Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 novembre 2017

Extraordinaire


Une revenue de loin.



Le 17 juillet 2014, sous l’épisode « Mains Invisibles », je mettais en ligne ce post-là (issu d'une reprise du blog précédant, vraisemblablement « pondu » en mai ou juin 2012, je ne sais plus) :

«
Là, elles lui font un numéro de strip-tease sur le lit après qu’il se soit brossé les dents et déshabillé.
« On se demandait par laquelle vous alliez commencer ? La brune ou la blonde ? » fait Elsa mielleuse.
« Cheveux courts ou cheveux longs ? » questionne Virginie en secouant d’un large mouvement de tête sa crinière brune.
« Petits seins ou belle poitrine ? » poursuit-elle…
« Fesses serrées ou … « en formes » ? » rajoute Elsa qui agite son buste dénudé laissant voir ses jolis petits tétons roses en faisant mine de retirer sa culotte, alors que Virginie montre et fait virevolter les siens massifs et de couleur brune.
Jacques, mis « en appétit », dénoue sa serviette ceinte autour de la taille sur son manteau adipeux abdominal des gens qui mangent trop riche, absolument ravi de montrer sa nudité déjà au garde-à-vous.
Et là, les deux filles feignent l’étonnement en se regardant mutuellement dans le même geste et éclatent de rire en mirant le sexe tendu de Jacques !
« – Pas possible ! Tu as vu le tout petit bout de chipolata ?
– Est-elle cachée, là ou quoi ?
– C’est fou que ça puisse être aussi petit ! » répond sa comparse entre deux quintes de rires… « Tu crois qu’elle fonctionne quand même ?
– En tout cas j'ai déjà fumé des joints plus gros que ça.
– Pourtant, ses pieds sont si grands…!
– Tu sais, elle est comme celle de mon petit frère qui est âgé de 9 ans.
– Ben oui, maintenant je comprends pourquoi il a une Porsche.
– Mon Dieu, elle est si petite que je pourrai même lui enfiler mes bagues !
– Tu sais maintenant pourquoi il faut juger les gens sur leur personnalité. »
Jacques se défend : « Ce n’est pas la taille qui compte… » bredouille-t-il.
« – Peut-être, mais avec un handicap pareil…
– De toute façon, depuis le passage de Paul, je suis tellement dilatée que je ne sentirai rien ! »
Et dans le même mouvement concerté, elles ramassent leurs affaires et s’en vont toujours en riant aux éclats, sans que Jacques, qui proteste, ne puisse les retenir.
Soirée frustrante…
D’autant que Brigitte tarde à revenir, très occupée par les deux mitrons.
Le lendemain, Mylène en mère-maquerelle parfaite, leur fait : « Alors les garçons, c’était bien le transsexuel ? »
Mais non, tu parles. « Pourquoi, il a réussi à mouiller vraiment ? Vous y êtes arrivés, vous êtes sûrs ? »
Glops !
« Il paraît que ça suce mieux que ne saurait le faire une fille… et pour cause ! »
Protestations outrées des garçons.
« Rigolez pas, j’en ai vu assez dans ma vie. Mais chez celui-là, il n’y a vraiment rien de vrai, même pas les dents… Du beau boulot ! »
Dur, dur…
»


Un épisode inventé de toute pièce qui m’avait bien fait rigoler quand je l’ai écrit, visualisant parfaitement les trois « demoiselles » (que je connais par ailleurs, mais dans d’autres rôles dans la « vraie-vie » et avec d’autres prénoms… des fois qu’elles se reconnaissent) qui reste une compilation de conversations « volées » au cours de plusieurs décennies d’affilée quant aux appréciations de nos dames sur leurs « virils » partenaires de jeux sensuels.
La plus marquante – mais je n’ai pas pu la replacer – ayant été celle d’une dénommée « Myriam » se plaignant de son mari pour achever de me convaincre de succomber à ses charmes : « Tu te rends compte, Infree, 5 centimètres, c’est comme si je ne sentais rien ! »
Comment voulez-vous garder un semblant de sérieux quand vous entendez un « truc » pareil ?
Qu’au final, je me suis confirmé que « qui se ressemble s’assemble »…
Alors imaginez mon délire rigolatoire quand celle-ci m’est « revenue » en pleine tronche la semaine dernière, plus de cinq ans plus tard, que j’ai eu du mal à m’en remettre :


Mesdames, ne dites jamais ceci lorsque vous êtes devant la CHOSE :
« – Comme elle est petite !
– J’ai fumé des joints plus gros que ça.
– Tiens, mon dernier mec était gros comme ça.
– Pourtant, tes pieds sont si grands… !
– Tiens, elle est comme celle de mon petit frère qui est âgé de 9 ans.
– Ben oui, je comprends pourquoi tu as une Porsche.
– Même si elle est petite, elle fonctionne quand même ?
– As-tu pensé à prendre des vitamines ?
– Est-elle cachée ?
– Mon Dieu, je peux enfiler mes bagues !
– C’est bon d’avoir d’autres talents !
– Je sais maintenant pourquoi il faut juger les gens sur leur personnalité. »

Légèrement « enrichie », quoi…
Après combien de tours du monde en cinq ans ?
Fabuleux, n’est-ce pas ?


Ceci dit, j’en ai des toutes fraîches à vous rapporter :


« Les hommes, c’est comme de l’essence :
– Des pieds à la ceinture, c’est du super.
– De la ceinture aux épaules, c’est de l’ordinaire.
– Des épaules à la tête, c’est du sans plomb. »


« – Les hommes c’est comme la lettre Q.
– ???
– Un gros zéro avec une petite queue. »


« – Comment savoir si un homme a eu un orgasme ?
– C’est simple : Il roule sur le côté et commence à ronfler. »


« – Qu’est-ce que les ovnis et les hommes intelligents ont en commun ?
– Tout le monde en parle, mais personne ne les a jamais vus. »
(Ça reste à démontrer : On attend avec impatience le prochain passage de la Gazette-galactique, livrée en principe par les Kameulfs à quelques initiés capables d’en tirer le meilleur sur Terre…)


Un homme se présente au paradis, la portière de sa voiture à travers la figure.
« Mais comment avez-vous donc fait votre compte ? » lui demande Saint Pierre.
« Attendez… Euh… Ah oui, ça y est, je me souviens ! Je roulais sur l’autoroute et tout d’un coup, ma femme m’a dit : « Passe-moi le volant, tu seras un ange… » »


Un vieux couple, Jean-Marc et son épouse :
« – Germaine, passe-moi mon dentier…
– Pourquoi ça ?
– J’ai envie de te mordre ! »


« Jean-Marc ! Jean-Marc ! … écoute maman… Ouvre la bouche et fais Aaaaaaah… pour que le dentiste puisse retirer ses doigts ! »


Ça se passe dans un avion piloté par notre « Capitaine Haddock », pas encore à la retraite.
Une femme blanche et raciste (eh oui, ça existe : J’en connais), d’environ cinquante ans, est assise à côté d’un Noir, la quarantaine bien portée.
Visiblement perturbée, elle appelle l’hôtesse de l’air.
« – Madame ? Que puis-je faire pour vous ?
– Mais vous ne le voyez pas donc pas ? Vous m’avez placée à côté d’un Noir. Je ne supporte pas de rester à côté d’un de ces êtres répugnants. Donnez-moi un autre siège.
– S’il vous plait, calmez-vous… Presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s’il y a une place disponible. »
Indignation silencieuse de son voisin, plus bruyante alentour.
L’hôtesse s’éloigne et revient quelques minutes plus tard…
« Madame, comme je le pensais, il n’y a plus aucune place libre dans la classe économique. J’ai parlé au commandant et il m’a effectivement confirmé qu’il n’y a plus de place disponible. Toutefois, nous avons encore une place en première classe. »
Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l’hôtesse de l’air continue…
« Il est tout-à-fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s’asseoir en première classe. Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu’il serait scandaleux d’obliger une personne respectable à s’asseoir à côté d’une personne aussi désagréable. »
Et s’adressant au « black », l’hôtesse dit : « Donc, monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage car un siège en première classe vous attend. »
Naturellement, dans un élan général, tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent…


Un instituteur appelle au tableau l’un de ses élèves :
« – Qu’est-ce qu’une autobiographie ?
– Euh… C’est l’histoire de la vie d’une voiture ! »


Des trois fermiers d’un petit village de « Gauloisie-des-pâturages », c’est toujours le même qui rapporte le plus de lait à la coopérative qui fournit Lactalis pour en faire du beurre manquant dans les gondoles des supermarchés parigots.
Pourtant tout le monde sait qu’il ne possède que quelques vaches.
Quel est donc son secret ?
Intrigués, les deux autres décident d’aller lui poser la question :
« – Mais comment fais-tu pour obtenir tant de lait avec si peu de vaches ? C’est quoi ton truc ?
– Oh ! C’est tout simple !
– Je le savais ! Tu utilises des produits spéciaux !
– Mais non, pas du tout… Où vas-tu chercher des idées pareilles ? Des produits spéciaux pour les vaches, non mais n’importe quoi !
– Alors comment ?
– Bien c’est simple, le matin quand je vais traire mes vaches, pour les motiver je leur pose toujours la même question : « Alors mes petites ! Ce matin qu’est-ce que vous me donnez ? Du lait ou du steak ? » »


Jean-Marc et Jean-Paul prennent un verre dans leur bistrot favori.
Leur conversation en vient à évoquer le « pire moment de leur existence ».
Jean-Marc raconte sa pire expérience :
« Moi, c’était il y a 5 ans. J’étais sur l’autoroute et j’ai été pris dans un carambolage monstrueux. Je me suis retrouvé encastré avec un poids lourd devant moi et un poids lourd derrière moi. Il a fallu 6 heures aux pompiers pour me désincarcérer. Ça a vraiment été le pire moment de mon existence. »
Jean-Paul acquiesce puis raconte son pire moment :
« Moi, ça remonte à il y a une vingtaine d’années. J’avais vingt ans et j’étais plutôt beau gosse. Un soir, je me suis retrouvé dans l’appartement de cette femme mariée et tu peux me croire, c’était vraiment un coup extraordinaire. Elle était capable de te faire bander rien qu’en te lisant le bottin téléphonique.
Bref, ce soir-là, j’étais en train de lui faire l’amour, ça criait et ça rugissait de plaisir dans la chambre et puis tout à coup, on s’est arrêtés, on venait d’entendre une clé tourner dans la serrure.
On savait tous les deux que c’était son mari, un grand costaud qui rentrait ! J’allais enfiler mes vêtements, mais le temps de réagir, le mari était déjà là dans la chambre, il m’avait plaqué par terre et m’avait attrapé par les couilles ! »
Jean-Marc hausse les sourcils et lui demande :
« – Et qu’est-ce qui était le pire, d’entendre la clé tourner dans la serrure, ou bien de te faire agripper par les couilles, à poil dans la chambre d’une femme mariée ?
– Ni l’un ni l’autre, » répond Jean-Paul. « Le pire moment, ça a été quand j’ai reconnu le son du mari qui ouvrait son canif de poche avec les dents… »


Bon week-end à toutes et à tous !


I3

2 commentaires:

  1. Comme me disait Babeth, une copine d’il y a 35 ans, qui poussait de si charmants petits cris :
    « Ah !... Mon vieux complice » !...»
    « Eh oui !... La peau de mes kouilles aussi !...

    J’essaierai de faire plus « Klâââsse » la prochaine fois !...
    Bien à vous !...
    Haddock

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    1. Je vous rappelle, très humblement, que c'est à vous que l'on doit quand même (où est-ce à un de vos collègues ?) la plus ancienne. Celle du commandant de bord qui fait son annonce sur le déroulé du vol à ses passagers une fois arrivé en altitude et qui, oublient de fermer son micro, annonce à son copilote qu'il va prendre un café avant d'aller sauter la nouvelle hôtesse de l'air au fond de l'appareil.
      Naturellement, celle-ci se précipite vers l'avant de l'appareil, affolée, et est interceptée par Jean-Marc qui lui dit : "Ne soyez pas si pressée : Il a dit qu'il allait prendre un café d'abord !"

      Bon week-end à vous (et à la baronne) !

      I-Cube

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