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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 9 décembre 2016

La revanche de nos femmes : Extraits (2) !


Suite du dernier RDV des « Histoires d’en rire »
Tous les vendredis sur ce blog !

Et on commence par quelques réalités immémoriales :

La langue française est quand même bizarre. Pourquoi dit-on UN tabouret et pourquoi UNE chaise ?
Le tabouret a-t-il des petits attributs que personne n’a pas vus ?

Pourquoi dès que c’est UNE galère, c’est tout de suite au FÉMININ ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c’est pour vous les FEMMES !

Les hommes, le masculin, c’est LE soleil et LE beau temps, LE paradis !

Les femmes, n’ont pas de chance : LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA balayeuse.

Les hommes, c’est LE café, dans LE fauteuil avec LE journal en regardant LE foot, et ça pourrait être LE bonheur si les femmes ne venaient pas mettre LA chicane.

Pour retrouver LE calme, je crois qu’on devrait laisser LE genre décider…
Elles peuvent regarder LA télé, mais l’homme choisira LE poste.
Si LA télécommande leur  appartient, le masculin en garde LE contrôle.

Ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non !
D’ailleurs, entre parenthèses, on signale aussi que LE mot sexe n’a pas de FÉMININ.
On ne dit pas UNE sexe, on dit LE sexe d’UNE FEMME, ou même LE clitoris, LE vagin.

Par définition, LE plaisir est donc pour les hommes.
Car si les préliminaires sont rapides c’est qu’ils ne font qu’UN préliminaire.
Plus que ça c’est UNE perte de temps.
Après avoir obtenu UN orgasme, les hommes se retournent pour trouver LE sommeil pendant que les femmes vivent UNE frustration.

On dit aussi UN amour, au masculin, mes DES amours au féminin comme d’une invitation aux amours forcément heureuses pour être multiples !
Alors qu’une femme ne peut connaître d’amour heureux, qu’au masculin, dès lors qu'il est au singulier !

D’ailleurs, dès que c’est sérieux, comme par hasard, c’est tout de suite au MASCULIN : On dit UNE rivière, UNE p’tite rivière, mais UN fleuve ou UN océan.
On dit UNE trottinette, mais UN avion à réaction !

Et quand il y a UN problème dans UN avion, c’est tout de suite UNE catastrophe ! Alors, c’est toujours à cause d’UNE erreur de pilotage, d’UNE panne, d’UNE mauvaise visibilité, bref à cause d’UNE connerie.
Et alors attention, dès que LA connerie est faite par UN HOMME, tout de suite, ça ne s’appelle plus UNE connerie, ça s’appelle UN impondérable !

Enfin, moi, si j’étais une FEMME, je ferais UNE pétition.
Et il faut faire très, très vite parce que la situation s’aggrave de jour en jour : Y’a pas si longtemps, elles avaient encore LA logique, LA bonne vieille logique Féminine.
Ça n’a pas plu aux HOMMES, et Ils ont inventé LE logiciel.

Mais il y a quand même quelquefois de petits avantages : Il y a  a LE mariage, LE divorce, les femmes LA pension et LA maison.
Elles ont LA carte de crédit, les hommes LE découvert.

Mais en général, LE type qui a inventé LA langue française n’aimait pas beaucoup les femmes :
Il n’a pas pu s’empêcher de mettre UN accouchement.
Vraiment MASCULIN, UN accouchement !
Ah ça, des erreurs comme ça il en a fait plein !
UN sac à main, c’est viril à mort !
UN soutien-gorge, c’est pour les camionneurs !
LE maquillage, LE rouge à lèvres …
Il s’est trompé dans l’autre sens aussi : UNE moustache, ça c’est la FÉMINITÉ poussée à son comble, et puis on ne sait pas comment IL a fait pour se tromper, parce que très tôt dans LA vie, on découvre qu’UNE couille c’est pas ce qu’il y a de plus FÉMININ.
Même les aveugles font LA différence.
Bé LUI, IL a rien vu : Hein ? UNE couille ? Kécécéça ?
Oh ben ça doit être FÉMININ, à moins que LA langue française ait été inventée par UN travesti.

Bon, alors, depuis que je sais tout ça, je fais attention quand je parle à UNE FEMME pour ne pas LA vexer : Maintenant je fais LE cuisine, après je fais LE vaisselle et je regarde LE télé en me grattant UN testicule !

Et encore quelques-unes (vérité, blague : FÉMININ) :

« En Amérique, le sexe est une obsession ; ailleurs, c’est un fait. » – Marlène Dietrich.

« Le cinéma, c’est comme un père, ça fait rêver. Le théâtre, c’est comme une mère, on y revient toujours. » – Valérie Lemercier.

« L’argent rend les hommes fous, lorsqu’ils en ont et lorsqu’ils n’en ont pas. » – Françoise Sagan.

« La femme d’un magnétiseur est forcément heureuse car elle a un mari aimant… »

« Une femme qui veut que son mari lui achète une robe dernier cri aura toujours le dernier mot. »

« Les femmes n’aiment pas l’argent ; la preuve, dès qu’elles en ont, elles le dépensent ! »

Définition du barbecue : C’est là la seule cuisine qu’un « vrai » homme fera.
Quand un homme se porte volontaire pour faire ce type de cuisine, la chaîne des événements suivants est alors mise en route :
1. La femme va à l'épicerie.
2. La femme prépare la salade, les légumes et le dessert.
3. La femme prépare la viande pour la cuisson, la place sur le plateau avec les ustensiles nécessaires et l’apporte à l’homme qui est étendu à côté du barbecue en train de prendre une bière.
4. L’homme place la viande sur la grille.
5. La femme va à l’intérieur mettre la table et vérifie la cuisson des légumes.
6. La femme revient à l’extérieur pour dire à son mari que la viande est en train de brûler.
7. L’homme enlève la viande de sur la grille et l’apporte à la femme.
8. La femme prépare les assiettes et les apporte sur la table.
9. Après le repas, la femme dessert la table et fait la vaisselle.
10. L'homme demande à la femme si elle a apprécié de ne pas faire de cuisine.
Et devant son air ennuyé, il en conclut que les femmes ne sont jamais satisfaites.

Et des comme ça il y en a pléthore :

« Les hommes sont comme… le ciment.
Une fois étendus, ils peuvent prendre beaucoup de temps à durcir. »

« Les hommes sont comme… les lampes magiques.
Ils ont l’air brillant, mais il faut les frotter pour en faire sortir tout le génie. »

« Les hommes sont comme… le pop-corn !
 On a du mal à résister, mais on est vite écœuré. »

« Les hommes sont comme… l’horoscope.
Ils vous disent toujours quoi faire et habituellement ils se trompent. »

« Les hommes sont comme… le mascara.
Ils disparaissent au moindre signe d’émotion. »

« Les hommes sont comme… les grenouilles.
Ils ne pensent qu’à sauter. »

« Les hommes sont comme… l’essence.
Des pieds à la ceinture, c’est du super ; de la ceinture aux épaules, c’est de l’ordinaire ; des épaules à la tête, c’est du sans plomb. »

« Les hommes sont comme… le café.
Les meilleurs sont riches, chauds et peuvent te tenir éveillée toute la nuit. »

« Les hommes sont comme… les bananes.
Plus elles vieillissent, plus elles sont molles. » 

« Les hommes sont comme… les congés.
Ils n’ont jamais l’air assez long. »

« Les hommes sont comme… les publicités.
On ne peut jamais les croire. »

« Les hommes sont comme… les grands magasins.
Leurs vêtements sont toujours à moitié prix. » 

« Les hommes sont comme… un caramel.
C’est bon mais c’est collant ! »

« Les hommes sont comme… les chiens.
Quand on les flatte, ils lèvent la queue ! »

« Les hommes sont comme… la lettre Q.
De gros zéros avec une petite queue au bout… »

« Et malgré tout cela, les hommes sont comme… le bon et le mauvais temps.
On ne peut pas les changer, il faut faire avec ! »  

Quelques bons mots historiques de nos sénateurs, à propos des femmes :

René Hery (1832) : « Dans toute l’histoire de l’humanité, jamais il n’y eu de génie féminin ! … Le suffrage féminin, dès son début, renversera la République ! »

Alexandre Bérard (1919) : « Plus que pour le bulletin de vote, les mains des femmes sont faites pour être baisées dévotement, amoureusement.
Séduire et être mère, c’est pour cela qu’est faite la femme.
Tout ce qui la détourne du foyer est une violation de la loi humaine. »

Pierre Marraud (1932) : « Les femmes croient-elles que leur intervention dans les luttes politiques ne les fera pas fatalement descendre du plan très élevé où nous avons coutume de les placer ? »
(Très élevé ? Si c’est à la hauteur du lit …)

Raymond Duplantier (1932) : « La plupart d’entre-elles n’ont-elles pas des bouches trop petites pour qu’en puissent sortir les gros mots qui sont trop souvent la monnaie courante des discussions électorales ?
Vous allez augmenter le nombre des femmes alcooliques, si vous leur donnez le droit de vote. »

Paul-Régis Manset (1922) : « À partir de 30 ans, une femme ne peut que diminuer son prestige en faisant connaître son âge. En inscrivant son nom sur une carte d’électeur, elle s’expose donc à de fâcheuses aventures. »

Louis Tissier(1932) : « La femme est en tutelle, c’est une espèce de mineure ! »
(Drôle de façon de considérer la moitié de l’humanité, et pas la moins inintéressante, non ?)

Et encore une petite « machiste » pour finir ?

Une femme est en train de cuire des œufs au plat lorsque son mari rentre à la maison.
Il vient dans la cuisine et se met à hurler :
« ATTENTION ! ATTENTION ! PLUS DE BEURRE !
RETOURNE-LES ! RETOURNE-LES !
DU BEURRE, PLUS DE BEURRE !!
TU NE VOIS PAS QU'ILS VONT BRULER ?
MAIS FAIS ATTENTION !
RETOURNE-LES !
ALLEZ, DEPECHE! RETOURNE LES MAINTENANT !
MAINTENANT !
ATTENTION, TROP DE BEURRE, ÇA VA GICLER ATTENTION !
TU VAS TE BRULER !
HOLA, HOLA, BEAUCOUP TROP DE BEURRE !
ET PAS ASSEZ DE SEL, IL FAUT PLUS DE SEL ! »
La femme devient complètement folle et crie, excédée :
« Mais enfin, arrête !
Pourquoi tu cries comme ça ?
Qu’est-ce qu’il te prend ? »
L’homme se retourne et dit très calmement, en quittant la cuisine :
« Oh, rien !
C’est juste pour te montrer ce que ça fait quand tu es à côté de moi en voiture ! »

Bon week-end à toutes et à tous : C’était « histoires d’en rire », bien sûr !

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