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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 9 décembre 2017

EXTRAITS (0/5)

Ultime récit-suite

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !

Comme précédemment annoncé – au début du mois d’octobre dernier – je « dégage » en « submersion-intégrale » quelques jours.
Genre « mission qui ne se refuse pas »…
Ce n’est pas que c’est « la joie » d’y faire face, mais c’est la conséquence de l’inconvénient d’être « sous lien de subordination ».
Notez que j’aurai été « indépendant », ou même « le » patron à mon bord, j’y serai quand même allé pour la simple raison que cette « mission » est la suite naturelle d’une précédente d’un mois de décembre lointain et que celle-là, j’y avais concouru avec acharnement.
Du coup, s’agissant du « service après-vente », je suis bien tout seul à savoir pouvoir l’assumer à moindre coût – et force compétences ! – pour pas très cher pour ce « cher client ».
Je n’en dirai pas plus sur le sujet : Je ne suis plus là pendant une petite huitaine.
 
Et pour ne pas vous laisser sans rien à vous mettre sous la macula à l’occasion de vos passages habituels sur ce « piti-blog », au lieu de reprendre des « posts-anciens » (il n’y en a plus qui en vaille la peine) et pour honorer une promesse faite à « l’Ami-Râle » (*), j’ai décidé d’inverser la mise en ligne – partielle – du futur « roman d’été » vous rapportant « Les enquêtes de Charlotte » : « Ultime récit – suite ».
Vous le savez depuis l’été dernier, ce titre s’imposait à l’époque parce que j’avais pris la décision ferme – et que je croyais définitive – de « passer à autre chose », donc va pour un « ultime récit ».
Un peu ras-le-bol de toujours parler grosso modo des mêmes choses, avec toujours les mêmes personnages.
Pas vous ?
 
Si !
Vous n’avez pas été si nombreux que ça à venir lire ces posts-là au cœur de l’été – à peine 2.852 –, très loin du score des 14.431 lecteurs de la série difficile de « Laudato si… » (**) de 2016 : Comme quoi, le « succès », ça s’use à condition de s’en servir…
Sans doute, pour vous aussi, probablement l’effet de la lassitude.
Il faut dire que ça sortait aussi des « canons » habituels du « roman d’actualité » pour sombrer dans un récit d’anticipation un peu abscond qui justement faisait toucher les « limites ultimes » de notre univers à nous (seconde source d’inspiration du titre : « Ultime récit » !) (***).
Seulement voilà…
Une fois de plus, la réalité dépasse l’inimaginable et l’actualité les meilleures fictions.
Phénomène répétitif assez incroyable mais bien réel en ce qui me concerne.
 
C’est que comme vous, l’arrivée inattendue d’un nouveau président à la tête de la « Gauloisie-impétueuse » (ce pays qui est le mien et que j’aime tant, même s’il me le rend si mal…), alors que cette élection-là était réputée « imperdable » pour « Juppette » durant des mois et des mois, méritait qu’on recherche quelques explications.
Personnellement, je ne crois pas à « l’homme providentiel » (même pas De Gaulle qui a pourtant joué à la perfection et à deux reprises ce rôle-là) mais à la conjonction de « contraires » qui s’entremêlent en application de formules issues du « situationnisme-appliqué » et d’un peu « d’analyse-systémique ».
En bref, « Manu-Mak-Rond le Jupitérien » n’est pas le seul effet d’un hasard électoral bien emmené par quelques puissances ténébreuses guidées elles-mêmes par des « Mains invisibles » à peine visibles.
Non, loin de là.
Le problème, c’est qu’au printemps 2017, j’étais « un peu sec » à le découvrir.
 
Puis, au cours des premiers mois de son quinquennat, on a pu décrypter plus précisément le rôle qu’il se devait de jouer. Sur le plan intérieur (redresser les finances publiques du pays pour qu’il redevienne crédible) sur le plan extérieur (sa place dans le concert du monde et notamment de l’Europe) qui reste à améliorer.
Les gens sont de mauvaises langues : Ils en disent que ce Président est celui « des riches ».
C’est peut-être vrai, mais au moins autant que Clémenceau qui a sacrifié la jeunesse de son pays pour sauver les « Maîtres des forges » (qui n’en demandaient pas tant) ou Churchill qui a fait pleurer les anglais et l’empire britannique tout entier pour sauver « la City » et ses banquiers…
À ce jeu-là, on peut remonter très loin avec une pensée émue pour mon « cousin » le petit-caporal des Bonaparte qui s’est cru autorisé à porter les valeurs de la Révolution jusqu’à Pékin – s’il l’avait pu – et s’est heurté aux coalitions qui levaient des armées de mercenaires à travers toute l’Europe durant des décennies pour conserver et rétablir leurs privilèges de classe : On n’en finirait pas…
Passons : On aura au moins évité un temps – peut-être compté – la « Peste-Blonde » et le « Choléra-Rouge-vif ».
 
Il n’empêche, à force de recherches, de rencontres, de dialogues, de lectures, d’interviews, on a maintenant une idée assez précise du comment et du pourquoi des choses.
Clairement, l’amorce du tournant a été le « Brexit », totalement inattendu pour la plupart, même parmi les mieux informés.
Il n’y a eu juste que quelques financiers – de la planète finance – qui avaient su anticiper : Les prises de « position » à découvert sur les marchés en témoignent, même si ça n’est pas si criant que ça : Des « signatures-faibles », faibles mais bien réelles.
L’alerte électorale a en réalité été également chaude avec les Pays-Bas et surtout l’Autriche…
Mais elle a passé après l’échec de la validation des réformes de l’Italien par voie référendaire.
Plus question de demander son avis à l’électeur : De toute façon, il est incompétent et n’y connaît absolument rien !
C’est un « acquis » désormais historique.
La preuve par l’élection de « Mac-Donald-Trompe »…
Là, c’est plus que l’amorce d’un virage : On est encore en plein dedans.
Néanmoins, la trajectoire reste relativement « prévisible » : Ça ne fait pas trop peur (sauf chez les âmes sensibles. Si, il en existe aussi !).
 
En revanche, les élections « gauloisiennes » du printemps dernier pouvaient faire peur si on laissait faire le peuple, enivré de populisme : Il fallait y prendre garde.
En témoigne le calendrier que je vous narre dans les cinq posts suivants de ces « extraits ».
Il a été vérifié, contrôlé, recontrôlé, confirmé, revérifié : Là, ces éléments, ce n’est plus du roman, mais déjà de l’Histoire avec un grand « H ».
Par contre, ce qui s’y est dit et/ou décidé reste encore dans le domaine de la supposition : On ne peut pas encore en savoir beaucoup plus, il n’y a pas d’écrit (et il n’y en aura jamais) pour confirmer ou infirmer, même s’il est plus que vraisemblable qu’on reste très proche de la vérité.
Car les bribes du puzzle reconstitué sont cohérentes entre elles et correspondent, pour la plupart, à des informations dites « ouvertes » (contrôlables par vous-mêmes) et pour quelques-unes, mais quelques-unes seulement, à des « dires & rumeurs » persistants mais pour l’heure non-totalement « vérifiés, contrôlés, confirmés », corrélés.
En rappelant qu’un seul propos recueilli, c’est un « dire », probablement une « opinion », pas un fait. Plusieurs, ça devient une rumeur et vous le savez, il n’y a pas de fumée sans feu. En revanche, si la rumeur n’est pas corrélée par un ou plusieurs faits, même un détail insignifiant (les « signaux-faibles ») on peut très bien être dans de la « désinformation » (qui devient un « fait » en elle-même significative d’une tentative de manipulation), ou au contraire elle signe une réalité qui se dessine dans le brouillard…
Tout est question d’appréciation objective et – la part de subjectivité – dans la « qualité » de la source.
Quand il y a plusieurs sources, en principe déconnectées entre-elle (mais est-on jamais sûr ?), il y a « corrélation », « confirmation ». Il ne manque plus qu’une « vérification » pour la fonder.
Et quand celle-ci apparaît, ça devient une certitude. Un fait incontournable. Il y en a plusieurs dans la suite que je vous narre.
 
Le reste, c’est de la « mise en musique » de ma part (je ne dis pas « on », mais « je ») pour « cadrer », pour s’inscrire dans un ensemble plus vaste que sera le prochain « roman d’été » (pas encore totalement écrit et dont la version des extraits qui suivent peut encore être largement modifiée).
Je finalise cet hiver si j’ai le temps.
 
Et si Dieu me prête vie, parce qu’une fois de plus, l’ensemble ne peut être que « romanesque », une « pure construction de l’esprit », en aucun cas un témoignage tangible (voire à vocation « politique ») : Toute personne qui affirmerait le contraire se rendrait coupable aux yeux de la loi d’une intention délictuelle de nuire et se verrait trainée devant les tribunaux pour rendre gorge avec rage et ténacité jusqu’à expiration des forclusions extinctives du droit pénal.
Justement, pour parer quelques « coups tordus » de personnes qui me chercheraient noise, je mets en ligne en avance, au cas où.
Non pas que je cherche à en tirer la moindre gloire (reconnaissance ou je ne sais quel autre avantage flatteur), mais juste pour signifier et témoigner que « nous ne sommes pas dupes ».
 
Bonne lecture à toutes et à tous !
J’essaye de revenir le plus tôt possible…
 
I-Cube
 

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