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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 28 mai 2017

Le sexe, toujours le sexe


Après avoir vu hier la position de la Cour de cassation,

Reste la question qui taraude les meilleurs esprits scientifiques de la planète : L’apparence physique de certaines sportives arborant une musculature développée et de larges épaules leur suscite de nombreuses interrogations.
Le débat récent sur la légalité d’un « sexe neutre », montre que la réponse n’est pas simple.
Et pourtant…
Mais c’est justement l’occasion de faire le point sur la définition du sexe biologique, qui n'est pas seulement une affaire de chromosomes... ni de gros bras.

Comment définir le sexe ?
« Manuellement » parlant, personnellement, je sais faire.
Génétiquement parlant, il est habituellement fixé par la présence des chromosomes XX chez la femme et XY chez l’homme.
Cependant, la situation est plus compliquée pour certaines personnes dites « intersexuées », qui possèdent à la fois des caractères masculins et féminins.
Ce qui concerne de 1 à 2 % des naissances dans l’espèce humaine : Assez peu de chance de tomber dessus en ce qui me concerne, en tout cas pour les bienaimées « poulies-fendues », mais tout de même…

Dans un article du Journal du CNRS, Francis Poulat, de l’institut de Génétique humaine à Montpellier, souligne la diversité des situations rencontrées : « Les manifestations les plus « extrêmes » de désordre du développement sexuel sont ce que l’on appelle « les inversions de sexe » : Femmes XY dont les testicules ne se sont pas développés, avec un vagin et un clitoris, et hommes XX avec des testicules et un pénis. (…) Outre ces exemples, il existe nombre d’autres phénotypes intermédiaires où certains des caractères sexuels masculins et féminins cohabitent chez le même sujet. »

Le sexe biologique se base sur différents critères : Les chromosomes certes, mais aussi les caractères sexuels (comme les organes génitaux externes et internes), la production de cellules reproductrices (ovules ou spermatozoïdes) et d’hormones sexuelles (comme la testostérone, hormone mâle). Toutefois, si l’on prend en compte tous ces critères, il est difficile de classer 100 % des individus en deux catégories bien distinctes, avec d’un côté des hommes XY ayant des organes génitaux masculins et des niveaux élevés de testostérone, et de l’autre des femmes XX avec des organes génitaux féminins et de faibles niveaux de testostérone.

En fait, le sexe biologique se construit en plusieurs étapes au cours de la vie, comme le décrit un professeur à l’université Jean-Moulin Lyon 3, : « Les différents niveaux du sexe biologique (…) se déploient autour de quatre temps forts que sont la fécondation (où se détermine le sexe chromosomique), la vie intra-utérine (où se met en place le sexe gonophorique), la naissance (où est examiné le sexe périnéal qui va décider du sexe d'état civil) et la puberté (où sépanouit le sexe hormonal), autant d’étapes au cours desquelles peuvent survenir des processus conduisant à une « condition intersexe ».»

Autant de questions que se posent les instances sportives, qui se trouvent parfois confrontées à des athlètes intersexuées. Comme la testostérone favorise la masse musculaire, les femmes qui présentent naturellement des taux élevés de cette hormone peuvent paraître « avantagées » par la nature.
C’est pourquoi, en 2012, la Fédération internationale d’athlétisme a fixé une limite de testostérone à ne pas dépasser pour les athlètes féminines.
La Sud-Africaine Caster Semenya en a fait les frais, contrainte de limiter son taux naturel de testostérone en prenant des médicaments.
Aux championnats du monde de Berlin en 2009, elle avait remporté le titre mondial, mais avait aussi fait l’objet dune enquête sur son identité sexuelle.
Sa musculature, sa voix grave avaient suscité des rumeurs, certains suggérant qu’elle était un homme, d’autres qu’elle se dopait. Pourtant, elle n’est ni l’un ni l’autre.
Née incontestablement fille et ayant grandi comme telle, Caster Semenya est une femme avec un taux de testostérone naturellement élevé : Elle est « hyperandrogène ».

Caster Semenya est depuis de retour sur la piste de Rio sans ses médicaments, en partie grâce à une autre athlète « hyperandrogène » : La sprinteuse indienne Dutee Chand qui n’a pas pu participer aux Jeux du Commonwealth en 2014 et a porté une réclamation au tribunal arbitral du sport pour discrimination.
Si les femmes « hyperandrogènes » présentent un avantage physique (qui d’ailleurs reste à prouver), que dire des basketteurs immensément grands qui, du fait de leur taille, peuvent marquer plus facilement des paniers ?
Dutee Chand a obtenu gain de cause et les tests de testostérone ont été abandonnés.

Il n’empêche, en cas de doute, je vous conseille la technique de la palpation-directe : Au moins, après, vous savez où aller.
Et puis si vous ne vous prenez pas une claque à vous décrocher la tête, ça peut avoir un effet aphrodisiaque recherché en pareille circonstance.
Quant à moi, personnellement, aucune demoiselle (aux charmes incandescents) n’a jamais cherché à me palper ex-ante.
Pas besoin.
Quand mon nerf-honteux est en émois, ça se voit tout de suite : Je ne peux plus marcher normalement !…

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