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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 18 septembre 2015

Grand oral de l’Enâ.

Question posée à une jeune femme : 

« – Quelle différence faites-vous entre un mari et un amant ?
– Mon Dieu ! Mais c'est le jour et la nuit ! »
 
C'est une sage-femme qui se rend chez le boucher.
« Bonjour, je voudrais 450 g de petite saucisse SVP ».
Et le boucher coupe un morceau qui pèse pile poil 450 g.
« Un coup de chance », dit la dame.
« Oh non, juste 30 ans de métier, madame ! »
Elle se dit qu'elle va l'avoir et demande 225 g de pâté de foie.
Et le boucher lui coupe un morceau de 225 g.
« Vous voyez que ce n'est pas un coup de chance… »
Tout à coup, on appelle à l'aide car une femme est en train d'accoucher dans la rue, sur le trottoir.
La sage-femme accourt et met au monde un petit bébé.
« – 3,800 kg » estime-t-elle.
– Ah non – lui répond le boucher – 3,700 kg. »
Pour être fixé, le boucher demande à son apprenti de prendre le bébé et d'aller le peser.
« 2,300 kg », clame l'apprenti depuis l'arrière-boutique.
Le boucher et la sage-femme sont tous deux étonnés de se tromper autant.
« Tu es sûr ? » demande le boucher à son apprenti.
« Tout-à-fait : 2,300 kg, vidé et désossé. »
 
C'est un charpentier qui un jour, sur un chantier, tombe d'un échafaudage. Il s'explose la tronche par terre et les pompiers viennent le ramasser pour l'emmener au pavillon des urgences.
Arrivé à l'hosto, le chirurgien s'aperçoit qu'il a perdu une oreille dans l'accident.
Le toubib engueule alors les pompiers qui ont oublié de la ramasser et les envoie la rechercher sur le chantier.
Ils reviennent avec l'oreille du type et la donnent au chirurgien.
Le chirurgien (s'adressant au charpentier) :
« Dites mon ami, c'est bien votre oreille au moins ? »
Le charpentier (un peu vaseux) :
« Ah non, j'crois pas. La mienne, y'avait un crayon dessus. »
 
Un couple bon chic bon genre. Un soir comme il y en tant d'autres, il demande à sa femme :
« – Marie-Chantal, j'aimerais vous prendre comme une chienne !
– Mais vous êtes fou mon ami ! Entendre cela après 15 ans de mariage et que vous m'ayez donné trois enfants ! »
Elle éclate en sanglots et Georges-Henri ne sait plus trop quelle contenance prendre.
Les jours suivants, il pose à nouveau sa question qui suscite toujours le même refus scandalisé.
Un jour Marie-Chantal prend le thé chez une amie proche et lui expose ses soucis conjugaux.
L'amie tente de relativiser.
« Marie-Chantal, si tu ne fais rien, ton mari ira voir ailleurs, et peut-être n'importe qui : Une prostituée, un travesti que sais-je encore. Ça arrive tous les jours… »
Marie-Chantal est très ébranlée par ces conseils.
Aussi, le soir venu, lorsque Georges-Henri lui pose à nouveau la même question, sans conviction, elle répond faiblement :
« Je veux bien que vous me preniez comme une chienne, mais s'il vous plaît, faisons cela dans une rue où nous ne sommes pas connus. »
 
Tu t'aperçois que tu vis en 2015 quand :
– Toutes les pubs télé ont une adresse Web en bas de l'écran.
– Par accident, tu tapes ton mot de passe sur le micro-onde.
– Ça fait des années que t'as pas joué au solitaire avec des vraies cartes.
– Tu as une liste de 15 numéros de téléphone pour joindre une famille composée de 3 personnes.
– Tu envoies un e-mail à ton collègue qui a le bureau juste à côté du tien.
– Tu as perdu le contact avec tes amis ou ta famille parce qu'ils n'ont pas d'adresse e-mail.
– Tu arrives chez toi après une longue journée de travail et tu réponds au téléphone comme si tu étais encore au bureau.
– Tu fais le zéro sur ton téléphone de la maison pour prendre la ligne.
– Tu es au même poste de travail depuis 4 ans mais t'as déjà travaillé pour trois entreprises différentes.
– Tu paniques si tu sors de chez toi sans portable et tu fais demi-tour pour le prendre.
– Tu te lèves le matin et la première chose que tu fais c'est d'allumer ton ordinateur avant même de prendre ton café.
 
Moshé se tourne et se retourne dans son lit, il n'arrive pas à trouver le sommeil. Au bout d'un moment Sarah, son épouse, commence à s'inquiéter et lui demande :
« – Mais dis-moi Moshé, qu'est-ce qui t'empêche de dormir comme ça, tu emm… tout le monde, là ?
– Et bien voilà, je dois 5.000 € à Lévi et je dois lui rendre demain.
– Et alors ? Plaie d'argent n'est pas mortelle !
– Mais j'les ai pas les 5.000 €, j'vais pas pouvoir lui donner.
– Et c'est pour ça que tu dors pas ? Attends… »
Sarah se lève alors, va à la fenêtre, l'ouvre et appelle « Lévi, Lévi ! »
De l'autre côté de la rue, une autre fenêtre s'ouvre et Lévi demande, la tête enfarinée :
« – Quoi, Sarah, pourquoi tu m'appelles la nuit ?
– Moshé te doit 5.000 €, il les a pas, il pourra pas te les donner demain ! »
Elle referme la fenêtre, se tourne vers son mari :
« Maintenant, c'est lui qui ne dort pas. »
 
« C'est bien toi qui m'a dit que plusieurs hommes avaient demandé ta main, hein ? » demande le mari, énervé.
« Oui, plusieurs », répond sa femme.
« – Eh bien tu aurais mieux fait de te marier avec celui qui t'avait demandée le premier.
– Mais, c'est ce que j'ai fait ! »
 
C'est l'été et la canicule fait rage.
« Il fait trop chaud pour porter des vêtements », dit le mari alors qu'il sort de la douche dans son costume d'Adam.
« – Chérie, qu'est-ce que tu penses que les voisins diraient si j'allais tondre la pelouse dans cette tenue ?
– Probablement que je t'ai épousé pour ton argent », répond la femme.
 
Un vieil homme et sa femme décident de se séparer.
Avant que le divorce ne soit prononcé officiellement, le juge insiste pour que les époux rencontrent un médiateur familial.
Le couple accepte, mais dès la première réunion, il est clair qu'il ne sera pas possible d'éviter le divorce.
Étonné par une telle obstination, le médiateur leur demande :
« Monsieur, vous avez 95 ans, et vous Madame 92 ans. Cela fait 72 ans que vous êtes mariés ! Pourquoi vous séparer maintenant ? »
La femme répond :
« Cela fait 46 ans qu'on ne peut plus se supporter. Mais on a pensé qu'il valait mieux attendre que les enfants meurent avant de divorcer. »
 
Un collègue revient au bureau après 15 jours d'arrêt maladie.
« – Alors tu vas mieux ?
– Oui et ça a été pour moi une expérience magnifique !
– La grippe, une expérience magnifique ?
– Oui parce que j'ai compris à quel point ma femme m'aimait !
– Comment ça ?
– Ben, à chaque fois que le facteur sonnait, elle ne pouvait s'empêcher de crier sa joie : Mon mari est à la maison, mon mari est à la maison ! »
 
Anne-Marie a une crise cardiaque, et se retrouve à l'hôpital.
Sur la table d'opération, proche de la mort, elle vit une expérience extraordinaire.
Elle voit Dieu par hasard et lui demande :
« Mon heure est-elle arrivée ? »
Dieu lui répond :
« Non, il te reste 43 ans, 2 mois et 8 jours. »
À son réveil, elle décide de demeurer à l'hôpital, de se faire remonter le visage, faire une liposuccion, injecter du collagène dans les lèvres, refaire ses seins, réduire ses fesses et tout le reste.
Comme elle devait encore vivre longtemps, cela en valait la peine.
Après sa dernière opération, elle sort de l'hôpital, traverse la rue, et se fait renverser par un camion.
Arrivée au ciel devant Dieu, elle lui demande :
« – Il me semble que je devais vivre encore 40 ans et plus ! Pourquoi ne m'avez-vous pas fait éviter la trajectoire de ce camion ?
– Oh zut ! Je ne t'ai pas reconnue ! »
 
Donner un médicament au chat de la voisine (du vécu récemment) :
Prenez le chat dans le creux de votre bras gauche comme vous le feriez pour un bébé.
Mettez l'index et le pouce de chaque côté de sa gueule et exercez une légère pression tout en tenant le comprimé dans la main droite.
Quand la bouche s'ouvre, lancez la pilule.
Laissez le chat refermer sa gueule et avaler.
Ramassez le comprimé sur le sol et récupérez le chat derrière le canapé et recommencez.
Récupérez le chat sous le lit et jetez le comprimé qui est tout ramolli.
Prenez un nouveau comprimé, reprenez le chat dans le creux du bras gauche en lui maintenant fermement les pattes arrière de la main gauche.
Écartez les mâchoires avec force et poussez le comprimé dans le fond de la gueule avec l'index droit.
Maintenez la gueule fermée pendant 10 secondes.
Repêchez le comprimé dans le fond de l'aquarium, récupérez le chat au sommet de l'armoire et sollicitez l'aide de votre voisin de palier (I-Cube soi-même).
Agenouillez-vous, le chat fermement coincé entre vos cuisses, tout en lui tenant les pattes avant et arrière.
Ignorez les grondements du chat.
Demandez à votre voisin de lui ouvrir la gueule, d'y jeter le comprimé et de masser la gorge avec vigueur.
Récupérez le chat sur la tringle à rideaux.
Faites une note pour songer à réparer les rideaux et recoller les morceaux du vase.
Enveloppez le chat dans une serviette de bain et demandez à votre voisin de se coucher dessus en laissant la tête du chat apparente.
Mettez le comprimé dans une paille, forcez la gueule du chat et soufflez dans la paille.
Assurez-vous que le comprimé n'est pas nocif pour les humains et buvez un verre d'eau pour chasser le goût.
Pansez le bras de votre voisin et lavez le sang sur le tapis avec de l'eau et du savon.
Récupérez le chat chez ce voisin et prenez un autre comprimé.
Coincez la tête du chat dans l'entrebâillement de la porte de l'armoire.
Forcez sa gueule avec une cuillère et lancez le comprimé à l'intérieur avec un élastique.
Allez chercher un tournevis dans votre boite à outils pour remonter les charnières de la porte.
Appliquez-vous une compresse froide sur la joue, vérifiez la date de votre rappel de vaccination antitétanique.
Jetez votre tee-shirt et allez en chercher un autre.
Appelez les pompiers pour récupérer le chat dans l'arbre du jardin.
Excusez-vous auprès de votre voisin qui s'est écrasé le nez contre un mur en évitant le chat.
Prenez le dernier comprimé.
Liez les pattes du chat avec du fil de fer et attachez le tout au pied de la table.
Mettez des gants de jardinier, ouvrez la gueule du chat avec une clef à molette, poussez y le comprimé suivi d'un morceau de filet de bœuf.
Maintenez la tête verticale et faites couler un bon demi-litre d'eau pour dissoudre le comprimé.
Demandez à votre voisin de vous conduire aux urgences et gardez votre calme pendant que le médecin vous met les agrafes aux doigts et à l'avant-bras et vous retire les déchets de comprimé de l'œil droit.
Sur le chemin du retour, arrêtez-vous chez le marchand de meubles pour commander une nouvelle table.
Appelez le vétérinaire et demandez-lui s'il fait des visites à domicile.
 
Et puis une petite « revenue » (juste pour le plaisir) :
 
Un homme rentre chez lui le soir et croise un type dans l'escalier qui, arrive à son niveau et sans même lui adresser un regard, murmure :
« T'es cocu ! T'es cocu ! »
Un peu surpris, il poursuit son chemin, retrouve sa femme et oublie vite l'histoire.
Mais le lendemain, toujours en montant l'escalier, il rencontre le même personnage qui lui glisse discrètement :
« T'es cocu ! T'es cocu ! »
Un peu outré, il décide néanmoins de ne pas en parler à son épouse, pensant qu'il s'agit probablement là d'un fou.
Toutefois le troisième soir, lorsque l'incident se reproduit, il prend la décision de demander quelques explications à sa femme.
Cette dernière semble surprise et rassure son mari quant à sa fidélité.
L'homme oublie définitivement ce trouble-fête.
Le quatrième soir, voilà que le même type redescend l'escalier alors que notre homme rentre chez lui.
Cette fois, il l'attend de pied ferme.
Arrivé à son niveau, le personnage murmure :
« Cocu… et rapporteur avec ça ! »
 
La chute de l’originelle de Jean-Marc était la même, mais le texte a été enrichi quand Luigi me l’a racontée…
 
Bien à vous toutes et tous !
Bon week-end !
 
I3

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