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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 juin 2016

Les recuites (n° 4)


Diverses…

Dans un square, Jean-Marc aperçoit un papy assis sur un banc, un casque sur les oreilles, qui remue frénétiquement la tête, les jambes et les mains. Il s'approche et demande, assez fort :
« – Charleston ?
– Non, Parkinson ! »

Un vétérinaire qui ne se sent pas en forme va consulter le médecin. Le toubib lui demande quels sont ses symptômes, depuis quand ça dure, etc. Mais le véto l'interrompt :
« Vous savez, moi je n'ai pas besoin de demander à mes patients ce qu'ils ont. Je les ausculte, je les examine attentivement et je finis par trouver tout seul. Pas vous ? »
Le médecin ne répond pas et poursuit son examen sans l'aide du patient. Quand il a fini, il rédige une ordonnance et la remet au vétérinaire :
« Voilà. Suivez ce traitement pendant dix jours. S'il n'y a pas d'amélioration, je serai obligé de vous piquer. »

Deux Marseillais se rencontrent :
« – Oh Marius, tu sais, hier soir je me suis fait une gonzesse, con, elle avait le clitoris comme un cornichon !
– Ah oui ? Aussi gros ?
– Mais non, couillon, aussi aigre ! »

Une vieille fille appelle son vétérinaire en pleine nuit :
« – Docteur, venez vite ! Il y a deux chiens qui font des choses dégoûtantes sous ma fenêtre.
– Mais madame, c'est la nature…
– Oui, mais c'est intolérable sous ma fenêtre. Il faut que ça cesse.
– Écoutez, je ne peux pas me déplacer en pleine nuit pour ça, mais si vous voulez un conseil, ouvrez votre fenêtre et dites-leur qu'on les demande au téléphone.
– Comment ? C'est une plaisanterie ?
– Mais non, ça a bien marché avec moi. »

C'est Madame qui se lève la nuit parce que le bébé s'est mis à pleurer.
« Il va falloir que j'aille le changer », fait-elle en soupirant.
Et le petit frère dit :
« Oh oui, change-le et prends-en un autre qui pleure moins ! »

Au bord d'un étang, une petite vieille lance des morceaux de pain à des canards.
Arrive un monsieur qui l'interpelle :
« – Hé madame, qu'est-ce que vous jetez à ces canards ?
– Du pain », répond la petite vieille. « Pourquoi ?
– Vous savez qu'en Afrique il y a des enfants qui n'ont pas de pain à manger ?
– Oui, je sais bien, mais je n'arrive pas à lancer aussi loin. »

Jean-Marc entre dans une maison close. Il s'adresse à la tenancière, une dame plus toute jeune et déjà quelque peu défraîchie :
« – Je voudrais une fille, c'est urgent. Vous savez, je suis musicien et j'ai là dans mon caleçon une trompette qui ne demande qu'à s'exprimer.
– Oui, je vois, » dit la dame. « Mais pour l'instant, aucune fille n'est libre, il va falloir attendre un peu.
– Ah non, ce n'est pas possible. Ma trompette est sur le point d'exploser, de donner le meilleur d'elle-même, un somptueux concert… c'est urgent !
– Alors il va falloir monter avec moi. C'est tout ce que je peux vous proposer. »
Jean-Marc est d'accord. Il monte avec la patronne.
Une fois leur affaire terminée, la tenancière donne son avis :
« – Dites donc, votre concert de trompette, là, c'était pas si terrible.
– Que voulez-vous, c'est la première fois que je joue dans une salle aussi grande. »

Jean-Marc a beaucoup de mal de se faire respecter dans son entreprise.
Un matin, il n'en peut plus et décide de prendre une mesure radicale : il colle sur la porte de son bureau une grande affiche où est écrit en caractères d'imprimerie :
« LE PATRON ICI, C'EST MOI ! »
La journée passe et il se sent beaucoup mieux.
Plein d'assurance, il va à ses rendez-vous avec un moral d'acier.
En rentrant le soir au bureau, il voit un Post-it de sa secrétaire collé à la porte :
« Votre femme a téléphoné, elle veut que vous lui rendiez son affiche immédiatement. »

Une jeune femme entre toute nue dans un bar et commande une bière.
Le barman reste là sans bouger à la regarder.
« – Qu'est-ce qu'il y a ? Vous n'avez jamais vu de femme nue ?
– Euh… si, si…
– Ben alors, qu'est-ce que vous avez à me regarder comme ça ?
– Je voudrais simplement voir d'où vous allez sortir l'argent pour payer. »

Jean-Marc rentre du bureau et dit à sa femme :
« – Chérie, mon patron m’a enfin donné plus de responsabilités.
– Ah bon ? » dit-elle, surprise.
« Oui, désormais je suis responsable de tout ce qui va de travers. »

Une dame va voir un avocat :
« – Maître, je voudrais divorcer. Mon mari me traite comme un chien.
– Il vous maltraite ?  Il vous bat ?
– Non, il veut que je lui sois fidèle ! »

Un lundi matin, Jean-Marc et Jean-Paul se rencontrent à la machine à café.
« – Salut, tu vas bien ?
– M'en parle pas, je suis comme Robinson Crusoé.
– Comment ça ?
– J’attends Vendredi. »

Cela se passe sur un terrain de golf.
Une dame se rend à l'accueil et demande au préposé :
« – Vous auriez un pansement adhésif ? Je me suis blessée.
– Où vous êtes-vous blessée, madame ?
– Entre le premier et le deuxième trou.
– Ah bon ? Vous savez, je ne crois pas que le pansement va tenir. »

Une grenouille mâle dépressive appelle une voyante dans l'espoir qu'elle lui remontera le moral.
Après avoir noté son numéro de carte bleue, la voyante lui dit :
« – Vous allez rencontrer une fille très jolie qui voudra tout connaître de vous.
– Super ! Et je vais la rencontrer où ? En boîte ? À une soirée ?
– Non, vous allez la rencontrer le trimestre prochain en cours de biologie. »

Jean-Paul, un jeune garçon de ferme, renverse accidentellement son camion de maïs sur la route. Un fermier voisin arrive sur les lieux et lui dit :
« – Écoute, laisse tomber tout ça pour le moment. Viens à la maison, dîne avec nous, et après je t'aiderai à relever ton camion.
– Oh ! Merci, c'est très gentil à vous, mais je ne crois pas que papa serait d'accord.
– Allons, ne fais pas de manières.
– Bon, d'accord… Mais ça ne va pas plaire à papa. »
Après avoir dîné, Jean-Paul remercie son hôte :
« – Ah ! Je me sens bien mieux, mais papa va vraiment être fâché.
– Ne dis donc pas de bêtises. Et d'abord, il est où, ton père ?
– Sous le camion. »

Un Jean-Marc tombe sur une annonce dans le journal : « Venez faire l'amour à l'ancienne. »
Il s'imagine tout de suite au début du siècle dernier à participer à une orgie.
Il décroche le téléphone et prend rendez-vous.
Lorsqu'il arrive à l'adresse indiquée, il sonne et une magnifique jeune femme vient lui ouvrir.
« – Oui, c'est pour quoi ?
– J'ai rendez-vous pour faire l'amour à l'ancienne. »
La jeune femme lui adresse un large sourire, se retourne et s'écrie :
« Grand-mère, c'est pour toi ! »

Un gamin entre en courant dans un poste de police :
« Venez vite, monsieur l'agent, y a un salaud qu'est en train de casser la gueule à mon père ! »
Le policier sort dans la rue et voit deux hommes en train de se battre. Il se tourne vers l'enfant :
« – C'est lequel, ton père ?
– Je sais pas. C'est justement pour ça qu'ils se battent. »

Jean-Marc et Jean-Paul discutent dans un bar :
« – J'ai appris que ta belle-mère n'avait plus que deux mois à vivre ?
– M'en parle pas ! Elle a déjà une semaine de retard. »

C'est une jeune-fille qui se présente pour un emploi de secrétaire de direction.
Au cours de l'entretien d'embauche, Jean-Marc lui demande :
« – Si vous deviez passer la nuit avec un homme célèbre, mort ou vivant, lequel choisiriez-vous ?
– Le vivant ! »

Le petit Jean-Marc entre brusquement dans la chambre de ses parents. Il surprend sa mère nue, couchée sur son père.
« Hé, qu'est-ce que vous faites ? »
La mère, gênée, répond :
« Euh… eh bien, ton père croit qu'il va s'envoler vers le ciel. C'est pour ça que je reste couchée au-dessus de lui pour le retenir. »
Jean-Marc se gratte la tête, perplexe.
« Ah bon… Mais alors, fermez au moins les rideaux. Les voisins pourraient croire que vous êtes en train de baiser. »

Jean-Marc fait venir sa secrétaire :
« Sabrina, je vous propose une augmentation. Le principe est simple : Je jette 500 euros par terre et si vous les ramassez avant que je vous aie fait quoi que ce soit, ils sont pour vous. »
La jeune femme demande à réfléchir afin d'en parler à son mari.
Une fois rentrée, elle lui explique la situation.
Visiblement intéressé, le mari lui dit :
« Essayons ici pour voir, et si ça marche, tu peux te faire du pognon. »
Alors il prend un billet de 500 euros, le jette par terre et avant même qu'il ait pu enlever sa ceinture, sa femme a déjà ramassé le billet.
Il recommence, et cette fois-ci il n'a même pas le temps d'ouvrir sa braguette.
« C'est bon, tu peux accepter. On va se faire un max de blé. »
Le lendemain soir, sa femme revient du travail, et là, horreur, elle est toute décoiffée et marche comme un cow-boy.
« – Mais qu'est-ce qui t'arrive ?
– Mon patron m'a appelée et il a jeté 500 euros par terre.
– Et alors ? T'as pas réussi comme hier ?
– Tu crois que c'est facile avec des pièces de 1 euro ! »

Un petit garçon écossais rentre chez lui et dit fièrement :
« Papa ! J'ai économisé une livre. Au lieu de monter dans le bus, j'ai couru derrière. »
Son père lui met une claque.
« Imbécile ! Il fallait courir derrière un taxi, tu aurais économisé 10 livres. »

Les parents de Jean-Marc ont envie d'une petite après-midi coquine et intime.
Ils demandent donc à leurs fils d'aller prendre l'air sur le balcon et de noter les activités des voisins.
Sur le balcon, Jean-Marc fait ses commentaires à voix haute :
« – Tiens, M. Brun promène son chien… Il y a une voiture qui prend une contravention… Les Dupont sont encore à table… Et les Martin sont en train de niquer...
– Qu'est-ce que tu racontes ? » s'écrie la mère de Jean-Marc depuis la chambre.
« – Pourquoi tu dis ça à propos des Martin ?
– Ben leur fils aussi est tout seul sur le balcon. »

Jean-Marc passe au tribunal pour avoir fait un chèque sans provision.
Pour sa défense, il précise :
« – Mais avec ce chèque sans provision, je n'ai acheté que de l'apéritif sans alcool, un fromage sans matière grasse et du chocolat sans sucre !
– Bien », dit le juge, « alors ce sera un mois de prison… sans sursis. »

Comme chaque année, une dame va chez le dentiste pour une visite de routine.
Le dentiste remarque une carie en train de se former sur une des molaires.
« – Madame, j'ai bien peur qu'il faille passer par la fraise et un beau plombage.
– Oh non… J’ai tellement peur d'avoir mal ! Je préférerais encore mettre au monde un deuxième enfant !
– Qu'à cela ne tienne. Laissez-moi simplement ajuster la position du fauteuil. »

Qu'est-ce qui s'allonge avec la main, passe entre les seins et entre dans une fente ?
La ceinture de sécurité, bande de cochons lubriques !

Bon week-end à toutes et à tous !

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