Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 30 avril 2016

Prochaine révision constitutionnelle


C’est juste pour mieux en rire…
 
Nous l’avions déjà évoquée, dans un post du 21 avril dernier :

PROPOSITION DE LOI
INSTITUANT LE CONTREDIT D’UNE CENSURE DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
PAR LE PARLEMENT RÉUNI EN CONGRES



EXPOSE DES MOTIFS



La Constitution de 4 octobre 1958 devait, selon Monsieur Michel Debré, rééquilibrer les pouvoirs législatif et exécutif en consacrant un parlementarisme rationalisé, destiné à corriger certaines dérives qui avaient précipité la fin des IIIème et IVème Républiques.



En réalité, depuis la réforme constitutionnelle du 6 novembre 1962, le Parlement a connu un déclin continu de ses prérogatives ; et ce dans un domaine qui était déjà borné par l’article 34 de la Constitution.



Ce lent déclin a été accéléré par la création en 1958 du Conseil constitutionnel, qui avait principalement été conçu comme le gendarme de la représentation nationale. Cette emprise a été accentuée par l’élargissement progressif des voies de saisine des neuf sages, depuis la révision du 29 octobre 1974 jusqu’à celle en date du 23 juillet 2008.



Nous assistons clairement à la transformation de l’institution de la rue Montpensier en une Cour suprême, au moment même où la démocratie américaine commence pourtant à montrer ses limites.



Il existe d’ailleurs une différence majeure entre la Cour suprême d’une part et le Conseil constitutionnel d’autre part. En effet, si l’on trouve dans les deux cas des juristes éminents désignés par des autorités élues par le suffrage universel, il est évident que les neuf sages sont trop souvent issus du sérail politique français. La présence en surnombre des anciens Présidents de la République française accentue bien sur ce clivage partisan.



C’est la raison pour laquelle, contrairement à la Cour suprême, le Conseil constitutionnel fluctue trop souvent en fonction de l’opinion publique et des majorités sorties des urnes.



Le meilleur exemple est celui de la fouille des véhicules. Cette disposition sèchement et totalement censurée par une décision du 12 janvier 1977 a été ensuite largement autorisée par une décision du 13 mars 2003. Sans trancher sur le fond du problème, on ne peut que constater l’absence de tout corpus jurisprudentiel stable au fil des ans.



Il en est de même, et c’est là la plus grave, pour l’application de l’article 55 qui stipule que certains traités ou accords ont une autorité supérieure à celle des lois. Or, l’irruption de ce principe dans le titre XV « De l’union européenne » a progressivement bouleversé l’élaboration de notre droit interne. Le Parlement a été transformé en une chambre d’enregistrement des directives européennes et en un spectateur passif des règlements européens d’effet direct.



Or, les neuf sages irrités eux-mêmes par cette mainmise de l’européisme ont clairement indiqué que la seule façon d’éviter cette dépossession de notre droit interne consisterait à inclure dans notre Constitution une disposition contraire à une norme européenne que l’on tenterait de nous imposer.



C’est cette voie qu’a largement empruntée la présente proposition, en laissant le dernier mot à la représentation nationale ou au suffrage universel ; à travers une procédure évidement moins lourde que celle de l’article 89 de la Constitution.



Proposition de loi constitutionnelle



Article 1er :



Le premier alinéa de l’article 62 de la constitution est ainsi rédigé :



« Une disposition déclarée inconstitutionnelle sur le fondement de l’article 61 ne peut être promulguée ni mise en application, sauf si le Parlement réuni en Congrès confirme cette disposition, suivant la procédure de contredit constitutionnel prévue par l’article 62-1. »



Article 2 :



Le troisième alinéa de l’article 62 de la constitution est ainsi rédigé :



« Hormis la procédure de contredit constitutionnel prévue par l’article 62-1, les décisions du conseils constitutionnel ne sont susceptibles d’aucun recours. Elles s’imposent à toutes les autorités administratives et juridictionnelles. » 



Article 3 :



Il est créé un article 62-1 de la constitution ainsi rédigé : 



« Lorsqu’une disposition a été déclarée inconstitutionnelle sur le fondement de l’article 61, les Présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat peuvent inviter le Président de la République à convoquer le Parlement en Congrès dans le délai de deux mois.
Le Congrès réexamine la disposition initialement déclarée inconstitutionnelle.
Aucun amendement d’origine gouvernementale ou parlementaire n’est recevable.
Le Congrès, statuant à la majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimé peut voter un contredit constitutionnel stipulant que les dispositions initialement censurées par le Conseil constitutionnel sont néanmoins conformes aux impératifs de démocratie et de souveraineté nationale qu’ impose la tradition républicaine.
Cette décision est insusceptible de recours. 
Après adoption du contredit, le Parlement réuni en Congrès décide, par un vote distinct et à la majorité des suffrages exprimés que les dispositions initialement censurées par le Conseil constitutionnel seront soit promulguées sans délai, soit soumises à un référendum dans le délai de trois mois.
Durant toute la procédure prévue au présent article, le Parlement se réunit de plein droit et l’Assemblée Nationale ne peut être dissoute. »



Article 4 :



Jusqu’à la promulgation de la loi organique qui détermine les conditions d’application de la présente loi constitutionnelle, l’ordonnance N° 58-1100 modifiée du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires s’applique à l’article 62-1 nouveau de la Constitution.



PRESENTEE PAR
MONSIEUR GILBERT COLLARD
DEPUTE



Député « Bleu-blanc-rouge » et néanmoins avocat de métier…
Qui a défendu un temps le dénommé « Ferrayé », un temps seulement, notez bien.



Autrement dit, lui qui sait que le droit prime au Conseil Constitutionnel bien plus que l’engagement politique (le dernier livre de « J’y-aile-Deux-Braies » peut en témoigner…), il a eu tendance à me faire rire aux éclats (et ce n’est pas bon pour ma « côte-manquante ») !



Ce qu’il veut derrière cette initiative qui n’a aucune chance d’aboutir, au moins tant qu’il n’aura comme coéquipière au Palais Bourbon que la petite « Marie-on » (les ensemble), mais qui en dit long sur la stratégie de déstructuration de nos institutions que porte l’extrême-droâte-gauloise : Il s’agit tout simplement de mettre le boxon dans la hiérarchie juridique des textes qui fondent notre État de droit, par un vote solennel du Congrès !
En bref, un retour aux échecs des IIIème et IVème République, ni plus ni moins…



Ce qui en dit très long sur le devenir d’un possible raz-de-marée à venir (en 2017 ou plus tard) des partisans de « Marinella-tchi-tchi ».
Non seulement les « soces » vous auront bouffé la laine sur le dos pendant 5 ans, mais demain, on ira jusqu’à vous bouffer la peau-des-os !



Vous savez, ça me rappelle cette « histoire d’en rire » de dans un bar, où les forts en bras font le pari d’extraire tout le jus d’un citron en le pressant.
Le patron vide l’agrume, un concurrent puis un autre s’essayent à tirer encore une ou deux gouttes de jus de l’épave, sans résultat, quand un troisième homme, un peu chétif, demande à essayer à son tour.
Et lui parvient à faire sortir un court et mince filet de jus du fruit écrasé.
« – Mais vous faites quoi comme métier, Monsieur ?
– Je suis inspecteur des impôts ! »
Eh bien là, c’est pareil : Ils en veulent toujours plus, quitte à bafouer tous les principes de notre démocratie, dont ils ne veulent pas respecter les règles…

Parce que bon, le conseil constitutionnel, c’est une chose, mais demain, quand il sera rendu au rang d’une juridiction du premier degré – et non plus ultime – on en reviendra devant le Conseil d’État et/ou de la Cour de cassation, qui, si les décisions que ces juridictions déplaisent au pouvoir politique du moment, devront se soumettre par de nouvelles lois parfaitement anticonstitutionnelles à l’occasion.
Du moment que c’est voulu par le pouvoir législatif « à la botte »…
Et du coup, c’est le principe de la séparation des pouvoirs qui tombe à l’eau.

Y’aura plus qu’à la « cheftaine » de passer le ramasser là où il sera tombé.
Merci pour vos gosses !

Bonne fin de week-end à vous toutes et tous !

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vendredi 29 avril 2016

Entendu chez votre toubib !


Les perles médicales (1)

Un garçon demande à son père-toubib :
« – Papa, c'est quoi un alcoolique ?
– Ben, être alcoolique, c’est être malade. Tu vois, un alcoolique c'est quelqu'un qui va voir les choses en double. Tu vois par exemple ces 4 arbres là-bas ? L'alcoolique lui en verra 8.
– Mais papa… il n'y a que 2 arbres ! »

« Pour mes nausées, vous pouvez me prescrire du Volkswagen ? »

« On m’a fait passer un ULM. »

« Docteur, je tangue !
Vous avez des vertiges ?
– Oui, je tangue tellement que j’ai failli tonguer ! »

Un patient en consultation après une arthroscopie du genou :
« Docteur, je viens de me faire vidanger le genou et ça va mieux. »

« Après l’opération, je suis resté six jours en rumination. »

« C’est grave Docteur, ce virus Hezbollah ? »

« Je viens chercher les médicaments pour l’Eisenhower de ma femme. » 

« Docteur j’ai des pasmes, il me faudrait du pasfon. »

« Docteur, mon cerveau ne contrôle plus mon anus. »

« Je vous amène mon fils pour le déculotter. »

« J’ai oublié ma carte végétale ! »

« J’ai besoin d’un certificat merdical… »

« Je veux que vous deveniez mon médecin traiteur. »

La secrétaire à un patient à propos de l’assurance maladie :
« Vous avez quoi comme caisse ?
Euh,… une vieille BMW. »

Un petit garçon à qui le médecin désinfecte le doigt :
« Pourquoi tu me mets de la vinaigrette sur le doigt ? »

« J’ai eu une otite bilatérale… et en plus des deux côtés ! »

Une maman à son fils qui essaie de passer derrière le bureau du docteur :
« Ne passe pas derrière le comptoir ! »

Aux urgences, un malade sur un brancard :
« Docteur je vais bien, il faut me mettre des neurones dans la perf. »

« Docteur, j’ai été opéré d’une hernie discale.
À quel niveau ?
Au 3ème étage de la clinique. »

Le médecin monégasque à une patiente russe :
« Madame, vous nettoyez bien et appliquez bien le traitement sur vos ongles de pieds ?
Oui, oui, je nettoie mes ongles tous les soirs à la vodka. »

« Docteur, je crois que je cuve quelque chose… »

« Monsieur, pour votre traitement, vous allez alterner les prises de comprimés : un demi, trois quarts, un demi, trois quart…
Un demi, un Ricard, un demi un Ricard ? Je vais être malade ! »

L'épouse d'un patient téléphone au matin :
« Bonjour, c'est pour annuler la consultation de mon mari de cet après-midi. Il vient d'entrer en urgence pour aplasie. Il est actuellement en déstockage. »

« Bonjour Mr l’ostéopathe. Vous pensez que je devrais consulter le rhumatologue … pour mon rhume ? » 

Médecin du travail à une patiente porteuse d’un pacemaker :
« Vous avez toujours votre pacemaker ?
Heu… oui…
Vous allez le garder longtemps ?
Non, j’attends que la mode passe… »

« On m’a trouvé une hernie natale, je l’ai depuis longtemps ! »

« J’ai une hernie fatale, c’est grave ? »

« Docteur, vous pouvez me prescrire du paramacétol ? »

« En tombant, je me suis ouvert l'arcade souricière ! »

Une infirmière à un patient en train de manger sa quiche avec salade :
« Monsieur, je vous apporte votre Kayexalate.
Et pourquoi faire ?
– Pour votre potassium.
Et pourquoi j'ai ça ?
Parce que le médecin l'a prescrit. »
Il regarde sa salade et le médicament :
« Mais c'est tout gluant votre truc, ça ne va pas être bon avec la salade ! »

« Appelez le docteur, je crois que j'ai la colonne 25 balles qui vient de se couper en deux ! J'ai mal ! »

La fille d'une patiente de 86 ans raconte :
« On a eu peur pour Maman car il y a trois ans, elle a eu une flémingite et ils ont dû lui trépaner la jambe… »

« Aie ! Mes oreilles, je crois bien que j’ai une grosse autiste, Docteur ! »

Dialogue d’une jeune Infirmière à l’occasion de la visite du professeur et ses internes dans un service de cardio :
« – Comment va monsieur Dupont ?
– Pas très bien depuis 2 jours.
– Et pourquoi ? Qu'est-il arrivé ?
– Eh bien c'est depuis qu'il suce des cales ! Il paraît que ça se voit sur son électro. J’ai dit à la famille de ne rien apporter pourtant. »

« Docteur je voudrais un stérilet, mais un en cuir, hein !… »

« On m’a diagnostiqué un infractus avec un sismographe !
J’espère que vous n’avez pas été trop secoué ! »

« Docteur, depuis que je suis au STO (ostéo), je n'ai plus du tout mal au dos …
– En 42, Madame c'était l'inverse. »

« Et d'habitude, vous avez combien comme tension ?
Oh, Docteur pas beaucoup, à peu près 300 € par mois… »
Dur d'oreille : On confond tension et … pension !

À une patiente à qui on proposait des bas de contention pour ses varices :
« Il me faut vraiment des bas de contorsion ? »

Une mignonne petite blonde de 3 ans demande à sa mère :
« Maman, pourquoi je suis si belle ? »

« Docteur, ma femme a passé sa radio. Le radiologue m'a dit qu’il avait peur qu'elle se déclassifie… »

Une dame qui souffre de vertiges d'origine ORL, à qui on a parlé de manœuvres libératoires et rééducation vestibulaire… réclame auprès du secrétariat une prescription pour « des massages de l'oreille interne » !

« L'infirmière m'a posé une infusion d'anticompresseurs ! »

Une jeune femme vient pour accoucher :
« – J’ai perdu mes os.
– Vous les avaient retrouvés ? »

Un bruit métallique d’un marteau à réflexe qui tombe par terre :
« Tiens, c’est le stérilet de la cheftaine qui vient de tomber ! »

« Je voudrais un rdv avec un gaziologue : C’est pour mes gaz… »

« À l'hôpital on m'a dit que mon fils devrait voir un endo-criminologue… »

« J'ai pris ma température avec un baromètre, j'avais 40 de fièvre ! »

Entrant avec ses béquilles et voyant un autre traumatisé, un patient s’exclame :
« Il n'y a que des esclopieds, ici ! »

Inscrit à la fin des ordonnances médicales d'un certain médecin :
« Ordonnance rédigée avec un cerveau humain sans assistance informatique. »

La radiologue fait une sialographie à un patient (examen pour les glandes salivaires à l'aide d'un petit tube dans la bouche).
Elle dit au patient : « Tassez votre langue, elle est dans mes jambes… »

Dans les couloirs d'un centre médical spécialisé cardiopulmonaire…
« SVP, le service de pneumatologie…
Le Dr Michelin ? »

« Mon médecin m'a prescrit du « Fepalcon » contre le stress. »

« Ma fille a fait une marmite avec du staphylocoque doré, elle avait un abcès sur le sein. »

« Bonjour ! Ce serait pour un diagnostic de la maladie des greffes du chat. » 

Avant de démarrer un examen gynécologique :
« Par contre, je vous préviens tout de suite, docteur : J'ai un utérus introverti ! »

« Pour mes hémorroïdes, je voudrais du protocole (Proctologue) »

Une Aide-soignante s'adresse à l'infirmière concernant un retard de selles chez une personne âgée :
« Il faudrait faire attention qu'il ne finisse pas en conclusion ! »

Interrogatoire d'une dame âgée aux urgences :
« – Vous avez du diabète?
– Oui !
– Et que prenez-vous pour ça ?
– Du diadermine ! Et en plus c'est bon pour la peau ! »

Une maman et son fils arrivent aux urgences :
« – Je viens vous voir parce que mon fils a une infection urinaire.
– Ah ? Et comment le savez-vous ?
– C’est mon médecin qui lui a prescrite ! »

« En sortant du bloc opératoire on m'a mis en salle de réveillon. »

« Je voudrais un rendez-vous, j'ai une angine.
Avez-vous de la température ?
– Oui, 2.
Comment ça, 2 ?
Oui, j'ai chaud et j'ai froid donc j'ai deux températures.
Ah ! »

« Juste cette semaine, j'ai eu droit à la hernie fiscale, aux bas de condensation, aux compliments alimentaires et le dernier, voulant me montrer son savoir, m'a demandé des anti-analgésiques ! Pas mal, non ? »

« Docteur, il y a du sang dans ses aisselles (du sang dans les selles) »

« Ah oui, Madame l'infirmière, j'ai bien pris ma température au pli de la laine ! »

« Docteur, j'ai des mangeaisons ! »

« Est-ce normal qu’après ma ligaruration des trompes j'ai plus mes mensualisations chaque mois ? »

« Je viens faire le point sur ma sciatique de bras… »

« Pour mon arthrose mettez-moi un tube de scrotum » (Ketum)

Chez le podologue :
« Je viens vous voir pour mon anus valgus »

« Pour dormir, remettez-moi du Zoquiplane. »

« Le petit fait des convulsions hypodermiques… »

« Ses bronchites finissent toujours en brillantes coliques ! » (bronchiolites)

« Que pensez-vous de ma prostate ? Sur la prise de sang c'est indiqué qu'elle est ultra-sensible. »

Une dame : « Remettez-moi du Spermoval ! » (Dermoval)

« Madame, madame, je crois que je vais accoucher, j'ai perdu le bouchon du cul ! » (bouchon muqueux).

Bon week-end à toutes et à tous : On y reviendra un peu plus tard.

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