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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 5 février 2016

J’ai été sur la route une bonne partie de la semaine…


Alors la récolte hebdomadaire des « blagues d’en rire » est maigrichonne ! 

Saurez-vous me pardonner ?
D'autant que j'aimerai bien assister au Gala du roi organisé à l'occasion du Carnaval de Venise, pour une fois !
C'est que j'y suis invité en qualité de VIP, cette année...
 
Un ivrogne invétéré rencontre son curé au moment où il rentre chez lui.
L'ivrogne est passablement éméché et demande au curé de l'accompagner…
« Non ! » répond sèchement le saint-homme. « Il n'en est pas question ! Vous devriez avoir honte de votre conduite, de vous mettre ainsi dans un état pareil si indigne d’un enfant de Dieu, mon fils. Et puis c’est beaucoup trop tard ! »
« Oh ! » fait Robert suppliant. « Juste une minute mon père ! Juste pour que ma femme constate avec qui j'étais sorti… »

Le même, un autre jour :
Il s’adresse à sa femme.
« – Je vais me coucher, mais réveille-moi dès que j'aurai envie de boire.
– Et comment je saurai, moi, que t'as envie de boire ?
– T'en fais pas, t'as qu'à me réveiller. »

Bernard revient chez lui à l'improviste.
Il entre dans la chambre et s'étonne de trouver sa femme entièrement nue…
« – Bin ma chérie… Pourquoi es-tu toute nue ?
– C'est parce que tu ne m'achètes plus de vêtements, alors forcément, je n'ai plus rien à me mettre !
– Tu te fous de moi, là ? »
Il ouvre la penderie et compte les robes sur les cintres.
« Une robe… deux robes… trois robes… pardon monsieur… quatre robes… »

La jeune secrétaire de Robert est arrêtée 15 jours pour une appendicite aiguë.
Une de ses collègues va la voir à l'hôpital pour prendre de ses nouvelles et lui en donner.
« Comment ça va, au bureau ? », demande notre malade.
« Bah ! Tout le monde y met un peu du sien pour te remplacer… Sylvie fait le café, Monique lit tes magazines et Marie-Claude, tous les jours à 16 heures, fait une petite gâterie au patron… »

Un petit parisien va à la campagne et tombe en admiration devant un troupeau de vaches.
« Elles te plaisent ? » lui demande le fermier.
« Oui ! Mais elles doivent vous coûter drôlement cher en chewing-gum ! »

Deux collègues de bureau.
Robert est vraiment triste depuis plusieurs jours.
Bernard s'en inquiète et lui préconise :
« Tu sais, moi dans ces cas-là, je ne cherche pas trop le pourquoi du comment et quand je rentre à la maison je fonce sur ma femme et je lui fais l'amour jusqu'à plus soif. Tu devrais essayer je t'assure, avec cette méthode tu verras la vie en rose à nouveau. »
Après plusieurs jours pendant lesquels la mine de Robert s'est améliorée de façon visible, le Bernard aux bons conseils vient aux nouvelles :
« – Alors, toi je suis sûr que tu as appliqué mes conseils à voir ta mine toute épanouie…
– Oh oui, tu avais bien raison ! Mais dis-donc, tu m'avais caché comment c'était aussi beau chez toi ! »

Vladimir Poutine reçoit un télégramme du fin fond de la Sibérie :
« Urgent, urgent ! Envoyez au plus vite 100 wagons de vodka.
Les gens se réveillent et demandent où est passé le Tsar Nicolas II ».

Winston Churchill : « Christophe Colomb fut le premier socialiste : Il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait, et tout cela aux frais des autres. »

Un toubib à notre Robert :
« – La cause de tous vos maux, c'est l'alcool !
– Ah, merci docteur ! Vous au moins, vous ne me mettez pas tout sur le dos ! » 

Le pharmacien s'étonne :
« – Mais pourquoi les voulez-vous noir, vos préservatifs ?
– J’ai promis à ma femme de porter le deuil jusqu'au bout ! »

« Le sida est une maladie du XXème siècle.
Par conséquent 2 pays sont à l'abri : Le Japon qui vit dans le XXIème siècle et la Russie qui vit au XIXème. »

Santé publique : « Mari-seul Tour-Haine » annonce la fin du Viagra dans les pharmacies !
La Ministresse a décidé hier le retrait du Viagra du marché.
Motif ?
Un traitement plus efficace a été mis sur le marché : L'eau bouillante !
En effet, l'eau bouillante durcit les œufs, allonge les saucisses et ouvre les moules…

« Comment reconnaître un Belge dans une partouse ?
C'est le seul qui nique sa femme ! »

Germaine et Léon, un couple d'agriculteurs retraités, veulent vendre leur ferme pour acheter une maison.
Ils passent chez le notaire, qui demande à Germaine :
« – Vous préféreriez l'habitat rural ou l'habitat urbain ?
– Oh, vous savez, à mon âge, la bite à Léon me suffit largement… »

Un communiqué de l'agence officielle de presse de Pyongyang (Corée du Nord) :
« Hier, dans l'Océan Pacifique, un sous-marin américain a coulé après avoir heurté un iceberg.
Le capitaine de l'iceberg a été nommé à l'ordre du mérite du parti des travailleurs ».

Le carré de Jacques :

Moïse, poussant son peuple harassé à travers le désert, arrive sur les bords de la Mer Rouge, fait claquer ses doigts et crie : « Manny ! »
Manny,  le chargé des relations publiques, arrive, hors d'haleine :
« – Oui, Chef ?
– Les bateaux !
– Quoi, les bateaux ?
– Les bateaux ! », répète Moïse furieux. « Où sont les bateaux pour traverser la Mer Rouge ?
– Oy, oy vay, Moïse, avec tout le travail que j'ai en ce moment, toutes ces histoires à publier … j'ai oublié !
– Tu as… quoi ?
– J'ai oublié !
– Tu as oublié ! Espèce d'idiot, crétin, shlémil (*) !
Les égyptiens seront là d'une minute à l'autre.
Qu'est-ce que tu attends de moi ?
Que je parle à Dieu, que je Lui demande de partager la Mer Rouge pour qu'Il laisse passer les Hébreux et qu'Il noie nos poursuivants ?
C'est ça que tu veux ?
– Patron, si vous faites ça, je vous obtiens deux pleines pages dans la Bible ! »

Cette histoire-là se passe sous le règne du grand roi Salomon.
Une femme est abandonnée par son mari et à cette époque, c'est dramatique car elle n'a ni statut social, ni revenus.
Sa mère se lance donc à la recherche du mari indélicat.
Après une longue traque, elle arrive dans une ville où elle hésite entre deux hommes, car elle ne connaît pas son gendre : Lequel est le bon ?
Elle les traîne tous les deux à la cour du roi Salomon qui, après l'avoir écoutée attentivement, dit brusquement :
« Gardes, emparez-vous de cette femme et coupez-la en deux ! »
L'un des hommes s'écrit : « Non, pitié, ne faites pas cela ! »
L'autre intervient : « Allez-y, obéissez aux ordres ! »
Et Salomon le désignant : « C'est lui le gendre ! ».
(Vous ne la connaissiez pas, celle-là, hein, toutes & tous à vous rappeler l’histoire de la revendication d’un enfant à couper en deux !)

Les jésuites et les dominicains ont la réputation de ne pas faire bon ménage, les seconds accusant les premiers d'esprit tortueux.
Un jour, un jésuite débarque à Rome et aborde un dominicain pour lui demander le chemin de la basilique Saint-Pierre.
« Mon Père », répond le dominicain, « vous ne trouverez jamais ! C'est tout droit. »

Quand elle était petite, elle était persuadée que Dieu avait une femme (comme son pasteur) et que Sa femme se nommait Clémence.
Parce qu'un jour, elle avait entendu lors d'un sermon, le pasteur parler de « Dieu et sa grande Clémence ».
Elle mit des années de petite fille avant de comprendre qui était réellement cette divine compagne…

Le Concorde de British-Airways est au milieu de l'Atlantique, rejoignant New-York à partir de Londres.
L'évêque de Canterburry appelle le steward et lui demande :
« – Un whisky sec, s'il vous plait !
– Bien, Monseigneur.
– Au fait, on est à quelle altitude ?
– 16.000 mètres, Monseigneur !
– Annulez le whisky, et mettez moi une camomille… on est bien trop près du Patron ! »

(Aparté @ Jacques : Vous voyez, on peut ainsi « en rire » même des « papistes » comme des « hérétiques-huguenots », anglicans compris et sans jamais la moindre trace de haine ou de rejet !
Et je dois admettre que j’ai un faible pour celle du jésuite et du dominicain, tellement elle « fait vrai »). 


(*) Pour les goys : Un shlemil, c'est celui qui tombant sur le dos parvient à se casser le nez...

Bon week-end à toutes et tous !

I3

2 commentaires:

  1. J'adore la définition du "shlemil"! Etant, pour ma part, un goy, je ne la connaissais pas! Je confirme, pour être allé en Israel, que là-bas, on parle hébreu! La preuve : je ne comprenais RIEN!

    J'en ai une concernant les Franciscains, les Dominicains et les Jésuites ...
    C'est l'histoire d'un mec qui a eu la mauvaise idée de mourir et qu'il faut donc inhumer.
    Au pied de la fosse, le Franciscain sort de sa robe de bure absolument dégueulasse un billet de 10 euros, tout aussi dégueulasse et, en plus complètement froissé. Il jette le billet dans la tombe pour marquer son désintéressement total des choses de ce bas monde.
    Vient le tour du Dominicain qui, soucieux de faire mieux que son coreligionnaire, sort de sa robe de laine d'un blanc impeccable et repassée tout aussi impeccablement un beau portefeuille en cuir duquel il extrait un billet de 100 euros tout neuf qu'il jette dans la tombe afin de marquer son désintéressement des choses de ce bas monde.
    Vient enfin le tour du Jésuite. Il sort son carnet de chèques, fait un chèque de 500 euros, le jette dans la tombe et récupère les deux billets de 10 et 100 euros!

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  2. Excellente !
    Merci.

    Ils parlent aussi un peu l'anglais. Et mes guides parlaient francilien, sans ça, je n'y serai pas arriver...

    La définition du shlemil, je la tiens de mes "potes" feuj !

    Bien à vous !

    I-Cube

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