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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 23 décembre 2016

En cette avant-veille de Noël…


Pas trop envie d'en rire :  Quelques questions métaphysiques
Et leurs réponses…
Parce que vous l’auriez bien mérité, au moins un peu :



« Quelles sont les dernières paroles de Jésus ?
Avant je croyais, maintenant je suis fixé. »



« Pourquoi les curés sont-ils contre l’amour avant le mariage ?
Parce que ça retarde la cérémonie. »



« Quel est le gars le plus populaire dans un camp de nudistes ?
Celui qui peut avoir une tasse de café dans chaque main et transporter tout de même une douzaine de beignets. »



« Quelle est la fille la plus populaire dans un camp de nudistes ?
Celle qui a mangé le dernier beignet. »



« Quelle est la différence entre un petit ami et un mari ?
 30 minutes. »



« Quelle est la différence entre un caniche qui te pisse dessus et un pitbull qui te pisse dessus ?
Le pitbull tu le laisses finir. »



« Quelle différence entre un rouquin et un requin ?
 L’un a les cheveux du père, et l’autre a les dents de la mer. »



« Quelle est la ressemblance entre les fonctionnaires et le jeu du Mikado ?
Le premier qui bouge a perdu. »



« Connaissez-vous la différence entre Lady Diana et Ronaldo ?
Ronaldo : Accélération, petit pont et but alors que Diana : Accélération, petit pont et poteau ! »



« Quelle est la différence entre le papa d’un bébé normal et le papa d’un bébé éprouvette ?
Le papa du bébé éprouvette est un branleur ! »



« Pourquoi les gorilles ont des grosses narines ?
Parce qu’ils ont de gros doigts… »



« Qu’est-ce qu’un homme avec une mitraillette dans un champ de blé ?
Un céréale killer… »



« Tu sais pourquoi les Gipsy Kings tiennent leur guitare à la verticale ?
T’as déjà essayé de répéter à douze dans une seule caravane ? »



« Comment appelle-t-on une relation sexuelle à la Maison blanche ?
Un rapport de stage. »



Et puis quelques « histoires d’en rire » quand même :



Vers l’âge de six ans, une gamine de 6 ans regarde et écoute une chanteuse d’opéra en pleine scène à la télévision.
Elle la regarde les yeux écarquillés jusqu’au bout et à la fin, elle se retourne vers sa mère et dit :
« Dis Maman, si elle continue, elle va se faire mal aux oreilles ! »



Après avoir soigné une des vaches de la ferme, le vétérinaire se prépare à partir quand le fermier et sa femme l’arrêtent :
« Dites donc, là, y a l’coq d’la basse-cour qu’est pas du tout intéressé par l’affaire…
Ça fait bin un mois qu’on l’a acheté au marché de Saint-Marcellin et on l’a toujours pas vu monter sur une poule. Z’auriez pas un truc pour lui ? »
Le véto rigole doucement et leur répond :
« Pas de problème ! Une fois par jour, vous allez attraper votre coq et vous lui frotterez le croupion à la brosse de chiendent. Ça va lui activer l’organe et avec ça, vos poules passeront un sale quart d’heure, faites-moi confiance. »
Quand le vétérinaire revient, une semaine plus tard, le fermier s’avance vers lui clopin-clopant, en faisant des grimaces de douleur à chaque pas :
« Alors, est-ce que vos poules sont satisfaites ? » demande le véto.
« – Ah les poules, elles se cachent tellement elles en ont marre que le coq leur coure après, mais par contre…
– Oui ? » interroge le véto.
« Sauf que la prochaine fois, ne parlez pas devant ma femme ! »



Albert et Marlène croient tous deux au spiritisme et à la réincarnation.
Un jour, ils se font une promesse mutuelle : Après le décès de l’un ou de l’autre, le survivant essaiera de contacter le partenaire défunt dans l’autre monde 30 jours exactement après le décès.
Quelques années plus tard, Albert meurt dans un accident de voiture.
Fidèle à sa promesse, exactement 30 jours après le terrible accident, Marlène essaie de contacter son doux dans l’au-delà.
Durant la séance de spiritisme, Marlène, en transe, appelle d’une voix mystique :
« Albert, Albert, c’est Marlène. M’entends-tu ? »
Une voix doutre-tombe, encore plus mystique se fait entendre :
« Oui Marlène, je t’entends. »
Marlène, un brin effrayée :
« – Oh, Albert, à quoi ressemble l’endroit où tu es à présent ?
– C’est magnifique, des ciels azurés, une tendre brise, des prairies verdoyantes où le soleil brille la plupart du temps. »
Marlène, en pleurs :
« – Et que fais-tu de ton temps ?
– Eh bien Marlène, vois-tu, on se lève juste avant le lever du soleil, on petit déjeune copieusement, et après on ne fait que baiser jusqu’à midi.
Après le déjeuner on fait la sieste jusqu’à deux heures puis on baise jusqu’à, à peu près, ça dépend du partenaire, cinq heures.
Ensuite un autre bon repas et on baise jusqu’à tomber raide de fatigue et finalement s’endormir vers les 23 heures, ça dépend du partenaire. »
Marlène, toujours en pleurs, mais choquée :
« – C’est à ça que le paradis ressemble ?
– Le paradis ? Je ne suis pas au paradis Marlène !
– Snif, où es tu alors ?
– Je suis un lapin, dans les Cévennes. »



C’est l’histoire du père Mathieu, un fermier de Normandie.
Un jour qu’il était tranquillement en train de traire la Marguerite, y’a sa fille, Marie qu’est belle comme le jour (et blonde comme les blés), qui arrive :
« – Dis moi, p’pa…
– Qu’est-ce-qu’y a donc, la Marie ?
– Ben voilà … Tu sais, ce soir, y’a une fête chez Jean-Marc.
– Ben plutôt, que je’l’sais ! C’est-y pas moi qu’ai refilé à Jean-Marc quelques bonnes bouteilles de calvados de 20 ans d’âge ?
– Chais bin, p’pa. Bah voilà… J’vroudrais te d’mander… Tu me laisserais-t-y pas y’aller, à la fête de Jean-Marc, ce soir ?
– Ah non ! Pas question, la Marie ! Tu es bin trop jeune…
– Mais, j’ai quand même mes vingt-quatre ans passés…
– Non, la Marie ! Pas question ! Hé pis on sait bin ce qu’y s’y passe, dans ce genre de soirées.
Comme tu vas y aller toute seule, et que tu es timide, tu pourras donc pas refuser l’invitation d’un garçon à danser. Et pis après, y va te payer un verre, pis deux, pis trois.
Et pis ensuite tu vas avoir chaud, très chaud, tellement que quand le garçon te proposeras d’aller dehors, tu pourras pas refuser. Et moi, ces gars-là, je les connais…
Le garçon va t’emmener dans la grange de Jean-Marc, tout en t’embrassant dans le cou. Toi, tu pourras pas réagir, vu que tu seras ronde.
Ouais, je vois ça d’ici !
Il va t’allonger dans la paille, et pis il va se déshabiller, et toi aussi.
Et après il va te sauter dessus, et dans neuf mois, on sera déshonoré !
– Allez, s’il te plaît, ‘pa ! je te promets de faire très attention.
– Bon allez, vas-y-donc, après tout ! »
Le lendemain, au même endroit, y’a le Mathieu qui trait la Marguerite, et sa fille approche.
« – Alors, la Marie, comment ça s’est-y passé, ta soirée ?
– Bin dis donc, p’pa, on dirait que tu y étais, tellement ça s’est passé comme t’as dit.
Un garçon m’a invité à danser. Et pis après, il m’a payé un verre, pis deux, pis trois, de ton bon calva de 20 ans d’âge.
Et pis ensuite j’ai eu très chaud, tellement qu’on est allé dehors, lui et moi.
Pis le garçon m’a emmené dans la grange de Jean-Marc, tout en m’embrassant dans le cou. Exactement ce que t’avais dit !
Pis il m’a allongé dans la paille, et pis il va se déshabiller, et moi aussi.
Mais là, c’est MOI qui lui ai sauté dessus, et dans neuf mois, c’est LUI qui sera déshonoré ! »



La maîtresse demande à ses élèves de faire une phrase avec « et pourtant » :
« – Vas-y Gérard…
– Hier, j’ai été à la pêche avec mon papa, et pourtant il pleuvait. »
La maîtresse :
« – Oui, ce n’est pas trop mal. À toi Isabelle.
– Le chat a attrapé une souris sous la pluie, et pourtant c’était très glissant. »
La maîtresse :
« Voila, c’est bien. À toi Jean-Marc… »
Jean-Marc réfléchit un instant et se lance :
« Les filles mouillent entre les jambes, et pourtant elles ne rouillent pas. »
La maîtresse est très mécontente :
« Tu me copieras 100 fois « je ne raconte pas de grossièreté en classe » pour demain et tu prépareras une phrase correcte avec « et pourtant ». »
Le lendemain, Jean-Marc remet sa punition à la maîtresse.
« – J’espère que tu as compris. Vas-y, dis-nous ta nouvelle phrase…
– La terre est ronde et pourtant ça baise dans tous les coins… »



Une petite dernière avant d’aller préparer votre réveillon ?



Dans le bureau ovale de la Maison Blanche, George W. Bush et son vice-président Dick Cheney discutent.
Bush se lamente :
« J’en ai marre de toutes ces blagues sur ma soi-disant idiotie congénitale. »
Le vieux Dick Cheney essaie de calmer son vieux gosse de patron, et lui répond :
« Bah, ce ne sont que des plaisanteries, et les gens qui les font sont stupides. Je vais d’ailleurs t’en apporter la preuve. »
Alors, Cheney emmène Bush devant la Maison Blanche et hèle un taxi.
« Emmenez-nous chez moi au 29 Nickel Street pour que je voie si je suis bien à la maison », demande Cheney au chauffeur.
Le chauffeur de taxi démarre sans dire un mot et les conduits tous les deux au 29 Nickel Street.
Cheney et Bush descendent et aussitôt le vice-président dit :
« – Alors W. Tu as vu ? Ce type était vraiment stupide, non ? Il ne nous a même pas fait une seule remarque !
– Tu parles d’un crétin ! » répond George Bush.
« Il y avait une cabine téléphonique juste au coin de la Maison Blanche, tu aurais pu téléphoner au lieu d’aller voir en taxi ! »

Bon week-end à toutes et à tous malgré tout !

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