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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 novembre 2017

Collecte de l’été 2017 (6)


Je n’ai décidément pas chômé…



C’est un soldat qui débute son entraînement dans l’armée. L’instructeur explique les rudiments du saut en parachute.
« Vous mettez votre parachute, vous montez dans l’avion. Une fois à la bonne altitude, vous vous placez près de la porte ouverte. Vous accrochez l’anneau qui va permettre le déploiement de votre parachute.
Ensuite quand le caporal vous donne une tape sur votre casque, vous sautez dans le vide, et votre parachute s’ouvre tout seul, mais s’il y a un problème vous avez un anneau pour ouvrir votre parachute de secours, vous tirez et votre parachute de secours s’ouvre.
Une fois rendu en bas vous pliez votre parachute, et vous courez au camion, qui va vous ramener à la base. Pas de questions ?
Alors on y va ! »
Notre recrue met son parachute, l’attache et se rend à l’avion. Il embarque dans l’avion qui décolle.
Une fois rendu à la bonne altitude, le caporal ouvre la porte. Il se rend près de la porte, et attend le signal. Le caporal lui donne une tape sur son casque, il saute dans le vide.
Il attend et son parachute ne s’ouvre pas…
« Bon j’suis pas chanceux, le parachute n’ouvre pas. »
Il tire l’anneau de son parachute de secours.
Rien.
« Bon… Encore malchanceux, le parachute de secours n’ouvre pas. Tant qu’à être malchanceux je gage que le camion de récupération ne sera même pas là. »


À sa mort, le patron de Microsoft, Bill Gates (Dieu le bénisse, lui l’inventeur de la calculette Windows…), est envoyé en enfer.
Satan reçoit en personne l’homme qui était le plus riche du monde…
« Monsieur Bill, vous avez été un homme important sur Terre. Vous avez droit à certains égards. Je vais vous proposer deux options pour votre séjour parmi nous. »
Satan conduit Bill près d’un lac embrasé où des millions d’âmes sont torturées pour l’éternité.
« – Vous n’avez pas autre chose ? », demande Bill, « ce n’est pas attirant.
– Mais oui, mais oui. Venez. »
Satan le conduit vers un bâtiment où il l’invite à entrer dans une pièce. À l’intérieur, une table, une chaise et un PC.
« – Tenez », dit le diable, « ça tourne sous Windows 98.
– Ah oui ? » répond faussement Bill Gates, satisfait de constater qu’il est en position de monopole, même en enfer. « Je crois que je vais prendre cette option.
– C’est bien ce que je croyais»
Le pacte étant scellé, un assistant de Satan, curieux, demande à son maître pourquoi il est si généreux pour Monsieur Gates.
« – Héhééé ! J’ai retiré trois touches sur le clavier.
– Lesquelles ?
– Ctrl, Alt et Delete. »


Un vieux couple, Jean-Marc et son épouse, se prépare à fêter ses noces d’or.
Jean-Marc dit à sa femme :
« – Et si on refaisait notre voyage de noces ? Tu sais, les mêmes endroits… Et tout et tout ?
– Excellente idée. Tu pars en juillet et j’irai en août ! »


Jean-Marc est devenu l’un des plus vieux résidents d’une maison de vieillards, mais il est encore en forme.
Tous les soirs, après le souper, il fait une promenade dans le jardin.
Il marche souvent avec la belle Charlène qui, même si elle est fanée, est encore ravissante.
« – Tu sais ce qui me manque le plus ?
– Non.
– Le sexe !
– Vieux cochon ! Tu ne banderais pas, même devant la femme la plus sexy du monde.
– Peut-être, mais j’aimerais tellement ça que tu prennes mon pénis dans ta main… Juste un peu.
– Bon, si c’est seulement ça, je peux t’aider… »
Unissant le geste à la parole, elle prend son petit pénis et le garde quelque temps.
« – Alors, tu es content ?
– Merci. Merci. Quel beau moment ! », fait-il ravi.
Jean-Marc est tellement radieux et charmant, qu’elle accepte de renouer l’expérience deux fois par semaine.
Mais un soir, Jean-Marc n’est pas au rendez-vous.
La belle Charlène, inquiète, le cherche partout.
Soudain, en passant devant l’appartement de Mme Mérinos, la porte étant ouverte, elle voit cette dernière qui tient le pénis de Jean-Marc dans sa main.
« – Salaud, qu’est-ce qu’elle a que je n’ai pas ?
– Elle a le PARKINSON. »


La mère de Jean-Marc lui a appris à apprécier un travail bien fait :
« Si vous voulez vous entretuer tous les deux, faites-le à l’extérieur : Je viens tout juste de terminer de nettoyer la maison ! »


Sa mère lui a appris la religion :
« Tu ferais mieux de faire une prière pour que je parvienne à ôter cette tâche du tapis. »


Sa mère  lui a aussi appris le voyage dans le temps :
« Je n’attendrai pas jusqu’à la St Glinglin que tu te comportes correctement ! »


Sa mère lui a inculqué la logique :
« Parce j’ai dit que ce serait comme ça, voilà pourquoi. »


Sa mère lui a enseigné la prévoyance :
« Assure-toi toujours que tu portes des sous-vêtements propres, pour le cas où tu aurais un accident. »


Elle lui également enseigné l’ironie :
« Continue à pleurer et je te donnerai quelque chose qui te fera vraiment pleurer. »


Elle lui a appris le paradoxe :
« Ferme ta bouche, et mange ta soupe ! »


Sa mère lui a fait comprendre ce qu’est un contorsionniste :
« Veux-tu bien regarder toute la saleté à l’arrière de ton cou ! »


Et puis aussi l’endurance :
« Tu resteras assis là jusqu’à ce que tes épinards soient terminés. »


Les rudiments de météo :
« On dirait bien qu’un ouragan a ravagé votre chambre. »


Elle lui a fait découvrir l’hypocrisie :
« Je te l’ai bien déjà dit un million de fois : N’exagère pas ! »


Elle lui enseigné ce qu’est le cercle de la vie :
« N’oublie pas que c’est moi qui t’ai donné la vie et c’est aussi moi qui pourrai bien te l’ôter. »


Également les modifications du comportement :
« Arrête de te comporter comme ton père ! »


Et puis l’envie :
« Il y a des millions d’enfants moins chanceux que toi dans ce monde qui n’ont pas de merveilleux parents comme les tiens ! »


Sa mère a tout appris à Jean-Marc…


Jean-François (un pote de Jean-Marc) est né avec un sacré handicap : Il pue des pieds comme pas possible.
Il pue tellement des pieds que tout le monde le fuit.
Il ne trouve compagnie qu’auprès des porcs de sa ferme.
Sans se résigner le moins du monde, il va consulter le médecin de la famille, et lui demande ce que la science peut faire pour lui.
Le docteur le soigne du mieux qu’il peut, essaie sur lui moult traitements, mais rien n’y fait.
Au bout d’un moment, le médecin lui dit que la médecine ne peut vraiment rien pour son cas et qu’il va lui falloir vivre avec ça.
Le pauvre Jean-François se met alors à boire et passe ses soirées dans un café pour routiers au bord de la Départementale.
De son côté, Marie-Jeanne est née à quelques kilomètres de là et n’a pas été gâtée par la nature, elle non plus : Elle soufre probablement du pire cas mondial reconnu d’halitose.
Pour parler simplement, elle est dotée de l’haleine d’un coyote qui aurait mangé une charogne avariée.
La pauvre a elle aussi consulté les plus grands spécialistes, tant en médecine O.R.L, qu’en gastro-entérologie, mais aucun n’a pu la guérir et elle s’est mise à déprimer.
Un jour, par pure coïncidence, Jean-François et Marie-Jeanne se retrouvent ensemble dans ce café de routiers.
Leurs regards se croisent et en un rien de temps, les voilà sur des tabourets du bar, l’un à côté de l’autre.
Jean-François parvient à tenir ses pieds éloignés de Marie-Jeanne, et Marie-Jeanne réussit à converser sans projeter son haleine à la face de Jean-François.
Le soir arrive, et ils se décident à concrétiser leur coup de foudre à l’hôtel le plus proche.
En entrant dans la chambre, Jean-François se précipite dans la salle de bains.
Il se déshabille, se lave, puis trempe ses pieds dans l’eau de Cologne plusieurs fois de suite.
Enfin, il roule ses chaussettes dans une serviette de bains qu’il cache sous l’évier.
Marie-Jeanne le suit dans la salle de bains, elle se brosse les dents pendant 5 minutes, puis se gargarise au Synthol plusieurs fois, et rejoint enfin l’homme de sa vie dans le lit.
Elle prend une profonde respiration et se couche sur la poitrine de Jean-François.
Elle le regarde alors dans les yeux et lui dit :
« Jean-François, avant qu’on ne fasse l’amour, il faut absolument que je te dise quelque chose… d’étrange, euh… »
En éloignant son visage de celui de Marie-Jeanne, Jean-François lui répond :
« Ne dis rien, j’ai deviné ! Tu as mangé mes chaussettes, pas vrai ? »


« C’est l’histoire du gars-là qui est tellement petit que sa tête pue des pieds ! »


Une petite revenue pour finir ?
Magnifiquement enrichie :


Une souris fuit follement devant un chat aux intentions meurtrières.
Apercevant un petit trou, elle s’y engouffre, ressentant un immense soulagement.
Le chat se poste à la sortie et attend patiemment.
Une heure, 2 heures, un jour passent…
La souris, terrifiée, ne bouge pas.
Elle prie.
Peut-être, se dit-elle, qu’un oiseau ou une autre chose vont distraire le chat et le forcer à lever son siège.
Malheureusement, rien ne passe.
Au bout de quatre jours, le chat n’a toujours pas bougé.
« Si ce n’est pas un oiseau, un chien finira bien par passer et chasser le chat », espère encore la souris.
Une semaine, 2 semaines, le chat est toujours là quand, soudain, la souris entend un puissant Waouf, waouf !
« Sauvée ! Je suis sauvée. Enfin un chien ! Hi ! Hi ! »
Elle s’engage vers la sortie de son repaire.
Lorsqu’elle pointe le bout du museau, horreur, elle tombe sur le chat !
Ce dernier, une lueur ironique dans les yeux, se lèche les babines…
Courageuse, la petite souris lui adresse la parole :
« – Je sais ce qui m’attend. Je suis au menu de ton petit déjeuner. Mais, avant de mourir, puis-je te poser une question ?
– Oui. Vas-y !
– J’ai pourtant bien entendu les aboiements. Pourquoi tu es encore là ?
– Simple. Pour survivre à l’époque de la mondialisation, il faut parler aux moins 2 langues»
(Dans l’original, le chat bouffait la souris et se félicitait d’être seulement bilingue : « C’est bien d’apprendre une langue étrangère ! »)


Allez donc, bon week-end à toutes et à tous !


I3

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