Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 2 mars 2017

Marrant…

L’Eurocalypse…
 
C’est un véritable coup de tonnerre symbolique parce qu’à ce stade, évidemment, rien n’est fait, mais c’est tout de même explosif.
Après les menaces du grec « Tsitsipasse » de « Sisi-risa », élu pour sortir de l’Euro et en montrer à « Mère-Qu’elle », après avoir organisé un référendum dans son pays qui le confortait dans sa démarche ;
Après un autre référendum qui a débouché sur le « Brexit » qui n’a toujours pas accouché sur une procédure officielle (de l’article 50) 9 mois plus tard ;
Après les menaces de « Frexit » clairement énoncées par « Marinella-tchi-tchi » (et quelques autres qui veulent « changer l’Europe) ;
Après les rumeurs de « Ritalexit » et même de « Teutonexit » ;
Pour la première fois de l’histoire de l’euro, un pays du tout premier cercle, à la rigueur relativement exemplaire et ayant toujours eu une « monnaie forte », les Pays-Bas des bataves se pose le plus sérieusement du monde la question de savoir s’ils vont ou non rester dans l’euro…
Pour tout vous dire, j’ai d’abord cru à une blague : J’ai regardé mon éphéméride.
Pour arriver au 1er avril et ses fameux poissons, il va falloir patienter tout un mois entier.
 
Officiellement, les autorités royales enquêtent désormais sur la possibilité d’abandonner l’euro. Elles ont approuvé le lancement d’une étude sur s’il était possible et raisonnable pour les Pays-Bas, l’un des pays phares de l’UE, de quitter la zone euro.
Ils ont également l’intention de lancer un « débat approfondi » à ce sujet juste après les élections législatives qui auront lieu ce mois.
Une motion présentée par le principal parti d’opposition, les démocrates-chrétiens, a été adoptée à l’unanimité jeudi de la semaine dernière, autorisant le lancement de cette enquête, qui sera supervisée par le conseiller juridique du gouvernement, leur Conseil d’État.
Le temps que ça franchisse le Rhin et les alpes, c’est arrivé jusqu’à Milan par un vol des corbeaux pour m’alerter…
Je ne sais pas vraiment si en « Gauloisie-gauloisienne », vous avez pu en être informé, peu ou prou dans le tohu-bohu de la campagne présidentielle.
De toute façon, ç’aurait été inaudible, présume-je.
 
L’enquête examinera s’il est possible pour les Bataves-Néerlandais de quitter la zone euro, et « si cela est possible, comment », a déclaré un député membre de l’Appel chrétien-démocrate (CDA).
Il a également indiqué que l’initiative avait été motivée par des inquiétudes sur les taux d’intérêt ultra-bas de la Banque centrale européenne (BCE) défavorables aux épargnants néerlandais, en particulier aux retraités, ainsi que par des doutes concernant la légalité de ses programmes d’achat d’obligations.
Ainsi, l’idée de quitter la zone euro aura été soulevée dans le contexte de la vague montante d’euroscepticisme en Europe, y compris aux Pays-Bas, où les partis politiques ne ratent jamais une occasion de jouer cette carte en leur faveur avant les élections législatives qui auront lieu le 15 mars.
Coup de pub électoral ?
 
Je me souviens qu’un dénommé « Camé-Rhône » en avait fait un tout-pareil à la veille d’échéances électorales similaires du côté de la Tamise.
Vous vous souvenez ?
Ce qui m’amuse c’est qu’en « Ritalie » pourtant failliteuse sous le poids des actifs pourris de ses banques, mais semble-t-il encore plus en « Gauloisie-rigolatoire », aucun débat possible : Si vous êtes contre l’euro, vous êtes taxé de fasciste, de raciste, de xénophobe…
Bon, pas de problème en ce qui me concerne : Je suis pour, encore pour, tout simplement parce qu’à plusieurs on est forcément plus gros que tout seul.
Et en gros, moi qui suis un ancien « gros », j’aime les gros…
Et puis, vous vous souvenez, je vous avais dit avoir fait un tour à Budapest en fin d’année dernière pour valider (ou non) les aides et financements nécessaires pour emporter la compétition relative à l’attribution des JO 2024.
Eux y croyaient encore à calculer les retombées économiques et financières et sur place, on avait pu constater que tout le monde était équipé pour passer du Forint local à l’Euro-transnational, jusqu’à y compris les normes de TVA et tous les équipements de caisse.
Ce qui aurait pu être une facilitation.
D’autant que Rome aura renoncé entre-temps, empêtrée dans des affaires municipales infernales et de plus, gérée par le « mouvement 5 étoiles »…
Et puis calculs et simulations faits, on s’est rendu compte que c’était un plan à foutre par terre toute l’économie locale, façon grecque avec les JO d’Athènes de 2004…
Du coup, c’est Paris qui va les avoir (selon la règle des fuseaux horaires : 2012 ; Londres, continent Européen, une réussite dans un contexte sécuritaire difficile ; 2016, continent américain – Rio, un vrai désastre financier et immobilier – 2020, Asie – Tokyo ; 2024 : On revient sur le continent européen. Et comme Paris est depuis peu la seule ville à compéter sur ce continent, pas de souci…).
Ou alors, il se sera passé quelque chose !
 
Pour en revenir à la cité impériale de Sissi, finalement je ne suis pas bien sûr qu’ils décident de sauter le pas vers l’Euro.
Car l’Euro, c’est bien, c’est très bien face à l’hégémonie des devises majeures, dont le dollar qui sert de référence internationale avec la Livre et le Yen.
Quoique… dès la fin avril, le 27 me suis-je laissé dire, le FMI va revoir son panier de DST et le dollar passera sous la barre des 15 % lui faisant perdre son droit de veto aux décisions de tous les autres membres…
C’est d’ailleurs pour cette raison que « les marchés », après avoir vainement attaqué l’euro depuis sa création, repasse la main à leurs dirigeants politique qui s’attaquent aux pays et gouvernements, en commençant par « MacDonald-Trompe ».
Je vous en déjà parlé : Le terrorisme international n’est jamais qu’un outil de déstabilisation politique, qui a même fait renoncer à sa propre reconduction « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Depuis l’Allemagne est devennue la cible principale, tellement veut-on vous faire croire que l’état-d’urgence et les logiciels de traçages de la DGSI sont efficaces chez nous : Des arrestations « préventives » au moins tous le mois en témoignent !
Et pour en revenir à l’euro (mais tout est lié), souvenez-vous qu’on entend de plus en plus l’idée que la monnaie unique a détruit les tissus industriels des pays du « Club-Med » au profit de l’Allemagne qui se traduit par des excédents de balances commerciales phénoménaux (qui se retrouvent dans les recettes fiscales et sociales et participent vigoureusement à l’équilibre budgétaire… Tout est lié, vous dis-je).
D’où cette idée de « rééquilibrer » en sortant l’Allemagne de l’Euro.
 
Et là, paf, l’initiative vient du « Tweede Kamer der Staten-Generaal », leur chambre basse et à la veille d’élections majeures.
Curieux, non ?
Que se passe-t-il au Pays-Bas ?
Rien d’autre que du bon vieux gros bon sens à savoir que dans la vie, il vaut mieux se préparer au pire même si l’on peut espérer le meilleur ?
Oui et non.
Naturellement, c’est une main tendue vers leurs eurosceptiques à eux (et ils en ont un paquet), qui n’aura probablement pas tout de suite de suite.
Mais…
 
Mais ils vont découvrir que c’est possible. À 17 millions d’habitants, soit 40 % de plus que la seule « Île-de-Gauloisie », ou encore 70 % de plus que la Hongrie dont il vient d’être question, c’est totalement insignifiant pour la monnaie européenne elle-même, donc sans enjeu.
Un peu, pas vraiment, mais un peu comme si l’Islande n’entrait pas dans l’Euroland ou que la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » en sortait…
C’est possible, c’est techniquement faisable, mais ça a des conséquences phénoménales.
D’abord dans la façon de faire : Soit un « one-shot », en un week-end, comme les indiens des indes et leurs « grosses coupures » de roupie – le week-end de pâques ou celui de la pentecôte (voire cette année 2017 celui du 1er mai) est tout indiqué, avec fermeture des banques deux ou trois jours de plus pour alimenter tous les guichets en nouveau-Florin ;
Soit en préparant la décision longtemps à l’avance en faisant circuler deux monnaies en même temps, comme nous avions fait lors du passage du franc à l’euro.
Les billets et pièces n’avaient en effet été disponibles que le soir du 31 décembre 2001 à minuit dans les DAB, mais on comptait déjà en euro depuis sa création en 1999, dans les contrats, dans les actes juridiques et surtout dans les pays « hors les frontières » politiques.
 
C’était même l’occasion d’introduire le « Paoli » en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » avais-je suggéré auprès de mes « cousins » natios : Pas vraiment une monnaie, légalement une « médaille », mais ayant valeur-marchande sur l’Île-de-beauté aux beaux jours, en espérant que les touristes repartiraient avec ce souvenir supplémentaire en poche qui aurait généré autant de fonds à conserver pour « les prisonniers-politiques ».
Notez que l’idée n’est pas vraiment de moi : J’ai ainsi et encore quelques « euros-d’avant-l’euro » frappés et distribués par le Trésor public aux commerçants de la ville de Rennes…
 
Le 1er janvier, les pièces et les billets en euros sont introduits dans douze États européens (Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Grèce, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal). Trois ans après sa naissance en janvier 1999, la monnaie unique entrait dans la vie quotidienne de 304 millions d’Européens.
Et ce n’est que le 1er mars qu’a été mis fin de la période de double circulation, entre euro et devises nationales.
On peut faire exactement l’exercice inverse, naturellement.
 
Et si ça doit se faire, ce sera comme ça, parce que c’est déjà plus compliqué qu’il n’y en a l’air et que le « one-shot » d’un week-end à rallonge, c’est totalement stressant et source d’importantes récrimination, comme on l’a vu avec l’Inde (et ses roupies…).
En effet, l’abandon de l’Euro, c’est, pour le pays qui le décide, la sortie ipso-facto et sans retour en arrière possible de l’Europe dans sa totalité, de ses traités, ses règlements, ses institutions.
Or, l’exemple britannique où les royaux sujets de sa très gracieuse majesté ont toujours gardé leur Livre et la désagréable habitude de conduire « à l’envers » sur leurs routes, démontre qu’on ne sort pas de l’Europe en claquant dans les doigts : Il y a tout un travail considérable de « recadrage » juridique à faire au préalable et encore, c’est sans compter le rétablissement de « vraies-frontières » avec postes de douane et de dédouanement, espace Schengen obligeant.
Plus des comptes à apurer (TVA et justement droits de douane en plus de tout le reste)…
Rien de facile et les britanniques vont en faire la douloureuse expérience partielle et « allégée ».
Pas les bataves.
 
En gros, pour sortir, il faut pouvoir être « gros » et solide. Or, si l’économie néerlandaise est solide, elle est étroitement imbriquée, intriquée dans celle de l’Europe.
Ce qui n’est pas le cas des autres « gros » européens, « Gauloisie » et « Ritalie », économiquement, financièrement, socialement et même politiquement bien trop fragiles.
Seule l’Allemagne-teutonne peut éventuellement le faire sans trop de dégâts : C’est ce que va découvrir la commission d’étude batave.
En revanche, ils vont aussi découvrir que si les teutons sortent pour une raison ou pour une autre, là, ils auraient tout intérêt à accompagner le mouvement et les rejoindre.
Mais naturellement, c’est une expérience qui chavirera les institutions européennes, la monnaie des « dedans » et aura des conséquences énormes en Belgique, où les flamants souhaiteront accompagner leurs voisins du nord, alors que les wallons ne voudront pas : Autant dire une déchirure de plus du royaume !
Un peu comme la menace écossaise de faire sécession, voire d’envisager la réunification de l’Irlande…
 
En bref, une rumeur de plus qu’alimente les eurosceptiques qui ne savent pas trop compter (l’argent des autres) et s’amuse à caresser dans le sens du poil leur électorat.
Des questions qui ne devraient même pas exister si l’on était un responsable politique quelque peu responsable.
Il serait à mon sens plus urgent de mobiliser des neurones pour réformer, voire refonder une communauté économique, politique et sociale européenne viable pour tous, y compris pour nos amis grecs (et lusitaniens et hispaniques).
Parce que pour l’heure, même en « Gauloisie-valeureuse », la dictature teutonne n’est pas tenable à termes.
Et là, tout le monde le sait déjà…
Alors autant trouver des solutions avant que le bel édifice, qui a en plus apporté une paix désarmée sur le continent en pleine guerre-froide, ne s’écroule sous le poids infernal de l’eurocratie pour devenir « Eurocalypse ».
Mais ce que j’en dis…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire