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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 22 décembre 2017

Fin de tournée d’automne


À propos « culture-G », saviez-vous :

 

1. Combien de temps a duré la guerre de cent ans ?

Naturellement… 116 ans, de 1337 à 1453…

 

2. Où sont fabriqués les chapeaux Panama ?

En Équateur, évidemment !

 

3. En quel mois les Russes fêtent-ils la révolution d’octobre ?

Comme chacun le sait : En novembre ! Le calendrier Russe étant 15 jours en retard sur le nôtre.

C’était d’ailleurs le centenaire de la dite « révolution d’octobre » fêtée en « petits-comités » même en Russie.

 

4. De quoi est fait un pinceau en poil de chameau ?

De fourrure d’écureuil, comme si vous l’ignoriez…

 

5. Les îles Canaries ont été nommées d’après quel animal ?

Bé le nom latin est « insularia canaria », ou île de chien…

 

6. Quel est le prénom du roi George VI ?

Albert, forcément !

Quand il devint roi, il respecta le désir de la reine Victoria qu’aucun roi ne porte le nom d’Albert.

 

7. Quel est la couleur du Roselin-pourpré ?

Un moineau « cramoisi », logiquement.

 

8. De quel pays proviennent les groseilles chinoises ?

De Nouvelle-Zélande…

 

9. Quelle est la couleur de la boîte noire d’un avion de ligne commercial ?

Orange, bien sûr…

 

10. Combien de temps a duré la guerre de trente ans ?

Ben voyons… Trente ans et pas plus, comme il se doit : De 1618 à 1648 !

 

Lors d’une campagne de sensibilisation contre les dangers de l’alcool, un groupe d’intervenants fait la tournée des bars.

Objectif : Convaincre que l’alcool tue.

Un intervenant se présente devant Dumè, qui arrive à peine à se tenir debout et lui dit :

« – Monsieur, saviez-vous que l’alcool tue, chaque année, au moins 50.000 français !

– Hic. Heu! Hum… M’en tape ! Moé chui Corsu ! »

 

« – Moi » fais la fille de Dumé, « je ne veux pas travailler, et je n’ai pas l’intention de travailler.

– Alors, tu vas faire quoi pour vivre ?

– Je vais me marier…

– Facile. Mais si ton gars ne gagne pas assez d’argent, ou s’il perd son emploi ?

– Je vais prendre deux maris alors… »

 

Il faut s’imaginer qu’on est en pleine prohibition, aux USA.

Un désespéré a décidé d’en finir avec la vie.

Il voudrait bien se suicider, mais il n’en a pas le courage.

Il cherche alors un moyen de se faire aider par la nature, lorsqu’il lui vient une idée : Le tripot clandestin d’Al Capone se trouve juste en face de chez lui…

Le soir même, le désespéré entre dans le « cabaret/maison de jeu/maison de passe » et il se rend directement à la table du mafieux pour l’insulter :

« Monsieur Al Capone, vous n’êtes qu’une crapule ! »

D’abord surpris, Al Capone est aussitôt pris d’une crise de fou rire et il dit à ses lieutenants de ne pas bouger en même temps qu’il invite l’énergumène à rester à sa table :

« Accepteriez-vous de boire une coupe de champagne avec une crapule ? » lui demande-t-il.

En guise de réponse, le suicidaire attrape la coupe, lui balance le verre à la figure et hurle :

« Al Capone, tu n’es qu’une poule mouillée, un lâche ! Regarde ce que je vais faire maintenant ! »

Et le gars attrape alors la petite amie d’Al Capone, une grande blonde dans une jupe fuseau très échancrée, et sans vergogne, il se met à l’embrasser dans le cou.

Voyant qu’Al Capone ne bronche toujours pas, il continue en lui pelotant les seins…

C’est à ce moment-là que la fille réagit et lui passe discrètement un petit bout de papier. Sur le mot, il est écrit :

« Quand tu arriveras aux couilles, ne dis rien.

 Signé Eliott Ness. »

 

Deux prêtres papistes discutent entre eux :

« – Vous croyez qu’on verra le mariage des prêtres de notre vivant ?

– Sûrement pas nous, mais nos enfants, oui. »

 

Assis devant sa femme, Jean-Marc est plongé dans la lecture de son journal.

Soudain, il lève le nez et la regarde en disant :

« – Dis-moi Germaine, d’après toi, est-ce possible de communiquer avec les morts ?

– Mais oui…

– Comment ça ?

– Ça fait plus de 20 ans que je communique avec toi. »

 

Une mère demande à son médecin de famille :

« – À quoi reconnaît-on qu’un garçon est devenu un homme ?

– C’est très facile », répond le toubib. « Dès que l’enfant, lorsqu’il arrive devant une flaque de boue, préfère la contourner plutôt que de sauter dedans à pieds joints ! »

 

Énigme posée par Jean-Paul à Jean-Marc :

« – Comment reconnaît-on une Cendrillon des temps modernes ?

 Facile ! C’est une fille qui baise jusqu’à minuit puis se transforme en une pizza chaude et un pack de six bières ! »

 

Le gars, Gérard De Bellesjambes, faisait tout un plat avec son nom.

Il s’identifiait toujours comme « G De Bellesjambes ».

Suite à un accident, on doit lui amputer les deux jambes.

« Comment lui annoncer cela se demande le docteur » ?

Soudain, il pense à un préposé à l’entretien qu’il connaît bien.

« – Peux-tu me rendre un service…

– Mais oui. Pas de problème, docteur. »

Le préposé désigné volontaire entre alors dans la chambre de Gérard.

Ce dernier lui tend la main en disant…

« – Bonjour, mon nom est G De Bellesjambes.

– Ouui, bonjour ! moi c’est Yvon Tessier » répond-t-il en lui serrant la main.

 

Trois touristes blancs sont faits prisonniers par une tribu de cannibales.

Le chef vient dans la hutte où ils sont détenus et dit :

« Chacun votre tour, vous serez amenés devant les gens du village. Vous aurez le choix entre la « Pango-pango » ou la mort pour avoir violé notre temple sacré. Toi, dit-il au premier, suis-moi. »

En arrivant au centre du village, le chef lui dit :

« – Alors, quel est ton choix ?

– Je prendrai la « Pango-pango  » ! »

Alors, un cri monte des gens et ils saisissent le gars, lui enlèvent ses pantalons et le sodomisent chacun à son tour.

Le gars est ensuite ramené dans la hutte.

« Qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? C’est quoi, la « Pango-pango  » ? »

Le gars, plus mort que vif, essaie de répondre :

« Euh, mal, très mal au cul, mais au moins, je vis… »

Le chef entre et désigne le second :

« Toi, suis-moi ! »

Rendus au centre du village il dit au gars :

« – Quel est ton choix ? La « Pango-pango » ou la mort ?

– La « Pango-pango » ! Mieux vaut ça que mourir. »

Même scénario, tous le sodomisent.

Le chef va chercher le troisième, l’emmène au centre du village et lui pose la question :

« – Alors, ton choix à toi ? La Pango-pango ou la mort ?

– J’ai vu mes 2 copains, ils souffrent à mort, ne parlent plus, je vais prendre la mort. Je ne veux pas souffrir comme eux ».

Alors le chef dit aux autres :

« Vous avez entendu son choix ? Il en sera fait selon tes désirs. »

Et alors ils se mettent tous à crier bien fort :

« Ce sera la mort, PAR LA « PANGO-PANGO » ! »

 

Jean-Marc entre à la pharmacie avec son fils âgé de huit ans.

Ils passent devant l’étal des condoms…

« – Papa, c’est quoi des condoms ?

– Les hommes utilisent des condoms pour avoir une liaison sexuelle protégée…

– Ah bon… J’ai entendu parler de ça par le professeur. Mais pourquoi il y en a trois dans un paquet ?

– Ça c’est pour les ados. Un pour le vendredi, un autre pour le samedi et un troisième pour le dimanche après-midi.

– Cool. Mais pourquoi il y en a six dans les paquets, en haut, à gauche ?

– Ça c’est pour les gars dans la vingtaine… Deux pour le vendredi, deux pour le samedi et deux pour le dimanche.

– Hum. Mais pourquoi un paquet avec douze ?

– Ça c’est pour les hommes mariés… Un pour janvier, un pour février, un pour mars… »

(Oui, je sais, c’est une « revenue », mais largement modifiée, convenez-en.)

 

Et on termine par une « variante » d’une autre « revenue » :

 

Un médecin dit à une patiente :

« Écoutez, chère madame, il va falloir que je vous prenne la température ! »

La patiente lui répond :

« – D’accord mais je suis très sensible !

– Si vous voulez, le thermomètre, je vous le mets dans la bouche ?

– Ah non ! Pas dans la bouche !

– Peut-être que je pourrais vous le mettre sous le bras ?

– Ah non ! Pas sous le bras, ça va me chatouiller !

– Bon, écoutez ! Je vais vous le mettre dans le nombril !

– Dans le nombril, je veux bien ! Mais on éteint la lumière parce que je suis très timide ! »

Le toubib éteint la lumière et elle lui dit :

« Mais, docteur… ce n’est pas le nombril, là ! »

Et le médecin de répondre :

« C’est pas grave, c’est pas le thermomètre ! »

 

Bon week-end à toutes et à tous !

 
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