Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 10 février 2017

Quelques « revenues »…

Et des « toutes neuves ».
 
Jean-Marc va faire des courses.
Il se retrouve à la caisse avec un grand baril de lessive.
La caissière qui le reconnaît veut avoir un petit mot gentil et lui demande s’il a beaucoup de linge à laver…
Jean-Marc répond :
« – Oh non, c’est pour laver mon chien !
– Mais tu ne devrais pas utiliser de la lessive comme ça pour laver ton chien ! Tu vas le rendre malade, et peut-être même qu’il en mourra… »
Mais Jean-Marc ne s’en laisse pas imposer.
Il paie sa boite de lessive et s’en va.
Une semaine plus tard, Jean-Marc revient au supermarché pour acheter des bonbons.
La caissière qui le reconnaît à nouveau lui demande :
« – Et alors Jean-Marc, comment va ton chien ?
– Oh, mon chien ? Il est mort. »
La caissière essaie de compatir mais ajoute quand même :
« – Tu vois, tu n’aurais pas dû utiliser de la lessive pour le linge. Il ne l’a pas supporté.
– Je ne pense pas que ce soit la lessive qui l’a tué…
– Ah bon, et qu’est-ce que ça serait d’après toi ?
– Je pense que c’est le cycle d’essorage… »
 
Désirs et besoins (dezir e b@zwE~) n.
Au féminin : Cet équilibre délicat entre l’aspiration à l’émotion, au physique et au psychologique que l’on cherche à obtenir au cours d’une relation sentimentale.
Au masculin : Les trois B (Bouffe, Baise, Bière).
 
Truc (tryk) n.
Au féminin : N’importe quelle pièce située sous le capot d’une voiture.
Au masculin : L’agrafe d’un soutien-gorge.
 
Lesbienne (lEsbjEn) n.
Au féminin : Une femme faisant l’amour avec une autre femme.
Au masculin : Une femme faisant l’amour avec d’autres femmes, ce qui a pour conséquence d’exciter la libido masculine.
 
Le plafond de verre (plafO~ d@ vER) n.
Au féminin : Barrière invisible qui empêche les femmes d’accéder aux plus hauts niveaux de la hiérarchie dans leur travail.
Au masculin : Équipement qui serait d’une grande utilité au travail, surtout quand on connaît la secrétaire qui travaille à l’étage au-dessus.
 
Vulnérable (vylneRabl) adj.
Au féminin : Se dit d’une personne se confiant volontiers à n’importe qui.
Au masculin : Se dit d’un joueur de hockey jouant sans sa coquille.
 
Communication (kOmynikasjO~) n.
Au féminin : Partage de ses réflexions, doutes et sentiments avec son partenaire.
Au masculin : Passer un coup de fil d’une cabine téléphonique pour dire qu’on est parti faire une virée avec les copains.
 
Cul (ky) n.
Au féminin : Partie du corps qui est toujours rendue plus grosse par n’importe quel jupe/robe/pantalon.
Au masculin : Partie du corps servant à péter, et pouvant être accessoirement exhibée en public.
 
Fiançailles (fjA~saj ) n.
Au féminin : Le désir de se marier et de fonder une famille.
Au masculin : Ne pas essayer de sortir avec d’autres nana pendant qu’on est avec sa petite amie.
 
Distractions (distraksjO~) n.
Au féminin : Un bon film, un concert, une pièce ou un livre.
Au masculin : N’importe quoi avec une balle, deux lèvres, ou trois nuls. 
 
Flatulence (flatylA~s) n.
Au féminin : Un effet secondaire embarrassant de la digestion.
Au masculin : Une source intarissable de plaisir et d’amusement, d’expression de soi et d’amitié virile.
 
Télécommande (telekOmA~d ) n.
Au féminin : Appareil permettant de changer le canal de TV à distance.
Au masculin : Appareil permettant de zapper les 75 canaux TV toutes les 2 minutes.
 
Parole de sage : « Ce qu’il y a d’amusant avec les homosexuels, c’est que lorsqu’ils boudent, c’est de face. »
 
Nos femmes adorées :
 
La femme DISQUE DUR : Elle se rappelle tout, POUR TOUJOURS. 
 
La femme RAM : Elle oublie tout de vous, dès le moment vous vous lui tournez le dos. 
 
La femme WINDOWS : Tout le monde sait qu’elle ne peut pas faire une chose correctement, mais personne ne peut vivre sans elle. 
 
La femme EXCEL : On dit d’elle qu’elle peut faire énormément de choses mais vous l’employez surtout pour gérer votre planning. 
 
La femme ÉCONOMISEUR D’ÉCRAN : Elle est bonne à rien mais au moins, elle est marrante !
 
La femme INTERNET : C’est une vraie avaleuse de bits…
 
La femme SERVEUR WEB : Toujours occupée quand vous avez besoin d’elle.
 
La femme MULTIMÉDIA : Elle sait rendre jolies des choses dénuées d’intérêt. 
 
La femme CD-ROM : Elle va toujours plus vite avec le temps. 
 
La femme Courrier électronique : Sur dix choses qu’elle dit, neuf sont des pures conneries. 
 
La femme VIRUS : Aussi connue sous le nom d’« ÉPOUSE » ; quand vous ne l’attendez pas, elle arrive, s’installe et utilise toutes vos ressources.
Si vous essayez de la désinstaller vous perdez forcément quelque chose…
Et si vous n’essayez pas de la désinstaller, vous perdez tout…
 
« – Bon, » dit une femme à son mari, « je vais passer la soirée chez maman. Alors, pour ton dîner, tu prends un hamburger surgelé dans le congélateur. Tu enlèves le couvercle et tu mets le plat trois minutes au four à micro-ondes.
– Franchement, » répond Jean-Marc, « fatigué comme je suis, après une journée au bureau, je ne me sens pas la force de faire de la cuisine, ce soir… Je vais plutôt me faire livrer une pizza. »
 
La revenue du moment :
 
Dieu visita Noé qui n’habitait pas très loin de la mer et lui dit :
« Une fois encore la terre est devenue invivable et surpeuplée et je dois agir. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Tu as un an pour cela avant que je n’envoie la pluie pendant 40 jours et 40 nuits. »
La semaine dernière Dieu regarda en bas et vit Noé balayant sa cour, mais aucune arche.
« – Noé ! », gronda t-il. « Je vais bientôt envoyer la pluie, où est l'arche ?
– Pardonne-moi mon Dieu, » implora Noé, « mais les temps ont changé. J’avais besoin d’un permis de construire pour commencer l’arche.
J’ai dû me battre plusieurs mois avec l’inspecteur au sujet du système d’alarme pour l’incendie. Pendant ce temps, mes voisins se sont réunis en association parce que je violais les règles du lotissement en construisant une arche dans ma cour et que j’allais obstruer la vue. On a dû aller devant le conciliateur pour avoir un accord.
Ensuite l’Urbanisme a déposé un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour permettre à l’arche d'arriver jusqu’à la mer. J’ai eu beau leur dire que c’est la mer qui viendrait à l’arche, ils n’ont pas voulu me croire.
Obtenir du bois en quantité suffisante fut un autre problème. Les associations pour la protection de l’environnement se sont liguées pour empêcher la coupe des arbres, sous prétexte qu’on allait détruire l’habitat de plusieurs espèces animales et ainsi les mettre en danger.
J’ai tenté d’expliquer qu’au contraire tout ce bois servirait à sauver ces espèces, rien n’y a fait. Quand j’ai commencé à rassembler les couples de différentes espèces animales, la SPA, le WWF et Brigitte Bardot me sont tombés sur le dos.
Sous prétexte que j’enfermais des animaux sauvages contre leur gré dans des pièces trop petites pour eux. Qu’en agissant ainsi, je faisais acte de cruauté envers les animaux.
Ensuite, l’agence gouvernementale pour le développement durable a voulu lancer une étude sur l’impact pour l'environnement de ce fameux déluge.
Dans le même temps je me débattais avec l’Administration sur l’emploi de travailleurs bénévoles dans la construction de l’arche.
Je les avais embauchés car les syndicats m’avaient interdit d’employer mes propres fils, disant que je ne devais faire appel qu’à des travailleurs hautement qualifiés dans la construction d’arche et si possible syndiqués.
Pour arranger les choses, le fisc a saisi tous mes avoirs, prétendant que je tentais de fuir le pays illégalement, suivi en cela par les douanes qui ont ajouté que je voulais faire passer les frontières à des espèces reconnues comme dangereuses.
Aussi pardonne-moi, mon Dieu, mais je ne sais même pas si 10 ans auraient suffit à la construction de cette arche. »
Aussitôt les nuages se dissipèrent et un magnifique arc en ciel apparut.
Noé leva la tête et dit :
« – Tu ne vas pas détruire le monde ?
– Pas la peine », répondit Dieu, « l’Administration s’en charge. »
Toujours aussi drôle…
 
Une autre ?
Le prêtre essaie, depuis longtemps, de convertir à sa religion, un athée qui, en plus, est porté sur la fête.
« – Tu n’as pas le choix, il faut croire en Dieu. Il a créé les cieux, la terre, et surtout, je t’en supplie, crois en à l’au-delà.
– Non, moi je préfère le « vin d’ici ». »
 
Rubrique nouvelle : « Quel est l’âge du capitaine ? »
 
Une petite énigme à résoudre pendant votre week-end :
 
C’est une boîte d’avocats, « Smith & Wesson incorporated, international, illimited » qui a ses bureaux tour Montparnasse.
L’équipe de ménage arrive sur le coup des 7 h 30 et repart, le travail méticuleusement achevé, vers 8 h 30.
Le chef d’équipe croise Monsieur Smith qui parvient dans ses locaux à ce moment-là et se met au travail dans son bureau après avoir allumé la cafetière dans la kitchenette.
L’hôtesse d’accueil, Odette, a un peu de retard ce jour-là, comme en atteste les caméras de surveillance du hall d’entrée du cabinet et s’installe à son poste de travail vers 9 h 15, pour prendre les messages laissés sur le répondeur et ouvrir le courrier…
Vers 9 h 30, Monsieur Wesson, l’autre associé du cabinet, arrive et entre à son tour dans son bureau.
Plusieurs collaborateurs, Archibald, Zoé, Jean-Marc et la secrétaire Priscilla, prennent leur service dans les minutes qui suivent et toute la troupe commence à travailler.
Un peu avant 10 heures, Monsieur Wesson entre dans le bureau de son associé et, stupeur, le trouve assassiné sur sa table de travail, un coupe-papier profondément enfoncé dans le dos.
Il téléphone depuis le poste disponible sur la table de travail à sa portée immédiatement à la police qui ne tarde pas à arriver sur les lieux, prendre les dépositions, faire les premières constations et sécuriser le bureau pour laisser la police scientifique faire son travail et ses relevés.
 
Tout le monde a l’air profondément attristé du drame qui vient de se produire :
Le personnel de ménage confirme les horaires de la caméra qui surveille la porte d’entrée ;
Les personnels sont confrontés à ce même œil impartial et les enquêteurs constatent que personne n’est sorti, hors le personnel d’entretien, entre le moment où Monsieur Smith est arrivé et l’alerte donnée par Monsieur Wesson.
De plus, dans le bureau de Monsieur Smith, absolument aucune empreinte palmaire qui aurait permis d’identifier le meurtrier n’a été relevée, hors les siennes : Le ménage préalable était bien fait !
 
Qui est l’assassin ?
 
Précisons qu’il y a une bonne entente dans l’ensemble de l’équipe, que le cabinet fonctionne très bien, est réputé pour s’impliquer dans la défense d’affaires de crapulerie politique et financière et que la porte de l’escalier donnant accès à l’escalier de secours est verrouillée de l’intérieur : Même si un intrus aurait pu sortir en poussant la barre-panique, il n’aurait pas pu entrer par cet accès, puisqu’il n’y a aucune trace de « forçage » de serrure.
Et puis le système d’alarme sonore fonctionne correctement en cas d’ouverture inopinée, comme peuvent le constater les policiers : Or, personne ne l’a entendu entre le départ de l’équipe de nettoyage et l’arrivée de l’hôtesse d’accueil.
 
À vos neurones !
 
À propos de l’énigme précédente : La solution est toute simple.
Le gars au comportement si bizarre est trop petit pour atteindre le bouton du 25ème étage, même dressé sur la pointe des pieds !
C’est un « PPT » (Personne de Petite Taille).
En revanche, quand il est accompagné, il demande à son voisin (ou voisine) empruntant le même ascenseur de faire la manœuvre pour lui et les gens, d’un naturel si gentil et compatissant s’y obligent, bien sûr.
L’astuce – pas comme cette fois-ci – a été de vous brouiller l’esprit avec des détails inutiles…
 
Bien à toutes et tous,
et bon week-end.
 
I3

6 commentaires:

  1. Evident mon cher Watson !
    La clé est ici :
    « Le système d’alarme sonore fonctionne correctement en cas d’ouverture inopinée, comme peuvent le constater les policiers : Or, personne ne l’a entendu entre le départ de l’équipe de nettoyage et l’arrivée de l’hôtesse d’accueil».
    La seule personne qui l’aurait entendu dans cet intervalle c’est Maître Smith qui est mort maintenant.
    Donc le coupable est le chef d’équipe involontairement aidé par M. Smith lui même.
    1) A 8H30 le chef d’équipe part après avoir croisé M. Smith qui arrivait.
    2) M. Smith ouvre lui-même la porte de secours dont l’alarme se déclenche pour faire entrer le chef d’équipe qui est son informateur secret sur un de ses dossiers. Ce dernier entre et bloque la porte pour ressortir ensuite discrètement.
    3) Retour dans le bureau où le chef d’équipe poignarde M. Smith qui s’était penché pour prendre sa tasse de café.
    4) Après son forfait le chef d’équipe ganté récupère sa tasse.
    Le mobile du crime : un café trop infect.
    J’ai gagné ?
    ComtesseÔPiedNu

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    1. Profondément génial, mais ce n'est pas ça...
      Dommage, c'était bien vu, parce qu'effectivement, le café a persisté à rester chaud et réchauffé et ça devient infect à force !

      Bien à vous et bon week-end.

      I-Cube

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  2. Hypothèse 2
    L’absence d’empreintes de M. WESSON dans le bureau est suspecte, elles devraient être sur le téléphone qu’il a utilisé sur place.
    C’est lui l’assassin car il portait des gants ou a essuyé coupe papier et téléphone par réflexe.

    ComtesseÔPiedNu

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    1. Ah, là, c'est mieux.

      Mais ça désigne le chef d'équipe ou la secrétaire qui était jalouse de la femme de M° Smith ?
      Ou quelqu'un d'autre ?
      (Attention, je vous égare exprès !)

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. Pour l'hôtesse, c'est impossible. Elle aurait été filmée par les caméras si elle avait quitté son poste de travail.
      On ne nous dit pas où est le café préparé par M.Smith: tasse sur son bureau, dans la kitchenette ou toujours dans la cafetière ?
      Dans la logique de la narration, ce café est hyper important, il me semble.

      Sinon, il ne peut y avoir une autre personne inconnue par rapport à la liste des protagonistes.
      Sauf si une fenêtre était ouverte dans le bureau de M. Smith, auquel cas un drone aurait pu faire l'affaire...

      Buenas noches ICucube
      ComtesseÔPiedNu

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    3. Quelle imagination : Bravo !

      Pour l'hôtesse, on ne dit effectivement pas si elle a quitté son poste pour aller se remaquiller, se recoiffer, faire le pipi-matinal ou aller se servir un café - la kitchenette étant le seul point d'eau de l'étage - ou bien encore aller servir son café à son boss-Smith...
      Si tel avait été le cas, on l'aurait dit dans l'énoncé de l'énigme...
      Donc, la tasse de café, ce n'est pas le sujet, puisqu'on ne dit pas non plus qu'il y en avait une dans le bureau du "chef".
      C'est que probablement il n'y en avait pas.

      La fenêtre ouverte, c'est impossible : Tour Montparnasse, vous n'avez peut-être pas l'habitude des tours, mais elles ne s'ouvrent pas pour empêcher les défénestrations : D'ailleurs on les nettoient depuis l'extérieur avec un dispositif à nacelle.
      Donc, pas de drone...
      Même s'il existe un "truc" pour les ouvrir quand même. Mais faut être un "pro" de la fenêtre pour savoir.

      Revenez donc à votre seconde hypothèse : l'énoncé de la solution est là !
      L'absence d'empreinte sur le téléphone !
      C'est lui qui a appelé, après tout... On devrait les retrouver sur le combiné...

      Autrement dit, Bravo une nouvelle fois !
      Pour quelle raison elle n'y sont pas ?
      Et ce sera complet.

      Bien à vous !

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