époque, le futur Dégé de la « Banque des pauvres et autres états failliteux » est un panier percé qu’il en va jusqu’à « inventer » des fausses factures pour payer les frais de son cabinet d’avocat parisien.
En revanche, une fois ministre, il fait sa part de boulot, jusqu’à en égarer des « cassettes » au fond de ses tiroirs, puis se transforme en « meilleur-économiste » du monde et même consultant recherché pour ses avis.
Mais sans compter.
D’ailleurs, il paye rubis sur l’ongle, cash, les cautions et frais réclamés par la justice américaine, pour plus de trois ans de salaire annuel et sans l’aide de son épouse, elle-même richissime héritière de son grand-père, mais seulement en tableaux de maître dont aucun n’aura été vu sur le marché de l’art à ces moments-là…
Elle a même été obligée de « rempiler » dans le journalisme pour faire ses propres fins de mois !
En revanche, dans l’intervalle, il en est à vendre « à petit-prix » ses parts dans la SCI qui porte le loft de la place des Vosges du couple, à son ex-épouse, pour faire lui aussi ses propres fins de mois.
Lui, se réfugiera au Maroc et voyagera de par le monde pour y donner conférences et conseils à divers états « périphériques » qui n’en ont pas besoin.
Et « l’agent–Thierry », assuré de rentrées d’argent frais, déraille et prend des positions malheureuses et à découvert à 13 semaines.
Qui, l’argent de DLK n’arrivant pas, se dénoue en faillite.
Une perte sèche pour le Mossad et quelques clients ayant pignon sur rue, telle que le retour en Terre promise de l’agent Thierry se termine par un vol plané dans les jardins de l’hôtel où une réunion de débriefing se déroule très mal, jusqu’à plusieurs étages plus bas.
Vérifiant ainsi l’invariance et la constance des lois de la gravitation…
 
Mais pour l’agence secrète d’Israël, ce n’est pas la première urgence : il reste les difficultés naissantes avec l’arrivée d’un acteur nouveau, l’État-Islamique quasiment à portée de canon du Golan, les difficultés de son voisin syrien, la recrudescence des tirs palestiniens depuis la bande de Gaza, et surtout, à la fois les violences d’Aqmi aux Yémen et les velléités iraniennes dans le dossier du nucléaire où l’on pressent une issue défavorable pour tous les pays du Golfe, appuyée par l’allié américain, qui se dénouera en juillet 2015 par un accord entre l’Iran et le groupe des « 5 + 1 ».
Alors, Paul de Bréveuil en Chine, ce n’est évidemment pas le plus important.
Ils laissent donc faire. 
 
D’autant qu’au même moment, il se passera des choses bien étranges chez l’allié russe des syriens.
Quasiment mis à l’index depuis le sommet du G20 de Melbourne et l’annexion de la Crimée, que pourtant personne ne conteste sérieusement, les russes se débattent à soutenir, sans le dire et plutôt mollement, les républiques séparatistes d’Ukraine.
L’ex-armée rouge à toujours les moyens techniques de déferler jusqu’à Brest en 48 heures. Alors l’Ukraine…
Leur navire de commandement est toujours amarré à Saint-Nazaire sur ordre, sur « d’amicales pressions » de l’OTAN, non livré par la France et ne le sera pas avant longtemps. Tout le monde le sait.
Et même le MOSSAD s’étonnera que personne ne tente de réitérer leur opération sur les vedettes de Cherbourg…
Quoique des vols d’avions russes pénétreront très loin en Atlantique et que des escadres russes patrouilleront dans la Manche, à proximité du Havre et de Cherbourg, avant de prendre le large.
Des avoirs d’oligarques russes, après la déconfiture chypriote qui leur aura coûté « chaud », sont bloqués en occident. La crise ainsi générée pousse le peuple à la grogne, telle qu’il faut lui redonner espoir et finaliser les accords sur le grand-gazoduc avec les chinois, tout en élaborant un éventuel plan de soutien aux grecs, si les élections à venir ouvre une opportunité comme le prédisent les sondages, toujours avec l’arme de la promesse d’un autre gazoduc à venir, et de quelques prêts, sous forme d’avances sur recettes toujours possibles…
Les contacts utiles seront pris ultérieurement, quand en janvier 2015 le nouveau gouvernement grec du moment, tenant tête à la troïka pour ses refinancements contre des réformes structurelles jugées insupportables par le peuple grec, ira visiter Moscou.
Mais l’accueil qui est réservés aux grecs n’est pas aussi triomphal qu’ils ne l’espéraient : pourquoi les russes, asphyxiés financièrement, iraient porter secours à un européen au moment où tout le monde parle de « Grexit » ?
Ne vaut-il pas mieux laisser pourrir la situation et s’en tenir à de vagues promesses, laissant aux européens la gestion de ce dossier épineux qui du coup n’est plus si « attractif » que ça pour les ukrainiens… ?
 
Et les français, qui ne douteront décidément de rien, persisteront à « faire des affaires » avec les russes dans différents secteurs d’activité, notamment les voitures et le BTP, et enverront même un peu plus tard le patron de leur major du pétrole, entreprise nationale parapublique, négocier, avec le premier ministre russe d’alors, des projets à nouer sur les gisements de l’arctique.
Décidément, de parfaits autistes qui ne comprennent rien à rien !
Tel que le bonhomme finira en torche sur les bords de piste d’un des aéroports de Moscou, sur son vol de retour.
Un « loupé » des services : normalement, l’appareil aurait dû exploser à l’approche de Paris, en sortant son train d’atterrissage.
Comme pour envoyer un message clair sur les contradictions entre « le politique » et « l’économique » portées par le président Landau.
Or, pour une raison inconnue, sitôt décollé, le pilote interrompra sa prise de cap et d’altitude évoquant à la radio un « incident » et reviendra se poser en priorité sur le même aéroport, pas plus tard que quelques minutes après son décollage.
La charge, peut-être mal placée, aura bloqué la rentrée du train, interdisant la poursuite du vol, train sorti.
Et c’est « l’accident » là où il ne fallait pas.
Mais les services se rattraperont très vite en montant de toute pièce une « communication » sur mesure qui cache l’essentiel et leurrera tout le monde : non seulement ils en auront pris l’habitude depuis les événements de la place Maïdan à Kiev et le crash du MH 17, et ça fonctionnera bien, mais ça permettra d’envoyer ce « message-fort » à l’adresse de l’Occident.
Qui sera reçu « 5 sur 5 » tel qu’aux obsèques du bonhomme, tout le gratin des corps constitués de son pays d’origine, et quelques autres, est mobilisé en l’église Saint-Sulpice à Paris.
Un véritable hommage solennel et national à une victime collatérale, d’enjeux qui le dépassaient.
 
C’est ainsi que Paul part pour l’Extrême-Orient par le vol direct où, une fois de plus, il voit défiler tout l’équipage – qui est nombreux sur un A380 – pour quelques autographes et hommages dus à un « héros de légende » vivante aéronautique à leur bord : le sauvetage de tous les membres d’un vol vers New-York qui aura croisé un ouragan en atlantique, au niveau de la Floride ; et le vol circumterrestre par les pôles en 12 heures.
Toutes choses quasi-totalement inconnues du grand-public français…
Il est reçu comme un VIP à Pékin, attachés de l’ambassade de France en sus, scellant ainsi l’accord collaboration, très officiellement.
Et accueilli par Cécile Wiseppe, la réfugiée-meurtrière du juge Féyard (Cf. « L’affaire du juge Féyard », à paraître aux éditions « I-Cube ») que Paul avait fait arrêter après une enquête décousue dans une autre vie.
Et qui l’avait ensuite aidé, un peu, dans l’enquête postérieure sur les activités du professeur Risles (cf. « Au nom du père », tome II, à paraître aux éditions « I-Cube »).
En fait, elle s’était évadée de la prison de la Santé à l’occasion d’une « virée » à l’Hôtel-Dieu pour un avortement.
Paul l’avait fait récupérer par les services secrets Coréens du Nord, une opportunité, qui avait déjà télécommandé le premier voyage de Paul en Chine.
Sa co-évadée, Stéphanie Roya avait disparu dans la nature et Cécile avait préféré un asile discret dans l’effectif du personnel de l’hôtel que Paul co-exploite à Kotor avec son ami de promotion, Petros.
Là, elle avait accepté de sortir de « sa prison » dorée et discrète, toujours recherchée par la justice française, pour refaire sa vie en Chine, à condition qu’elle assure une protection, au moins symbolique sinon efficace de Paul lors de son séjour dans l’empire du milieu.
Une idée de Paul.
Officiellement, c’était une bénéficiaire des sauf-conduits de l’équipe de Paul débarquant d’Aubenas en qualité « d’attachée-communication ».
Elle qui ne parle pas un mot de mandarin…
Elle sait tout juste dire merci.
 
En revanche, elle est arrivée quelques jours en avance depuis le vol de Berlin et avait déjà visité les lieux de séjour de Paul et de ses ingénieurs.
Une « jeunette » au destin contrarié, qui avait vu dans sa prime jeunesse son père assassiné par un sagouin, « fils de », fils d’un parrain des mafieux Corsico-africains de la mouvance des Léandri, grands amis du ministre de l’intérieur français de l’époque – qui lui-même décédera fin juin 2015 échappant ainsi définitivement à la justice de son pays – et surtout le viol et l’assassinat de sa mère, par le même et juste après l’assassinat du père, à la même table de restaurant insulaire, le tout sous ses yeux et ceux de sa sœur qui reste « sous traitement » dans un asile.
Un vrai drame, telle qu’elle s’était imaginée que le procès de l’assassin-violeur avait été truqué. Ce que la contre-enquête de Paul et de « Charlotte », la vraie, celle dont le nez bouge de haut en bas quand elle parle, aura confirmé.
Confirmé après et seulement après qu’elle et sa sœur ait voulu se faire justice elles-mêmes, en commençant par le juge qui avait mené les débats au procès inepte du jeune meurtrier.
Tous les acteurs, procureur, avocats, jurés devaient y passer. L’avocat est effectivement mort empoisonné sous les yeux de Paul et Charlotte à l’occasion d’un pot offert par le bonhomme pour une récente promotion alors qu’ils prenaient un premier contact.
Cécile avait donc goûté de la prison-centrale de femmes alors que sa sœur restait sous camisole chimique dans un institut spécialisé, le neurone complètement disjoncté par les scènes d’horreur vécues en Corse et à Chartres.
Cécile s’est donc évadée avec Stéphanie, celle-ci en transfert vers l’Hôtel-Dieu pour une appendicite aiguë, et elles avaient errées dans les tunnels du RER B durant plusieurs jours avant que d’avoir été exfiltrées par les coréens du nord, sur une idée de Charles Almont, le correspondant de la CIA de Paul.
Et plus tard, elles avaient accompagné Paul dans ses tribulations voyageuses, jusqu’au Sofitel de New-York pour une action-commando qui avait complètement échouée : elles s’étaient trompées d’étage et de chambre alors que la « cible » désignée par un « service qui n’existe pas », déraillait totalement avec une femme de chambre de passage !
Un sacré pied de nez du destin : les images issues des caméras posées par Paul la veille avaient su convaincre le juge new-yorkais.
Après tout, c’était le but recherché.
Alors, pour elle, ce voyage en Chine, c’est presque un retour aux sources, puisqu’elles avaient fait une escale à Hong-Kong pour y retrouver une liberté sous surveillance de Paul.
Par conséquent, assurer la protection, même « évasive » de Paul de Bréveuil, c’était une nouvelle fois se rendre utile à son sauveur et tortionnaire.
Elle et Stéphanie, guidées par Vecchia, le pêcheur de Saint-Florent, s’étaient démenées pour retrouver la trace des tueurs qui avaient abattu Paul sur son voilier au large de la Corse et « finir le boulot » avec le meurtre du sénateur Lacuistre (Cf. « Au nom du père », tome II à paraître aux éditions « I-Cube »).
Même pas un meurtre : le gars faisait tellement pitié à voir, déformé, physiquement déformé par la peur de mourir, les traits méconnaissables, que de toute façon, il aurait eu une attaque cardiaque.
C’était juste une « anticipation », comme elle en disait.
 
Cécile est une véritable « machine à tuer » : elle l’avait prouvé par le passé. D’autant plus que lors de son séjour en Corée du nord, avant d’être libérée à Hong-Kong, elle avait subi un véritable entraînement « commando » dans un camp des forces spéciales du parti des travailleurs. Une bonne école… où elle avait terriblement souffert physiquement.
Tout comme Stéphanie d’ailleurs, qui avait pourtant une constitution nettement plus robuste.
L’idée d’un « petit retour » aux sources ne lui déplaisait pas trop.
Sauf que dans la stratégie de Paul, elle ne devait pas rencontrer le dictateur coréen, mais seulement arriver et l’attendre à l’aéroport pendant les formalités de douane avant son retour : à deux, il leur sera plus facile de prendre le contrôle d’un avion de tourisme pour rentrer que tout seul.
Si elle en était d’accord, naturellement.
Elle avait déjà fait tant de choses pour Paul : une vraie saga !
 
Seule déception pour elle qui avait été l’amante de Paul, c’est que celui-ci repartait le surlendemain pour Pyongyang, après avoir récupéré de son décalage horaire et fait le voyage à Tianjin en compagnie du directeur du site qui lui aura fait faire un tour rapide des ateliers dans lesquels les avions d’Airbus sont montés et « finalisés » au format chinois : il avait besoin de toute sa concentration et de repos.
Ce sera pour le retour.
Une visite faite au pas de charge, où le directeur refuse de tutoyer Paul comme il est de tradition entre « ancien » de la même école-supérieur. En l’occurrence « Sup-aéro ».
Et pour cause : Paul est aussi un « X », alors que le directeur n’est qu’un « piston », un centralien.
Et le second ne voit manifestement pas d’un bon œil l’arrivée d’un meilleur « matheux » que lui sous son giron.
Les égos surdimensionnés, n’est-ce pas…

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