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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 19 novembre 2017

Ah quand la science progresse pour votre bonheur…

Vous avez des bouffées d’angoisse ?

La science (britannique) s’occupe de vous !
Vous avez mangé de la « panse de brebis-farcie » préalablement au Christmas-pudding religieusement conservé depuis l’année dernière et servis en votre honneur, ou un bon bol de gelée-rose ou verte toute fraîche et encore gélatineuse, que la cuillère ne rentre pas dedans ?
Et, après l’angoisse gustative, ça vous a donné des envies de ruminer des idées noires pour le reste de la journée du lendemain ?
Bon, il faut dire qu’il y a de quoi… sauf à être né « british ».
Les scientifiques britanniques pensent à vous et ont peut-être une solution : Ils ont trouvé que les personnes ayant le plus de Gaba dans une région du cerveau arrivent mieux à bloquer des pensées indésirables…
Fabuleuse découverte, n’est-ce pas !

La rumination et les pensées négatives persistantes sont des symptômes associés à des maladies gastriques et psychiatriques comme la dépression ou la schizophrénie.
Or, le Gaba semble bloquer les pensées indésirables.
En conséquence de quoi, ils en concluent vertement qu’une nouvelle piste thérapeutique consisterait à augmenter l’activité de ce neurotransmetteur dans l’hippocampe.
Pour se sentir « bien dans sa tête », il serait essentiel de pouvoir se libérer de pensées négatives. Les souvenirs intrusifs ou les images chocs (d’une brebis égorgée, d’un pudding à attaquer à la scie-circulaire) que l’on ne peut pas bloquer dans son esprit, les hallucinations érotiques provoquées par la fameuse « jelly », les soucis récurrents sont fréquents dans divers troubles du stress, post-traumatique ou non, la dépression, l’anxiété…
Bref, les syndromes de la vache folle (et pas de rire), une spécialité britannique, je vous le confirme.

Ces scientifiques-là pensent que l’incapacité à bloquer ces pensées indésirables reflète un manque de contrôle du cortex préfrontal. Mais cette incapacité pourrait aussi être liée à une hyperactivité de l’hippocampe, une région du cerveau importante pour la mémoire. En effet, le stress post-traumatique et la dépression s’accompagnent souvent d’une hyperactivité de l'hippocampe : Faut-il être astucieux, en déduis-je apprenant ce nouveau prodige de la médecine.
Oui, mais quel dysfonctionnement pourrait expliquer que certaines personnes n’arrivent pas à bloquer leurs idées noires ?

Pour en savoir un peu plus, ces chercheurs ont mené des expériences sur de jeunes adultes en bonne santé. Les participants ont passé plusieurs tests au cours desquels ils devaient essayer de stopper des pensées indésirables. Par exemple, dans une expérience, ils apprenaient à associer des mots par paires. Mais, parfois, par un signal coloré, il leur était demandé de ne pas se souvenir de certains mots (un truc pas si facile avec mon si pauvre vocabulaire-natif) : Ils devaient se rappeler les associations de mots sur fond vert mais pas sur fond rouge.
Moâ, j’utilise la touche « suppr »…
Plus simple.

Ils ont ensuite suivi l’activité cérébrale des participants par une IRM fonctionnelle et une spectroscopie par résonance magnétique.
Le « truc » simple quand il y a tant de patients qui poireautent pour se faire soigner ou seulement être soulagés dans leurs souffrances quotidiennes et que les machines en nombre si insuffisant ne sont pas saturées, tel que pour se soigner, il vaut mieux prendre l’Eurostar et RDV à Calais ou quartier « Gare-du-nord » pour la journée. Ils se sont alors aperçus que les personnes qui avaient le plus de Gaba dans l’hippocampe réussissaient le mieux à bloquer des pensées indésirables.
J’admire la portée de ses études… scientifiques.

Oui, mais qu’est-ce que c’est que le « Gaba » ?
Je me suis renseigné pour vous : Le « Gaba » ou « acide γ-aminobutyrique » est un neurotransmetteur inhibiteur du cerveau : Quand il est libéré par un neurone au niveau d’une synapse, il inhibe l’activité du neurone suivant.
Un coupe-circuit, en somme.
Ces résultats suggèrent que les neurones de l'hippocampe qui libèrent du Gaba contrôlent les pensées intrusives et que l’hyperactivité de l’hippocampe peut provenir d’un dysfonctionnement de ces neurones. Les neurones qui libèrent du Gaba dans l’hippocampe sont des interneurones Gaba-ergiques en contact avec des centaines de neurones. Ils sont notoirement connus pour jouer un rôle dans l’apprentissage et l’intégration d’informations ai-je cru comprendre en découvrant l’existence de toutes ses « pustules-là ».

Une découverte qui pourrait aider à mieux comprendre certaines pathologies, comme la schizophrénie ou le stress post-traumatique, où les patients ne peuvent s’empêcher de ruminer leurs pensées. Elle pourrait aussi permettre de trouver de nouvelles approches pour traiter ces troubles : Il faudrait pour cela améliorer l’activité du Gaba dans l’hippocampe des patients.
On n’en est pas encore là, figurez-vous, mais ça reste encourageant pour les victimes collatérales d’attentats, par exemple, ou ma pomme devant la gastronomie anglaise dans ce qu’elle a de plus exceptionnelle.

Notez qu’en lisant ça (enfin… en le décryptant, un dico à la main, et encore, j’ai peut-être fait des contresens sans le savoir), j’ai immanquablement pensé au sirop « Typhon », l’universelle panacée de l’ami Richard Anthony.
Figurez-vous que ça existe : La gnole du « cousin Dumé » en est, et avant lui, son grand-père en refilait à ma grand-mère (celle de mon cimetière) sous le manteau et avec d’infinies précautions.
Une goute sur un sucre et ça soignait tout quand j’étais gamin-imberbe.
Depuis que j’ai du poil au menton (et aussi ailleurs…), une bouteille à deux, que ça te débloque la production de « Gaba » pour plusieurs semaines.
Garanti !
Et même pas mal aux cheveux le lendemain, en plus.
Un point important qui méritait d’être signalé entre deux découvertes spatiales et cosmologiques du moment.

Bonne fin de journée à toutes et à tous !

I3


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