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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 29 décembre 2017

Noël 2017


J’en ai retenue quelques-unes

 

Ce qui n’a pas été simple, mais vous les ressortirez l’année prochaine, si je ne suis plus là pour vous en fournir de nouvelles.

Blagues entendues lors de mon dernier réveillon :

 

Voici une interview réalisée le 26 décembre, avec le Père Noël.

Le journaliste :

« – Alors… Parlez-nous de votre Noël. Joyeux ?

– Tu veux la vérité mon piti’gars… Attache ta casquette à tes bretelles !

De la suie dans les cheminées pas ramonées, des chaussettes puantes au pied du sapin, les chiens qui courent après les traîneaux, un chasseur qui me tire dessus… Sans compter que j’ai conduit toute la nuit dans la neige !

J’ai failli être percuté par un 747 !

En plus de ça, Donner, Blitzen et Rudolph, mes rennes, n’ont rien trouvé de mieux que de lâcher leurs bouses au-dessus du palais-Bourbon…

J’ai dû payer les lutins en heures supplémentaires pour qu’ils acceptent de nettoyer le traîneau.

Et je ne parle pas de Mère-Noël qui était furieuse parce que je rentrais tard avec une tenue dégueulasse.

Et puis, je me suis rendu malade en mangeant tous ces biscuits, ces chocolats et ces confiseries laissées par les enfants. J’ai même vomit plusieurs fois, dont une en catastrophe au cours de laquelle je me suis cassé la figure en sortant du traîneau…

J’allais oublier qu’avec mon allergie aux aiguilles de pin, je me suis gratté toute la soirée.

Vous ne pourriez pas installer un « SAPIN »… On dit : « un SAPIN de Noël » … Pas un pin de Noël !

Et ma prostate… J’ai dû faire pipi dans mon pantalon à 6.000 mètres d’altitude. Du coup j’ai eu le cul gelé sur mon siège et à cause de ça, mes hémorroïdes sont revenues…

HO ! HO ! HO !

Tu parles d’un JOYEUX NOËL ! »

 

Bethléem… Un certain jour de décembre.

Il y a près de deux mille ans.

Trois rois mages.

Gaspard, Melchior et Balthazar entrent dans une étable dans laquelle des animaux ainsi qu’un dénommé Joseph et sa femme Marie veillent sur un nouveau-né, placé dans une mangeoire.

Balthazar, exceptionnellement grand, se cogne la tête à l’entrée de l’étable et incapable de se contrôler pousse un « Jésus Christ ! » sous l’effet de la douleur.

En l’entendant, Joseph dit à sa femme :

« Note bien ça, Marie. C’est quand même plus original que Moshe, David ou Samuel ! »

 

Jean-Marc et Jean-Paul, deux petits-vieux sont assis sur un banc et discutent en regardant les décorations de noël dans la rue…

Le premier dit :

« – Franchement ! C’est beau noël, hein !

– Oui, c’est comme l’amour…

– Certain… Mais Noël arrive plus souvent ! »

 

Selon le curé de ma paroisse, à l’occasion du sermon de la messe de minuit, j’ai appris qu’il n’y a que trois choses que Dieu ignorait : Ce que va dire un franciscain quand il commence une homélie, ce que vient de dire un dominicain quand il a fini de parler et… ce que pense un jésuite.

Pour mieux comprendre la psyché de ces trois ordres, on conseillera au Tout-Puissant la lecture du passionnant « Au nom de Dieu et des hommes ».

L’auteur y narre la trépidante saga des frères mineurs (franciscains : Robe brun foncé et ceinture de corde), des frères prêcheurs (dominicains : Tunique blanche, scapulaire et capuce) et des membres de la Compagnie de Jésus (jésuites : Pas d'habit particulier).

À noter en revanche un parallèle entre les trois « milices » de l’Église apparues dans le sud de l’Europe, en réaction à l’argent corrupteur pour la première, à l’hérésie cathare pour la seconde, à la Réforme luthérienne pour la dernière.

Un franciscain, un dominicain, un jésuite…

Ce n’était pas très drôle et je n’ai pas compris la suite, mais ça a fait resurgir de mes neurones l’histoire suivante :

 

Que je raconte à Jean-Marc en sortant de l’office :

Quelqu’un s’adresse alors à un franciscain et lui demande de dire une neuvaine pour qu’il gagne une Lexus à la loterie.   

« – C’est quoi, une Lexus ?   

– Une voiture de luxe.   

– Bonté divine ! Saint François penserait que c’est contre le vœu de pauvreté ! Je regrette, pas question pour moi de prier pour ce genre de choses. »

Déçu, le gars va trouver alors un dominicain.   

« – Pourriez-vous, s’il vous plaît, dire une neuvaine pour que je gagne une Lexus ?   

– C'est quoi, une Lexus ?   

– Une voiture de luxe.

– Bonté divine ! Saint Thomas met en garde contre l’amour des biens de ce monde. Je regrette, pas question pour moi de prier pour ce genre de choses. »

Finalement, en désespoir de cause, le gars s’adresse à un jésuite :   

« – Mon père, pourriez-vous, s’il vous plaît, dire une neuvaine pour que je gagne une Lexus ?   

– C'est quoi, une neuvaine ? »

 

Mais celle que je préfère, cette année, c’est celle-là :

Un p’tit gars entre chez lui plus tôt qu’à son habitude, un des profs étant malade.

Il monte dans sa chambre mais, en passant devant la chambre de sa sœur, il entend des gémissements.

Curieux, il regarde par le trou de la serrure.

Sa sœur est nue sur le lit, se caresse et roule sur elle-même en disant :

« Je veux un homme… je veux un homme… ahhh ! … je veux un homme… »

Le p’tit hausse les épaules et file dans sa chambre.

« Ah les filles… »

Trois semaines plus tard, le p’tit rentre encore un peu plus tôt de l’école.

En passant devant la chambre de sa sœur, il entend encore des gémissements.

La porte est ouverte, il jette un œil et il voit sa sœur dans les bras d’un homme.

Il part aussitôt en courant, file dans la chambre et claque la porte.

Il se déshabille, saute dans le lit, se caresse et roule comme un fou dans ses draps en gémissant…

« Ahhhh je veux des patins, je veux des patins… Ahhh… »

 

Elle est mignonne, non ?

Les autres, je ne les ai pas retenues, déjà trop rond avant de reprendre le volant : Désolé !

Une autre fois peut-être !

 

Bonne fin d’année à toutes et tous !

 

I3

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