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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 18 février 2018

Ah ces britanniques…

Leurs scientifiques se sont enfin penchés sur votre couple !


En étudiant 2000 hommes et femmes ils affirment avoir trouvé la formule mathématique incontournable pour avoir des relations (sexuelles) durables !
Il n’y a plus qu’à prendre la calculette avant d’envisager de « se reproduire » pour imaginer fonder un « foyer-durable », apaisant et harmonieux en vue d’élever « une nichée » complète dans le meilleur environnement affectif possible.
C’est qu’un gamin, c’est quand même un contrat de 20 ans (même s’il paraît que ceux-là restent « ado » jusqu’à 24 ans et que d’autres jouent le « Tanguy » bien plus longtemps), soit nettement plus qu’un bail emphytéotique « court » (minimum 18 ans, par exemple pour les baux « à construire »)…


Pourtant vous connaissiez la formule parfaite pour le premier rendez-vous… parfait, tellement si-facile : Dîner aux chandelles + baisers = rappel.
La relation parfaite ?
Timing + (communication x attraction mutuelle) – bagage émotionnel = intimité.
Ou encore : Pénis + pouls = Une nuit blanche.
Les relations semblent simples quand vous les mettez comme ça.
Mais indéniablement, ça reste plus compliqué quand on parcourt tous ces romans où les sommes semblent s’accumuler, où les bonnes cases sont toutes cochées et les scores même très encourageants… mais qui d’une certaine manière, pour des raisons non-détectées ne suffisaient pas en s’additionnant pour générer un amour-durable (et réciproque).
Notez, il n’y aurait ni romance, ni littérature, ni chansonnette, ni je ne sais quoi encore si tout était parfait et s’y tenait…


L’amour est finalement frustrant. Il commence dans ce doux endroit entre l’intimité et l’excitation qui peut paraître à beaucoup impossible à mettre en place et apparaît parfois très vite comme fatigant à nourrir. Est-ce que les algorithmes de sites de rencontres en ligne ou bien les longues traques pour tomber sur votre partenaire idéal au pub local sont-il plus performants pour capter l’attention de Cupidon ?
Jusque-là la science a été impuissante à signaler le « partenaire parfait ».
Et pourtant, ces mathématiciens prétendent avoir trouvé la formule qui prédit combien de temps durera l’amour.
La recherche signalée a enfin révélé une nouvelle équation de l’amour qui détermine les ingrédients clés pour une relation réussie et durable impliquant plusieurs facteurs, dont le sens de l’humour à côté du nombre de partenaires sexuels précédents (?) d’une personne.


L’enquête révèle aussi que sur les 2.000 hommes et femmes interrogés, 25 % des hommes et des femmes pensent que leur partenaire devrait avoir eu quatre partenaires sexuels avant eux (un homme sur cinq se cramponnant à la croyance traditionnelle selon laquelle ils devraient être le « premier » de leur femme idéale).
Quatre « essais » infructueux de copulation pour « se former » avant de passer au « coïtage-durable » (Coïter = Aller avec) ?
Elle révèle très sérieusement que les hommes donnent la priorité à l’intelligence et sont deux fois plus susceptibles que les femmes de croire que le sexe est important pour une relation heureuse et durable.
Ce n’est donc pas un sex-appeal mais un badinage étincelant qui fera de vous, Mesdames, « un coup » avec le sexe opposé, doit-on en conclure…


Alors, et cette formule magique ?
Simple : L = 8 + 0,5Y – 0,2P + 0,9Hm + 0,3Mf + J – 0,3G – 0,5(Sm – Sf)² + I + 1,5C = le temps que durera une relation (potentielle ou actuelle).
Explications :
L : La longueur prévue en années de la relation ;
Y : Le nombre d’années que les deux personnes se connaissaient avant que la relation ne devienne sérieuse ;
P : Le nombre de partenaires précédents des deux personnes additionnés ;
Hm : L’importance que le partenaire masculin attache à l’honnêteté dans la relation (notée de 1 à 5) ;
Mf : L’importance que la femme attache à l’argent dans la relation (notée de 1 à 5) ;
J : L’importance attachée à l’humour (additionnée et toujours notée de 1 à 5 : On est en Grande-Bretagne…) ;
G : L’importance attachée à la beauté (additionnée et notée de 1 à 5) ;
Sm et Sf = L’importance que les hommes et les femmes attachent au sexe (soustraites et notées de 1 à 5) ;
I = L’importance attachée à avoir de bons beaux-parents (mais si ! Additionnées et notées de 1 à 5) ;
C = L’importance attachée aux enfants dans la relation (additionnées et notées de 1 à 5).
Mathématique, puisqu’on vous le dit !
Toutes ces « mesures-d’importance » (la part de subjectivité) sont donc échelonnées de 1 à 5, où 1 n’est pas important du tout et 5 est tout-à-fait très important.


Notez que ça marche aussi avec des couples de même sexe, mais la formule diffère un peu : L = 8 + 0,5Y –  0,2P + 0,2J – 0,3G – 0,5(S1 – S2)² – I + 1,5C (où S1 et S2 sont les cotes des deux partenaires pour l’importance du sexe).
Vous aurez noté donc que le « 8 » d’entrée vous donne d’emblée 8 ans de vie commune…
Et que le seul multiplicateur est un carré (celui de la somme algébrique de Sm et Sf = L’importance que les hommes et les femmes attachent au sexe).
Ce que je trouve pour ma part assez amusant : Un faible écart (positif ou négatif, peu importe puisque la formule remonte le tout au carré, forcément positif) vient en pondération de 50 % en négatif (– 0,5). Alors qu’un fort écart réduit finalement la durée de vie du couple.
Conclusion : Pour durer, il vaut mieux « s’appareiller » d’emblée au moins sur ce plan-là, en espérant que ça va durer dans … la durée !
Mais ça reste probablement la meilleure « étude » pour programmer son divorce (avis aux étudiants en droit…) et je préfère ces perspectives là que celles qui voulaient nous faire croire que l’amour, ça ne dure que 3 ans !


Autre remarque : Plus vous collectionnez les partenaires, plus vous allez durer. 5 « essais » à deux sont évalués à un an de plus ensemble : Je ne vous dis pas avec mon carnet d’adresse (qui aurait tendance tout de même à contredire la règle de la « durabilité » ci-dessus exposée).
Car… que je me pose la question : Avant et/ou pendant ?


Vous aurez d’ailleurs noté que la beauté ne vous rajoute au mieux qu’1,5 an de durée de vie de votre couple, les enfants 7,5 ans et les beaux-parents un an seulement (dans tous les cas)…
En revanche, ce qui m’étonne c’est le critère « Y » (compté pour 6 mois par an). Là, il faut que j’en parle à celle qui me poursuit de ses assiduités depuis la fac. Comprenez, ça doit bien faire 40 ans qu’on se croise perpétuellement (elle a fait sa vie de son côté, est déjà grand-mère, j’ai fait la mienne de mon côté également), soit la promesse d’une vie « durable » ensemble si jamais on se met en couple un jour ou l’autre de 20 + 8 ans (toutes choses égales par ailleurs).
Soit bien au-delà de nos espérances de vie réciproque…


« Il y a un truc qui cloche l’dans » en chantait Boris Vian
Pour ma part, j’admire la « science en marche » quand elle avance.


Bonne fin de journée à toutes et à tous !


I3

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