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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 29 juillet 2016

Recuites n° 10


C’était une blague : Il y a une suite !

Un vieux Ch'ti se promène dans sa campagne natale lorsqu'il remarque Jean-Marc s'abreuvant de l'eau d'un ruisseau.
Il lui dit en patois :
« Bô pa ch't'iô là, min garchon, ché vaques, y z'on kié d'din ! »
(Ne bois pas cette eau, mon garçon, les vaches ont chié dedans !)
Jean-Marc, agacé de ne rien comprendre, lui répond :
« Oh z’y-va, tu me causes français, quoi ! J'suis parisien, j'y capte rien à ton dialecte de bouffons ! »
Alors le brave homme lui dit :
« Bois doucement, elle est froide. »

Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Hier, mon voisin est venu tambouriner à ma porte à 4 heures du matin !
– Il est pas bien, ton voisin…
– Comme tu dis. En plus, ce con m'a fait tellement peur que j'ai failli lâcher la perceuse. »

C'est un instit qui va voir son médecin.
Celui-ci parcourt les résultats d'examens de son patient et hoche tristement la tête :
« – Je suis désolé, il ne vous reste plus que deux mois à vivre.
– Ah… Je peux avoir juillet et août ? »

Jean-Marc et Jean-Paul, deux joueurs invétérés discutent après avoir perdu un bon paquet d'argent :
« – Cette fois-ci, c'est sûr, j'arrête de jouer !
– Tu dis ça, mais je te connais trop bien. Tu ne tiendras pas plus d'un mois.
– Ah oui ? Tu paries combien ? »

Dans un avion, Jean-Marc se lève pour aller aux toilettes.
Lorsqu'il revient à sa place, il s'aperçoit que sa voisine qui était assise à côté de lui, lui a piqué son siège près du hublot.
Pas content du tout, il lui dit :
« – Mais vous êtes assise à ma place !
– Oh ! Excusez-moi, monsieur. Je pensais que vous étiez descendu. »

Une jeune-femme entre dans un garage et demande au mécanicien :
« Vous auriez un bouchon 710 ? »
Le gars la regarde, perplexe.
« – Un quoi ?
– Vous savez bien, ce petit objet juste au milieu du moteur. Je l’ai perdu et je dois le remplacer. Il a toujours été là. »
Le mécanicien donne à la jeune-femme une feuille de papier et un crayon et lui demande de dessiner l'objet.
Elle trace alors un cercle avec « 710 » au milieu.
De plus en plus en plus intrigué, le mécanicien emmène sa cliente devant une voiture au capot ouvert et lui demande :
« – Est-ce qu'il y a un bouchon « 710 » sur cette auto ?
Bien sûr ! Tenez, il est là » répond-elle en désignant le bouchon « OIL »…

Une dame se fait du souci pour son fils.
Elle se confie à son mari :
« Chéri, je suis très inquiète au sujet de Jean-Marc. Il est toujours prêt à écouter le premier imbécile venu… Tu devrais aller lui parler. »

Un journal belge publie le rectificatif suivant :
« Une coquille s'est glissée dans notre dernier numéro.
Les légendes relatives aux champignons vénéneux et comestibles ont été malencontreusement inversées.
Les survivants auront rectifié d'eux-mêmes. »

C'est un papy de 80 ans qui fait venir une call-girl.
Arrivée chez son client, la prostituée le considère d'un air perplexe.
« – À votre âge, ça doit être fini !
– Hein ?
– À votre âge, ça doit être fini !
– Hein ? »
Alors elle crie :
« – À VOTRE ÂGE, ÇA DOIT ÊTRE FINI !
– Ah bon ? Combien je vous dois ? »

Une petite fille demande à son grand-père :
« – Papy, pourquoi t'as trois paires de lunettes ?
– Ben la première, c'est pour voir de près, et la deuxième c'est pour voir de loin.
– Oui, mais la troisième ?
– Ah ben, celle-là, c'est pour chercher les deux autres. »

Jean-Marc demande à sa femme :
« – Imagine que demain je meure, est-ce que tu pleurerais ?
– Évidemment ! Tu sais bien que je pleure pour un rien. »

Un policier arrête un automobiliste :
« – Alors, vous n'avez pas vu le feu rouge ?
– Excusez-moi mais je suis daltonien.
– Et vous allez me dire qu'il n'y a pas de feux rouges en Daltonie ? »

Un homme de 72 ans arrive à la clinique avec sa très, très jeune épouse qui va accoucher.
La sage-femme le félicite et il répond modestement :
« Eh oui, il faut savoir garder le moteur en marche. »
Un an plus tard, même topo.
La sage-femme lui dit avec un clin d'œil :
« – Alors, toujours le moteur en marche ?
– Toujours, » répond-il avec fierté.
Troisième année, troisième accouchement.
« Je garde toujours le moteur en marche », dit-il d'un air triomphant.
« Oui », rétorque la sage-femme, « mais il faudrait voir à changer l'huile : Le petit est tout noir. »

C'est une crêpe qui rencontre une gaufre :
« Dis donc, félicitations pour les abdos ! »

Madame passe l'aspirateur pendant que Jean-Marc regarde la télévision.
Elle lui demande :
« – Chéri, tu as arrosé les plantes ?
– Oui.
– Tu es allé voir ma mère à l'hôpital ?
– Oui.
– Au fait, il est quelle heure, Chéri ?
– Oui. »

Une dame se rend dans un magasin d'électroménager pour un grille-pain qu'elle a acheté et qui ne fonctionne pas.
Le vendeur lui dit :
« Je suis désolé, mais vous ne pouvez pas obtenir de remboursement car le grille-pain était en solde. »
Alors la dame déboutonne son corsage et se met à crier :
« Caresse-moi les seins ! Caresse-moi les seins ! »
Le vendeur, très embarrassé, court chercher le directeur qui dit à la dame :
« Nous sommes vraiment désolés, mais le grille-pain ne peut vous être remboursé puisqu'il était en promotion quand vous l'avez acheté. »
Alors la dame se met à crier de plus belle :
« – Caresse-moi les seins ! Caresse-moi les seins !
– Mais enfin, madame, je ne comprends pas. Pourquoi dites-vous ça ?
– Ah ! Mais moi, j'aime qu'on me caresse les seins quand je me fais baiser. »

C'est Jean-Marc qui engage un détective pour savoir si sa femme le trompe.
Au bout d'une semaine, le détective fait son rapport :
« – Eh bien, jeudi soir, votre femme a rencontré un jeune homme…
– Et ensuite ?
– Ils se sont rendus dans un hôtel. Là, ils ont pris une chambre…
– Et après ?
– Moyennant un gros pourboire, j'ai pu obtenir la chambre contiguë et je suis allé coller mon œil au trou de la serrure…
– Et puis ?
– Ils se sont déshabillés frénétiquement...
– Et puis ?
– Ben là, ils ont éteint la lumière. »
Alors Jean-Marc se prend la tête à pleines mains et se met à gémir :
« Ah ! Le doute, toujours le doute ! »

C'est deux associés, Jean-Marc et Jean-Paul, patrons d'un magasin qui est à deux doigts de déposer le bilan.
La seule chose qui pourrait les tirer de là serait d'obtenir un prêt de la banque. Alors ils passent remplir un dossier de demande de prêt et le conseiller financier leur dit :
« Si vous ne recevez pas de courrier avant la fin de la semaine, ça voudra dire que le prêt vous est accordé. »
Les dernières nuits jusqu'à samedi, Jean-Marc et Jean-Paul n'arrivent plus à dormir.
Ils n'ont plus d'appétit.
Toute la matinée, ils guettent l'arrivée du facteur.
Enfin, le samedi matin, le facteur arrive.
Il tient une enveloppe.
Jean-Marc, le plus solide mentalement, s'avance vers le facteur et prend l'enveloppe.
Pressentant le pire, il l'ouvre avec les larmes aux yeux, puis il lit la lettre… et un immense sourire illumine son visage.
Jean-Paul demande :
« – Alors ?
– Bonne nouvelle : C’est juste ton frère qui est mort. »

En entrant dans sa chambre d'hôtel, Jean-Marc aperçoit une punaise sur le lit.
Il appelle le réceptionniste.
« Ce n'est rien, monsieur. Comme vous le voyez, la bestiole est morte. »
Jean-Marc s'installe, mais un quart d'heure après il téléphone à la réception.
« Vous voulez bien venir voir ? La punaise est morte, mais il y a un monde fou à son enterrement. »

Jean-Marc entre chez le bijoutier :
« – Bonjour, je voudrais une bague.
– C'est pour votre femme, ou bien vous voulez mettre plus cher ? »

Dans un bar, Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Tu sais que d'après les chercheurs les plus optimistes, dans 30 ans on bouffera de la merde ?
– Ah bon ? Et d'après les plus pessimistes ?
– Ben, y en aura pas pour tout le monde. »

Jean-Marc va sonner chez son voisin :
« – Je suis désolé, ma poule a abîmé votre potager.
– Oh, c'est pas grave, mon chien a mangé votre poule.
– Alors on est quitte, je viens d'écraser votre chien. »

Un petit vieux va au bordel.
La patronne le conduit vers une fille appétissante et prête à tout.
Ils montent.
Sûre d'elle, la fille lui dit :
« Déshabille-toi et passons aux choses sérieuses. Je vais te rappeler le bon vieux temps. »
Le papy se déshabille en vitesse, mais la fille lui prend toutes ses fringues et les jette par la fenêtre.
« – Qu'est-ce que tu fais ? T'es folle !
– T'en fais pas, pépé ! Je vais te faire l'amour toute la nuit, et demain matin tu auras perdu tant de kilos que tes vêtements seront trop grands pour toi. »
La fille se déshabille à son tour.
Alors le petit vieux s'empare de ses affaires et les balance par la fenêtre.
« – Hé ! Ça va pas ? Qu'est-ce que tu fais ?
– T'inquiète pas. Le temps que je bande, la mode aura changé. »

Dans un bar, Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Et avec ta femme, ça va, côté sexe ?
– Oh, tu sais, c'est comme les Jeux olympiques…
– Ah bon ? Vous accomplissez des performances ?
– Non. C'est tous les quatre ans. »

Un Africain arrive à Roissy avec un faux passeport où figure la photo de Leonardo DiCaprio.
Le douanier examine l’africain, le passeport, l’africain…
Il demeure un instant perplexe, puis appelle son chef.
« Dites, chef, vous qui êtes plus cultivé que moi : Le Titanic, il a coulé ou il a brûlé ? »

Bon week-end à toutes et à tous !

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