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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 14 janvier 2018

Rétrospective 2017

Une année riche…

Février : Des Terres potentiellement habitables !
C’est un système très similaire au nôtre qu’ont découvert des astronomes belges. Il est formé de sept planètes rocheuses situées dans notre galaxie à 39 années-lumière seulement de la Terre. Au moins trois de ces exo-planètes, appelées les « Trappist », pourraient offrir un environnement propice à la vie. Leur atmosphère sera étudiée grâce au successeur du télescope Hubble, le James Webb, qui sera lancé en 2019.
Elles pourraient être habitables… partiellement.
Malgré cette incertitude, elles valent la peine que l’on s'y intéresse, car elles orbitent autour d’une étoile très peu lumineuse, ce qui devrait permettre d’y chercher des bio-signatures dans une décennie tout au plus. C’est, pour le moment, notre meilleure chance de découvrir de la vie ailleurs.
Mais on examinera aussi un autre astre, l’exo-planète Ross 128b. Découverte le 15 novembre, elle est aussi rocheuse et elle n’intrigue pas moins : Dans la zone d’habitabilité de son étoile… et à seulement 11 années-lumière de nous !
Pas très loin, quoi…

Mars : Des embryons humains génétiquement modifiés !
Pour la première fois, le génome d’embryons humains viables est corrigé d’une mutation responsable d’une malformation rare des cellules sanguines (la bêta-thalassémie) par le « scalpel de la génétique » CRISPR-Cas9. Les embryons ont été détruits au bout de deux jours. Réalisée en Chine, cette manipulation semble mieux fonctionner que les tentatives précédentes sur des embryons non viables. Cinq mois plus tard, la « manip» » est réitérée avec succès aux États-Unis pour supprimer une maladie cardiaque d’origine génétique.

Mars encore : Grand succès pour la thérapie génique…
Un enfant atteint de drépanocytose est soigné avec succès par thérapie génique. Grave et répandue, cette maladie génétique provoque une déformation des globules rouges qui ne parviennent plus à transporter l’oxygène dans le sang (anémie). Une avancée médicale inédite conduite en « Gauloisie-médicale », à l’hôpital Necker-Enfants malades (Paris). L’essai a consisté à prélever les cellules souches dans la moelle épinière du jeune patient dans lesquelles un « gène médicament » a été introduit par vecteur viral. Les cellules corrigées, réintroduites dans l’organisme, ont permis de rétablir la production de globules rouges normaux.

Mars toujours : Le nouveau Levothyrox fait scandale.
Le laboratoire Merck commercialise en « Gauloisie-pharmacologique » une nouvelle formule du Levothyrox, médicament utilisé dans le traitement d’un dysfonctionnement de la thyroïde et pris par 3 millions de Gauloisiens. Une modification qui intervient hélas à la demande de l’Autorité nationale de sécurité du médicament, notamment pour rendre le dosage du principe actif, la lévothyroxine, plus constant. En octobre, après 15.000 signalements d’effets indésirables (crampes, maux de tête, etc.), les autorités sanitaires demandent au laboratoire de fournir de nouveau l’ancienne formule aux patients. Une enquête a été ouverte par le parquet de Marseille à la suite du dépôt de plus de 60 plaintes.

Mars enfin : On découvre que les poumons fabriquent aussi des cellules sanguines.
Les poumons ne font pas qu'assurer les échanges gazeux entre l’air et le sang, ils fabriquent également des cellules sanguines !
Cette découverte étonnante est annoncée par des chercheurs de l’université de Californie à San Francisco (États-Unis). Elle pourrait permettre d’améliorer les greffes de poumon.

Mars, finalement : 1ère réutilisation d’un lanceur spatial.
C’était inédit dans l’histoire spatiale : SpaceX a mis sur orbite un satellite à l’aide d’un lanceur Falcon 9 déjà utilisé. En 2017, la société américaine dirigée par Elon Musk – également propriétaire de Tesla et du projet Hyperloop – aura réalisé 13 récupérations et 3 réutilisations. Son concurrent Blue Origin doit tenter l’exploit seulement en 2018.
Les spécialistes européens et russes n’ont qu’à bien se tenir…

Avril : Les promesses de la synapse artificielle…
Une équipe gauloisienne CNRS/Thales met au point une synapse artificielle. L’enjeu : Retraduire sous forme de circuit électronique les réseaux de neurones artificiels actuels, qui n’ont d’existence que virtuelle dans des simulations qui restent coûteuses en puissance de calcul.
Baptisée « memristor », la synapse artificielle contient un matériau ferroélectrique qui se polarise dans un champ électrique, créant une sorte d’effet mémoire. Elle pourrait ouvrir la voie à l’« intelligence artificielle » forte qui parvient à apprendre seule sans instructions préalables.

Avril encore : Dans le monde entier, on marche tous pour les sciences.
Plus d’un million de personnes se mobilisent dans 66 pays dont la « Gauloisie-matheuse ». Ces rassemblements cristallisent les mouvements de protestation depuis l’investiture de « Macdonald-Tromp » » comme président des États-Unis d’Amérique. Celui-ci a notamment restreint les mouvements des scientifiques étrangers, gelé des crédits de recherche et annoncé son souhait de sortir de l’accord de Paris sur le climat. Le 1er juin, « Manu-Jupiter » lance un appel aux scientifiques étrangers à venir travailler en « Gauloisie-migrante » sur le climat. 1.822 dossiers sont en cours d’examen.

Juin : Thomas Pesquet redescend sur sa planète…
Après six mois passés dans la Station spatiale internationale (ISS), l’astronaute Gauloisien atterrit brutalement dans la steppe kazakhe. Au cours de son séjour, il a réalisé deux sorties dans l’espace pour l’entretien et l’installation d’équipements et mené 55 expériences scientifiques (biologie, physique, matériaux, physiologie…). Dans la perspective de voyages interplanétaires, il a ainsi testé un matériau empêchant la prolifération des micro-organismes et réalisé une expérience de télé-robotique qui permettrait à de futurs astronautes de contrôler à distance des robots envoyés en éclaireurs. Surtout, il a effectué de nombreuses mesures pour évaluer le vieillissement accéléré de son corps en l’absence de gravité et nous aura ramené quantité de photos et de vidéo de la planète.
Au moins, il se sera fait des rentes avec ses droits d’auteur à fiscalité privilégiée…

Juin encore : Découverte du premier vrai « homo-sapiens ».
5 individus fossiles exhumés sur le site de Djebel Irhoud (Maroc) font reculer de 100.000 ans l’âge de notre espèce. « H. sapiens, l’homme moderne était déployé il y a 300.000 ans, dans le “Sahara vert” qu’était alors l’Afrique » selon Abdelouahed ben-Ncer, de l’Institut national d’archéologie et du patrimoine (Insap), et Jean-Jacques Hublin, professeur à l’Institut Max Planck d’anthropologie évolutionnaire (Leipzig, Allemagne, en photo), à l’origine de cette découverte.
Le climat n’était déjà pas le même à cette époque-là et pourtant, il n’y avait pas de pollueur…

Juillet : Un iceberg géant se détache de l’antarctique.
Ce sont pas moins de 5.800 km², soit la surface du département du Gard, qui se séparent du plateau glaciaire Larsen C en mer de Weddell, formant le plus vaste iceberg jamais repéré. Depuis, ce géant de 350 m d’épaisseur s’éloigne du continent Antarctique. Le 12 octobre, un gros morceau s’en détache. S’il s’agit d’un phénomène naturel, il pourrait avoir été accéléré par le réchauffement climatique.
Ou un trop plein de glace gélée.
Et comme annoncé, le niveau de la mer n’a pas vraiment varié.
Logique, c’est un iceberg qui … flotte.

Août : Les ondes gravitationnelles refont sensation.
Les responsables des deux interféromètres de l’observatoire américain Ligo détectent un minuscule frémissement. 70 observatoires pointent en direction du signal, auscultant une zone grande comme 120 fois la pleine Lune. Ils découvrent que l’onde gravitationnelle GW170817 responsable de ce frémissement provient de deux étoiles à neutrons à 130 millions d’années-lumière de la Terre. Deux mois plus tard, le prix Nobel de physique distingue les concepteurs du Ligo, mais pour la détection précédente, celle de la première onde gravitationnelle, issue de trous noirs, en septembre 2015.
On en conclue désormais que de l’or est parfois produit par des collisions d’étoiles à neutrons.
Dans la zone du ciel d’où provenaient les ondes gravitationnelles détectées par Ligo et Virgo le 17 août dernier, des instruments du monde entier ont identifié une source d’ondes électromagnétiques, dans le visible notamment, située dans la galaxie NGC 4993, à 130 millions d’années-lumière.
L'évènement est important sur le plan technique car deux signaux, issus du même phénomène mais de natures différentes (ondes gravitationnelles et ondes électromagnétiques), ont été observés. Scientifiquement, il confirme que les sursauts gamma courts (ou au moins certains d’entre eux) sont bien engendrés par des fusions d’étoiles à neutrons, que les « kilo-novæ » existent et que se trouve là la source d’atomes lourds comme l’or ou le platine.
Vous le saviez pour fréquenter cette rubrique quasi-hebdomadaire, les étoiles « normales » ne savent pas, ne peuvent pas produire mieux que du fer dans leurs entrailles, en fin de vie : Il fallait trouver autre chose pour expliquer « plus lourd » et jusqu’aux uraniques…
C’est fait.
Mais quant à la « ruée vers l’or » éventuellement à envisager, calmez-vous tout de suite : 130 millions d’années-lumière, ce n’est pas la porte d’à-côté…
Non seulement Ligo et Virgo ont conjointement détecté de nouvelles fusions de trous noirs, mais, surtout, ils ont repéré une collision d’étoiles à neutrons qui s’est accompagnée d’une contrepartie dans le domaine des ondes électromagnétiques, ce qui n’est pas mal.
Incontestablement, cette découverte a fait entrer l’astronomie dans une nouvelle phase « multi-messager ». (Cette phase était embryonnaire depuis 1987 et la détection des neutrinos accompagnant les ondes électromagnétiques de la fameuse supernova SN 1987A, dans le Grand Nuage de Magellan.)

Août encore : Les cyclones dévastateurs se succèdent dans l’atlantique.
Le cyclone Harvey déverse des millions de tonnes d’eau sur Houston (États-Unis), provoquant au moins 90 morts. Le même jour, dans l’Atlantique, naît Irma qui ravage les îles Gauloisiennes de Saint-Martin et Saint-Barthélemy et Sous-le-Vent (125 morts directs). Le 19 septembre, c’est l’île de la Dominique qui est dévastée par l’ouragan Maria (66 morts). Avec 18 événements cycloniques dans l’Atlantique Nord, 2017 est une année agitée qui peut s’expliquer par l’absence d’un phénomène El Niño dans le Pacifique, cette bascule des eaux chaudes tropicales de l’est vers l’ouest du Pacifique doublée d’un affaiblissement des alizés (dévastateurs).
Quand même pas de chance pour les « réchauffistes » !

Septembre : L’aventure de Cassini s’achève.
Après avoir passé vingt ­ans dans l’espace dont treize à explorer le système de Saturne, la sonde américaine Cassini termine son périple par un ultime plongeon dans l’atmosphère de la­ géante gazeuse afin d’éviter tout risque de contamination biologique. La Nasa souhaitait absolument empêcher que l’engin, bientôt à court de carburant, ne s’écrase un jour sur Encelade ou Titan (cf. ci-après). Au ­cours de sa mission, l’orbiteur a­ en découvert que ces lunes abritent des conditions propices à l’apparition de la vie (molécules organiques, eau liquide, sources d’énergie endogènes…).
Cassini aura aussi bouleversé nos ­connaissances sur l’atmosphère et les­ anneaux de Saturne, en montrant, notamment, que ceux-ci n’ont rien d’une structure figée.
Notez qu’on pouvait s’en douter.
Elle aura surtout eu le temps de nous confirmer que de l’énergie était disponible pour la vie dans les océans d’Encelade. Elle nous a aussi aidés à préciser l’âge des anneaux de Saturne.

Septembre encore : Le quantique sécurise les échanges !
La première communication quantique intercontinentale, entre Vienne et Pékin (8.500 km à vol d’oiseau) est un succès. Utilisant les lois de la physique du monde des atomes et particules, ces échanges sont (pour l’heure…) totalement inviolables.

Septembre enfin : 11 vaccins obligatoires en « Gauloisie-sanitaire ».
La ministre de la Santé « Agnelle-Buzz-line » fait part de sa décision de passer de trois vaccins infantiles obligatoires (diphtérie, tétanos et poliomyélite, appelé DTP) à 11­ (DTP, coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque et méningocoque C). Seuls sont concernés les enfants nés à partir du 1er janvier 2018, la ­mesure n’étant pas rétroactive.
Tant pis, les autres n’ont qu’à crever, n’est-ce pas…

Novembre : Une cavité insoupçonnée apparaît dans Kheops.
La mission internationale ScanPyramids détecte une gigantesque cavité au cœur de Kheops, la plus grande des pyramides d’Égypte. Située juste au-dessus de la grande galerie, elle a une section et une taille comparables à cette majestueuse structure architecturale, avec 30 mètres de long au minimum. La ­découverte a été réalisée grâce à une technologie de pointe, la « muographie », qui permet de «­radiographier » les ­monuments à l’aide de particules cosmiques. Certains imaginent qu’elle pourrait cacher la­ momie du pharaon. Les autorités ont reconduit la mission pour un an.
On ne sait jamais…

Novembre encore : Pour le centenaire de la naissance d’Arthur Clarke a été dignement fêté avec la détection du premier astéroïde interstellaire « Oumuamua », dont on s’est demandé s’il ne pouvait pas être en fait un artefact d’une civilisation extraterrestre technologiquement avancée.
L’origine interstellaire de l’objet désormais nommé 1I/2017 U1 « Oumuamua » a été confirmée. Il s’agit du premier astéroïde venu « d’ailleurs » jamais observé. Nombre de télescopes le suivent de très près. Les premières mesures montrent qu’il est très allongé, « une forme extrêmement inhabituelle » (insolite voire unique) pour un astéroïde.
Même si ce n’est pas un vaisseau interstellaire, comme dans le roman Rendez-vous avec Rama d’Arthur Clarke, pouvait-il s’agir d’une sonde extraterrestre équipée d’une super IA ?
« Oumuamua » a été écouté, durant environ soixante heures avec le radiotélescope ATA, par les membres de Seti, et quelques heures avec le radiotélescope de Green Bank, par les membres du projet Breakthrough Listen. Les premiers résultats sont négatifs, comme prévu.
La question est ouverte quant à son origine et sa composition, mais je vous ai toujours raconté qu’il s’agissait d’une épave (sans vie à bord).
J’attends la suivante pour espérer vous le confirmer…
Notez au passage la magnifique « non-confirmation » des (f)Ummistes qui savent tout de vous (et de nous), font des prévisions extrêmement poussées sur notre avenir immédiat, mais qui n’ont rien vu venir, eux qui se baladent dans le cosmos comme vous prenez le « tube »…

Par ailleurs, l’étude du Système solaire a montré l’existence de gigantesques vagues sur un lac de lave de Io, la lune volcanique de Jupiter.
Et au moins un lac de lave d’environ 200 km de diamètre. Io est l’une des principales lunes de Jupiter par sa taille et la plus proche de la planète géante. Soumise à des forces de marée importantes qui entretiennent sa chaleur interne, elle est le lieu d’un volcanisme copieux.
L’une des régions les plus actives de Io s’appelle Loki Patera (d’après son acte de naissance). Et les observations faites aussi bien avec les sondes Voyager et Galileo qu’à partir du sol, elle serait occupée par un lac de lave dont la taille serait d’environ 200 km dont la surface serait périodiquement renouvelée par le basculement des parties refroidies, ce qui provoquerait des vagues de lave gigantesques.

Les océans d’Encelade et Europe sont toujours plus prometteurs : Les panaches s’élevant du pôle sud d’Encelade contiennent 98 % d’eau et 1 % d’hydrogène, selon les analyses des données de Cassini. L’hydrogène est sous forme moléculaire (H2) et tout indique qu’il doit être le produit de sources hydrothermales dans les océans de cette lune de Saturne. Cet hydrogène peut servir de source d’énergie pour des micro-organismes vivant dans ces océans mais nous n’avons toujours aucune preuve de leur existence, même si l’on sait maintenant que plusieurs des ingrédients nécessaires à la vie (de l’énergie et des matériaux pour construire des molécules organiques) sont bien présents à l’intérieur d’Encelade.
Les données de la sonde Galileo, jointes à celles de Hubble, accréditent fortement l’existence de panaches intermittents similaires à ceux d’Encelade sur la lune Europe, en orbite autour de Jupiter. La vie pourrait donc être très répandue dans les océans extraterrestres du Système solaire. Il reviendra à de futures missions de le prouver.

Voilà pour un petit tour fort sympathique pour votre dimanche en famille (et entretenir la conversation et l’intérêt des plus jeunes autour de la table familiale) en rajoutant que pour ma part je « patine » face à la mise en équation de l’aléa dans les systèmes semi-chaotiques (c’est-à-dire « fermés ») : Chacun son truc !

Bien à vous toutes et tous !

I3

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