Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 24 mai 2016

Déjà la fin de règne !


Ou quand ils crachent dans la soupe… 

Il paraît que vendredi dernier, votre « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois », surnommé « gras-nul-laid » alors qu’il était affublé jusque-là de l’épithète « François III », le « Moi Président, je… » aura fait un très gros effort pour faire buzz alors qu’il visitait une entreprise sans intérêt pour faire sa pub.
Il paraît d’ailleurs qu’il n’est toujours pas en pré-campagne électorale.

« Moi, je » ne sais pas parce que je n’ai pas vu, mais tenez-vous bien, rebondissant sur l’actualité explosive des blocages de raffinerie de pétrole, des dépôts de pétrole, des chiffres abyssaux du chômage, de la dette, des déficits publics, des réformes qui ne passent pas, des 55 milliards d’impôt supplémentaires qu’il aura infligé au pays, de sa chute dans les sondages, il aurait tenu un bon quart-d’heure, l’air très sérieux, à faire le travail d’un « journaleux-lambda » en faisant une relation des circonstances de l’accident du MS 804 d’Egyptair…
Un grand expert du monde aéronautique que cet homme-là, s’il en est, et sa parole est forcément « de l’or » !
Et il n’y a rien de plus urgent, cela va de soi…

Depuis, on coure toujours après les boîtes noires, quelques débris et on découvrira dans quelques mois que l’accident est du même type que pour le vol MH 370 de la Malaysian-Airline qui est allé se perdre dans l’océan indien-sud.
Une batterie au lithium-ion aura surchauffé jusqu’à provoquer un court-circuit et un début d’incendie dans le local technique situé sous le cockpit de l’avion, tout simplement.
Pour le MH 370, on sait que l’appareil a fait demi-tour et que les pilotes ont vraisemblablement été privés d’oxygène les rendant « inopérants » avant même qu’ils aient eu à programmer leur descente au pilote automatique et faire une relation radio de leur situation.
Ils n’ont pas plus de 30 secondes de résistance à la pénurie d’oxygène avant de perdre connaissance, si leur bonbonne d'oxygène dédiée est abîmée par l'incendie sous leurs pieds qui l'alimente…
Et en plus, ça fait mal aux oreilles.

Mais, explosion ou non, décompressive ou non, de toute façon l’avion a volé sur son nouveau cap jusqu’à épuisement de ses réserves de kérosène : C’est dire que la « mécanique » et les robots du bord ont persisté à fonctionner correctement dans un environnement impropre à l’homme.
Pour le MS 804, les mêmes causes produisant les mêmes effets, la dépressurisation a peut-être été plus brutale, puisque l’avion volait plus haut, provoquant un « trou-béant » qui aura abîmé la structure de l’appareil de façon soudaine, et il est rapidement devenu incontrôlable pour être tombé en vrille prononcée.
Si dans le MH 370, personne à bord ne s’est vu mourir, ce n’est sans doute pas le cas dans le MS 804, mais c’est une autre histoire.

Coupable présumé : Les batteries au lithium-ion.
Après tout, elles ont déjà pété à la tronche de quelques geeks qui se prenaient pour des « centrales-téléphoniques » et de façon inopinée, non prévisible, ce qui me laisse un peu septique quand circuleront des Teslas d’Elon Musk sur nos routes et son « modèle économique » (qui de gagne toujours pas un rond) ou quand une « autoLib’ » de « Beau-L’orée » et les voitures sans chauffeur d’Uber viendront flamber sur le périphérique parigot…
Passons, ce n’est pas le propos du jour.

Non, car avec le recul, on constate que la « fin de règne » est déjà enclenchée.
Elle avait commencé en décembre 2007 pour « le Chi », entre deux tours pour « Bling-bling », là carrément un an avant la fin du quinquennat !
Un record absolu…
La rue est en ébullition permanente, les routes vont se vider, un peu comme en 1968 au moment des grèves générales, faute de carburant, en rappelant que les trois-quarts si ce n’est les 4/5ème des populations ont besoin de leur véhicule pour aller bosser… et tous les rats quittent le navire, les uns derrière les autres !
Fabuleux.

Non content de placer ses petits-kamarades de la promotion Voltaire, le quinquennat approchant de son terme, ils redoublent tous d’efforts pour l’emporter dans ce concours de pistonnage : Plusieurs de ses conseillers ou ex-conseillers se voient recasés dans des fonctions où ils pourront paisiblement poursuivre leur carrière, grassement rémunérés, sans passer par la case « Paul-en-ploie », ni même à envisager de croupir dans leur administration d’origine.
Signe que vraiment la fin est proche et que tous le savent déjà !

D’autant qu’on pourrait admettre qu’un chef de l’État choisit, à compétences égales, une personne qui ne lui veuille pas du mal – s’il en reste encore. Mais ce n’est pas donner le bon exemple, surtout quand on prétend s’abstenir de favoritisme.
Si, encore, les bénéficiaires de telles faveurs étaient tous compétents pour le poste qu’ils occupent… Mais il y a plus grave encore.
Ces nominations, qui sont le fait du prince, permettent de gratifier des fidèles tout en s’assurant la mainmise sur des postes d’influence : On y reste présent même lorsqu’on a été évincé du pouvoir. Jusqu’au moment où un nouveau prince vient faire le ménage pour placer ses propres favoris. Sans compter que celui qui reçoit les faveurs du prince, fût-il compétent, reste son obligé. Il aura bien du mal à s’opposer à ses caprices et fantaisies.
Au lieu d’être un serviteur de l’État, soucieux de l’intérêt général, le pistonné devient un larbin.

Et puis, encore plus grave, son quinquennat commence déjà à être « décrypté » par certains de ses anciens ministres :
« Le président qui n'aimait pas les riches, en fait, n'aime que les riches » !
Faut dire que les « sans-dents », on y reviendra, ils s’en sont pris plein la gueule.
Notez que ç’aurait été le fait d’un démagogue, on aurait admis, mais d’un « soce-de-principe », ça a du mal à passer.
D’ailleurs ça ne passera pas !

Un jugement touchant de la part « d'Or-et-lit-Filli-pète-y », ex-ministre de la Culture et désormais députée frondeuse, mais aussi énième « compagne » féconde d’un autre frondeur, celui qui entend des voix sur le mont « Beuve-vrai », et qui crache dans la soupe comme une dizaine d'anciens ministres.
Je sais, je l’ai lu chez « mon Boss ».
Lors de mon week-end « calme » avant celui de la semaine prochaine, qui accueille le GP de Monaco et ferme ses voies d’accès de 7 heures à 19 heures : Une occasion de refaire le bitume.
Que d’ailleurs, on ajourne notre journée de fin de semaine, alors que la semaine dernière (en huit), c’était le GP des « historiques » qui passaient sous mes fenêtre, un peu plus praticable…

« Domino-Berthe-y-note-t’y », un temps à la tête du ministère de la Famille, reproche vertement au chef de l'État de ne pas avoir su « expliciter » la politique menée, en dépit de sa « cohérence ».
« Marie-Lise-la-Branchue », ancienne ministre de la Décentralisation débarquée au dernier remaniement, regrette que le gouvernement n'ait pas su tenir un discours de « vérité » sur la situation du pays, après la publication du rapport « extrêmement sombre » de la Cour des comptes en 2012.
Proche de « Titine-Eau-Brie », une autre (« Miche-aile-De-l’eau-née »), ancienne ministre déléguée aux Personnes âgées, elle, déplore aussi le « refus » de l'exécutif de parler de certains sujets comme celui des réfugiés.
« Nous sommes de gauche » déplore-t-elle, « et nous n'avons pas été capables de rappeler ce qui a fait la tradition d'accueil séculaire de la France ».
Même constat acerbe pour « Nique-colle-Brique » (passée par l'Écologie, puis par Commerce extérieur avec tout le succès qui en rend les records désastreux de « Kri-Kri-La-Garde-meurt-mais-ne-rend-pas » largement obsolètes), selon qui le « récit du quinquennat (…) n'a été fait ni par « François III », qui n'est pas un théoricien, ni par (l'ancien Premier ministre) « J’y-Aime-Air-eau », qui n'est pas un communicant ».
« Il suffisait de dire la vérité de façon quelque peu solennelle, à savoir que, vu l'état des comptes publics, on ne pouvait rien faire sans augmenter les impôts », affirme l'ex-ministre. 

Et elle pointe du doigt l'incohérence de la ligne gouvernementale : « À Bercy, tout le monde a vu qu'il y avait deux lignes politiques : « Monte-et-bourre-la » était le ministre de la démondialisation, et « Moscou-vicié » et moi, nous étions les ministres de la mondialisation. »
Cette  « politique des deux fers au feu », l'ancien ministre de la Ville « Fanfan-l’a-mis » la déplore également.
« Face à une personnalité forte comme « Monte-et-bourre-la », qui se sentait protégé par son score à la primaire, « Air-eau » a très vite souffert d'un manque de poids politique, et ça s'est ressenti dans les arbitrages. Il faut ajouter à cela la personnalité du président de la République, dont il est souvent difficile de savoir ce qu'il pense réellement, et qui sème le doute sur ses intentions, ce qui complique les choses », livre-t-il.
« Beaucoup, comme moi, ont pendant des mois poussé le président de la République à parler de l’Europe et du monde, afin d’expliquer nos choix, notamment en matière de politique économique, dans le contexte de la mondialisation. Il nous répondait : ‘‘ça n’intéresse personne’’ », témoigne-t-elle.
Un vrai gâchis ?

L’échec total de « la synthèse » comme mode de gouvernement qui avait été le principe de gouvernance du « PS-pluriel », oui !
Un pays, ne se résume pas à un parti d’égos surdimensionnés de fats…
La faute à un manque de travail préparatoire, avant 2012, une difficulté à donner le sens de son action, une ligne indécise, ou même contraire aux promesses de campagnes.
Et puis combien de renoncements, jusqu’à celui de la « double-nationalité »…

C’est plein de clairvoyance… mais, dommage, que ce soit après coup alors que tout cela était pourtant prévisible et qu'on aurait pu espérer une sorte de sursaut de lucidité.
Et comme ils ne s’améliorent pas en vieillissant, on comprend mieux que tous « se cassent » vers des cieux plus « sûrs » en attendant la prochaine alternance.
Et le mouvement va s’accélérer, soyez-en sûrs.

En revanche, il serait peut-être bon que les « successeurs-potentiels » en prennent de la graine.
Ce qui est certain chez les frontistes, puisqu’ils préparent même les investitures et demain les nominations, le programme étant prêt et même « testé » depuis quelques mois auprès de l’opinion publique, avec quelques succès.
Et du côté de « Républicains-démocrates », ils en sont encore loin : Eux se gâchent dans des batailles et querelles de chiffres, comme au bon vieux temps du PCF de « Georges-Marchez »…
Là encore, fabuleux de trisomie : Comment progresser quand on ne veut pas apprendre de ses échecs ? Comment perdre son temps et s'écharper en Bureau-Politique autour de modalités techniques relatives aux primaires ?

La perspective me fait bien rire : Vous imaginez donc, comme en Autriche, un second tour entre « Marinella-tchi-tchi » et le « petit-Nicolas », dit « la Manivelle ».
(« Hulot » est devenu un terme désuet dans la marine, mais désigne une « ouverture », et reste constant pour un moulin ou une manivelle…)
Précision : Au moment où je mets en ligne, il y a encore 900.000 bulletins « par correspondance » à dépouiller autour de Vienne…
C’est dire si la perspective parfaitement loufoque dans une démocratie-représentative qui se respecte, reste d’actualité.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire