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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 28 février 2016

Au nom du père (Chapitre XXXXII ; Tome II)

Épilogue et promotion du 14 juillet 2012 

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. 
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite ! 
 
C’est là, qu’après avoir consciencieusement épuisé Florence à lui faire la fête de ses sens et autres zones érogènes dès le premier soir, le lendemain il est à Paris à farfouiller dans les factures. 
Un paquet impressionnant est empilé sur son bureau : Une connerie. 
La plupart d’entre-elles sont bien arrivées à l’adresse de son domicile et Florence ne les a pas faites traiter par Barbara, les deux femmes étant un peu « en froid » depuis la fin de l’année. 
Pire, il y en a qui concerne la boutique de « flacons », d’autres celles de l’hôtel de Kotor, notamment les échéances de l’emprunt. 
Pour le reste Barbara et Jean-Charles sont contents de leur saison : Sur l’année, on atteint presque le niveau d’activité de la première année, mais, mais, mais, la trésorerie est à sec. 
Parce que, parce que, il y a eu des retours, des réapprovisionnements qui sont restés impayés, des frais de transport un peu plus importants que prévus, des frais de manutention aussi, mais bien sûr, les salaires et primes ont été versées aux deux zigotos ! 
Là, il s’agit de reprendre vivement les choses en main… 
 
Et Paul commence par passer un « savon écumant » digne des 50ème hurlants à sa « petite-équipe » qui se les tourne dans tous les sens sans mollir. 
Livrer de la marchandise venue des « 4 coins du monde », la préparer aux tarifs des heures supplémentaires, la livrer sans casse et ne pas se faire payer, Jean-Charles est bien un fonctionnaire-typique, avec les avantages du privé (les primes), mais n’a pas une once de sens commercial ni même de bon sens ! 
Ça chauffera tellement pour son matricule, qu’il en retournera dans sa retraite du Périgord ou d’ailleurs, sans plus demander son compte : Même pas son préavis. 
Quant à Barbara, elle s’est remise fissa au boulot, tremblante de peur, tellement la colère et l’échange de noms d’oiseau est violent avec Jean-Charles. 
Une petite chose recroquevillée et tremblotante, cachée au fond de son bureau… 
Et Paul a dû faire la tournée des popotes pour quémander des délais à rattraper les retards de paiement. 
 
La belle idée que de s’être lavé le neurone à l’eau de mer ! 
Et puis, il faut aussi préparer la saison des remises de diplômes, élargir la prospection, en amont et en aval, et damer le pion de la concurrence qui se réveille sur ce micromarché. 
Même des ex-étudiants, qui ont eu le bénéfice des premiers « flacons de promotion », se te mettent de la partie : Rigolos, c’est autant de plus que Paul perd à chaque fois, qu’on en est d’ailleurs, sur certaines grandes écoles à devoir répondre à des appels d’offre des bureaux d’étudiant. 
Non mais : Ça va vite devenir un métier de cinglé, si on y perd son temps à monter des dossiers-papiers sans savoir ce que les gens veulent de mieux ou de plus ! 
 
La fin de cette « affaire-là » est assez « croquignolesque », finalement. Et « fleur-bleue » aussi. 
Côté « croquignolesque », chacun aura pu constater que le « banquier des pauvres » des États failliteux n’aura jamais pu faire campagne pour ravir son fauteuil au Président Krasoski, alors qu’il était donné grand vainqueur du scrutin du mois de mai 2012 durant des mois et des mois auparavant ! 
C’était le vœu, l’ordre, du locataire de l’Élysée émis à Almont à l’adresse de l’agence. Et comme celle-ci ne pouvait pas faire, c’est à cette occasion que c’est retombé sur les épaules de Paul. 
Mais le titulaire du nouveau mandat présidentiel, après avoir pris connaissance du dossier, sachant que sans l’élimination, à la loyale, même si ce n’est pas très clair pour tout le monde, finalement, se rend compte qu’il doit d’être arrivé là où il est grâce à Paul, sans lequel rien n’aurait été possible. 
Et c’est sans doute pour cette raison que Paul de Bréveuil, capitaine de frégate réserviste figure au rang de chevalier de la Légion d’honneur dans la promotion du 14 juillet 2012, sur les quotas présidentiels ! 
 
Pour cette raison, ou pour d’autres : C’est marqué « Services rendus », au pluriel, « à la Nation ». Lesquels sinon ses tours du monde à la voile ou en « hypersonique » ?
Voire ses passages espionites en Chine et en Russie, ou encore ses « coups de pouce » pour Dassault… 
Paul arguera qu’il accepte, mais qu’étant aussi un agent secret très secret au service (intermittent) de la Patrie, il n’y a aucune photo de lui dans la presse et qu’il n’est pas question qu’on en fournisse aux ennemies de la patrie à cette occasion. 
D’autant qu’à ce moment-là, il n’est pas disponible : Mais c’est une autre histoire [1] ! 
Au moins, il échappe à la corvée des discours. 
Grand silence typique des « grands moments de solitude » à l’autre bout du fil, à cet instant-là ! 
« Et je fais comment pour vous la remettre, alors ? » fait le gars de la chancellerie. 
« Vous la mettez sur un coussin, vous faites votre cérémonie et avalez les petits fours pour moi, et vous l’envoyez à l’état-major de la marine à l’attention de l’amiral Morthe de l’Argentière. Lui seul sait encore où me joindre ! » 
Paul imagine la tête de « son chef » en lisant l’ordre de mission attaché à la breloque !
 
Toujours côté « croquignolesque », le successeur de la ministre des finances partie à Washington remplacer le queutard qui a échappé sans le savoir à une émasculation en règle, tout ça parce que deux filles ne savent pas lire un numéro de porte de chambre d’hôtel, il l’aura remplacée par un pur-produit de Rakchi, l’ancien président devenu amnésique de ses turpitudes de quand il était patron de la mairie de la capitale. Pour vérifier que le « pognon » a bien été remboursé aux américains : Mais c’est une autre histoire [2]. 
Ce dernier aura pu « contrôler » les informations sur le blanchiment de diverses affaires de rétro-commissions en cours. Et en « bon soldat », il aura eu l’occasion de changer plusieurs fois de partenaires « sexuelles-exclusives », d’apprendre son métier de « grand-argentier » à l’occasion de la vente de bâtiments de commandement à la flotte Russe, de se casser les dents sur la vente du Rafale au Brésil, à la Suisse, au Maroc, et aux Émirats-arabes-unis, mais y parvenir, hélas un peu tard pour des financements occultes de la vie politique intérieure, à destination de l’Inde. 
Quoique, l’annonce faite en Février 2012 aura mis bien du temps à se concrétiser : Bref un beau parcours d’apprentissage, et qu’il y en aura eu d’autres entre-temps qui lui grilleront la politesse. 
 
D’autant que la crise financière internationale aura bouleversé le monde entier, complétant la formation des unes et des autres, en commençant par la « gouvernance de l’Euroland », sur laquelle les bonnes fées du monde entier se seront penchées avec quelques appréhensions, des USA à la Chine, durant des semaines et des semaines qui ont suivie. 
Ce ne sera que pour mieux aborder la crise suivante et venir soutenir, bien plus tard, la finance internationale, anglo-saxonne notamment, déjà aux abois 5 ans auparavant sans que personne ne veuille s’en rendre compte. 
Il aura fallu pour ça piocher et puiser sans limite, poussé par les nécessités, dans la « boîte à cavalerie » du marché des devises triangulaires « Wall-Street/La City et les places off-shore des caraïbes », détruisant de la « monnaie fictive » pour éviter la faillite complète. 
Un monde d’illusions pris à ses propres pièges. 
Mais c’est encore une autre histoire que la presse ne contera pas tous les jours… 
En tout cas, l’Euro, la Grèce et les autres « PIGS » auront évité de justesse et provisoirement la catastrophe, moyennant d’amples sacrifices, de souveraineté, certes, mais aussi politiques, sociaux et économiques. 
 
Côté « fleur-bleue », « Krasoski », le président français sortant aura eu ce qu’il voulait : Une petite Juilletta est née en octobre 2011 de ses ébats enfin féconds d’avec son épouse légitime du moment, la troisième. 
C’est aussi un peu grâce à Jean-Luc, le « pornocrate » et ses prothèses remises au couple présidentiel par l’entremise de « Monsieur Albert » et ses épouvantables « ririri », avec pour intermédiaire insoupçonné « Charlotte-en-mission » ! 
D’ailleurs, il s’en resservira plus tard… 
Et de son côté, Florence mettra au monde une petite Annabelle en novembre 2012, comme en réplique… 
Mais sans « artifices ». 
 
Pour Paul, les « vacances » c’est un peu plus tard : D’abord il se doit de convoyer du Port des Minimes jusqu’au seul chantier qui l’accepte en Balagne, le « Lisbeth ». Il aurait dû remonter les canaux plutôt que de faire le tour de la péninsule ibérique : Le « Lisbeth » n’arrivera jamais en Corse et Paul sera contraint par les événements à courser « Ahmed la diabolique » pendant les mois qui suivent jusqu’aux abords de Londres. 
Mais là encore, c’est une autre histoire [3]. 
En revanche, c’est l’occasion d’un « épisode-fameux » où Florence se met en peine pour passer devant Monsieur le Maire, « officialiser », comme elle l’espère. 
Ce que refuse d’emblée et avec une constance indéfectible, le père de sa progéniture, à savoir Paul… 
Le mariage, ça sert à quoi au juste ? 
Pas question de rester « fidèle » à la même paire de fesses toute une vie : C’est largement au-dessus de ses moyens psychologiques, pour être honnête.
Elle en fera une maladie, limite dépression, telle que Barbara se montrera utile en la circonstance. 
 
Et il a fallu faire face à la belle-famille. Florence, elle a une mère, un père, deux frères et deux belles-sœurs dont l’une armée de mômes infernaux et braillards. 
Ça ne donne pas vraiment envie d’en faire, sur le coup. 
Le père est un retraité d’EDF, la mère une retraitée de la mairie locale dans le Vaucluse où Paul se rendra pour faire plaisir à Florence jusque dans leur fermette usagée. 
Et puis ça reste convenable en pareilles circonstances. 
Lui croit qu’il est venu avec ses gants-beurre-blanc faire sa demande en mariage : Il déchante à son tour. Une fille-mère dans sa famille, ça ne s’était jamais vue. 
Eh, elle n’est pas abandonnée, la « fille-mère » : L’avenir matériel est assuré… 
Elle, c’est genre « dondon » blondasse qui fait un gringue pas croyable à Paul, le collant aux baskets en toutes occasions, la soixantaine ayant du mal à être assumée. 
« Jean-Jean », le frère aîné est chauffeur-routier avec tout l’attirail qui va avec, du tour de coffre aux tatouages en passant par le jean-crasseux et la tignasse en queue-de-cheval… Il a épousé une dénommée Françoise, une fille sans aspérité, toute menue, qu’on se demande comment il lui a fait deux gosses en poussette & berceau sans l’écraser. 
D’ailleurs, elle ne s’occupe que de ses marmots : L’horreur. 
« Pierrot », le fils cadet est mécanicien dans un garage de la ville, l’air souple sur jambe et agile des doigts. 
Sa femme, Élisa, a un gros cul qu’elle croit manifestement irrésistible à le dandiner ostensiblement sous le regard de tous les mâles qui rentrent dans son champ de vision : Un vrai poème ! 
Sans enfant : Comme quoi, il n’a pas encore trouver la bonne position, semble-t-il. 
Bref, soulagement quand Paul et Florence rentrent sur Paris. 
 
L’accouchement de Florence, dans les grandes douleurs de l’enfantement maîtrisée par péridurale – une aiguille grosse comme ça que Paul a failli en tourner de l’œil – ce sera aussi l’occasion pour bien des ex de Paul de faire un détour par Paris, admirer le rejeton : Toutes de féliciter l’heureuse maman, toutes de reconnaître le « portrait craché de son père », aucune pour féliciter ou flatter l’organe externe qui a permis cet heureux événement : Faut dire qu’elles en avaient usé et abusé… avant ! 
Même Lady Joan aura fait le déplacement. Alors que Paul s’était rendu compte un peu avant combien sa fausse-couche l’a vraiment déconfite au plus haut point. 
Elle est repartie avec ses immenses regrets et déceptions. 
Et quelques compensations. 
 
Toutes, non ! Cécile est restée cachée parmi le personnel de l’hôtel de Kotor de Paul et évite de circuler ailleurs. Stéphanie est soi-disant du côté de Caracas à l’abri d’une éventuelle expulsion vers la France. Carine et Claudine, les sœurs qui n’ont pas voulu piéger leur « client de Washington » au Sofitel de New-York, enverront un petit mot et une barboteuse premier-âge aux couleurs du drapeau des USA d’un goût douteux.
En revanche, Isabelle Nivelle est fondante. Mylène, encore pire dans son rôle de « grand-mère » de substitution : Elle en a presque l’âge et Eva sa fille tarde à se reproduire… 
Résultat, elle est en répétition de son futur état de « mamy » !
Le plus drôle, ce sont Charlotte, la vraie, et Aurélie, qui rappliquent après avoir vendu leur « nouvelle boîte » à plus gros qu’elles : Pourquoi « tuer la concurrence » quand on peut la racheter ? Une méthode anti-dumping bien américaine… 
Charlotte, la vraie, fait un cinéma pas possible pour avoir un « petit-bout-de-chou » aussi craquant rien qu’à elle ! 
«Tu peux pas, tu as horreur des bêtes à poil ! » 
Et la FIV ? « Paul, tu ne peux pas me refuser ça, moi, ta vieille copine ! » Le tout devant le berceau d’Annabelle !
Fabuleux… 
« Faudrait déjà que tu apprennes à branler une bite… Ça ne me paraît pas possible avant de longs siècles ! » répond Paul dans un éclat de rire communicatif. 
Y’a vraiment que Florence qui n’apprécie pas, limite « baby-blues »… Et on peut comprendre ! 
Quant à Aurélie, elle trouve que c’est vraiment « tout-petit-petit », un bébé, tout juste comparable à insecte presque dégoûtant. 
Pas encore l’instinct maternel en éveil… 
 
C’est aussi l’occasion pour « la famille » de resserrer des liens distendus depuis fort longtemps : Sandrine, la première épouse de Jacques fait le détour par Paris et profite de l’hospitalité du Kremlin-Bicêtre aménagé à la hâte pour préparer Noël avec ses enfants, Alain et la petite Christine entre les cartons de six de la troisième opération « flacons-estampillés ». 
Plus inattendues, les « trois cochonnes », Arlette, Huguette et Pierrette, les filles de l’oncle-honteux, celui qui s’est fait surprendre à se faire sauter par UN clerc du cabinet, chassé par le grand-père jusqu’au diable vauvert, passent également à tour de rôle. 
L’une avec sa propre marmaille, Huguette avec son mari qui n’en finit pas de « cocher-clair » et Arlette avec une boîte de chocolat et son éternel appareil dentaire… en « vieille-fille-à-caser » encore assez jolie malgré l’âge qu’elle porte mal.
Enfin, « jolie » pour ceux qui aiment les sourires métalliques et les hanches larges et sans fesse. 
Même Sylviane et Josiane, viennent en voisines un soir. 
L’hôtel de long séjour médicalisé que Paul leur avait fait construire dans l’immeuble de leur propre père, le frère du grand-père de Paul et de Jacques, le « colonel » François-Henri, tourne toujours. Et Jacqueline, leur mère à la cuisse si légère en d’autres temps et aux états d’âme paranoïdes, y séjourne toujours, dans un fauteuil à roulette, atteinte précocement de la maladie d’Alzheimer doublée de syndromes parkinsoniens. 
Dur ! 
 
Plus tous les autres, plus ou moins habitués, dont même Jean-Charles qui cherche à aplanir les difficultés pour revenir bosser avec Paul (ce qui tombe bien, parce que janvier 2013 commence par une tonitruante inspection fiscale des comptes de Paul, et que c’est lui qui tenait les comptes & déclarations des années contrôlées). Gabrielle qui patine à revendre les « bijoux de famille de la République ». Joëlle Lidoire, la hackeuse de la Cour des comptes. Et même Emily arrivant du Texas pour respirer l’air de Paris, la chanteuse première et unique épouse de Paul. 
« Tu as bien de la chance, Florence ! C’est un peu grâce à moi qui l’ai laissé partir… » 
Salope, oui ! 
« Vous vous êtes mariés, du coup ? » 
Non ! Et pour cause : La première expérience de Paul en la matière ayant été tellement désastreuse ! 
« Alors tu es toujours un cœur à prendre, mon chéri ! » 
Salope, oui ! 
Un numéro pareil devant une primipare, il faut avouer que c’est d’un déplacé absolu ! 
Mais elle se rattrape dans les compliments à la maman assurant elle aussi que le bébé, « C’est vraiment le portrait craché de Paul ! Bravo ! » 
 
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[1] Cf. l’épisode : « Parcours olympiques », à paraître aux éditions I3
[2] Cf. l’épisode : « Opération Juliette-Siéra », parue aux éditions I3
[3] Cf. l’épisode : « Parcours olympiques », à paraître aux éditions I3.

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