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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 4 septembre 2015

C’est insupportable !

L’horreur ? Aylan Kurdi, martyr à 3 ans… 
 
« La photo qui donne une claque à l'Europe », « notre honte à tous », « l'humanité naufragée », pouvait-on lire sur les réseaux sociaux dès mercredi soir.
Une photo d'enfant, vêtu d'un tee-shirt rouge, d'un short bleu et de petites chaussures, gisant le visage tourné contre le sable de Bodrum, l'une des plages les plus fréquentées de Turquie.
Selon les médias turcs, Aylan Kurdi, âgé d'à peine trois ans, était originaire de la ville syrienne de Kobane, à la frontière turque, en proie il y a quelques mois à de violents combats entre les djihadistes de l'État islamique et les Kurdes.
Ils avaient survécu à cet enfer-là…
Ils étaient à bord d'une des deux embarcations qui ont fait naufrage dans la nuit de mardi à mercredi et qui transportaient 23 personnes. Elles avaient quitté séparément la région d'Akyarlar, sur la péninsule de Bodrum, pour rejoindre l'île de Kos, en Grèce. Parmi les victimes figurent cinq enfants et une femme. Sept personnes ont été sauvées et deux autres munies de gilets de sauvetage ont réussi à atteindre la rive.
 
De quoi s’insurger !
Que vous en aurez les « histoires d’en rire » que demain, pour la peine.
 
Attends, mek : Ils sont des milliers à avoir péri depuis le début de l’année en mer méditerranée, depuis les côtes libyennes ou turques et là, tout d’un coup, sous le choc d’une seule photo, ils sont tous là à vouloir nous donner mauvaise conscience ?
Et « ça marche » !
Mais de qui se fout-on donc, SVP ?
 
Car la photo a été retweetée des milliers de fois et fait le tour du monde aussi vite que la lumière tandis que le hashtag « KiyiyaVuranInsanlik », qui signifie « l'humanité naufragée » en turc, arrivait en tête des tendances de Twitter mercredi soir.
Charmant…
Le cliché faisait notamment la une des quotidiens britanniques jeudi matin. The Independent tweetait ainsi : « If these images of a dead child don't change our attitude to refugees, what will ? » (Si ces images d'un enfant mort ne changent pas notre attitude sur les réfugiés, qu'est-ce qui le fera ?)
Même Le Sun, pourtant très hostile à l'accueil des migrants au Royaume-Uni, semble lancer un appel au Premier ministre, « Camé-Rhône ».
De nombreux internautes ont confié leur émotion sur Twitter : « Où va ce monde ? », a commenté l’un, « Plus jamais ça ! », a renchéri un autre.
N’importe quoi : Que du faux !
Pour mieux s’exonérer de toute responsabilité ?
 
Selon le quotidien britannique The Guardian, elles résument « toute l’horreur du drame humain qui se déroule sur les côtes européennes ».
« Si ces images extraordinairement fortes d’un enfant syrien rejeté sur une plage ne modifient par l’attitude de l’Europe vis-à-vis des réfugiés, qu’est-ce qui le fera ? », interroge de son côté The Independent.
En Italie, le quotidien italien La Repubblica a tweeté « La photo qui fait taire le monde », et en Espagne, le journal El Pais en faisait le « symbole du drame migratoire », alors qu’El Periodico titrait sur le « Naufrage de l’Europe ».
Tandis que notre « vénérable » Monde, celui de la pensée-unique des apprentis-gogo-bobo titrait : « Réfugiés : l’Europe sous le choc après un nouveau drame ».
Un drame… parmi tant d’autres, n’est-ce pas !
 
Finalement, à mon sens, ce sont chez nous « Lolo-Paris-Zoo », l’ex du Medef et « Gilbert Konnard » de « bleu-blanc-marine » qui ont les mots les plus justes :
« Secouez-vous les dirigeants européens, merde ! @JunckerEU @eucopresident  https://twitter.com/breaking3zero/status/639174099936243712 … » pour l’une ; 
et « @GilbertCollard : « Vous découvrez aujourd'hui que des enfants meurent, c'est de la comédie » ; « @GilbertCollard : « Ce qui est extraordinaire d’hypocrisie c'est qu'il vous faut une photo, bande de salauds, pour vous émouvoir », pour l’autre.
Et oui, et oui…
Les salauds se réveillent avant de s’assoupir de nouveau du sommeil du juste un peu plus tard.
 
Mais enfin quoi, Aylan Kurdi fuyait la guerre qui ravage son pays avec sa famille.
Son grand frère, Ghalib, âgé de cinq ans, a aussi péri dans le naufrage.
Son corps a également été repêché, ainsi que celui de leur mère et d'un troisième enfant noyé.
Au total, les autorités turques auraient retrouvé une douzaine de corps.
La famille du petit garçon voulait émigrer au Canada, a affirmé sa tante, selon l'édition jeudi du quotidien Ottawa Citizen.
Teema Kurdi, installée à Vancouver après avoir émigré au Canada il y a une vingtaine d'année, a indiqué qu'elle avait monté en janvier un dossier d'immigration au titre d'un programme de réfugiés pour son frère, son épouse et leurs deux petits garçons. « J'avais essayé de me porter garante, aidée par des amis et des voisins pour les garanties bancaires, mais on n'a pas réussi à les faire sortir », a indiqué Mme Kurdi au journal.
Le dossier de réfugiés leur a été refusé en juin par le service de l'immigration canadien en raison, selon Teema Kurdi, de la complexité des demandes d'asile en provenance de Turquie.
Avec le rejet de leur demande d'immigration au titre de réfugiés, la famille a donc embarqué pour fuir par mer.
« J'avais même payé le loyer pour eux en Turquie », se lamente-t-elle.
 
Cet été, des dizaines de milliers de Syriens fuyant la guerre ont gagné la côte égéenne de la Turquie pour rejoindre la Grèce, porte d'entrée de l'Europe. Selon les agences humanitaires, sur le seul mois d'août, près de 2.000 personnes ont effectué quotidiennement la courte traversée entre les côtes turques et les îles grecques sur des embarcations pneumatiques.
Alors quoi ?
À qui la lourde responsabilité de ces flux migratoires désordonnés, organisés par les « seigneur-de-guerre » et autres dictateurs incapables d’y mettre fin malgré les moyens militaires colossaux, les tombereaux de « bon impôt » déversés au titre de l’aide humanitaire ou de « soutien au régime » ?
On fait quoi pour éviter, endiguer ou arrêter ses drames ?
 
À peine avaient-ils débarqué sur les côtes italiennes et grecques, où les arrivées ne tarissent pas, que migrants et réfugiés continuaient d’être attirés comme des aimants par l’Allemagne.
Au seul port athénien du Pirée, près de 4.500 d’entre eux ont mis pied à terre mercredi sur le continent européen, transférés par bateaux spéciaux de Lesbos, en Égée orientale.
Au large des côtes libyennes, ce sont près de 3.000 personnes, dont des centaines de femmes et d’enfants, qui ont été secourues mercredi, selon les garde-côtes italiens et l’ONG Médecins sans frontières.
La Grèce a juste décidé d’améliorer la prise en charge des exilés et s’est engagée à « accélérer » leur enregistrement et leur identification. C’est là une des demandes de ses partenaires européens pour mettre fin à leur dispersion incontrôlée dans l’Union européenne. 
 
Depuis le début de l’année, la Grèce a compté un record de 160.000 arrivées, parmi les plus de 350.000 personnes au total ayant tenté le passage par la Méditerranée, dont plus de 2.600 sont morts pendant la traversée.
La plupart ont ensuite emprunté la route des Balkans pour gagner le nord de l’Europe, abandonnées à leur sort par les autorités grecques.
L’Allemagne a indirectement encouragé cet exode en renonçant à renvoyer les Syriens vers leur pays d’entrée dans l’UE, et en s’engageant à traiter leurs demandes d’asile.
Plusieurs centaines de réfugiés et de migrants ont ainsi continué d’affluer mercredi dans ce pays, après l’arrivée record mardi de 3.709 personnes sans visa, passées par la Hongrie et l’Autriche voisine.
Vienne a du coup haussé le ton mercredi contre cette entaille allemande aux accords de Dublin réglant en principe la prise en charge des réfugiés dans l’UE.
« J’ai toujours mis en garde contre une suspension des accords de Dublin (…) nous en voyons les effets maintenant », a déploré le ministre de l’Intérieur Johanna Mikl-Leitner.
Et alors chérie ?
« Ça t’en touche une sans toucher l’autre », comme aurait dit « le Chi » ?
Tu fais quoi pour que les choses s’améliorent au juste ?
 
À Budapest, une centaine de migrants ont manifesté devant la principale gare de la capitale hongroise cependant que la police empêchait 2.000 personnes de monter dans des trains pour l’Autriche et l’Allemagne.
Mardi, 2.284 personnes, dont 353 enfants, sont entrées en Hongrie, qui a compté au total plus de 50.000 arrivées en août, en dépit de la clôture de barbelés érigée le long de sa frontière avec la Serbie.
Mercredi les autorités ont laissé passer un train complet pour … parquer les migrants dans un camp en leur faisant croire qu’ils partaient pour l’Allemagne !
 
Pour faire face à cet afflux de populations fuyant la guerre, les persécutions et la pauvreté au Moyen-Orient et en Afrique, « le plus important est d’apporter la paix et la stabilité » dans les régions en crise, a pour sa part affirmé le Premier ministre britannique.
C’est bien de faire un diagnostic clairvoyant, mais tu as fait quoi pour endiguer les drames parfaitement prévisibles depuis de longs mois ?
Tu as quel poids pour virer les tyrans installés dans leurs palais ?
 
« Je ne pense pas qu’une réponse puisse être trouvée en prenant en charge de plus en plus de réfugiés », a-t-il insisté.
Dans le même temps, une pétition exhortant le gouvernement britannique à accueillir davantage de réfugiés avait recueilli mercredi soir plus de 20.000 signatures sur le site internet du Parlement.
 
Le risque se dessine désormais d’une crispation menaçant la liberté de mouvement dans l’UE, un des principaux succès de la construction européenne.
Pour négocier une sortie de crise, la Commission européenne plaide pour une modification des accords de Dublin, au risque de relancer les divisions récurrentes entre les 28 sur ce chantier, à l’approche d’une réunion européenne le 14 septembre.
La question sera abordée jeudi et vendredi par le numéro deux de l’exécutif européen Frans Timmermans et le commissaire chargé des migrations Dimitris Avramopoulos, en visite en Grèce.
L’Allemagne, la France et l’Italie ont à cet égard réclamé, dans une lettre de leurs chefs de la diplomatie publiée mercredi, une refonte du droit d’asile en Europe, qu’ils jugent dépassé, et une meilleure répartition des migrants dans toute l’UE.
Parlotes et quotas ?
Mais enfin, tous ces gens n’ont pas à s’exiler s’ils vivaient dans des pays en paix…
Et ils font quoi pour rétablir la paix, nos dirigeants ?
 
En Syrie, un dictateur prêt à tout pour rester en place a pris son peuple en otage, dans l'indifférence du monde. C'est de cela que ce petit garçon est mort.
Des enfants meurent tous les jours de maladie ou d'accident. Ce malheur est le plus terrible dans la vie.
Mais là, c'est un enfant de trois ans assassiné par Bachar el-Assad. Il aurait pu vivre, aller à l'école, danser et rire, jouer et dessiner des rêves.
Quel âge ont les enfants de Bachar el-Assad ? Dorment-ils bien ? Ont-ils vu le dentiste pour éviter les caries ?
On est inquiet, on voudrait savoir s'ils se portent bien, s'ils ne manquent de rien.
Parce que tout autour de leur maison des citoyens en armes tentent de renvoyer leur père à son premier métier, la médecine.
Mais il est très occupé. Il n'est pas sûr que le soir il trouve le temps d'aller leur raconter une petite fable avant de s'endormir et de faire de beaux rêves. Peut-être qu'il les a envoyés loin, à Londres par exemple, où ils devraient vivre en toute sécurité avec leur maman.
 
Il y a la guerre et puis il y a l'exil. Des réfugiés syriens errent dans le monde.
L'Europe ne peut pas aujourd'hui se détourner des conséquences de cette guerre. Lorsque le peuple syrien est descendu dans les rues de Damas manifester pacifiquement contre la dictature que Bachar a héritée de son père Hafez, il fut reçu non pas par des jets d'eau, mais par des rafales de mitraillettes qui ont fait des centaines de morts.
C'était en mars 2011. Le monde savait de quoi était capable cette famille de tyrans pour rester au pouvoir. Le père avait donné l'exemple en tuant, en février 1982, 40.000 opposants à Hama, en toute impunité.
Cela s'est passé dans un huis clos absolu.
 
Avec l'appui de la Russie et de l'Iran, Bachar a entamé une guerre sans merci contre son peuple. Depuis, les choses se sont compliquées et l'islamisme radical s'en est mêlé, ce qui arrangeait bien la stratégie de Bachar, qui dit au monde : C'est moi ou le chaos islamiste !
Puis il y eut l'utilisation en août 2013 d'armes chimiques. « Haut-bas-Mât » s'est énervé. Juste un petit énervement, une mauvaise humeur passagère.
Sans plus.
Les Européens attendaient de voir ce qu'allait faire l'Amérique.
Elle ne fit rien.
Ainsi fut délivré « le permis de tuer » à un grand assassin syrien.
 
Des millions de Syriens ont fui. Un million au Liban. Et un peu plus de trois autres millions éparpillés dans le monde, dont la famille du petit garçon retrouvé le visage contre le sable sur la plage de Bodrum en Turquie. Le malheur s'est abattu sur elle et voilà un naufrage non seulement d'une dizaine de citoyens syriens expulsés de leur maison par la guerre et par l'indifférence du monde, mais d'une humanité meurtrie, trahie, dont le sort fait honte au monde.
C'est la civilisation dans tous ses échecs.
C'est la victoire de la barbarie, qu'elle vienne des rangs de Daesh ou de la tête de Bachar.
 
Cet enfant jeté par les flots rappelle la petite vietnamienne qui courait nue fuyant les bombardements. Il rappelle le silence des uns, l'impuissance des bonnes âmes, mais surtout il nous dit que le monde est ainsi : La barbarie a pignon sur rue !
On tue, on égorge et on filme le carnage, les décapitations, ici et ailleurs.
C'est cela, l'avenir du monde.
Avant on croyait à la solidarité, à la bonté, à l'humanité.
Tout cela est bien fini.
Bachar, après bien d'autres massacreurs de leur peuple, nous dit calmement « c'est moi ou le chaos », un chaos mis en scène par ses services.
Et le tour est joué.
 
La photo du petit garçon hantera ses nuits. Mais, vidé de toute humanité, il n'aura aucune émotion, aucun geste et passera une bonne nuit jusqu'au jour où il n'y aura plus de peuple syrien en Syrie.
Jusqu’au jour où les chrétiens d’Orient auront été euthanasiés.
Jusqu’au jour où les minorités kurdes auront été décimées.
Et que « nos politiques » auront d’autres mots que de manifester leur indignation, leur sentiment d’horreur, alors que c’est tous les jours depuis des mois et des mois que l’on rapporte de pareilles histoires, jusque depuis la Malaisie encore.
 
Après les « boat-people » laotiens ou vietnamiens, on a l’impression que l’humanité n’aura rien appris.
Et pourtant, durant le dernier siècle du dernier millénaire, elle aura eu tant de manière d’apprendre…
C’est à désespérer du genre humain.
 
C’est finalement ce qui m’est le plus insupportable : L’immense fatuité de « nos autorités » et autres « sachants » qui savaient et savent encore, qui n’ont que des mots et rien d’autres pour soulager la détresse humaine.
Après coup seulement…
Décidément inconcevable !
J’ai dû me tromper d’époque en naissant ici et ce jour-là, finalement.

6 commentaires:

  1. Allons! Allons! Beaucoup de poncifs véhiculés dans cet article ... L'Occident a donc porté, à bout de bras, des tyrans tels que Khadafi, Hafez El Assad puis Bachar El Assad? Quel ahurissant manque de clairvoyance!

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    1. C'est bien le fond de ma stupéfaction, jusqu'à l'insupportable...

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  2. Je crois aussi que je me suis trompé d’époque, ou de planète, je ne sais pas…
    Comment voulez-vous que nous fassions les bons choix pour la Syrie alors que nous sommes absolument incapables de contrôler nos dirigeants ?...
    Comment pourrions-nous trouver les bonnes solutions pour virer Assad et instaurer la paix alors que nous sommes incapables de regarder la vérité en face dans notre propre pays et simplement voir, montrer, dénoncer, qu’un président de la République a dérobé des milliards en 1991 lors de la guerre du Golfe ?...
    En fait, notre pays ne serait-il pas une tyrannie, lui aussi, certes édulcorée, pacifiée, mais une tyrannie quand même, tenue par des fats lâches, corrompus et moralisateurs, et qui se durcit avec des lois toujours plus liberticides ?...
    Et comment une tyrannie pourrait-elle trouver les solutions pour neutraliser une autre tyrannie sans utiliser ses propres méthodes, tyranniques elles aussi, même si c’est beaucoup plus sournois et retors ?...
    On a vu les méthodes guerrières appliquées par les Américains depuis 25 ans, une génération, en Irak, et on peut se demander comment s’en sortir avec les Russes dont le richissime président est statufié dans son pays !...
    Malheureusement, on ne pourra jamais rien faire de sérieux pour les crises créées par des dictateurs sanguinaires tant que nous serons nous-mêmes une dictature, « soft » certes !...
    Je sais, je me répète encore et toujours, mais c’est tellement évident pour des cerveaux lucides que c’en est presque désespérant de lassitude…
    L’Ami-râle

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    1. Et alors ?
      Abandonner tellement la tâche est immense qu'on ne sait même pas par où commencer ?
      Non, non et non !

      Je reste optimiste quant au fond : Une tyrannie finit toujours par s'effondrer sur elle-même.
      Notre problème, c'est qu'elle a les habits de la démocratie et qu'elle est mondiale, globale.
      Et quand elle s'effondrera, ce ne sera pas dans un seul pays, mais dans tous ceux qui sont corrompus.
      Et Dieu sait comme ils sont nombreux.

      Mais ça viendra, j'en suis sûr.
      Même si elle nous aura écrasés bien avant.

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. Abandonner ?...
      Vous connaissez mon avis : envoyer 1,5 millions d’hommes sur le terrain !...
      Au niveau planétaire, ce n’est vraiment pas un problème !...

      Il faudra créer une coalition internationale très large, un peu comme celle contre les Nazis, faire le « ménage » et tenir le pays.
      Et on s’en prendra pour une génération comme pour l’Allemagne !...

      C’est juste une question de temps, mais on y arrivera.

      Bien à vous !...

      Haddock

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    3. De temps, de volonté politique et géostratégique !
      Les moyens, on les a.

      En revanche, y'aura-t-il un leader capable de s'opposer pacifiquement, avec assez de poids, contre cette nouvelle colonisation, avec ses travers incontestables et qui mènent à des guerres de "libération", comme nous avons eu un De Gaulle ?
      A part justement Bachar, je n'en vois guère ...

      Enfin peu importe : On en est, seulement aujourd'hui, à quand même fermer les frontières le plus en amont possible pour protéger notre "modèle-social'.
      Qui se porte si bien par ailleurs.

      La quadrature du cercle, non ?

      Bien à vous !

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