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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 15 avril 2018

Certitudes scientifiques…

Non, les hommes ne sont pas des porcs !

Et tant pis pour les « #metoo » qui m’en ont failli m’en faire konnement balancer mes tranches de bacon par la fenêtre (alors que c’est le régal du chat de l’immeuble… mais je ne le savais pas à l’époque).
Souvenez-vous donc, c’était dans les années 1870 la société Pearl Tobacco proposait alors des cartes à collectionner présentant des images de femmes nues. Aucun lien direct avec son produit. Pourtant, les ventes ont augmenté…
Depuis, les publicitaires usent et abusent du procédé.

Mon pote, celui qui m’a lancé dans le « consulting » à une époque reculée, m’a infligé une leçon que je n’ai toujours pas oubliée : « Pour vendre, il faut être sexy ».
Comment faire « sexy » avec un produit technique d’ingénierie juridique & fiscale totalement abscond que personne ne comprend parmi les cerveaux les plus pointus du pays (X, Mines, Centrale, etc.) ?
« Tu te démerdes pour « les mettre en érection ». Pas compliqué… »
Vous tu imagines le défi avec mon double-quintal du moment ?
Je te vous fais une danse du ventre en string ?
Il n’empêche : C’est lui qui avait raison…
Et j’ai réussi la contreperformance de faire croire à tout le monde que c’était simple comme bonjour.
À tel point que beaucoup de prospects ont pu croire qu’ils pouvaient se passer de mes compétences : Je ne te vous raconte pas les dégâts à l’arrivée…
Des sagouins, de vrais saboteurs, ceux-là !

Que se passe-t-il donc lorsque nous découvrons des images sexy(une vidéo porno, ils n’ont pas encore essayé) ?
Une explication pourrait venir de notre comportement social. Nous appartenons en effet à un groupe hiérarchisé et au sein de ce groupe, notre cerveau apprend rapidement où se situe notre intérêt : Trouver le bon compagnon, nouer des liens puissants et éviter les menaces. «Déployer une attention particulière aux indices sociaux améliore l’ensemble de nos choix en la matière», expliquait récemment Michael Platt.
Et pour confirmer ses hypothèses, ce professeur en neurosciences, psychologie et marketing de l’université de Pennsylvanie (États-Unis) a mené une série d’expériences sur nos proches cousins les singes. Dans une phase dite «de publicité», il a par exemple présenté à des singes, des logos de marques associés à des photos d’autres singes. Les singes testés ont ensuite choisi de préférence… les marques qui avaient été associées à des photos sexuelles ou à des singes dominants.

La base des « pubeux ». Pas un seul n’ira vous vendre une bagnole, une lessive, un morceau de saindoux (voire même des Cachous Lajaunie) sans une paire de seins ou de fesses mises bien en évidence…
Le parfum, un savon, un shampoing, une crème de perlimpinpin, un aspirateur, un récurrent, je ne vous raconte même pas.
Même Segala (le « Fils de pub ») racontait que pour une bagnole, le volant représentait les seins d’une femme et le coffre-arrière ses fesses…
(J’imagine son « tas-de-boue-à-roulette »… Et quand tu vois les bagnoles allemandes, tu ne te poses plus de question !)
Facile de vendre des bagnoles à des femmes : Tu leur mets sous les yeux un « beau-barbu-huit-jours », et elles craquent…
C’est devenu à la mode, le « négligé »…
Du café en capsule ? Quoi d’autre… que le beau-gosse présumé contractuellement comme « célibataire » ?

Ladite étude a montré des images de cerveaux d’étudiants restent attirés par le sexe ou pour des personnalités influentes se joue dans les circuits de la récompense. Même si certaines zones d’activation lui sont spécifiques. «Nous pensons qu'avant de prendre une décision d’achat , notre cerveau pèse les avantages économiques ou sociaux qu’il pourra tirer d’un bien ou d’un service», conclut doctement le Michael Platt. Et lorsque ce sont des images sexuelles qui lui apportent des informations sociales utiles à la prise de décision, il lui semble difficile d’y résister…
Il faut dire que la contre-pub du discounter « ED » était assez géniale : « Pourquoi acheter plus cher ? »
Ça s’était étalé sur les bus parigots – il y a bien longtemps – et je traduisais : « Pourquoi faut-il être kon pour se faire rouler »…
Pas vraiment sexy.
Un peu comme l’ancienne pub d’Évian, montrant un homme à poil de profil, jambe en avant pour cacher son sexe, buvant au goulot la dite bouteille et pissant « en cloche » dans le même mouvement, comme le Manneken-pis, sans y mettre la main.
Je ne te vous raconte pas : La fille qui a inventé ça, elle a jamais vu un sexe de mek en train de pisser, ce n’est pas possible autrement…

Ceci dit – et pour revenir à notre sujet – il se trouve que tout le monde est d’accord pour dire que les publicités présentant des filles sexy ou des personnalités célèbres sont particulièrement efficaces.
Et comme les singes semblent également plus sensibles aux publicités sexy qu’aux autres, bé c’est que le phénomène serait lié au comportement social que nous partageons avec les primates.
Et pas du tout avec les cochons. Plus aucun doute : Non l’homme n’est donc pas un porc !
Vérité scientifique incontournable qui cloue le bec à toutes celles (et ceux) qui affirmeraient le contraire.

Pour plus de détail, l’article en question du 15 mars dernier, paru dans Scientific American précise que l’équipe de chercheurs le procédé de leur expérience : 4 groupes, hommes, femmes, singes mâles, singes femelles, à qui elle a proposé un même choix : Regarder des images sexy ou obtenir une petite récompense (de la nourriture pour les singes, de faibles sommes pour les humains).
Et « le résultat fut massif » !
« Les représentants masculins, toutes espèces confondues, choisirent de regarder les photos de sexe, allant même jusqu’à payer pour les voir. Les représentantes féminines, elles, se montrant nettement plus circonspectes ».
Non mais « allo, quoi ? »
Payer pour « toucher avec les yeux » alors qu’on vous paye pour ne pas le faire… Voilà qui reste extraordinaire pour mon « unique-neurone » (celui de mon « nerf-honteux »), le seul en état de marche !
Puis un autre paramètre fût introduit. On plaça dans les photos une sélection d’individus particulièrement influents dans leur communauté : Le visage de mâles ou de femelles dominants pour les singes, des personnalités célèbres pour les humains. Il ne fut pas besoin de les montrer particulièrement nus pour qu’ils provoquent le même intérêt que les images de sexe.
Massivement encore.
Sourcilleux, le neuroscientifique, IRM à l’appui, souligne également que l’attirance pour des personnalités influentes et le sexe sont gérés exactement dans les même parties du cerveau : « Nous pensons que ce réseau calcule « l’utilité » économique, le désir ou la satisfaction d’une personne et que cela constitue un stimulus particulièrement fort dans l’aide à la décision. »

Mais pourquoi sommes-nous programmés pour aimer le sexe et les gens de pouvoir ? Pour une raison très simple. Parce qu’eux comme nous sommes des mammifères essentiellement sociaux. Eux comme nous appartenons à une tribu, hiérarchisée à l’extrême, et que notre cerveau est programmé pour comprendre très vite que notre intérêt vital consiste à s’assurer une place confortable en son sein. Identifier le ou la partenaire fertile et donc aussi important que de choisir un bon parti.
« Pour les humains comme pour les singes, il est important de trouver un bon compagnon, de nouer de puissantes unions, et d’éviter les menaces potentielles. Déployer une attention particulière aux indices sociaux améliore l’ensemble de ces choix. »
Je serai moins catégorique que lui, mais je ne suis pas « chercheur »…
De toute façon, je préfère les « trouveurs ».
Mais le lien utile semble bien celui du « sexe et du pouvoir ».
Demandez donc à « Déesse-Khâ » (le chimpanzé en rut), « Placé-en-garde-à-vue », « Beau-pain » et quelques autres, piqués la main aux fesses de leurs congénères féminines…
Même « Giscard-A-la-barre » avouait que « le pouvoir rend sexy ».
Un homme d’expérience, soyez-en sûrs, qui, de la sorte, mérite doublement son pseudo dans ce blog !

Mais j’aurai également une autre piste à vous proposer : Le Pr. Rob Knight, de l’Université de Californie à San Diego aux États-Unis nous aura appris – à la BBC-britannique – que les cellules humaines ne représentent que 43 % des cellules présentes dans nos organismes.
« Vous êtes plus microbe qu’humain ! »
Aïe…
Le scientifique en compte plus 30.000 milliards pour un homme de 1,70 m et d’environ 70 kg.
Un chiffre impressionnant mais bien inférieur à celui des autres cellules.
Si notre corps renferme des virus, des champignons, des archées –  microorganismes constitués d’une cellule unique sans noyau ni organites à l’instar des bactéries – il contient surtout des bactéries : Environ 38.000 milliards composent les micro-biotes – communautés de microorganismes présentes dans une partie du corps humain.
Et la plupart se trouve dans le système digestif et particulièrement dans le côlon.
Pour vous rassurer la professeur Ruth Ley, directrice du département de microbiologie à l’Institut Max Planck de Munich en Allemagne, déclare dans la foulée et de son côté que tous ces organismes « sont essentiels à votre santé ». Leur rôle est primordial dans la digestion, la régulation du système immunitaire, la protection contre les maladies et la fabrication de vitamines vitales, s’accordent à dire les scientifiques.
« Nous avons trouvé que ces minuscules créatures transforment totalement notre santé d’une manière que nous n’avions jamais imaginé jusque-là », se félicite le Pr. Rob Knight.
Quand même incroyable tous ces « bestiaux » mammifères, fait de protéine alors qu’ils sont incapables d’en fabriquer : Une vraie poubelle, finalement !

Et pour les activités « sexy », alors ?
Bé justement, mais c’est plus ancien, on divaguait, il y a au moins dix ans de ça, sur le choix du partenaire sexuel idéal répondant à des critères « inconscients » de fécondité, d’immunité bactérienne, de « bonne santé » apparente et quelques autres…
Notez que « meetic » s’en tamponne royalement, me semble-t-il. Mais comme 57 % de nos « organismes » ne seraient que microbes et virus, il va falloir quand même qu’ils réfléchissent à réagir et enrichir leurs « bases de données » de critères médicaux, à mon sens.

D’ici à ce que les « images » sexy & « de pouvoir » remplacent la photo de l’ADN et d’un bilan complet bactériologique, il n’y a pas loin.
Déjà que ça intéresse les assureurs…
Ça et les chinois qui mettent en place une « sélection » par le comportement social « avéré » de leurs citoyens, d’ici à ce qu’on décide pour vous de « vous mettre en érection » ou non, franchement…
C’est vraiment magnifique, la science, quand elle progresse, n’est-ce pas ?

Bonne fin de journées à tout.e.s et à tous !

I3

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