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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 15 octobre 2017

La science et les seins de nos dames


Délires « machistes » sur le sein doux.


Il y a très longtemps de ça, le 22 mai 2006 pour être précis, je mettais en ligne un post sur « l’ancien blog » repris d’ailleurs dans le suivant (24 août 2007) comme le témoignage d’une « constante-cosmologique » de l’activité de mon unique neurone en état de fonctionner (celui du nerf honteux) et d’une « constante-physique » qui ne figure pourtant pas dans les canons scientifiques.
Que j’en suis désolé, mais depuis, les travaux des chercheurs éclairent peu-à-peu le sujet et je m’en délecte avec quelques frustrations, figurez-vous ; Je pourrai mourir kon, que ça ne m’étonnerait pas, finalement.


Je vous laisse lire :
Pour moi, « il y a cinq typologies de poitrine féminine (à force, je commence à savoir).
L’inexistante, inutile de parler des absentes, disons qu’elle est « frémissante ».
La frétillante. La sautillante. La flottillante. Et la pendouillante. Il y a aussi la dégoulinante, celle qui tombe plus bas que le nombril, mais bon, ne causons pas des cas pathologiques (ni de l’emplacement desdits nombrils).
Naturellement, il y a multitude de variantes, dans les formes : La poire, le melon, la pomme, la demie pomme, la goutte d’huile, l’œuf sur le plat ou la cucurbitacée.
Les tailles z’aussi peuvent diverger, quoique souvent cela aille de pair avec la caractéristique dominante des typologies, mais pas toujours (la preuve : Les fabricants de dentelles partent du A et vont jusqu’au double D).
Sans compter avec le mamelon couronnant l’ensemble : Petit, large, étalé ou étroit, en relief, en pointe ou plat, rose, rouge, carmin, terre de sienne, marron, noisette, noir, etc. J’en ai même vu des jaunes… C’est en tout cas toujours une surprise inattendue, source d’un émerveillement sans limite et à chaque fois renouvelé.


D’autant que l’ensemble varie parfois en fonction de l’usage qu’on s’apprête à en faire. Mais pas toujours. Ou de la « tenue » qui en est faite. Là encore, pas tout le temps, quoique des surprises peuvent intervenir quand on « déballe » l’ensemble offert à de tendres z’et sensuels z’émois.
On peut tenter le même exercice de taxonomie avec les séants : Il y a les inexistants. Les tout plats et ridicules (même que parfois en passant par devant, on peut se retrouver derrière sans même sans rendre compte). Les ballons de handball, de football, de basket. Et les mappemondes gigantesques. Les gouttes d’huile. Les ogives qui se fondent avec la cuisse, etc. jusqu’à « l’aile de papillon » qui descend jusqu’au-dessus de l’articulation du genou et qu’il faut écarter « à la main » pour pouvoir y arriver ! (Ne me demandez pas à quoi, je ne vous le dirai pas).


Je sais, tout cela est affreusement et odieusement « machiste » (alors même que j’adore jusqu’à la fascination !). Disons, pour compenser, que je suis personnellement doté d’un bon 120, bonnet A (avec tendance à rattraper le B si je continue à manger n’importe quoi !) et qu’il y a bien eu Pierre Perret pour nous chanter, avec talent (que je n’ai pas, veuillez excuser mes géniteurs), les attributs masculins… »
Depuis, j’ai tendance à faire du 110, bonnet de rien du tout…
La faute à mon ange-gardien. Et mon régime « 103 P-R » (sans pain, patate, pate, riz).


Naturellement, j’avais partiellement « tout faux » (un comble pour un de mes domaines d’excellence !) puisqu’officiellement il y a 7 typologies de sein : 1. Les seins ronds ; 2. Les seins opposés ; 3. Les seins de côté ; 4. Les seins élancés ; 5. Les seins en forme de cloche ; 6. Les seins asymétriques ; et 7. Les seins « goutte d’eau »…
En fait, et à l’occasion d’une mission chez un importateur de soutien-gorge, j’ai enrichi ma taxinomie personnelle : On a « les raisins », les « pommes vertes », les « cerises », les « citrons », les « abricots », les « poires », les « papayes », les « chute libre », les « petite poche », les « bouteille d’eau », les « volcans », les « sachets de thé », les « pastèque », les « fleur de lotus », les « bol de soupe », les « mangue » et les « boule de bowling » !

17, c’est bien plus évocateurs que mes « 5 originels ».
Comme quoi, jeune kon de la dernière pluie, je n’étais pas vraiment « au niveau » : Je me suis rattrapé depuis.
Même question « fesses » (mais c’est un autre sujet) : La science considère qu’il y a 5 formes de fesses : 1. Les fesses carrées ; 2. Les fesses en forme de V ; 3. Les fesses en forme de A ; 4. Les fesses rondes ; 5. Les fesses en cœur inversé – les deux dernières étant les plus jolies à mon goût, même si la dernière fait justement penser à une contrebasse, d’autant mieux quand elles « vibrent » pleines de vie.
Alors qu’au 7 pré-décelées, j’en rajoute une 8ème : Les fesses qui se voient (alternativement) « de devant », seulement en pantalon.
Globalement, une sur trois paires qui vous arrivent de face.
Un spectacle étonnant et tellement réjouissif !


Tout ceci dit, j’avance dans ma perception – très personnelle – des charmes féminins (on fera peut-être un autre post sur les visages, sourires & yeux qui brillent), d’autant que je vous ai déjà gratifiés d’un post sur les lèvres. La question in-abordée reste quand même cette indéniable attirance pour les poitrines.
Je me doutais bien qu’il y a là la trace inconsciente pour le sein maternel, mais si l’explication vaut pour les mâles hétérosexuels – dont je suis – quid des petites-filles-qui-ont-grandi et mettent avec tant de talent leurs « charmes-apparents » ?
Et puis encore, je fais partie des bébés privés à jamais du lait maternel, alors qu’elle correspondance ?


D’après la science, l’attirance des hommes pour les seins des femmes tiendrait en une théorie dernièrement proposée par le psychologue Larry Young qui défend l’idée qu’elle viendrait d’un circuit de neurones particulier servant à favoriser l’attachement d’une mère pour son petit pendant l’allaitement (c’est dire qu’il n’y connaît rien…), mais aussi à son partenaire qui stimule la poitrine durant les rapports sexuels : En caressant les seins, les hommes pousseraient les femmes à les aimer davantage !
Étonnant…


Certains pensent par exemple qu’une femme à forte poitrine est perçue comme fertile et capable de nourrir convenablement son futur bébé.
Euh… franchement, d’abord il n’y a pas que les « seins épais » qui sont « attractifs » et si à chaque fois qu’on devait s’enticher d’une « poulie-fendue » aux yeux qui brillent au prétexte qu’elle va « se reproduire », on arrêterait de se servir de capote pour forniquer.
Ça dékonne, là !


Pourtant le sieur précité a pour spécialité l’étude des bases neurologiques des comportements sociaux complexes. Il persiste à expliquer qu’au moment de l’allaitement, lorsque le bébé suce le mamelon de sa mère, celle-ci voit son cerveau inondé d’une hormone appelée ocytocine, célèbre car fortement associée à l’amour et à l’attachement. Ainsi, la femme accorde toute son affection à son petit.
La poitrine jouerait alors un rôle important lors des rapports sexuels et participe activement à l’excitation. Il a été montré que des caresses sur cette région activent les mêmes régions du cerveau que la stimulation du vagin ou du clitoris.
Et comme pour les nourrissons qui se restaurent, les gestes délicats d’un amant induisent un relargage massif d’ocytocine. Résultat, la cible de l’attention féminine, dans ce cas, n’est autre que son partenaire.
Encore faut-il tripoter…
Et si ça expliquerait pourquoi les femmes aiment bien en générale que l’on flatte ces parties « érogènes » là – mais au même titre que l’intérieur des cuisses, les hanches, les fesses, la chute des reins ou d’autres zones sensibles encore comme les épaules ou la nuque – il n’explique toujours pas l’attirance des mâles-hétéros pour les poitrines féminines.


Certes, on peut inverser la perception et considérer que du point de vue du succès reproducteur, il est donc intéressant pour un homme d’aimer les seins des femmes afin qu’elles lui prêtent davantage d’affection et d’amour, conditions requises pour former un couple durable.
Young y voit d’ailleurs les traces de la sélection naturelle, les mâles montrant de l’appétence pour les poitrines ayant pu se reproduire davantage que les autres.
De ce fait, l’attirance des hommes pour les seins serait devenue une norme et le réseau neuronal spécifique se développerait chez les mâles hétérosexuels au moment de la puberté…


Ok, admettons mais alors pourquoi « l’Homo-érectible » serait-il la seule exception du monde animal ?
Les auteurs apportent leurs explications : D’une part, chez les mammifères, 97 % des espèces ne sont pas monogames, ce qui élimine déjà bon nombre d’espèces.
Mais d’un autre côté, on ne peut pas dire que l’espèce humaine peut être considérée comme strictement monogame.
Mis à part les questions d’infidélité, selon les périodes ou les régions du monde, la polygamie a existé et existe encore. Il n’y a qu’à penser aux harems des Ottomans ou aux mariages multiples des hommes de confession mormone.


Ensuite, la différence viendrait peut-être de notre particularité à faire l’amour en face à face, ce qui ne se retrouve pas chez les autres mammifères monogames.
Euh, là, c’est quand même une grandiose idiotie : Je pratique habituellement plus d’une bonne douzaine de « positions » qui ne sont pas toutes et loin de là « face-à-face ».
Car chez l’homme (comme chez d’autres), la sexualité n’est pas qu'une affaire de reproduction et l’espèce. Lui a développé de nombreuses pratiques et fantaisies dans un strict but de plaisir…
Ce n’est donc pas un comportement sélectionné par l’évolution.


Heureusement, ce n’est pas l’anthropologue Fran Mascia-Lees, de la Rutgers University (New-Brunswick, États-Unis), qui viendra me contrarier : En effet, elle signale que tous les hommes ne sont pas attirés par les seins.
C’est juste. Mais quand « ça balance » sous ton nez, c’est difficile de ne plus pouvoir marcher sans être cassé en deux pour cause de « double-décimètre » tendu coincé là où il ne faut pas.
Elle, elle évoque par exemple ces sociétés traditionnelles en Afrique dans lesquelles les femmes se baladent torse nu sans susciter un intérêt particulier de la part des membres masculins de la troupe.
Moi, je l’invite à venir à confirmer sur mes plages de Balagne une journée d’été : Autant que je sache, il n’y a aucun viol ni d’agression sexuelle signalés sur toute une saison, et pourtant, les occasions de réjouir la macula associée au « nerf-honteux » sont nombreuses.


Par conséquent, il semble que le débat pourrait donc être un peu plus complexe et ne se limiterait peut-être pas à de simples réseaux de neurones…
Et du coup, je reste toujours aussi ignorant du pourquoi de cette « constante-cosmologique », de cette « attirance » invariante et de cet invariable besoin de nos femmes à se mettre en valeur à nos yeux à travers leur poitrine.

Quand même kon.
Si quelqu’un peut m’éclairer, il est le bienvenu dans les commentaires (ou plus discrètement par courriel : infreequentable@gmail.com), sans ça vous prenez le risque de me voir mourir « ignorant ».


Merci par avance à toutes et tous,
Et bonne fin de journée !


I3

2 commentaires:

  1. Bon, ne comptez pas sur moi pour vous dévoiler le Secret.
    Au sein de la féminité il y a …………………………………………………………… .
    De toute évidence, vous voulez une réponse scientifique, or, cela dépasse la science.
    Peut-être, Marianne pourrait répondre à votre existentielle question. Ou pas ! Allez savoir avec les femmes et les symboles…
    Peut-être aussi que la clé est la mer, la navigation, la littérature : Avec « le cimetière des bateaux sans noms » Arturo Pérez-Reverte », vous aurez les 4 éléments pour découvrir le 5ème.

    Je crois que vous avez des pistes là !

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    1. Naturellement "Charmante Comtesse au pied dénudé"...
      A propos de symbole, les pieds représentent quoi donc à votre avis, dans nos civilisations "post-modernes" ?
      Je passe....

      Ne pensez pas non plus que cherche une explication "scientifique" : J'aurai plutôt tendance à me moquer des "scienteux" qui sont subventionnés pour chercher des "concordances" explicatives en passant à côté de l'essentiel.
      Et l'essentiel est justement dans ce que vous dites.
      Non pas nécessairement le fameux 5ème élément, mais tout simplement ce qui le sous-tend, à savoir "la vie".

      La vie, encore un mystère scientifique qu'on ne cherche même plus à élucider.
      En tout cas, ça fait longtemps que je n'en ai pas entendu parler, puisqu'on en est à chercher le "pré-biotique" dans le cosmos et les fossiles.
      Après tout, ne serait-ce pas Schopenhauer qui avait raison dès le début ?

      Bien à vous !
      Et ravi de vous "recroiser".

      I-Cube

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