Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 juin 2016

Entendu chez votre toubib ! (4)


Fonds de tiroirs des perles médicales 

Question posée par une infirmière en service de médecine interne :
« Docteur, pourquoi je devrais me faire vacciner contre la grippe ? La pandémie de h5n1, c’était l’année dernière, non ? »

« Docteur, j'ai fait l'examen qui était prévu, vous savez, l'enculoscopie ! Y'avait rien d'anormal… »

« Bonjour, je voudrais une boîte de psychadélique » (PEPCIDAC)

« Ce qu'il y a de bien c'est que je ne suis plus obligée de prendre la pilule depuis la caricature des trompes. »

À un quasi centenaire à qui l’on demande s'il est tabagique :
« Oui, mais il n'y a pas longtemps que j'ai commencé, juste après la libération… »

« Docteur, quand vous verrez mon mari, faites-lui doser ses gamma-CGT… »

Un client :
« – Bonjour, je voudrais une boite de Lamaline.
– En gélules ou en suppositoires ?
– Donnez-moi en gélules. J’ai essayé les suppos l'autre jour. Je sais maintenant pourquoi les femmes n'aiment pas les suppositoires.
Ah oui ? Bah, vous savez maintenant (pensant qu'il parlait des inconforts que provoquent les suppos : Écoulement de gras, diarrhée…)
– Ouais, mais c'est rien comparé à l'engin ! »

« – Bonjour, je voudrai la pommade qui sent.
– ??? C’est-à-dire ?
– Bah vous savez, celle qui sent fort.
– ??? Elle sent fort quoi ?
– La menthe !
– Les Vicks ? Pour mettre sur les bronches lorsque l'on a un rhume ?
– Ah, mais si vous saviez où je la mets ! »

Les moins authentiques :

Un homme va chez le dentiste pour se faire arracher une dent :
« – Docteur, combien ça va me coûter ?
– 150 euros.
– 150 euros ! Pour dix minutes de travail, même pas !
– Si vous le souhaitez, je peux aller très lentement. »

Un homme est conduit aux urgences avec une jambe cassée.
« Je me suis fait ça en voulant éviter un enfant », explique-t-il à l'interne.
« – Vous avez perdu le contrôle de votre voiture ?
– Non, je suis tombé du lit. »

Un homme va consulter le médecin :
« – Docteur, je suis très ennuyé. Comme vous pouvez le constater, je pète sans arrêt. Heureusement, ça ne sent rien, mais le bruit est affreusement gênant.
– Oui, oui, je vois ce que c'est. Il va falloir vous opérer.
– Des intestins, docteur ?
– Non, du nez. »

C'est une dame qui revient de chez le gynécologue et s'aperçoit qu'elle n'a plus sa culotte. Elle téléphone au médecin :
« – Docteur, excusez-moi de vous déranger. Je n'aurais pas oublié ma petite culotte chez vous ?
– Ah non, madame, désolé.
– Alors ça doit être chez le dentiste. »

En consultation, une femme et son époux demandent ce qu'il en est de l'état du mari, qui n'a pas l'air d'aller très fort.
« Mais votre mari n'a rien, madame. Il croit qu'il est malade, voilà tout. »
Une semaine plus tard, la femme téléphone au médecin :
« Docteur, mon mari croit qu'il est mort. »

Un malade arrive en consultation.
Il enlève son veston, sa chemise, son maillot de corps, son pantalon, ses chaussures.
Le docteur lui demande alors :
« Enlevez aussi votre caleçon. »
Le gars s'exécute, le docteur l'examine attentivement et lui déclare :
« – Oh ! Là, là ! Mais vous êtes décalcifié !
– Mais enfin, docteur, c'est vous qui venez de me le demander ! »

Une jeune femme se rend chez le médecin.
« – Bonjour mademoiselle. Déshabillez-vous.
– C'est que je suis très timide, docteur. Vous pourriez fermer les rideaux ?
– Bon… maintenant, allongez-vous.
– Et où dois-je mettre mes vêtements ?
– Là, à côté des miens. »

Une dame appelle le médecin de famille :
« – Docteur ! Alors ? Mon mari ? Qu'est-ce qu'il a au juste ?
– Une DSLS.
– C'est quoi, ça, docteur ?
– Dieu Seul Le Sait. »

Un médecin répond au téléphone et entend à l'autre bout du fil la voix de son collègue :
« – On a besoin d'un quatrième au poker.
– J’arrive tout de suite ! »
Sa femme lui demande :
« – C'est grave ?
– Oh oui, il y a déjà trois confrères sur place. »

Un banquier est sur son lit d'hôpital.
Ses héritiers voient passer le médecin.
Ils se précipitent vers lui :
« – Alors, docteur, il y a de l'espoir ?
– Non, c'est juste un gros rhume. »

En pleine nuit, un médecin de garde reçoit un coup de fil :
« – Allô, docteur, venez de toute urgence, ma femme fait une crise d'appendicite aigüe !
– Mais c'est impossible ! J'ai l'ai moi-même opérée de l'appendicite l'an dernier et j'ai bien tout retiré. Vous savez, on n'a jamais vu une personne avec deux appendices.
– Et quelqu'un qui se remarie, vous n'avez jamais vu non plus ? »

Un couple va au restaurant.
Le garçon les fait asseoir, mais il ne cesse de se gratter les fesses, ce qui intrigue le mari qui est en outre médecin.
Quelques minutes plus tard, le garçon revient leur présenter la carte et il attend la commande en se grattant toujours les fesses. Le mari n'y tient plus et lui demande :
« – Excusez-moi, vous n'auriez-vous pas des hémorroïdes ?
– Attendez, je vais demander au chef. »

Un homme demande à son médecin :
« – Et ça va me coûter combien, ce nouveau traitement qui pourrait guérir ma belle-mère ?
– Entre 3.000 et 4.000 euros.
– Laissez tomber, docteur. Les pompes funèbres m'ont fait une offre plus raisonnable. »

Une dame très chic et très snob se rend chez son médecin.
« – Docteur, aidez-moi, une guêpe m'a piquée.
– Elle vous a piquée où ?
– Docteur, je n'ose vous le dire. Je me sens trop honteuse et je serais la risée de mes voisines…
– Mais madame, il faut me le dire, sinon je ne peux pas vous soigner. D'ailleurs, je suis tenu au secret professionnel.
– C'est que je suis tellement confuse… Enfin, je veux bien vous le dire en toute confidentialité : C’était chez Lidl. »

Et on en termine par un peu de sexologie (authentique) :

Ils sont jeunes, vieux, mariés, libertins, homosexuels, trans, malades, bref ils sont tout le monde. Les patients sont vous et moi, monsieur et madame tout-le-monde, et viennent dans cet endroit « de liberté » pour se confier ou se soigner. 

« Ne dites pas à mes parents que je suis médecin sexologue, ils croient que je suis ophtalmologiste à Nevers », plaisante le médecin qui a exercé à l’hôpital et en centre de dépistage et de traitement des infections sexuellement transmissibles.

« J’aime considérer mon cabinet comme un petit San Francisco des années soixante ou soixante-dix », en dit un praticien qui a vu défiler toutes sortes de cas, des plus dramatiques – comme cette jeune fille violée à qui l’on a fait subir par erreur un prélèvement vaginal traumatisant –, aux plus drôles – comme ce nonagénaire frétillant, heureux de fréquenter régulièrement sa prostituée préférée. 

« Docteur, je viens vous voir pour un sujet très délicat. Je crois que j’ai trouvé le clitoris de ma femme. Elle-même n’en est pas bien sûre. Bref, on est un peu dans le flou. J’ai pris une photo avec mon iPhone, vous voulez bien regarder ? »

« Donc on retrouve sur le prélèvement de contrôle des Chlamydiae (germe bactériologique de MST). Le traitement prescrit il y a six semaines n’a pas été efficace.
– Quel traitement ?
– Les antibiotiques, vous vous souvenez ? À prendre tous les jours pendant dix jours.
– Ah ça… non. Je ne l’ai pas pris, Docteur.
– Ah… Donc pas étonnant que le traitement n’ait pas été efficace puisqu’il n’a pas été pris.
– Pourquoi ? »

« Je suis adressée par ma gynécologue, qui m’a dit que je n’avais rien, que c’était dans la tête. Si c’est dans la tête, pourquoi je vois un sexologue et pas un têtologue ? »

Un patient va voir son médecin : 
« – Docteur, je voudrais changer de sexe.
– Comment ça ? Mais attendez, là, c'est une lourde décision. Une fois que ce sera fait, c'est pour la vie !
– Oui, oui, je sais, mais j'ai bien réfléchi. Je veux changer de sexe.
– Bon… Et que souhaitez-vous exactement ?
– Ben j'en voudrais un plus long et plus gros. »

« Docteur, je ne vais pas vous mentir. Nous avons parfois des rapports sexuels avec mon mari. Il arrive parfois à avoir une érection. J’arrive parfois à avoir du plaisir. Enfin… Bref, parfois par parfois par parfois, faut pas être Einstein pour comprendre que c’est pour ainsi dire jamais. »

Une patiente délurée fréquentant les boîtes échangistes :
« – J’ai peur de tomber malade à force de fréquenter ces endroits.
– Pourquoi, les infections sexuellement transmissibles ?
– Mais non, le champagne ! Il est gratuit, à volonté et absolument dégueulasse ! »

Une jeune femme de retour d’Australie souhaite se faire dépister.
Le sujet des Chlamydiae arrive sur le tapis.
Elle insiste pour se faire dépister.
Et ajoute cette précision déconcertante : « À cause des koalas. » (…)
On lui explique que les Chlamydiae transmises par la proximité des koalas ne sont pas des infections sexuellement transmissibles pour l’homme.
Sauf si…
Elle quitte le bureau en disant :
« En effet, vous ne jugez jamais ! Vous avez vraiment cru que je m’étais tapé un koala ? »

Une patiente de retour de vacances.
En guise de souvenir : Trois bactéries différentes à traiter sur le prélèvement de gorge. (…)
On explique à cette patiente qu’il faut prévenir et amener ses partenaires.
Elle, affolée :
« TOUS ? Bah là faut prévoir un charter Djerba-Paris… »

« En Australie il y a plein de belles femmes mais peu de structures pour soigner les infections sexuellement transmissibles. En France, c’est l’inverse, elles sont moches mais c’est facile de se faire traiter ! »

Fin du lot !

Bon week-end à toutes et à tous !

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