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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 26 novembre 2017

Ça ne vous avait pas échappé


Oumuamua, alias « 1I/2017 U1 »,



Nous vient directement… d’ailleurs !
« Oumuamua », qui signifie messager en langue hawaïenne, a été découvert le 19 octobre avec le télescope Pan-STARRS1, situé à Hawaï, qui traque les objets croisant proches de la Terre. Immédiatement après sa découverte, d’autres télescopes autour du globe, dont le Très Grand Télescope de l’Observatoire européen austral dans le nord du Chili, se sont mis à observer l’astéroïde pour en déterminer les caractéristiques.


Attention rien que son nom de baptême par les autorités d’astrophysiciens est déjà en soi un immense pied-de-nez, ou un vaste clin d’œil, à la communauté des « (f)ummistes » (de la « Baleine-joyeuse » madrilène et de son gag-cosmologique) de la supposée planète « Oummo » qui porte la civilisation « ummienne » et viendrait nous visiter tout en laissant des messages « prédictifs » à quelques terriens qui nous les rapportent.


Moi, j’adore : Les seuls Oummiens que je connaisse, ce sont ceux dont la galaxie entière (et ses nombreuses civilisations cosmiques) rigole pour leur bêtise-crade et dont les aventures sont rapportées par mes potes « Kameulfs » quand ils daignent nous livrer quelques birbes de leur « Gazette-Galactique ». Et quand « Jean-Marc » parvient à nous les traduire (ce qui n’a rien d’évident) je vous les livre les vendredis dans la rubrique des « Histoires d’en rire ».
Évidemment, les uns et les autres (comme toutes les autres civilisations d’aliènes) ne « circulent » pas à proximité immédiate de la planète Terre, un peu perdue en bord de galaxie, sur leur bout de caillou croisant dans les parages : Ça se saurait.


J’ai appris à cette occasion que les lois de la physiques étant ce qu’elles sont, il faut des siècles – en tout cas de très nombreuses décennies – pour voyager jusqu’à la plus proche des étoiles de l’environnement immédiat de notre soleil.
Et encore à la double condition de disposer de technologies bien plus puissantes que celles dont nous disposons actuellement et dans un futur proche, et de pouvoir se protéger des rayonnements cosmiques.
La preuve, « Oumuamua » est brûlée par son voyage intersidéral…
On va y revenir.


Dès lors, l’équipe d’astronomes dirigée par Karen Meech de l’Institute for Astronomy à Hawaï a constaté que la luminosité de « Oumuamua » variait jusqu’à dix fois en puissance alors qu’il tourne sur lui-même toutes les 7,3 heures. Aucun astéroïde ou comète dans notre système solaire connaît une telle ampleur dans la variation de sa luminosité ou un tel ratio entre la longueur et la largeur, soulignent-ils.
Car les propriétés détectées laissent penser que « Oumuamua » est dense et est formé de roches et peut-être aussi de métal. Mais il n’a ni eau ni glace et sa surface a été rougie par les effets des radiations cosmiques pendant des centaines de millions d’années.


Depuis, quelques télescopes terrestres de grande puissance continuent à traquer l’astéroïde alors qu’il disparaît rapidement en s’éloignant de la Terre. Deux télescopes spatiaux de la Nasa, Hubble et Spitzer, le suivent cette semaine. Le 20 novembre, l’objet voyageait à une vitesse de 38,3 kilomètres par seconde et se trouvait à environ 200 millions de km de la Terre.
Un bien étrange « objet ».


Je résume : « Oumuamua » mesure 400 mètres de long pour 40 mètres de largeur, en forme de « cigare » démesuré jamais observée jusque-là.
Son orbite ne peut pas avoir son origine à l’intérieur de notre système solaire. Elle est sécante, et avec un angle élevé, par rapport au plan habituel des planètes, astéroïdes, comètes et autres géo-croiseurs qu’on peut connaître jusque-là. Et il y en a plus de 750.000 de catalogués !
Ce qui reste intéressant, c’est que son axe de rotation sur lui-même n’est pas dans l’axe de son avancement : Ce qui explique à la fois les amplitudes de luminosité (pas de doute, il tourne sur lui-même) et le décalage avec cette rotation…


« Oumuamua » a donc la forme d’un gigantesque cigare et voyage seul depuis des centaines de millions d’années. Détecté en octobre, il provient bien d’un autre système solaire (pas de doute compte tenu de sa trajectoire, qui d’ailleurs a été largement « réorientée » dans une direction nouvelle par la présence de notre étoile, jouant au « billard-gravitationnel » une fois de plus).
Pour la communauté scientifique, cette détection ouvre une nouvelle fenêtre sur la formation d’autres mondes stellaires dans notre galaxie, la Voie Lactée, et on attend les résultats de l’analyse des données à paraître dans les revues scientifiques.
Les astronomes estiment qu’un astéroïde interstellaire similaire à « Oumuamua » passe à l’intérieur du système solaire environ une fois par an. Mais ils sont difficiles à traquer et n’avaient pas été jusqu’alors détectés. C’est seulement récemment que les télescopes de surveillance de ces objets sont suffisamment puissants pour avoir une chance de les découvrir.


Selon ces mêmes astronomes, cet objet inhabituel a voyagé seul à travers la Voie Lactée depuis des centaines de millions d’années avant de passer dans notre système solaire, tel qu’on a même redouté un temps une possible collision avec notre « belle et si fragile planète-bleue » et de poursuivre sa route. « Pendant des décennies nous pensions que de tels objets d’un autre monde pouvaient se trouver à proximité de notre système solaire, et maintenant pour la première fois nous avons la preuve directe qu’ils existent bien », a souligné Thomas Zurbuchen, responsable adjoint des missions scientifiques de la Nasa qui a financé cette dernière recherche.
« C’est un étrange visiteur venu d’un système stellaire très lointain qui a une forme que nous n’avions jamais vue dans notre voisinage cosmique », a ajouté Paul Chodas, directeur du Centre d’étude des objets évoluant près de la Terre au Jet Propulsion Laboratory de la Nasa à Pasadena en Californie.


« Oumuamua » est dépassé la hauteur de l’orbite de Mars vers le 1er novembre et croisera à proximité de Jupiter en mai 2018 avant de poursuivre sa route au-delà de Saturne en janvier 2019 alors qu’il sortira de notre système solaire pour prendre la direction de la constellation de Pégase. Les observations avec des grands télescopes terrestres continueront jusqu’à ce que l’astéroïde devienne quasiment indétectable, soit après la mi-décembre.


Quelques précisions de votre « serviteur » : Je ne sais pas comment – peut-être mes « contacts-exotiques » – mais je sais que pour voyager dans l’espace lointain, les meilleurs auteurs de science-fiction en sont encore à « congeler » leurs astronautes. Ça les empêche de vieillir et de subir les efforts surhumains des accélérations de leur vaisseau.
Pratique, mais faux parce qu’infaisable : À la congélation, les cellules de notre corps explosent sous l’effet de leur eau transformée en glaçon.
Les « (f)ummistes » proposent la maîtrise de l’antigravitation : Plus intelligent (pour ce qui est des effets des accélérations jusque-là observées) d’autant que ça peut aussi devenir un mode de propulsion.
L’inconvénient, c’est que la gravitation est supportée par « des champs » extrêmement faibles (même si mon quintal y est soumis en permanence et en devient « pesant »), qu’il interagissent en fonction inverse du carré des distances des masses et qu’il faut des effondrements de trous-noirs l’un sur l’autre, ces « objets » tellement massifs qu’ils retiennent même la lumière, pour les détecter.
On en est d’ailleurs à 5… La piste est bonne !


Mes « hackeurs » exposent à la marge une autre façon de faire : La suspension de la « flèche du temps » (pour l’heure elle-même pas très étudiée par vos chercheurs et autres « théoriciens »). La suspendre, j’avoue qu’il fallait y penser, puisque c’est une solution pour le moins « élégante ».
En effet, une vitesse, soit l’équivalent d’une distance parcourue dans un intervalle de temps donné, « D/t », devient « infinie », si vous suspendez l’écoulement du temps où le « t » de l’équation approche le zéro.
Le zéro tout court, ce n’est pas possible : Diviser par rien, c’est interdit par les maths.
Notez que justement, le photon y parvient très bien : Parti de l’autre bout de l’univers il y a plus de 13 milliards d’années de ça, il meurt l’instant d’après, sans vieillir, absolument intact, quand il vient exciter vos « petits-bâtonnets-&-cônes » qui gisent au fond de vos yeux.
Donc pas « zéro », mais très-très proche de zéro, peut-être à quelque 1/101.000, 10.000 ou même 1.000.0001.000.000.000, on ne sait pas, mais pas « zéro » tout court.
La seule façon raisonnable de dépasser – je ne sais pas encore par quel miracle technologique – la vitesse-limite de la lumière dans l’espace et donc de voyager rapidement sans toutes les autres contraintes physiques connues.


Ceci dit, les progrès de la science et des technologies restent à venir sur ces sujets et vu le développement de ceux-ci en moins d’un siècle, on peut raisonnablement espérer que dans un futur lointain, nos « scienteux » puissent parvenir à ces connaissances utiles qui deviendraient « monnaie-courante » à leur époque.
Oui mais… Je vais plus loin (au moins autant que me le permet l’étendue de mon « génie-personnel ») : Si un jour, on peut « suspendre » l’écoulement naturel et sempiternel de la flèche du temps, on pourra même l’inverser, tôt ou tard.
À savoir que « le futur » vienne visiter « son passé ».
Il se trouve qu’on en a quelques traces à la fois très récentes (« l’Ami-Râle » vous racontera mieux que moi) et que j’en ai repéré dans nos « livres-sacrés » (globalement tout ce qui tourne autour de « prophéties » anciennes, celles qui se réalisent, naturellement…).
J’en ai fait trois opus ces dernières années (« Les enquêtes de Charlotte »), sur 8 à ce jour (ce qui fait beaucoup et me scie le neurone, comme vous pouvez l’imaginer : Je ne suis pas né pour « ça » !)
En y posant les « limites » : D’une part, on ne peut pas voyager dans le passé qui n’existe pas (avant la création de l’Univers) ; et on ne peut pas voyager dans le futur trop lointain, parce qu’il n’existerait pas encore…
Mais venant de ce futur moins que trop lointain, on peut voyager vers le passé puis l’avenir de ce passé : Logique !


Et c’est là l’extraordinaire, VRAIMENT EXTRAORDINAIRE (même pour moi…) quand Oumuamua, alias « 1I/2017 U1 », apparaît soudain dans notre horizon.
Ça ressemble tellement à ces « pierres » décrites et mises en scène dans le chapitre du 23 août dernier et la bataille qui s’en est suivie.
Inspiré ?
Croyez-vous vraiment ?


J’en conclus, de ce que je peux en déduire, qu’Oumuamua n’est autre qu’un vaisseau à la dérive.
Probablement une de ces « pierres », puisque les vaisseaux de la Légion Spatiale ont des dimensions nettement plus imposantes.
Tout ce que j’espère, c’est qu’au prochain coup, alors qu’un de ces engins repasse à proximité de nos télescopes, on soit capable d’y envoyer une sonde pour l’étudier de près.
Là, non seulement on rigolera, mais en plus, vous vous souviendrez de moi.


Bonne fin de week-end à toutes et tous !


I3

4 commentaires:

  1. Mardi dernier, dans le taxi qui m’emmenait à Caen pour un IRM cérébral afin de voir si le cerveau de « l’Ami-Râle » va pouvoir râler encore longtemps (réponse : oui…), une discussion à ce sujet avec la « Baronne » :

    « Les astronomes viennent de découvrir un astéroïde avec une trajectoire hyperbolique et qui vient de passer prêt de la Terre… Absolument anormal… Les comètes qui viennent du système solaire ont des trajectoires paraboliques tandis que les astéroïdes ont une orbite en forme d’ellipse… C’est la première fois qu’un astéroïde présente une telle trajectoire ».

    La « Baronne » a découvert l’astronomie en passant des soirées sous la coupole astronomique construire dans le jardin en contemplant les planètes, les amas globulaires et les galaxies… Elle trouve ça super et comprends pas mal de choses !...

    « Le plus surprenant est la forme de cet astéroïde… il fait 400 mètres de long sur 40 mètres de large… c’est totalement anormal car c’est beaucoup trop long par rapport à la largeur… en plus, il a une couleur qui signifie qu’il a passé des centaines de millions d’années dans l’espace… ça ressemble à un vaisseau qui a loupé un transfert hyperspatial et se balade dans l’espace… absolument stupéfiant… »
    « Ça aurait été bien de l’intercepter… » m’a-t-elle répondu !...

    Effectivement, c’est absolument stupéfiant et j’ai commencé à lui expliquer comment fonctionne un vaisseau galactique recouvert de neutronium spiné qui lui permet d’annuler la flèche du temps, pour avoir une vitesse proche de l’infini, en m’inspirant de votre roman « Ultime récit » (il faut bien développer des hypothèses…), et que de temps en temps, il doit bien y avoir un « loupé ».

    Parce que, rien que dans notre galaxie, les millions de civilisations spatiales qui voyagent dans l’espace depuis des milliards d’années doivent bien perdre de temps à autre un vaisseau qui va ensuite errer pendant l’éternité, sauf s’il passe prêt d’une planète pour être intercepté et étudié…
    Il va peut-être falloir y penser, tout comme on pourrait prévoir des procédures et des terrains pour accueillir des vaisseaux en détresse.

    A moins que cela soit une « pierre »… mais ne faudrait-il pas prévoir des équipements nucléaires adéquats, au cas où…

    Bien à vous !...

    Haddock

    P.S. Quant au nom de l’astéroïde, les (F)Ummistes doivent être sur le coup…

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    1. Non pas de problème, elle est devenue inerte !
      Comme "épuisée" après son accident d'il y a probablement plus de 300.000 années de ça.
      Figurez-vous que j'écoutais dans mon nouveau "Eurostar" que les chercheurs cherchaient bien de quelle étoile elle pouvait venir.

      Vigo avait été lancée, mais Vigo n'était pas là où on la voit il y a 300.000 années. Qu'on va donc apprendre au fil du temps à naviguer à la "non-vue" dans l'espace : Je veux aller là, mais il faut que je vise ailleurs pour y arriver.
      Et attention, des "cailloux" indétectables vont traverser ma trajectoire qui va en être déviée... Pas simple la navigation interstellaire !

      Qu'en disent donc les "(f)ummistes" : Je n'ai rien lu de probant dans leur "twists" et autres littératures sur le sujet. Ensemble vide, alors que ça devrait être un sujet marrant et surtout "riche" d'enseignement.
      Il faut dire que je ne lis pas grand-chose de ces fumisteries-là, et puis comme ils ont prévenus qu'ils mentaient que quand ils le voulaient (et qu'ils le veulent souvent), tout cela ne veut rien dire : ça amuse les "gourous" bien terriens... et leurs gogos.

      Terrible fiabilité de l'esprit humain : ça leur passe sous le nez, et là, ça ne les émeut même pas (hors la Baronne, naturellement, mais elle, c'est normal : C'est un être forcément exceptionnel!)

      Bien à vous !

      I-Cube

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    2. Effectivement !...
      C’est bien documenté, en particulier sur ce site :

      http://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/vie-extraterrestre-asteroide-venu-autre-etoile-serait-il-vaisseau-extraterrestre-69025/

      Des responsables du programme Seti ont même entrepris d'écouter l’astéroïde Oumuamua avec l'Allen Telescope Array (ATA) et avec le Green Bank Telescope dans le cadre du projet Breakthrough Listen dans la bande 1,1-1,9 GHz où se trouve la raie à 21 cm de l’hydrogène : une bande que l'on pense privilégiée pour la communication interstellaire !...

      Un vaisseau inerte, bien sûr, mais on peut très bien imaginer une balise de détresse qui émet pendant des dizaines de milliers d’années, ou même plus…

      Intercepter un engin à la dérive depuis des milliers, ou même des millions d’années, pourrait réserver d’incroyables surprises.
      De quoi lancer un programme spatial de surveillance avant que nous soyons nous-mêmes capables de voyager vers les étoiles et dans le temps.

      Encore que d’après l’OVNI observé à la base de Bentwaters, il semblerait que celui-ci vient de chez nous, de l’an 8100.
      Alors, finalement, le voyage temporel et galactique n’est pas si lointain à l’échelle de l’espèce humaine…

      Bien à vous !...

      Haddock


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  2. Oui enfin moi, j'écouterai la longueur d'onde réservée aux messages de détresse...
    C'est pas non plus fait pour les chiens depuis le naufrage du Titanic, enfin quoi !
    Bon, la documentation du bord n'est peut-être pas à jour, dois-je reconnaître, puisqu'elle date d'avant l'humanité.

    Pour Bentwaters, c'est probable, mais ça n'a rien à voir. Même si je ne serai pas surpris qu'un jour un autre, en fait trois autres (ou peut-être une multitude) de ces engins nous tombent sur le coin de la tronche sans prévenir et sur les trois points cardinaux (ou entre) désignés par le message venu du futur.
    Si je me souviens bien, ça donne dans l'eau noire de l'océan, non ?
    On verra bien.

    Le point(fr) le plus important me semble-t-il, c'est que c'est quand même une "originalité", notamment quant à la forme, mais aussi quant à la trajectoire, du bidule, qui devrait réveiller les consciences : On n'est décidément pas "tout seuls" dans cet immense univers...
    C'est le plus important.

    Attendons donc les conclusions des "scienteux", car eux, ça les bouleverse dans leurs certitudes qu'ils en mobilisent à l'arrache les meilleurs outils d'observation cosmiques, hors budgets !
    Et puis les "récupérations" qui vont en être fait.

    Croyez-vous qu'on va découvrir ainsi que notre "Jupiter" national se révèlera "en contact" avec ses deux alliances aux doigts comme mode de communication ?
    Ce serait vraiment très drôle, le pôvre...

    Bien à vous !

    I-Cube

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