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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 12 novembre 2017

Encore une excellente nouvelle !

Les « gros-mots », c’est bon pour la santé !



Moi, j’adore les « chercheurs », surtout quand ils deviennent « trouveurs ».
Pas tous : Les « ceux-ce » qui inventent des moyens de flinguer 26 personnes dans une église (même pas « papiste ») – où j’ai trouvé remarquable les images du gars qui a pris son flingue et est allé défouler son chargeur en toute bonne conscience sur le cinglé qui venait d’en massacrer un quarteron : Ils sont texans, normal qu’ils fassent parler la poudre pour être nés comme ça. La preuve, ça ne choque personne et le gusse passe même pour un héros – n’ont pas forcément ma gratitude.


En revanche les « ceux-ce » qui sont payés pour vous balancer des vérités magnifiques, j’adore : Et il en est une qui m’a beaucoup fait rire.
Éructer des grossièretés et autres noms d’oiseaux, il est désormais « scientifiquement » prouvé qu’il s’agit d’un excellent moyen de mettre K.O. la « détresse émotionnelle » !
Si ça pouvait aussi mettre un terme à la konnerie humaine, je veux bien essayer…
Bref, cette fois-ci la science a parlé et elle est catégorique. À la croire, jurer serait un bon moyen de soulager sa « détresse émotionnelle », cette fameuse réaction de souffrance que l’on peut développer face à des événements traumatisants ou blessants (ex : humiliations, blessures psychologiques, maltraitance, attaques terroristes, massacres divers, agressions routières, et j’en passe).
Cette « incroyable » découverte, nous la devons à des chercheurs de l’Université Massey en Nouvelle-Zélande. Ah qu’ils sont magnifiques les « blacks » !
Selon eux, les grossièretés permettraient non seulement de se décharger de cette « détresse émotionnelle », mais aussi de se débarrasser d’un mal de cœur ou de son anxiété sociale.
D’où les hakkas des équipes de l’hémisphère-sud ?


Ce soulagement fonctionnerait surtout sur le court-terme, lors d’une dispute avec son partenaire par exemple ou après une interaction sociale embarrassante. Pour arriver à cette conclusion, ces « scienteux-là » ont étudié un groupe de 62 personnes. Ils leur ont demandé de relater par écrit un moment où ils se sont sentis exclus socialement. Puis, les sujets ont été divisés en deux groupes. Le premier a dû répéter un mot neutre pendant 2 minutes (je ne sais pas lequel, pas Mak-Rond, probablement) tandis que le second a pu lâcher quelques insultes bien senties.
Le résultat du test était sans appel : Le niveau de stress des personnes autorisées à jurer s’était rapidement atténué.


L’étude a également révélé que les grossièretés permettaient de soulager les douleurs physiques. Alors n’hésitez pas : La prochaine fois que votre petit orteil se fera heurter violemment par un pied de la table, surtout pensez à lui lâcher une bordée d’injures bien senties : La table n’avait rien à foutre ses pattes sur votre trajet !
Non mais…
Si ça soulage la douleur (et elle ne peut pas répliquer à votre « bonne foi » ainsi surprise), pourquoi se gêner ?
Comme quoi, un bon « merde » étron ne peut jamais faire de mal.
Demandez donc au général Cambronne.
D’autant qu’il semble que le fait de jurer serait aussi un moyen pour lui et vous de vous distraire de l’agonie promise par la douleur (la fameuse « douleur existentielle »).
Je ne te vous raconte pas si vous êtes comme moi, déjà mourant-avancé-pré-décomposé avec 37,00001 °C de fièvre, là, je ne jure plus, je geins. (En revanche, à plus de 40, je « pète-le-feu » comme jamais…).
De plus, le groupe de contrôle qui a été autorisé à jurer a rapporté ressentir moins de douleur physique au sujet de la mémoire : « Les résultats suggèrent que la douleur sociale et physique sont fonctionnellement similaires et que jurer atténue la douleur sociale. »


Notons tout de même que ce n’est pas la première fois que « la science » s’intéresse aux jurons et à ceux qui les pratiquent. En 2015, une étude avait ainsi révélé que les gens grossiers avaient un vocabulaire beaucoup plus varié que les autres.
Je veux !
Merde (étron). Putain (gourgandine). Fuck (fuck). Connard (abruti-congénital) serait synonyme d’un vocabulaire plus fourni que les autres.
Génial, n’est-ce pas !
Surtout pour moâ qui ne possède qu’une ou deux douzaines de mots dans mon « riche vocabulaire ».
(Ne vous en faites pas, j’ai des « machines » qui compensent mes carences naturelles et linguistiques : Merci infiniment à Bill Gates…)


C’était la découverte phénoménale « phonoménale » des psychologues Kristin et Timothy Jay de l’Université des Arts Libéraux du Massachussetts.
Les deux chercheurs ont en effet découvert que les personnes qui jurent ont un vocabulaire beaucoup plus varié que les autres. Qu’on se le dise, fucker (fucker) n’empêche donc pas d’être un athlète du Scrabble.
Pour arriver à cette conclusion ils ont réuni un panel de participants composés autant d’hommes que de femmes et tous âgés entre 18 et 22 ans. Puis ils leur ont soumis un petit test amusant : Pendant une minute entière, les cobayes ont dû sortir le plus de jurons possibles. Pendant les soixante secondes suivantes, on leur a demandé de répéter l’exercice mais en remplaçant les gros mots par des noms d’animaux. Résultat, les participants qui ont juré comme des charretiers sont également ceux qui ont listé le plus d’animaux.
Les adeptes du langage fleuri ont donc un vocabulaire plus étendu que les autres (ou alors ils ont une passion secrète pour la zoologie), CQFD.


Ces chercheurs notent toutefois que : « Malheureusement, c’est assez commun de croire que les personnes qui jurent sont paresseuses, n’ont pas beaucoup de vocabulaire, ont un manque d’éducation ou n’arrivent tout simplement pas à se contrôler. Mais les résultats de cette étude indiquent qu’un lange grossier peut être corrélé à un vocabulaire plus fluide ».
L’étude a également montré que les personnes qui jurent beaucoup font la différence les jurons « appropriés » et ceux qui ne le sont pas.
Ainsi, aucune injure raciale n’a été prononcée pendant les tests.


Non seulement être grossier serait une preuve d’intelligence (ce qui explique une fois de plus que je suis né kon-indécrottable), mais selon une autre étude menée par des chercheurs, britanniques cette fois-ci et datant de 2009, les personnes qui emploient ce genre de langage seraient également plus résistantes émotionnellement.
Bref, la prochaine fois qu’on vous fait une queue de poisson, n’hésitez pas à hurler au chauffard d’aller se faire voir en langage fleuri de votre invention : La science est avec vous.


Pour ma part, j’emploie des mots inconnus : J’adore (je n’ai pas de vocabulaire… alors je l’invente !). Mais, question queue de poisson, me restera encore en mémoire au-delà de mon repos éternel, des scènes de conduite routière hilarante.
Vous savez, le mek « à fond les grelots » (je vous ai déjà raconté que moâ, c’était « voie de gôche, pied au plancher » sans discontinuer ni mollir) avec mon « co-pilote » du moment dans le rôle du « flic-embarqué », qui cogne violemment sur son carreau-passager pour se faire remarquer et « engueuler » le type que je double à vive allure et qui fait un semblant d’écart, tellement qu’il ne m’a pas vu venir, tellement que je roule vite : Là, c’est vrai, c’était toujours l’occasion inespérée d’enrichir mon vocabulaire pendant 10 bonnes minutes dans l’habitacle du bolide.
En dix minutes, il était loin derrière, le quidam qui ne m’a même pas vu passer !


Bonne fin de journée à toutes et tous.


I3

1 commentaire:

  1. Oublié bêtement de conclure !

    Vous imaginez le jour où votre toubib vous prescrira sur ordonnance médicale d'aller injurier le quidam qui passe (ou le ministre de l'absurde) et que ce soit remboursé par la Sécurité-Sociale ... !

    On vit décidément dans un monde magnifique !

    Bien à vous toutes et tous !

    I-Cube

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