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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 5 novembre 2017

En voilà une bonne nouvelle que voilà.


Le sexe est bien un antimigraineux deux fois sur trois !
 
Vous avez tous (et toutes) vécu le coup du « non pas ce soir » pour cause de « migraine-tenace » et indisposante.
Non ?
Eh bien ça viendra bien assez vite, ne vous en faites pas…
 
En tout cas, la prochaine fois que ça pourra m’arriver alors que j’aurai une furieuse envie « irrésistible » et des prédispositions en éveil assidu, je rappellerai illico à l’objet de mes désirs du moment que si l’on savait depuis longtemps que les endorphines libérées lors d’un orgasme pouvaient atténuer la douleur (JFK se plaignait ainsi des « maux de têtes insoutenables » tant qu’il n’avait pas « tiré son coup »), jusque-là assez peu d’études s’étaient penchées sur l’intérêt du sexe lors des maux de tête.
Or, une recherche récente vient de montrer que dans 60 % des cas, faire l’amour, se « sexer », se « sensualiser » pendant une migraine diminuait significativement les symptômes.
En revanche, c’est vrai qu’une fois sur trois, cela les empirait…
Un grand coup de doliprane et un bol de gnole là-dessus, ça passera avec la dormition.
 
Moi j’adore la recherche scientifique : Enfin une étude qui pourrait déplaire à celles et ceux qui prennent l’excuse d’un mal de tête pour ne pas avoir de rapport sexuel et restent adeptes du « kul-tourné ». On disposait déjà de quelques éléments qui semblaient en attester, mais ce sont des scientifiques « teutons » de l’université de Münster, qui ont mené la plus large étude du genre, et ont démontré que dans la majorité des cas, faire l’amour durant une migraine permet d’améliorer son état.
Qu’ils soient bénis des dieux !
 
Des questionnaires ont été envoyés à 1.000 personnes souffrant soit de migraine (pour 800 d’entre elles) soit d’une affection plus rare, terriblement douloureuse et n’affectant qu’un côté du crâne, appelée « algie vasculaire de la face » (les 200 restant). On leur demandait s’ils pratiquaient des rapports sexuels durant leurs maux de tête, et s’ils ressentaient des effets, positifs ou négatifs, sur leurs douleurs.
Seuls 400 d’entre eux ont retourné le questionnaire aux expéditeurs : Parmi les personnes souffrant de migraine, 34 % des participants ont reconnu faire l’amour malgré leur céphalée. Pratique intéressante la plupart du temps, car dans 60 % des cas, le sexe diminuait voire faisait disparaître la douleur !
En revanche, 33 % des sujets n’ont pas vraiment aimé l’expérience, leurs symptômes ayant empiré, faut-il reconnaître.
 
Si le sexe peut atténuer le mal de tête, il peut aussi, dans certains cas, le renforcer voire l’induire. Il existe en effet des céphalées dites « orgasmiques », qui seraient dues à des spasmes d’artères situées dans le cerveau.
Quant aux personnes souffrant d’algie, elles sont 31 % à poursuivre leurs ébats. Dans ce cas, seules 37 % d’entre elles constatent une amélioration, quand la moitié se plaint de douleurs plus intenses.
 
En réalité, 36 % des hommes et 13 % des femmes ont même avoué utiliser le sexe comme thérapie contre leurs céphalées.
Fabuleuse révélation !
Une bonne idée, car si l’on fait le bilan global, 42,7 % des patients déclarent avoir connu une diminution de leurs symptômes d’au moins 50 %.
Des résultats sont aussi élevés que lors de la prise de médicaments contre la douleur…
 
Naturellement, différentes hypothèses sont avancées dans la revue « Cephalalgia » qui a publié ces résultats pour expliquer l’effet analgésique de l’activité sexuelle, notamment celle de la production d’endorphines au moment de l’orgasme.
Et j’imagine que plus « c’est profond & intense », plus c’est une « bonne médecine ».
Ces neurotransmetteurs, également appelés endomorphines du fait de la proximité des effets qu’ils procurent avec ceux de la célèbre drogue (rien à voir avec ma « metmorphine » pour soigner – très partiellement – mon diabète personnel), sont connus pour le bien-être qu’ils engendrent et leurs propriétés antidouleurs.
 
Stefan Evers (qu’il soit béni par l’Éternel), l’un des auteurs de l’étude, se demande même si les personnes ayant vu leur état empirer ne sont pas tout simplement de « petits-producteurs » d’endorphines.
Moi, je m’inquièterai plutôt de la « qualité » de l’orgasme. Mais aucune mesure physiologique n’a été réalisée, il faudra donc poursuivre l’enquête pour déterminer précisément le ou les facteurs impliqués dans cette thérapie par le sexe.
D’ailleurs, s’il a besoin de volontaires expérimentés, mon « nerf-honteux » et moi-même sont disponibles : Je ranime toujours après !
 
Malgré tout, si faire l’amour semble avoir des côtés bénéfiques (je me marre : Il suffit de voir la tronche des « mal-baisé.e.s » à potron-minet qui sont en plus d’une humeur massacrante toute la journée…), il s’avère que les personnes souffrant de migraines ne sont pas toujours ouvertes aux rapports durant leurs crises et c’est bien dommages que je vous dis.
En effet, dans cet état, la sensibilité est souvent à fleur de peau (ce qui reste génial d’après moi) mais la lumière, le bruit ou le contact risquent d’amplifier la douleur (ce qui est un risque à prendre en toute circonstance avant décès).
Dès lors, certains comprennent mieux pourquoi quelques « frigides » s’en servent comme d’une excuse absolutoire.
Si tant est qu’il faille en avoir besoin pour refuser d’agir contre sa volonté…
Mais c’est un autre problème.
 
En revanche, on n’a pas encore trouvé la parade également absolutoire de nos « dames-adorées » quand elles vous expliquent que : « Pas possible ce soir, pour cause de ragnagna ».
Et je vous rappelle en plus que pour une musulmane, c’est interdit pas le Coran.
 
Bref, un « truc » qu’il vous fallait savoir : Peut-être qu’un jour, on n’entendra plus cette affaire de migraine désopilante.
 
Bonne fin de journée à vous toutes et tous !
 
I3

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