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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 février 2018

Le monde appartient à ceux dont les ouvriers se lèvent tôt.

Suite des aventures de Jean-Marc


Une petite énigme facile pour commencer ?
Quel animal peut changer de sexe en moins de 5 secondes ?
Réfléchissez bien avant de raconter n’importe quoi…


Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Je vois que ça va mieux avec ta femme !
– Qu’est-ce que tu dis là ?
– Je vous ai vu hier. Vous coupiez du bois ensemble pour la cheminée.
– Du bois ? On partageait les meubles. »


Un marin rentre à la maison après six mois en mer.
Bien entendu, le couple se lance dans une partie de jambes en l’air…
Tout à coup, un courant d’air fait claquer une porte quelque part dans la maison !
Le marin dit, sans y penser :
« – Ça doit être ton mari qui rentre à la maison !
– Non ne t’inquiète pas, il est en mer pour 6 mois… »


Jean-Marc arrive chez son vieux copain Jean-Christophe à l’improviste, et demande à passer la nuit chez lui.
Jean-Christophe l’accueille, mais est désolé de ne pouvoir lui offrir une chambre pour lui seul.
Il lui dit :
« – Tu peux dormir dans le salon, ou tu peux dormir dans la même chambre que bébé.
– C’est bon, je vais dormir au salon. »
Le lendemain matin Jean-Marc va à la salle de bains et y rencontre une superbe jeune femme.
« – Bonjour, qui êtes-vous ?
– Je suis Béatrice Bonnet, mais vous pouvez m’appeler Bébé, et vous qui êtes-vous ?
– Le roi des cons ! »


Jean-Gédéon se présente devant St-Pierre et attend le verdict de ce dernier pour entrer au paradis.
St-Pierre semble circonspect et dit :
« – Jean-Gédéon, votre cas est délicat, car si c’est vrai que vous n’avez rien fait de mal au cours de votre existence, vous n’avez rien fait de bien non plus. Avez-vous l’impression d’avoir mené une bonne action, une fois dans votre vie ?
– Bien sûr ! Par exemple le jour où je m’étais perdu en voiture dans un quartier chaud de la ville et où j’ai vu cette horde de skinheads agresser une pauvre jeune fille. Je suis descendu de ma voiture, j’ai pris mon démonte-pneu et j’ai couru vers ces sales types. Ils devaient être une vingtaine et quand ils m’ont vu arriver avec mon démonte-pneu, ils ont tout de suite laissé partir la fille… ça, c’est pas un acte héroïque, St-Pierre ? »
Le juge suprême réfléchit et dit :
« – C’est sûr, Jean-Gédéon, vous méritez le paradis… Mais je ne vois pas trace de cet évènement dans les archives vous concernant. Quand est-ce arrivé ?
– Ohhh… Il y a à peine deux ou trois minutes… »


Au lendemain d’un meeting d’aviation, en classe de CM2, l’institutrice pose des questions à ses élèves.
« Alors les enfants… À quoi avez-vous pensé en voyant descendre les parachutistes ? »
Jean-Émile, un bon élève, répond :
« – Je pensais à de grands champignons, madame…
– Très bien. »
Jean-Louis, un autre bon élève, poursuit :
« – Moi, je pensais à de grands parapluies tout blancs…
– Bravo. »
Puis l’institutrice s’adresse au petit Jean-Marc qui somnole près du radiateur au fond de la classe :
« – Et toi Jean-Marc, à quoi pensais-tu en voyant descendre les parachutistes ?
– Moi ? À une fille à poil.
– Mais je ne vois pas le rapport ? » fait l’institutrice.
« En fait… Moi non plus… Mais, je ne pense qu’à ça… »


Germaine marche sur le trottoir avec sa petite-fille de 4 ans.
Tout à coup, sa fille se penche pour ramasser quelque chose sur le sol et s’apprête à le mettre dans sa bouche.
Germaine lui ai alors dit qu’elle ne devait pas faire ça.
« Pourquoi ? » demanda-t-elle.
« Parce que c’est sale et probablement plein de microbes. »
À ce moment-là, la petite fille de Jean-Marc regarde avec de l’admiration dans ses yeux et dit :
« – Wow ! Comment connais-tu toutes ces choses ?
– Euh… Toutes les mamans et d’autant mieux les grands-mamans savent ces choses… Hum… C’est dans le test de la maman. Tu dois savoir ces choses, sinon ils ne te laissent pas devenir une maman.
– Oh… »
Elles ont continué à marcher en silence pendant 2 ou 3 minutes, mais la petite-fille de Germaine réfléchissait évidemment à cette nouvelle information.
« Ça y est, j’ai compris ! » s’écria-t-elle soudainement. « Quand tu échoues au test des mamans, c’est là que tu deviens le Papa ! »


Ah, les vieillardes…


Les progrès de la médecine ont permis à une femme de 85 ans de donner naissance à un enfant. Toute la famille de la nouvelle maman se réunit pour fêter la naissance.
Enthousiastes, ceux qui arrivent les premiers demandent :
« On peut voir le bébé ? »
Et la mère leur répond :
« Pas encore… Attendez un peu… »
Un autre groupe se présente à la porte avec des gerbes de fleurs et réclame :
« On peut voir le bébé la 7ème merveille du monde ? »
La mère répond :
« Pas encore… Soyez patient… »
Lorsqu’un troisième groupe de visiteurs débarque à son tour, on commence à se sentir à l’étroit dans l’appartement.
L’une des personnes s’adresse alors à la mère :
« – Mais enfin, quand va-t-on pouvoir voir ton bébé ?
– Vous le verrez quand il pleurera…
– Mais pourquoi pas avant ?
– Parce que j’ai oublié où je l’ai mis… »


Un routier qui roule depuis un bout de temps a envie de soulager sa vessie depuis un bon moment.
Trouvant donc un endroit approprié et sombre, il se dit qu’il serait tranquille pour faire ce qu’il a à faire.
Pas de flic à l’horizon… Il descend de son camion et commence donc à uriner.
À ce moment, il entend des petits pas sur le sol. Il se retourne et voit une dame âgée qui se dirige vers lui en lui disant :
« S’il vous plait, Monsieur, cela fait si longtemps, laissez-moi en tenir une ! »
Le routier complètement abasourdit par les propos de la dame rougit d’abord et lui dit :
« Mais enfin Madame, vous ne voyez pas ce que vous me demandez là ? »
La vieille dame poursuit :
« Oui je sais, mais ça fait tellement longtemps ! »
Alors le routier se dit que, ma foi, c’est une dame âgée après tout, si ça peut lui faire plaisir…
Il la laisse faire.
Puis, la dame poursuit :
« S’il vous plait, Monsieur puis-je tenir l’autre aussi. »
Le type se dit qu’au point où il en est…
Et c’est alors que la dame s’est écriée très fort en les claquant l’une contre l’autre : « JE NE VEUX PAS QU’ON FASSE PIPI SUR MES ROSIERS !
JE-NE-VEUX-PAS-QU’ON-FASSE-PIPI-SUR-MES-ROSIERS !  »


Parmi les « revenues » (de plus en plus nombreuses) du moment :


À l’hôpital, une infirmière d’âge mûr rencontre une jeune infirmière :
« Je viens d’installer un marin dans la chambre 211. Je n’ai jamais vu ça ! Il est tatoué partout… même que sur le pénis, c’est écrit Swan !! »
La jeune file vers la chambre 211. Elle en ressort une bonne demi-heure plus tard.
La première la questionne.
« – Alors, as-tu vu ça ?
– Oui, c’est pas croyable… mais tu t’es trompée. Sur le pénis c’est pas marqué Swan, mais Saskatchewan ! »
(Je ne me rappelle plus du nom de l’originelle)


Une société de programmation décide d’y aller d’une première : Cinq cannibales viennent d’être embauchés en tant que programmeurs.
Lors de leur arrivée, le gestionnaire leur dit :
« Vous pouvez travailler ici, gagner beaucoup d’argent et manger dans la salle de pause-café, mais laissez les autres employés tranquilles. »
Les cannibales promettent de n’embêter personne.
Quatre semaines plus tard, le patron revient et leur dit :
« Vous travaillez très bien mais il nous manque une secrétaire. Est-ce que vous savez ce qu’elle est devenue ? »
Les cannibales répondent tous par la négative et jurent n’avoir rien à faire avec cette histoire.
Dès que le patron est parti, le chef des cannibales demande :
« Quel est le con parmi vous qui a bouffé la secrétaire ? »
Le dernier au fond répond d’une petite voix :
« C’est moi. »
Le chef des cannibales :
« Pauvre imbécile ! Depuis 4 semaines, nous ne bouffons que du gestionnaire pour que personne ne remarque rien, et toi il a fallu que tu bouffes la secrétaire ! »
(Bon celle-là, c’est l’adaptation d’une très ancienne, racontée par mon « papa-à-moâ-même » et remonte aux années 70 (du précédant millénaire) : L’histoire des deux lions errants dans Paris-sur-la-plage, un maigre, famélique et l’autre bien nourri. « Comment fais-tu pour trouver pitance dans cette jungle urbaine ? Oh moi, je me pointe à la centrale « Printemps-Prisunic » tous les matins, et je bouffe un cadre. Ils sont tellement nombreux qu’ils ne s’en aperçoivent même pas ! »)


Jean-Marc descend la poubelle (c’est bien tout ce qu’on peut demander à un homme). Arrivé au deuxième étage, il rencontre une superbe blonde (évidemment) qui lui dit :
« Viens chez moi, je vais te montrer des trucs, tu ne peux même pas imaginer. »
Il suit la fille forcément (c’est un homme tout ce qu’il y a de plus banal) et, en effet, pendant deux heures, elle lui sert un Kâma-Sûtra d’enfer.
Quand Jean-Marc revient à lui, la blonde lui demande ce qu’il va bien pouvoir inventer comme excuse pour sa femme, la Germaine, pauvre petite brune (vous savez, du genre à se moquer des décolorées).
« Tu as de l’ombre à paupières de couleur bleu » lui demande-t-il.
La blonde lui en donne, il s’en met au bout des doigts et remonte chez lui.
Germaine l’attend dans la cuisine, furax :
« – Tu peux me dire ce que t’as foutu pendant tout ce temps ?
– Ben voilà, la blonde du deuxième m’a invité chez elle. On a baisé comme des bêtes pendant deux heures. Quand j’y pense, je bande encore !
– Ne me prends pas pour une conne ! » hurle-t-elle. « Tu es encore allé au billard avec tes potes ! Tu as plein de craie sur les doigts ! »
(Une classique qui me fait toujours autant rire…)


Solution de l’énigme du jour : Le morpion, bien sûr !
(Un « classique »)


Bon week-end à toutes et tous !


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