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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 12 décembre 2016

La destruction de Paris


Comme vous avez pu le comprendre, 

Je suis repassé incognito par la ville qui m’a vu naître, qui m’a abrité durant de longues décennies, où j’ai été formé, où j’ai œuvré très longtemps, où j’ai même participé activement et à titre bénévole à ses activités sociales, à la « petite-enfance », à sa vie politique et même dans les facs qui m’ont formé à restituer un peu de ce que j’étais devenu grâce à elles, avant d’être contraint de m’exiler « par précaution ».
C’était juste « un tour », deux fois, pour les primaires de « droâte ». Une fois en voiture, une fois en avion : Plus cher mais moins fatigant !
Venise, où je partage mon temps avec Monaco et Portoferraio, est une ville fabuleuse, mais j’aime « Paris-sur-la-plage », sa diversité et sa richesse de formes, de couleurs, de « matières », offerte à ma macula, je l’adore, en connais toutes les ruelles (ou presque) et leur histoire. Parfois même quelque habitantes…
Venise, pas encore. Monaco, pas vraiment mieux.

Et alors ? Pas déçu du voyage : J’ai beau suivre de loin l’actualité des parigots, je n’en reviens pas !
C’est toujours aussi sale, des détritus, des souillures, des étrons, des crachats, des dégueulis, des trottoirs qui ne sont jamais balayés, par-ci, par-là, un peu partout,  les chaussées sont toujours aussi souvent défoncées par des gens payés pour ça, les abords & trottoirs pas mieux, des travaux et chantiers partout, trop de boutiques fermées et plein de gens stressés qui se bousculent dans les transports en commun qui puent affreusement.
Pourtant, parfois, sur la lagune, ça ne sent pas que la rose.
Je me suis intéressé à mes anciens voisins qui vieillissent plutôt mal, se plaignant d’avoir toujours plus de mal à joindre les deux bouts, mais qui n’hésitent à décamper et encombrer les routes et autoroutes pour aller « déstresser » à la campagne.
Mes potes banlieusards ne sont pas mieux traités, même si leur petit-jardinet est nettement plus calme : Ils comptent en heure pour venir me saluer (90 minutes depuis Cachan, par exemple, à seulement quelques kilomètres, là où celui de Lille met à peine une heure), où ils pouvaient se déplacer en un temps raisonnable jusqu’alors, notamment quand ils se sont installés.
Je reste stupéfait qu’ils en disent que venir travailler – ou seulement faire un déplacement de civilité ou sanitaire – leur demande plus d’une heure à chaque trajet : De « mon temps », c’est qu’on venait de Rouen, de Chartres, de Beauvais…
Le périph’ est totalement embouteillé, s’y faire flashé à plus de 70 km/h relève de l’exploit, sauf une toute petite partie de la nuit, et les accès ne sont pas mieux.
Quant au problème du stationnement intra-muros, il devient insoluble.
Moi, je m’en fous, j’ai un emplacement réservé à 5,42 €/J et à l’année qu’occupe « ma nichée » quand elle est là. Et il y a assez de place pour ne pas tourner deux heures.

Dans le discours général, les choses se détériorent depuis mon départ. Paris n’est plus une grande ville. Il me semble qu’elle devenue une simple cité, qui ressemble à un gros bourg. Le soir de week-end, traversant le boulevard Saint-Michel ou le Saint-Germain, à l’heure où Londres, New York bruissent de mille feux, on peut apercevoir un bus ou deux, vides aux trois quarts, trouant la nuit.
Les rez-de-chaussée commerciaux ont mis la veilleuse.
Les SDF en nombre impressionnant déplient leur couchage de carton jusque dans les abords des stations de métro.
Ils ont voulu la province, le tramway obsolète qui bloque tout sur les maréchaux, la plage ou la pétanque, la piétonisation villageoise, les maraudes ou les parcages des gros autocars touristiques, les quartiers chichi, les foires à brocante et à charcuterie, les baraques à frites, ils les ont, mais se désolent…

Le commerce a horreur du vide. Qu’on lui donne les grandes places et les larges trottoirs pour l’heure déjà couverts de baraques de bois accolées pour les fêtes où les crêpes, les boudins, les saucisses et autres pots d’étain, attisent la convoitise de l’occasion sans y faire attraction. La fripe et la téléphonie auront rasé les librairies du Quartier-ex-latin.
Faute d’agrandir Paris en annexant la banlieue, j’ai l’impression qu’on a transformé Paris en banlieue. Douze millions d’urbains sont traités de, et en banlieusards. Et les intra-muros, ces malheureux deux millions d’immuables bouclés, séquestrés, prisonniers à jamais dans leur ceinture et leur périphérique, obéissant à une poignée de dogmatiques trisomiques omnipotents, semblent subir, paralysés, une transformation dévastatrice de ma Ville.
C’est absolument incroyable, mais on a détruit les grandes et belles avenues, jadis à la fois encombrées et rapides : Les voici découpées en couloirs incompréhensibles, obstruées de trottoirs médians au profit de sinistres allées centrales avec leurs arrêts de bus inaccessibles aisément en dautant de guérites-miradors au milieu de la chaussée.
Partout les panneaux contradictoires, les Decaux exhibitionnistes, des affiches débilitantes, iconoclastes même, glorifiant les rapports homos, LGBT cette si petite minorité qui s’impose, elle et ses codes de conduite, à l’immense majorité en vue de choquer le chaland (c’est sans doute post-moderne !), des interdictions peintes sur le bitume. La ville « fléchée à mort » est moribonde et le passant qui passe s’y traîne de mauvaise grâce.
Je ne sais pas combien ça coûte, mais il y a des « dos-d’âne » même là où on ne sait pas pour quelle raison, histoire de faire mettre le pied sur le frein (quand on les voit…) et polluer un peu plus en accélérant à la sortie de l’obstacle pour retrouver son allure de 30 km/h réglementaire : Je ne comprends pas l’intérêt, ni pour les riverains, ni pour la sécurité des piétons incertains, ni pour la lutte contre la pollution.
D’ailleurs, il n’y a pas à s’étonner : Les murs des immeubles ont tellement noirci en deux ans…

Montparnasse, Port-Royal, Gobelins, Saint-Marcel, Rivoli, Magenta, Sébastopol, Jean-Jaurès, l’axe Pigalle-Père-Lachaise (j’en ai profité un peu), la sortie de la gare du nord vers la porte de la Chapelle, des kilomètres d’autres voies étranglées, même la nuit tombée. Tout doit s’enfiler dans une interminable queue-leu-leu monomaniaque d’un exode qui doit être harassant en journée.
À contresens, ils ont réussi cette prouesse d’installer à la fois la thrombose latérale et le vide central, le bouchon et le désert, côte-à-côte !
Les deux mauvais opposés se gênent, conjuguant le pire, au lieu de les associer.
Par exemple, dans la rue du Bac, un de nos rares axes Sud-Nord avec le boul’Mich, qui fait partie de « mon tour » de quand je faisais la visite de la ville à « mes » provinciaux quand ils voulaient s’en mettre plein les mirettes des mille feux de la ville à la nuit tombée, et qui va se rétrécissant du Saint-Germain à la Seine, il n’y avait que deux files, et c’était déjà saturé, la faute aux feux-rouges décalés exprès : Ils en ont supprimé une, en « autorisant le stationnement à seule » fin d’enrayer plus encore plus le flux vers la Seine !
Partout, les voies sont occupées par des parkings à Vélib’ ou à Autolib’, occupant de vastes surfaces stérilisées, souvent libres, autrefois destinées au stationnement rotatif, des aires de livraison, même là où il n'y a pas de magasin à livrer, même la nuit où de toute façon, il n’y a pas de livraison qui tienne.

A-t-on augmenté le nombre des taxis et des bus ? Je n’en sais fichtre-rien : Il y a plus de VTC, c'est tout.
À Londres, ils se touchent : Faites juste un tour à Piccadilly-Circus ou à  Trafalgar Square, voire à New-York, on ne voit qu’eux sur toutes les avenues.
À Paris on les cherche. Il n’y a que le métro qui fonctionne correctement, à condition d’être patient et où l’on s’entasse.
Tout ça pourquoi ? Pour les vélos, les rollers, le jogging ?
Ils remodèlent Paris pour le dimanche des cyclistes et des familles. Pour cent vélos et quelques patins, ils ferment les voies sur berge, créant des encombrements paraît-il jusqu’à 40 km de là et rêvent de « piétonniser » la Concorde le cœur de circulation le long de la Seine-rive-droâte, quitte à emmerder-sévère ceux qui bossent et tous les autres qui y vivent !
En plus, les kons, ils expliquent aux cyclistes que les voitures, bus, cars, camions, camionnettes, tout ce qui roule, c’est dangereux et que l’air qu’ils inspirent à chaque coup de pédale est nocif !
Total-schizophrène ! 

La Ville lumière passée bascule lentement mais sûrement vers la ville-couvre-feu, comme un bourg provincial. Ce qui compte, c’est l’animation. La vitalité d’une grande ville se mesure aux déplacements qu’on doit et peut y faire. Une ville mondiale n’est pas faite pour la promenade, le lèche-vitrines, les touristes. Attrape-soldes ou vacanciers, ils sont surnuméraires, parasitaires… Très importants, certes, mais secondaires.
Le tourisme n’est pas le but, mais seulement la bonne conséquence. Il ne faut pas prendre la marge pour le centre. Une erreur la plus répandue aujourd’hui, même à Venise ou à Rome où les autochtones n’en peuvent plus de leurs succès internationaux.
Paris nest pas une plage, ni une station de ski. Paris-pétanque, Paris-pêche, Paris-pique-nique, ce n’est décidément pas un programme.
Les hôteliers se meurent, les commerces aussi : Je suis resté scotché par le nombre de boutique fermées ou qui ont changé d’enseigne, de nature de commerce !
Ils sont tous à crever les uns derrière les autres en claquant leurs économies, en s’endettant à mort, en croyant à leur chance : On les ruine à petit feu à tour de rôle.
Même les « Luce » – une chaine de petits magasins d’entre-deux-guerres, concurrents de « Félix-Potin », posés aux meilleurs endroits de la capitale – ont disparu des commerces de bouche, totalement avalés par les enseignes de restauration rapide ou d’agence bancaire qui ne montrent pas tous, loin de là, des signes de grande santé.

L’activité, et la santé, d’une ville requiert la circulation. Il faudrait donc démolir tout ce qui entrave et réduit la largeur des voies et des avenues, et punir durement les « obstructeurs » en lui creusant des parkings souterrains partout où ils n’existent pas encore. Rendre à la circulation et aux bons « embarras de Paris » un maximum de surface, ce qui implique de démolir les obstacles, les privilèges d’acier, recoins obstrués, les vestibules en pavé, les ronds-points accapareurs, de toute façon inaccessibles et inutiles (ou l’art de jeter l’argent par les fenêtres), les barrières plantées, les trottoirs géants et conjointement traquer le parking sauvage et dompter le piéton-qui-a-tous-les-droits.
Ne pas configurer la rue « pour » l’exception (l’invalide du coin, le corps diplomatique infatué), mais « pour » l’aisance générale. 

Je ne comprends pas : Elle aura tout investi dans la voirie pour la saccager, mais presque rien dans le logement. Des millions d’euros ont été coulés dans le bétonnage d’obstacles, « l’insularisation » de quartiers entiers, le « labyrinthage » des circuits.
Mais les hôtels insalubres brûlent, les églises ou les gymnases sont occupés, les loyers grimpent, le foncier se réduit.
Il faudrait casser et « reconstruire » au lieu de rénover, du logement social, de l’habitation modérée, des cités universitaires. Il faudrait ouvrir la ville à ses confins, et réinventer de beaux monuments. Ou renoncer à la gloire et à la modernité.

On se souvient aussi que pour lutter contre la pollution de l’air, « Sœur-Âne » a décidé des mesures de restriction automobile. Elles ont la singularité de frapper les usagers utilisant les voitures les plus anciennes donc, a priori, les automobilistes les moins argentés (hors collectionneurs). Selon la nouvelle disposition, les voitures, essence ou diesel, immatriculées avant le 1er janvier 1997, sont en effet depuis le 1er juillet interdites de séjour en semaine de 8 heures à 20 heures dans Paris.
Sont également concernés les véhicules utilitaires légers d'avant le 1er octobre 1997 et les deux-roues (et pas que les diesels…) d’avant le 1er juin 1999.
Paris est la seule ville gauloisienne à avoir à ce jour institué ces zones, même si d’autres villes en étudient la possibilité comme Grenoble, Strasbourg et Bordeaux. Ce qui n’a pas empêché le dernier épisode de circulation alternée au moment même où le RER tombait en panne et la ridicule, l’indécente controverse sur les la dé-diésélisation des véhicules de la RATP et du STIF, puisque ça ne changera rien à la situation avant 2022 (ou 2029), au rythme de rentrée de vos impôts pour une pollution qui aura à peine reculée de 15 %, les 85 % restant venant du nord-est, au-delà des frontières du pays et des sites industriels.
Elle a voulu la pastille « écololo », elle laura mais personne ne sera sanctionné faute de décret.
Elle a imposé les limitations de vitesse partout, sans rien changer aux encombrements : On se déplace seulement nettement plus longtemps pour un même parcours motorisé.
La voie Pompidou en est une caricature : Conçue pour désengorger le centre-ville, interdite et bloquée, elle en rajoute partout ailleurs et génère 168 plaintes de maires voisins : « On peut aussi regretter l’absence d’enquête origine-destination juste avant fermeture des 43.000 usagers quotidiens (des voies sur berges…). De même, on peut regretter l’absence de mesures spécifiques directes de la qualité de l’air et de bruit sur les axes concernés. »
Rive gôche, c’est pareil depuis Notre-Dame et jusqu’à l’Assemblée Nationale : Une vrai thrombose permanente. Les rapports se succèdent, confirmant le chaos à Paris depuis la fermeture des quais avec des trajets de traversée de Paris qui ont augmenté jusqu’à 75 %.
J’adore…


Et « Sœur-Âne » et ses écololos-bobos sont la cause de ses errements. J’ai beau avoir adoré quand elle me bisait comme du bon pain à me laisser m’enivrer de son doux parfum toujours pas identifié, elle fait désormais de plus en plus l’unanimité contre elle, même chez les « sans-dents » !
Faut dire qu’elle est vraiment drôlasse : J’ai appris comme ça qu’elle veut taxer les deux-roues qui stationnent (un peu trop n’importe où, il est vrai).
Qu’après avoir converti à prix d’or des immeubles de luxe entier en HLM, verdi quelques façades, transformé la place de la République en esplanade trotskiste, imposé des Abribus rénovés qui n’abritent rien du tout et fabriqué d’inextricables embouteillages en fermant ses voies sur berge (j’ai vu de loin : Même mes raccourcis-secrets étaient saturés) qui vont encombrer les prétoires en recours divers des départements voisins (y compris la région), pour cause de séquestration dans leur « tas-de-boue-à-roulettes » durant des heures des « usagers », elle va même inventé sa monnaie locale en 2017.
Où ça va se nicher ?
Dans un premier temps, elle devrait être utilisée pour le paiement des cantines. Mais à terme, l’Hôtel de Ville assure qu’elle connaîtra une large diffusion et instillera « de nouvelles relations économiques entre les citoyens » !
Je te demande…
Heureusement que le ridicule ne tue depuis fort longtemps : Je la vois très bien en banquière-centrale du bidule…
On attend impatiemment le nom de cette future monnaie et je propose ma participation : Le « sumere » (prononcez « zumèr ») qui désigne… un âne (en Corsu) !
Ça lui irait à merveille, trouve-je.


Et pour parler de choses sérieuses, j’ai appris comme ça que la Mairie veut aussi confier 140.000 places de stationnement payant en surface à des gestionnaires privés à partir du 1er janvier 2018. Et attendez, pour éviter les situations de monopole – comme si la maréchaussée municipale n’était pas déjà en situation monopolistique – cette réforme doit permettre à la ville de s’assurer d’un meilleur… recouvrement des frais de stationnement !
Ils taxent, mais sont incapables de se faire payer…
Un manque à gagner estimé à « 300 millions d’euros » par an.
91 % des automobilistes ne payent pas leur écot, les recettes de 80 millions d’euro couvrent à peine le coût d’entretien des pervenches assermentées (75 M€).
Et après on se demande pourquoi le succès des VTC…
D’un autre côté, ça sent la rupture budgétaire, là…
Je n’ai pas vu, mais il me semble que ça reste encore plus cher depuis mon départ : Un véhicule, même attaché à une fonction professionnelle comme d’un outil de travail, ça va devenir un luxe à 4 euros de l’heure dans des journées de 12 heures, 6 jours par semaine : 13,5 K€/an, le prix d’une petite-chiotte merdique avec bonus écololo ! 
Je ne regrette pas mon abonnement à 5 euros !
C’est déjà un luxe pour beaucoup que de travailler, ça va devenir rapidement le fait de seulement quelques-uns hyper-riches à Paris…
Alors, de ce qu’on m’en a dit, un appel d’offres sera « divisé en trois lots géographiques, qui représentent chacun environ 50.000 places de stationnement payant » afin qu’un « même gestionnaire ne pourra remporter plus de deux lots » pour « éviter toute situation de monopole »…
Hein, quand on est « estampillé-soce », bé on privatise une fonction régalienne et municipale, logique, n’est-ce pas ?
Pensez donc ! Une privatisation de droâte c’est forcément dégueulasse. Alors qu’une privatisation de gôche c’est beau, c’est grand, c’est juste, et c’est une grande réforme indispensable au bien-être des bobos !

Une mesure qui va permettre à Paris de récupérer dans le giron municipal quelque 1.600 ASP (Agents de sécurité de Paris) aujourd’hui chargés du contrôle de stationnement. Ils seront dès lors « affectés aux missions prioritaires : lutte contre les incivilités, contre la pollution, surveillance de bâtiments municipaux, contrôle de nos politiques de déplacements (couloirs bus, opérations « Paris Respire »… le bonheur d’y vivre et d’y bosser…) et stationnement gênant ». Et pourquoi pas le ramassage des mégots ?
Où ça va donc se nicher, vous demande-je ?

On m’a dit aussi que « Sœur-Âne » ne veut plus « d’El-Konnerie » dans le 18ème.
Flûte alors ! Moi j’aimais bien sa massive « poitrine flottante » du temps où elle ne se la pétait pas trop et adorait se laisser mirer par mon regard libidineux et, jalouse, compresser ses masses mammaires contre moi pour me biser, elle aussi…
Bon, faut dire que depuis qu’elle est devenue « sinistre », qu’elle se maquille trop et que plus rien ne dépasse dans son apparence si attractive originelle…
Réplique : « Ce n’est ni à la maire de Paris ni à qui que ce soit au plan national de décider des investitures. Cette primaire appartient aux seuls militants », aurait déclaré la ministre du Travail.

Aucun regret que de reprendre mon avion pour Nice où mon « tas-de-boue-à-roulettes » m’attendait sagement pour rentrer à Mestre. À Venise, on y est moins nombreux, mais on y accueille 8 millions de touristes tous les jours, même si on y vend que 12 millions de nuitées là où Paris en ferait encore plus de 27 millions, loin derrière… Nice qui en fait 80 !
Des écarts qui devraient interpeler quand on veut à la fois accueillir les JO et l’expo universelle l’année suivante.
Sauf chez les autistes, naturellement…

4 commentaires:

  1. Je suis en total et absolu désaccord avec vous! Paris évolue bien, très bien même!
    Sus à la bagnole! Vive l'essence à 3 euros le litre! Vive l'interdiction de rouler aux véhicules n'ayant pas au moins trois personnes à bord! Vive les strictes limitations de vitesse! Vive Paris aux piétons, aux bus et au métro!

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    1. C'est toujours ce que j'ai pu prétendre de vous : Vous avez des œillères et de la boue dans les yeux !

      Vous me faites marrer : Vous piéton-exclusif ?
      Mais vous n'irez pas très loin et votre baguette de pain, votre journal seront acheminés comment ?
      En triporteur ?
      Jean-Yann avait au moins plus d'humour que vous (avec ses "Chinois à Paris").
      Bienvenu au Paris occupé, finalement, si c'est tout ce que vous nous promettez.
      Peut-être même aux tickets de rationnement, non ?

      Paris s'abîme et c'est ce qui frappe quand on y revient. Tout juste un gros bourg de province avec un peu plus de touristes qui marcheront, naturellement, parce que si je ne m'abuse, les transports en commun sont saturés, toujours à la merci d'une grève ou d'un "incident-technique" (comme récemment : et encore, on ne compte pas le bonheur d'y vivre tant il y a de suicides...).

      Passons, vous devriez sortir plus souvent de votre trou nogentais au moins pour compter le nombre de futurs-marcheurs qui bossent ailleurs.

      Bien à vous !

      I-Cube

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  2. C’est le choc hein ?

    « les grandes et belles avenues » : c’est manifestement à éliminer, à cause de toutes ces manifs de nouveaux réacs. La contrepartie c’est que cela devient une bonne configuration pour des guérilleros urbains.

    Et sinon, vous n’avez pas rencontré des bandes de rats ? (ce n’est pas une métaphore)
    Enfin plus d’inquiétude, le baudet andalou a lancé un programme de dératisation massive.
    Comtesse Ô Pied Nu

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    1. Un choc, oui un peu tout de même : J'avais été prévenu.

      Pas vu de rat, mais j'étais en voiture ou en taxi, sauf à la sortie d'Orly où j'ai pris le Val.
      Le RER B est toujours aussi infect, voire plus encore.
      Quand je pense qu'à "Bouda-Pècht" le métro est nickel, rien qui traine par terre ou si peu, même pas de machine à poinçonner, que les trottoirs ont si peu de trace de chewing-gum, qu'il n'y a pas de tas d'ordures et de trainée de chiotte de canins...
      Ils ont pourtant moins de moyens.

      Ceci dit, j'ai appris que "Sœur-Âne" allait se payer un blindage complet de son bureau et des accès.
      Elle serait menacée, tout de suite après le Président, le premier-sinistre et celui de l'intérieur, je ne comprends pas comment...
      D'autant que c'était déjà une forteresse où il fallait montrer sa CNI et son casier judiciaire, sa convocation, pour entrer, doublé d'un labyrinthe effroyable...

      Enfin passons : Ce n'est pas moi qui paye mais les parigots !

      Bien à vous, chère Comtesse-Ô-pied-dénudé !

      I-Cube

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