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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 3 février 2016

Ils vous ont fait caguer le mardi en huit !


Moi, ils me font marrer !

Je veux parler des taxis parigots et autres qui n’ont encore rien compris de la vie et qui vous auront bloqués sur les routes franciliennes tout au long du « mardi-noir » (et suivants), avec les enseignants et instits’, une énième fois, les fonctionnaires, les agriculteurs, les aiguilleurs du ciel, les postiers du Val-d’Oise, les TER d’Aquitaine et du Poitou-Charentes et je ne sais plus qui d’autres…
Au moins, à Venise, on n’a pas ces problèmes et pour cause : Hors les parkings de la « Piazzale Roma » et de « Tronchetto », il n’y a pas de véhicule à roues motorisé.
C’est tout simplement interdit.
On circule à pied, parfois en « Vaporetto », en « taxi-sur-l’eau » et plus rarement en gondole : Point-barre.
De toute façon, la ville est une des rares au monde à ne pas être équipée pour des déplacements en voiture.

Quant à mon « tas de boue à roulettes », il est planqué à Mestre, chez un particulier et, quand j’en ai besoin pour faire « mes tournées » dans l’arrière-pays où mes allers et retours hebdomadaires vers Monaco ou Piombino comme la semaine dernière, il me faut environ 20 minutes, 30 à tout casser et de porte à porte, pour faire les 9 km nécessaires pour en prendre possession, à travers le bien-nommé, « pont de la liberté ».
Les trains roulent toutes les 10 minutes, parfois moins, et sans discontinuer, même la nuit.
Et le coût n’a plus rien à voir avec un ticket de parking, absolument hors de prix, même pour « les locaux ».
Alors pourquoi se gêner ?
Et pourquoi gêner autrui au juste ?

J’ai suivi ça de loin, parce qu’aujourd’hui je monte sur « das groβ Paris-sur-la-Seine », (10 heures d’autoroute, 1.100 km, juste un plein à tarif réduit en ce moment) non pour aller faire la bise à « Sœur Âne » qui persiste à délirer « sur-plage » dans son magnifique bureau-sur-Seine de mairesse et autre communauté d’agglomération, mais parce que je compte bien arriver chez « ma nichée » au complet demain, donc arrivée avant ce soir, pour fêter mon anniversaire avec elle, en plus de la « cousinade » réunie à cet effet : C’est que sans mon « ange-gardien », je ne serai plus de ce monde à vous relever les effets de l’immense fatuité de vos « sachants » et autres élus de vous-même, à peu près quotidiennement, et que ce n’est jamais que provisoire !
Je vous le dis, je fais du « rab » depuis tout jeune, ça ne va donc pas durer éternellement. Alors pourquoi les priver de cette joie putative ?
À condition de ne pas être emmerdé sur la route : D’où mes « actions » pour convaincre tout ce beau monde de faire caguer la populace ravie aux anges, une semaine plus tôt.
J’espère bien que mes efforts seront payants.

Tout ça pour vous dire que les taxis s’aveuglent eux-mêmes à préserver leur « rente de situation » (une idée du « cousin Pasquale », que de rendre cessible leur licence de stationnement), alors qu’ils ont sous le pied la capacité juridique de « combler les vides » entre deux « prises en charge » au lieu de poireauter comme des kons aux têtes de station ou de polluer à « marauder » sur les boulevards et le tout pour un smic amélioré, voire tout juste doublé quand ils ont enfin remboursé l'achat de leur plaque.
Car la réglementation applicable aux taxis glisse vers le grand n’importe quoi. Après les blocages que les chauffeurs parisiens avaient imposés au printemps, une décision du Conseil Constitutionnel vient de mettre les pieds dans le plat : Le cumul des métiers de taxi et de chauffeur de voiture de tourisme est possible !

Rappelons que le problème récent est venu d’une question prioritaire de constitutionnalité, qui a mis sur la table le sujet qui fâche : Pourquoi seuls les taxis peuvent-ils bénéficier d’une convention avec la sécurité sociale pour transporter les patients malades, bouffant aussi la laine sur le dos des véhicules « médicalisés » ?
Pourquoi les fameux VTC en sont-ils exclus ?
Et, subsidiairement, pourquoi l’article L. 3121-10 du code des transports dans sa rédaction issue de la loi du 1er octobre 2014 prévoit que « l’exercice de l’activité de conducteur de taxi est subordonné à la délivrance d’une carte professionnelle par l’autorité administrative. » ?

Le plaignant revendiquait la possibilité, en tant que VTC, d’exercer, avec un véhicule différent et conforme à la réglementation, le métier de taxi conventionné par la sécurité sociale pour le transport des assurés.
Le Conseil Constitutionnel lui a donné largement raison en considérant que l’interdiction de cumuler les fonctions de VTC et de taxi constituait une atteinte à la liberté du commerce : « En instituant l’incompatibilité prévue par les dispositions contestées, le législateur a porté à la liberté d’entreprendre une atteinte qui n’est justifiée ni par les objectifs qu’il s’est assignés ni par aucun autre motif d’intérêt général. »
Alors que l’inverse reste possible, juridiquement permis, sinon encouragé…
Deux poids, deux mesures, c'est anticonstitutionnel et paf, prends-toi ça dans les dents !

Soi-disant, lors du vote de la loi sur les VTC, les taxis avaient obtenu une protection contre Uber en limitant les conditions d’exercice du « métier » de VTC et en préservant leur statut de taxi. D'ailleurs Uber vient de se prendre une maxi-amende pour seulement avoir omis de redire à ses chauffeurs de repasser au dépôt à la fin de leur dernière course, tant qu'ils n'en ont pas une autre prévue : C'est la loi.
Le Conseil Constitutionnel vient de mettre à bas brutalement cette protection en autorisant les VTC à exercer aussi le métier de chauffeur de taxi.
Et du coup de VM, voire d’ambulancier.
Alors que les chauffeurs de taxi qui se plaignent de payer trop de charges, on leur rappelle à l’occasion qu’ils vont désormais pouvoir travailler avec Uber et consorts !

Petit à petit, le Conseil Constitutionnel ouvre la voie à une normalisation par la liberté : Le « producteur », c’est-à-dire le chauffeur, pourra mettre en concurrence les différentes façons d’exercer son activité. La décision du Conseil rééquilibre donc fortement le rapport de force et devrait vider le statut de chauffeur de taxi de tous les abcès qui en compliquaient l’exécution.
C’était la décision la plus sage à prendre, mais elle revient, de fait, à aligner le statut de chauffeur de taxi sur celui de VTC.

Et justement un nombre conséquent de chauffeurs de taxi risque de l’avoir très mauvaise. Beaucoup se sont endettés, dans les grandes villes, pour acheter leur licence. À « Paris-sur-plage », la valeur de celle-ci subit de fortes fluctuations, mais elle dépasse les 50.000 euros, et parfois les 150.000 euros.
Ceux qui se sont saignés aux quatre veines toute leur vie pour la rembourser en sont pour leurs frais. Dès lors que les taxis peuvent aussi être VTC, la valeur de la licence, qui était fondée sur le monopole, va s’effondrer.
Mais c’est un mal pour un bien, car les taxis occultent toujours les avantages concrets de la condition de VTC par rapport à la leur alors même qu’ils oublient leurs propres avantages fiscaux.
En particulier, les chauffeurs de VTC disposent d’une très grande souplesse horaire, d’une grande liberté d’organisation, et ne sont pas spoliés comme les chauffeurs de taxis salariés.
Qui plus est, la facturation des courses par la plate-forme numérique leur facilite grandement la vie…

En réalité, l’uberisation intelligente (c’est-à-dire sans monopole confié à Uber) permet d’améliorer considérablement la condition de taxi, en supprimant les rentes scandaleuses liées au monopole, comme l’achat de la licence à des tarifs extravagants.
On rendra grâce au Conseil Constitutionnel d’avoir enfin ouvert cette évolution fondamentale à l’occasion d’une loi liberticide, protectrice, une fois de plus, des rentes de leur monopoles : Un comble pour un gouvernement soi-disant des « pas nantis », voire des « sans dents », et qui lutte contre les « rentes de situation » (des notaires et de quelques autres professions protégées) !
En attendant, ils ont bloqué les franciliens : Un coup de bol que Sud n’ait pas bloqué toutes les gares !

Moi je m’en tamponne : Je rentre demain par un autre chemin (le Rhin, la Suisse où je rends visite à mon alter-ego helvète pour qu’il me parle de Davos, parce que mon boss-à-moi est rentré démoralisé, alors que tout le monde en repartait « optimiste » pour 2016, et je veux en comprendre plus pour lui proposer des solutions qui me feront mousser un peu mieux que les collègues), si « l’autorité » n’en profite pas pour m’embastiller au titre des mesures d’état d’urgence.
Manquerait plus que j’en sois une sans le savoir, n’est-ce pas !

Bien à vous.
Je vous laisse un post promis et déjà évoquée sur « Promis », juste histoire de mettre à jour mes « archives » et de vous éclairer sur la nature de votre environnement immédiat.
Souhaitez-moi une bonne route comme je vous souhaite de bonne lecture !

I3

1 commentaire:

  1. ... Et il paraît qu'aujourd'hui, c'est au tour des VTC (et LOTI) de vous faire caguer sur les boulevards ?
    De quoi en rire, non ?

    Bien à vous !

    I-Cube

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