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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 décembre 2017

Les recuites


De Dumè et de Jean-Marc

 

Dans la série des « recuites » (et quelques nouveautés) :

 

« – Chérie, plus j’y pense, et plus je me dis que ça n’a pas de sens d’acheter mon p’tit six pack de bière, jour après jour…

Franchement, j’en ai plus qu’assez.

– Oh ! Mon amour, tu penses vraiment ce que tu dis ? Depuis le temps que ça dure, 10 ans déjà… C’est merveilleux, je suis fière que tu prennes une décision si importante.

– Tu parles, avec le temps que j’ai perdu toutes ces années, j’ai décidé de changer mes habitudes !

– Oh! Chéri… J’en suis toute émue…

– Ooouais… Plus question de passer au supermarché du coin chaque soir…

Maintenant, je vais gagner du temps et acheter ma bière en caisse de 24… »

 

Dumè travaillait dans une usine de produits alimentaires depuis quelques temps. Un jour, il confesse à sa femme un fantasme terrible :

« – Ayo, Vanina, j’ai des impulsions sexuelles épouvantables. Je dois t’en parler. Je suis obligé de t’en parler.

– Aho. Mais oui. Qu’est-ce qui se passe ?

– J’ai une envie irrésistible de faire l’amour à la trancheuse de cornichons.

– Hein ?

– Oui, j’ai une envie irrésistible de faire l’amour à la trancheuse de cornichons. C’est vraiment irrésistible.

– Ouach ! C’est pas mal compliqué. Fais attention. Le mieux serait de consulter.

– Non, non, non. Je suis trop gêné pour consulter sur le sexe.

– Mais il y a des sexologues, des psys, etc.

– Non, pas question. Je vais surmonter mes pulsions. »

Quelques mois plus tard, Dumè entre à la maison au beau milieu de l’après-midi. Il est livide.

« – Aho, mon chéri, mais qu’est-ce que tu as. Tu es malade ?

– Non. Tu te souviens de mon fantasme avec la trancheuse de cornichons.

– Heu… Oui, oui… Non ! Non ! Non ! Dumè ! T’as pas fait ça ? Mais c’est horrible !

– Le boss nous a congédiés…

– Comment ça « vous » ?

– Ayo ! Ben, la trancheuse et moi… »

 

Un professeur donne un cours sur les contractions musculaires involontaires à ses étudiants de 1ère année en médecine.

Réalisant que ce n’était pas très palpitant comme sujet, il décide d’alléger un peu l’atmosphère.

S’adressant à une jeune femme de la 1ère rangée, il lui demande :

« – Savez-vous ce que votre trou de cul fait pendant que vous avez un orgasme ?

– Mon trou du cul ? Il est au bar avec ses potes. »

Ça a pris 45 minutes à rétablir l’ordre dans la classe…

 

Pour la première fois depuis des années, Dumè, un vieil homme habitant la montagne-bord de mer (la mer n’est jamais loin de la montagne et réciproquement en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») arrive en ville, à Isola-Rossa (cité Paoline) et décide d’aller au cinéma.

Après avoir acheté son billet, il s’assied et demande un paquet de pop-corn à l’ouvreuse.

« – Ayo ! Combien je vous dois ?

– 6,00 euros » lui répond celle-ci.

« – Hé aho, mon Dieu ! La dernière fois que je suis venu au cinéma, le pop-corn était à 1 franc !

– Oh ! Monsieur… Vous allez réellement être heureux : Les films sont désormais en couleur et ils ont du son maintenant ! »

 

C’est le petit Jean-Marc qui est dans son cours de mathématiques.

Lorsque le professeur demande à ses élèves : « Veuillez sortir vos équerres ».

Le pauvre Jean-Marc se met alors à pleurer.

Le professeur lui demande :

« – Qu’est-ce qu’il y a Jean-Marc ?

– J’ai perdu mes équerres.

– Ce n’est pas grave, pourquoi tu pleures ?

– Mon père va me faire une de ces crises lorsque je lui dirai.

– Pourquoi est-ce qu’il crierait après toi ? Ce ne sont que des équerres après tout ?

– Vous devriez voir l’engueulade qu’il y a eu lorsque ma sœur lui a appris qu’elle n’avait plus ses règles ! »

 

C’est l’histoire de Jean-Marc, un gars devenu dépressif depuis si longtemps que finalement, il se décide à aller consulter un psychiatre.

Jean-Marc entre dans le cabinet, le psy lui pose rapidement plusieurs questions, prend quelques notes, puis il lui demande de s’allonger sur le canapé.

Au bout de quelques minutes, Jean-Marc lui confie toutes ses misères, puis il attend que le psy livre ses impressions… Et qu’il lui remonte un peu le moral quoi.

Au lieu de ça, le psy reste assis sans rien dire, donnant l’impression de réfléchir intensément. Et puis tout à coup, son regard s’illumine.

Il dit à son patient :

« – Hmmm, hé bien, je pense savoir quel est votre problème… Vous manquez de confiance en vous.

– Vraiment doc, v… Vous croyez ? Mm… Mais alors…

– Mais alors, ne vous en faites pas… Ce qui vous arrive est très fréquent, en particulier chez les loosers… »

 

Dumè arrive dans le cabinet du docteur et lui dit tout de go :

« Ayo, docteur, je vais être franc avec vous ; avant de venir vous consulter, j’ai été voir le père Mathieu, le guérisseur du village… »

Le docteur sourit d’un air agacé et répond :

« – Et quelle espèce de connerie vous a raconté ce charlatan ?

– Heu… Ben… Il m’a conseillé de venir vous voir… »

 

Après trois ans de mariage, Germaine continue de questionner Jean-Marc son mari au sujet de son passé.

« Allez… Dis-moi », lui demande-t-elle pour la centième fois, « avec combien de femmes as-tu couché ? »

Jean-Marc répond :

« Chérie, si je te le dis tu vas devenir furieuse ! »

Germaine lui promet qu’elle ne se fâchera pas et finit par le convaincre de tout lui dire…

« Ok », dit-il : « Une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, Et puis il y a toi (neuf), dix, onze, douze… Quoi ? J’en mets trop ? »

 

À Monaco – principauté sérénissime – un agent de police s’arrête devant un musicien jouant sur les quais du port Hercules.

« – Avez-vous un permis pour jouer de la guitare ici ?

– Euh ? Koissé ?

– En plus, vous êtes branché sur une prise de courant de la ville. Le saviez-vous ?

– Euuuhhhh… Non m’sieur l’agent.

– Alors, accompagnez-moi s’il vous plait !

– Bien sûr, m’sieur l’agent ! Que voulez-vous chanter ? »

 

Un vieux monsieur est assis dans un parc, près de la Maison Blanche…

Après quelques minutes, il se lève et va voir le soldat qui est de garde et lui dit :

« J’aimerais visiter la Maison Blanche et rencontrer le président Georges W. Bush. »

Le soldat lui dit: « Monsieur Bush n’est plus président et il n’habite plus ici. »

Le vieux monsieur s’en va sans dire un mot.

Le lendemain, le vieux monsieur est encore assis sur le banc de parc…. Il se lève, va voir le même soldat et lui dit :

« – Je veux visiter la Maison blanche et rencontrer le président Georges W. Bush.

– Monsieur Bush n’est plus président et il n’habite plus ici. »

Le vieux monsieur s’en va sans dire un mot.

Pour une troisième journée consécutive, le vieux monsieur est assis sur le même banc de parc et regarde toujours la Maison blanche.

Il se lève et va voir toujours le même soldat et lui dit :

« – J’aimerais visiter la Maison Blanche et rencontrer le président Georges W. Bush.

– Monsieur, ça fait 3 jours que vous me demandez de rencontrer monsieur Bush et ça fait 3 jours que je vous dis que monsieur Bush n’est plus président depuis longtemps et qu’il n’habite plus ici ! Est-ce qu’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas ?

– Non…. non …. C’est juste que ça me fait tellement plaisir de vous l’entendre dire. »

 

Jean-Marc est allé déjeuner au restaurant où il y avait un spécial pour personnes âgées : C’était deux œufs, bacon, patates rissolées et rôties pour 9,99 €.

« – Ça semble bon », dit sa femme ! « Mais je ne veux pas les œufs.

– Alors, je vais vous charger 12,49 € parce que vous commandez à la carte » dit la serveuse.

« – Vous voulez dire que je vais payer la différence pour ne pas prendre les œufs ?

– Oui.

– Je vais prendre le spécial alors.

– Comment voulez-vous vos œufs ?

– Non cuits et dans la coquille. »

Elle apporta ses deux œufs à la maison : N’essayez donc plus d’entourlouper les Germaine aussi facilement !

 

La même s’en va à l’épicerie et met dans son panier des boites de manger pour chats, les plus chères qu’elle puisse trouver en magasin.

Arrivé à la caisse, elle dit à la caissière :

« Y’a rien de trop dispendieux pour mes chats » ?

Et la caissière de lui répondre :

« Je regrette, mais je ne peux pas vous vendre ces boîtes de manger pour chats sans une preuve que vous avez bien un chat. Il y a beaucoup trop de gens âgés qui achètent de quoi manger pour les chats quant en réalité c’est pour leur propre consommation. La direction ici, à l’épicerie, exige donc une preuve que vous avez vraiment un chat. »

La p’tite vieille est donc retournée à la maison chercher son chat pour le montrer à la caissière. Celle-ci l’a alors autorisé à acheter les boîtes de nourriture pour chats.

Le lendemain, la même Germaine retourne à l’épicerie pour acheter des biscuits pour chiens et, encore une fois, elle choisit les biscuits les plus chers.

La caissière lui a encore raconté le même boniment lui disant qu’elle ne pouvait lui vendre les biscuits sans la preuve qu’elle avait un chien, puisque la direction du magasin disait que beaucoup de gens âgés achetaient des biscuits pour chiens pour ensuite les manger.

Frustrée, Germaine s’en va à la maison chercher son chien et le ramène pour le montrer à la caissière. La caissière n’avait pas le choix : Elle lui a vendu les biscuits.

Le jour suivant, Germaine arrive à l’épicerie avec une boîte dont le couvercle était percé d’un trou. La p’tite vieille demande à la caissière de mettre son doigt dans le trou. La caissière refuse en disant :

« Non, j’ai trop peur qu’il y ait un serpent là-dedans ».

La p’tite vieille la rassure en lui affirmant qu’il n’y avait rien dans la boîte qui pourrait la blesser.

La caissière met alors son doigt dans la boîte, le ressort et s’aperçoit que son doigt a une drôle d’odeur. Elle s’écrie alors : « Mais c’est de la merde que vous avez dans cette boîte ! »

Et Germaine, avec son plus beau sourire, lui répond :

« Eh bien maintenant, est-ce que je peux acheter trois rouleaux de papier de toilette ? »

N’essayez donc plus d’entourlouper Germaine aussi facilement !

On ne l’écœure pas bien longtemps !

 

Bon week-end à toutes et tous !

 

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