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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 26 mai 2016

Leçon d’utopie en « socialie-appliquée »…


Iront-ils jusqu’au-delà de la ruine ?

Parfois, on se le demande. Parce qu’on avait bien appris la leçon de « Mythe-errant » des années 80…
Mais manifestement, ils n'auront rien retenu : Terrible la nuisance des dogmes !
Pour ceux qui n’étaient pas nés à cette époque reculée, il s’agissait d’une « histoire d’en rire » (déjà, hélas !…) qui demandait : « Comment faire une « petite fortune » en régime socialiste ?
Tu en prends une grosse et tu attends ! »

Notez que le week-end dernier, je me suis donc mis à jour de mes lectures « macro-économiques » en retard : Je lis trop (moi qui n’ai pas appris à « l’ékole-pue-blique »), que ça doit m’en user les yeux…
Mais, hasard conjoncturel, je suis tombé sur deux études qui quelle que part visent à dénoncer la malfaisance de notre système fiscal « redistributif » dans la droite ligne de la pensée de « Pique-et-t’y », de telle façon que même mon unique neurone encore en fonction (celui du nerf honteux) a pu faire une « connexion-utile ».
Celle de la Fondation Jean-Jaurès (pas spécialement frontiste) sur le revenu universel et celle de l’OCDE (pas spécialement gôchiste) dénommée « Les impôts 2016 sur les salaires », publiée le 11 mai dernier.
C’est tout neuf, en somme…

Pour lutter contre la pôvreté et les inégalités congénitales, vous savez que vous financez des outils « collectifs » hors de prix qui taxent jusqu’à 57 % de toutes les créations de valeurs de ce valeureux pays qui est aussi le mien : Le jour de libération fiscale aura encore reculé au 29 juillet en 2016, rien de moins que 208 jours pour la sphère publique, selon Ernest & Young et l’institut Molinari.
Le 30, vous pourrez enfin bosser pour vous, les chéris !
D'ailleurs, pour vous en remettre, vous partez vous reposer de vos efforts sur les plages de Balagne, que ça en gâche mes paysages...
Les américains, pas si kons de leur côté, ont mis en place un programme vigoureux de lutte contre l’extrême pôvreté – qu’ils ne supportent pas plus que moi – et qui porte plus ou moins bien ses fruits : Il n’y a jamais autant eu de multimilliardaires depuis !
Et pratiquement que « des neufs », qui n’existaient même pas il y a 30 ans et, pour faire bon poids, ils éliminent physiquement les plus « pôvres » qui font tâche !
C’est dire si ça marche fort !

Chez vous, souvenez-vous qu’au mois d'avril dernier, « Chris-touffe-Sir-aigüe » défendait la création d'un revenu minimum de 400 euros, distribué à toutes les personnes en situation de précarité !
Vous savez, l’histoire de « l’hélicoptère-monétaire » : Ils ont tellement de fric, qu’ils ne savent pas quoi en faire, n’est-ce pas…
Et c’était levé de boucliers !
Là, ils vont plus loin : Si les « experts » assurent ne pas prendre parti sur « l'opportunité d'une telle réforme », ils ont quand même chiffré l'impact d'un « revenu de base » en termes de redistribution et de rapport au travail.
Une « telle réforme constituerait une révolution d'une ampleur similaire à celle de la création de la sécurité sociale en 1946 », écrivent-ils : Hein, les fats, ils ne prennent pas parti… !

Trois hypothèses étudiées : Si chaque cas est finançable, « le niveau intermédiaire » fixé à 750 euros, – avec un montant variable suivant l'âge –, apparaît selon le groupe de travail comme « l'utopie la plus réaliste ».
Versée à tous les gaulois jusqu'à 65 ans, l'allocation serait fixée à 225 euros jusqu'à 15 ans, puis 375 euros jusqu'à 18 ans.
Elle atteindrait 750 euros entre 18 et 65 ans pour atteindre 1.125 euros après 65 ans, suggère l'étude.
Coût de la « révolution d'une ampleur similaire à celle de la création de la sécurité sociale en 1946 » : 565 milliards d'euros, soit 26 % du PIB !
Et comment paye-t-on tout ça ? Eh bien assez simplement : La révolution « pourrait être financée en réorientant l'ensemble des dépenses actuelles de protection sociale (retraite, assurance-maladie, chômage, allocations familiales), à l'exception de celles consacrées à la prise en charge des affections de longue durée ».
Autrement dit, on reste dans les clous des déficits et prélèvements obligatoires actuels. On prend « du vieux », on zouke tout ça et on rebaptise le « bidule-nouveau ».
Simple.

Mais comme ça ne suffira pas, il faudrait envisager une petite « une hausse de deux points de la TVA, dans une logique consistant à faire peser davantage la protection sociale sur la consommation plutôt que sur le travail », poursuivent-ils.
Vous savez, cette idée stupide de la « TVA sociale », qui là prend tout son sens…
Éclat de rire de ma part : Je te donne du pognon, mais il te faut le claquer aussitôt en taxes, STP !
Pour eux, ce niveau d'allocation, « proche du seuil de pauvreté absolue », permettrait « de couvrir les besoins essentiels de chacun en termes de logement, de santé ou de retraite, en limitant les effets désincitatifs sur la recherche d'emploi ».
Et quel intérêt d’aller bosser au juste, de participer à l’enrichissement de la Nation en allant se casser le dos et le neurone s’ils pensent votre bonheur à votre place ?

Attention, ce n’est pas fini : Le versement de tout ou partie de la prestation pourrait être réalisé sous la forme de « bons échangeables » (le retour des tickets de rationnement ?) contre des prestations de services publics dans les secteurs des transports, du logement, de la santé ou encore de la culture, suggèrent-ils.
Pas question de thésauriser en menue monnaie : Un esclave, ça doit rester un esclave !
Et s’il sort du rang à vouloir s’enrichir par son boulot, il passe par la case obligatoire du racket du triptyque « Taxes, Impôts, Cotisations ».
C’est, dites donc, un vrai programme « soce », là : Les « grands-bourgeois » n’auront plus à craindre la concurrence des « nouveaux-riches », des « Gafa » et des « Girafes » ou autres « poussins & tondus » ! 

Ah oui, parce que le « niveau de 1.000 euros impliquerait des effets désincitatifs puissants sur l'offre de travail et une hausse excessive des prélèvements obligatoires », justifie quand même la Fondation.
Quoique comme « politique de relance » par la demande, on arrive au bout de ce qu’on peut faire de mieux…
À l'inverse, la somme de 500 euros, « par-delà son caractère insuffisant pour couvrir les besoins essentiels, générerait des effets anti-redistributifs dégradant le niveau de vie des plus pauvres ».
Euh… Ils ont lu « le loup et le chien » de Jean de La Fontaine ?
Ils ont lu ou non Les Misérables de Victor H. voire quelques essais sur les prolétaires inspirés de Marx (Karl, pas Groucho) ?
Les alloc’-universelles, le HLM, la télé pour les longues soirées d’hiver, des bons d’alimentation et que veut le bon peuple en plus ?
Jouer au loto ou au PMU avec le reste à perdre leur pécule en rêves irréalisables ?
Une drogue à effet addictif, paraît-il : Autant les laisser rêver et leur piquer ainsi leurs miettes…
Fastueux avenir qu’ils réservent à nos gosses (et aux gosses de nos gosses) qui devront aussi rembourser leurs endettements publics…
Le paradis socialiste, quoi !

Parce qu’attend un peu là dis-donc, l’OCDE finalement confirme de son côté, mais dans un tout autre registre.
Son étude précitée révèle que, en tenant compte des impôts et des cotisations de Sécurité sociale payés par les travailleurs et leurs employeurs, déduction faite des éventuelles prestations familiales qu’ils pourraient percevoir, on constate que plus des deux tiers de la rémunération des salariés les plus fragiles finissent dans les caisses de l’État.
Ça, je savais…
Et encore, ne sont pas comptabilisées les recettes fiscales liées à la TVA des biens et services consommés par ces mêmes contribuables.

Plus exactement, l’étude distingue 8 profils types de foyers fiscaux, selon qu’ils sont constitués de célibataires ou de couples, avec ou sans enfants, et disposant de revenus appréciés en fonction du salaire brut moyen annuel. Contrairement à ce que les béotiens pourraient s’attendre à trouver, pour un pays dirigé depuis 4 ans par un gouvernement socialiste, ce ne sont pas les plus aisés qui subissent la plus lourde imposition globale !
Ils développent le cas d’un célibataire gagnant les deux tiers du salaire moyen brut gaulois, soit un peu moins de 2.000 € brut par mois : Ce salarié verra non seulement la rémunération de son travail amputée d’un montant substantiel correspondant aux cotisations sociales et patronales, mais également d’un impôt sur le revenu de 11,7 % portant à plus de 67 % le total de la charge sociale et fiscale pesant sur son salaire de base, d’autant que dès 2018, on va le lui piquer directement dans la poche, ni vu ni connu, via la retenue à la source. 

Plus intéressant encore, si ce salarié était subitement augmenté de 50 % (ce qui arrive si fréquemment dans la vraie vie) pour atteindre le niveau de rémunération considéré comme étant le salaire brut moyen des gaulois (2.875 €), sa charge totale d’impôts et de cotisations sociales ne serait plus « que » de 59,3 % !
Enfin, s’il devait gagner 167 % du salaire brut moyen, soit aux alentours de 4.800 € par mois, il serait à peine plus ponctionné, en proportion relative, avec un total d’imposition fiscale et sociale de 59,8 %.
Seule solution pour s’en sortir, faire au moins deux gamins à une volontaire, ce qui lui permettrait de réduire son taux à 57,5 %… en grande partie grâce aux prestations sociales !
De celles dont on veut justement faire financer le « revenu-universel »…

Pour les ménages, la situation est tout-à-fait différente : Si on comprend aisément qu’un couple élevant deux « gnomes » avec l’équivalent de deux SMIC (un par parent) supporte une charge fiscale et sociale ne dépassant pas 35,5 %, compte tenu du niveau de dépenses minimum qu’une telle famille doit déjà engager au quotidien pour simplement se loger et se nourrir, on a en revanche beaucoup de mal à comprendre pourquoi ce même couple, dès lors que chaque parent commence à gagner l’équivalent de 2.000 € brut par mois (soit 1.500 € net ou 67 % seulement du salaire moyen en « Gauloisie-richissime »), voit son niveau d’imposition global exploser brutalement pour atteindre 61,8 % !
Le paradis socialiste, vous dis-je ! 

Attendez, je ne sais plus qui m’avait prétendu que « d’être riche », c’était gagner au moins 4.000 €/mois. Alors depuis quand on peut considérer qu’une famille de quatre personnes vivant avec 3.000 euros net par mois est riche ?
À l’abri de la famine récurrente, certes. Susceptible d’assumer modestement et quotidiennement son rôle d’acteur social et économique de consommateur, probablement aussi. Mais riche au point de voir brusquement doubler le poids de ses prélèvements obligatoires, certainement pas !

Et pourtant, ce sont bien ces familles de classe moyenne qui constituent, avec les travailleurs célibataires payés entre une fois et une fois et demi le SMIC, le gros de la troupe des « vaches à lait » de la République-soce.
Il faut dire que c’est de notoriété publique depuis Mazarin : « Colbert, tu raisonnes comme un fromage ! Il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser… C’est un réservoir inépuisable », tel qu’a pu le résumer Alphonse Allais (1854 – 1905) : « Il faut prendre l'argent là où il se trouve, c'est-à-dire chez les pauvres. Bon d'accord, ils n'ont pas beaucoup d'argent, mais il y a beaucoup de pauvres ».
Et non pas Joseph Caillaux comme j’ai pu le lire chez les béotiens, le ministre des Finances de Georges Clémenceau (« Rad-Soce ») en 1907, année où le gouvernement tomba, une fois de plus, sur l’instauration de l’IR qui n’a été votée que le 15 juillet 1914 : Flûte, j’ai enseigné la fiscalité aux « universités-Gauloises-prestigieuses » et jusqu'au delà du troisième cycle pendant des années, je sais de quoi que je cause.

Ceci dit, le « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois » il a eu tout faux comme on peut le constater : Il a accentué la pression fiscale lancée par « Bling-bling » la dernière année de son propre quinquennat et pour 55 milliards (c’est vous dire que si l’un de ces deux-là revient, moi je prolonge mon exil) : En 2013, constatant que la crise était encore présente, mais accentuée en ayant fait l’inverse de ce qu’il fallait faire, il a commencé à changer de cap. Pour mettre en œuvre cette nouvelle politique, il en a même changé de premier ministre.
C’est le quinquennat des pactes !
Le premier, en novembre 2012 : Le Pacte de Compétitivité comprenant le CICE (Crédit Impôt, Compétitivité Emploi) ;
Le deuxième, le 14 janvier 2014 : Le Pacte de Responsabilité et de Solidarité ;
Le troisième, le 29 avril 2014 : Le Pacte de Stabilité ;
Le quatrième, le 17 Janvier 2015 : Le Pacte de Sécurité, accompagné des lois « McRond » et « El-Konnerie », toutes les deux passées sans débat et aux forceps du « 49.3 »…

Tous ces pactes ont eu certes, quelques effets positifs, mais ils ont tous été mis en place avec une forte augmentation de la dette à terme. Les emprunts successifs vous entraînent vers une position aussi intenable que celle de la Grèce.
Et les « sans-dents » n’en peuvent plus qu’il faille envisager un « hélicoptère-monétaire » pour éviter la jacquerie généralisée.
Le niveau salaire moyen a régressé puisque nous sommes à 34.600 €, alors que le Royaume-Unis est à 38.200 €, l’Allemagne à 42.400 € et le Danemark à 56.500 €. Quant aux cotisations sociales, nous sommes déjà à 37 % de prélèvements obligatoires, contre 26,1 % en moyenne dans les autres pays de l’OCDE.
Et leur part dans le PIB s’élève 16,7 %, dont 11,3 % pour celle payée par les employeurs et cela malgré le CICE qui a pourtant réduit quelque peu leur niveau.
Ce qui place le gaulois à 28.583 € de charges, impôts sur le revenu et TVA, (il ne lui reste effectivement que 22.001 €) au 10ème rang de pouvoir d’achat réel de l’UE, derrière le Royaume-Uni 5ème et l’Allemagne 8ème.
On constate, d’autre part, depuis quatre ans, qu’avec une croissance molle le déficit ne se réduit que très lentement et beaucoup moins vite que prévu.
C’est comme l’annonce constante depuis ces mêmes quatre années de la baisse du chômage, qui aurait dû survenir simplement avec tous les ingrédients extérieurs très favorables, comme partout ailleurs.
Les hausses de prélèvements du début de mandat sont encore si difficiles à « digérer » malgré tous ces pactes mis en place que la tâche est impossible !
Mais ça aussi, on savait.

Alors, on y vient enfin : « Menuet-Valse » l’avait envisagé lors des primaires de la gauche, « McRond » l’a aussi annoncé il y a peu, c’est seulement l’augmentation du temps de travail.
Il est vrai que « Titine-Eau-Brie » serait certainement difficile à convaincre ainsi que d’autres de son parti qui prônent désormais les 32 heures !
Pourtant, qu’on se rappelle bien : Sous « Tonton-Yoyo » qui a imposé les 35 heures, elle était contre !
Car il suffirait de mettre en place les 40 heures (et pas la flexibilité, sauf au-delà de ce quota). Ce serait en plus, hors fonction publique et hors heures supplémentaires, par année pour le pays, 60 milliards de salaires en plus, ce serait mécaniquement 35 milliards de rentrées de charges, 6 milliards d’impôts, 10 milliards de TVA qui tombe sans même toucher aux taux !
Ce serait aussi une diminution du coût-entreprise de 3 à 13 % (le rendement sur investissement), des heures supplémentaires en moins (indemnités à négocier pour ceux qui en font), 200 euros de plus par mois pour un salarié au Smic, 2.400 par an, plus qu’un 13ème mois !
Ce serait probablement une diminution rapide mais décalée du chômage, et en tout cas une remise à flot des régimes de Sécurité Sociale, des Caisses de retraite, d’Assedic, une relance de la croissance, des investissements…
En plus, cela ne coûterait pas un radis à l’État, pas d’emprunt, etc…
Mais bon, serait-ce un projet social et socialiste ?

C’est là que s’arrête l’utopie de la « Socialie-Gauloise » : Quand on est trisomique à ne tenter que des recettes dogmatiques ruineuses, à rester autiste à tout un peuple, sûr qu’il n’en restera qu’une seule chose : Le cas d’ékole (supérieure) des choses à ne pas faire !
Notez que ce ne sera que la deuxième fois qu’on l’étudiera dans toutes les universités du monde, le premier aura été celui déjà célèbre de l’ère « Mort-Roy/Mythe-errant ».
Comment dit Sénèque, le dramaturge, déjà ? « Errare humanum est, perseverare diabolicum ».
Vous y êtes !

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