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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 22 avril 2018

Extraits 7/5

Juste pour vous mettre l’eau à la bouche…

Vous avez déjà eu 5 extraits du prochain « roman d’été » en décembre dernier.
Et je reste un peu très surpris, puisqu’ils racontent l’essentiel des conditions de l’élection présidentielle d’il y a un an et comptaient déjà 5.569 « lecteurs » (d’après les compteurs « gogol », jeudi dernier) !
Un jour, il faudra que je fasse appel à un « vrai éditeur », ce n’est pas possible autrement…
Vous en avez eu un sixième in fine – qui a rencontré moins de succès : 602 « vues » – le 28 mars dernier. C’était juste « pour rire ».

Depuis, vous, nous, j’ai eu de nouvelles « certitudes » très cohérentes avec ce que je vous énonce depuis un long moment, à savoir que toutes les dernières élections du « monde occidental » sont « truquée ».
J’en ai fait plusieurs posts, mettant l’accent sur les taux d’abstention abyssaux qui ont été comptés au lendemain des divers scrutins qui ont parcouru récemment le « monde d’avant ».
Mais il manquait une pierre à l’édifice : Comment pousser les gens à ne pas se déplacer le jour d’un scrutin majeur ?
Depuis on sait : Tu prends les « données personnelles » de plusieurs dizaines de millions d’internautes qui vadrouillent sur les réseaux. Tu moulines et tu en ressors des « profils ».
L’objectif initial encouragé par les « GAFA » restent le « micromarketing » capable de déceler vos traits dominants afin de vous pousser « à l’achat » sans vous le dire, organisant la diffusion de panneaux publicitaires « non-sollicité » sur vos écrans.
On savait déjà que la visite d’un site de transport ou de logement-touristique était capable de vous suivre dans vos navigations et de modifier au fil de votre navigation les « offres » que vous sollicitiez…

Mais depuis la découverte de « Montagne-de-sucre » qui vend ces données en toute impunité et de l’existence de deux sociétés rachetées par des milliardaires pas forcément « bienveillants », Cambridge-Analatyca à Londres et une entreprise canadienne située en Nouvelle-Colombie, sur la côte pacifique, dont on est à peu près certain désormais qu’elles ont joué un rôle dans le scrutin du Brexit, aidé ou non par une armée de « trolls » russes (là, c’est plus discutable) et l’élection de « McDo-Trompe » (là, ça reste une présomption « forte »), il n’y a plus aucun doute sur la façon de faire quant aux dernières élections présidentielles et législatives « Gauloisiennes ».
En attestent au moins deux éléments : Les taux d’abstention ahurissants et une première mesure législative – votée presque dans l’urgence – anti « Fakes-news ».
Pourquoi cette précipitation, sinon pour « verrouiller » la porte derrière soi ?

Dès lors, j’enrichis mon « laïus » avec ces éléments nouveaux et vous les livre avant que je ne décède prématurément et inopinément pour m’empêcher de mettre en ligne, probablement dès le mois de juillet, les feuillets de « Ultime récit – suite ».
C’est globalement terminé : Il me reste à « séquencer » le récit en chapitres, à relire et à écrire l’épilogue.
Et on balayera l’Histoire contemporaine comme vous ne le verrez nulle part écrit ailleurs du second trimestre 2016 au troisième de 2017.
Désolé, pour la fin 2017 et le premier semestre 2018, il faudra attendre (et c’est en cours).
D’autant que j’inclue dans celui-ci deux « enquêtes » de basse-police (mon ambition personnelle) sur des lieux où j’ai pu faire de repérages sur place à l’occasion de mes déplacements professionnels : Un régal, j’ai beaucoup aimé ces lieux-là.

Ultime récit-suite (7/5)

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !

Dans la réalité, c’est une élection « trafiquée », « bricolée », bien plus en amont et de façon souterraine qu’on ne peut l’imaginer. Ce qui mérite un petit éclaircissement.
Tout au long de la vaste planète, il existe des personnes – en général richissimes – qui règnent sur leurs empires sur lequel le soleil ne se couche jamais. Ils ont des moyens financiers considérables et, selon la philosophie huguenote qui les anime, sont donc des « désignés-de-Dieu » pour façonner un monde à l’image divine. Certains font (ou financent)  le Djihad (pour accélérer le retour sur Terre de leur divinité), d’autres financent des œuvres philanthropiques (pour soulager la misère humaine), quelques-uns sont intéressés par les progrès de la technologie (pour en faire profiter le plus grand nombre et accessoirement accroître leur fortune) et une poignée (on en compte tout de même plusieurs milliers) pour peser sur le monde économico-politique : faire et défaire des marchés, imposer un « ordre nouveau » politique et institutionnel, celui des « maîtres du monde ».
Dans cette dernière frange, comme l’a décrit Paul à Junior n° 5, il y a des « nuisibles » et il y a les « bienveillants », qui usent et abusent de leurs Lumières, investissant le monde des idées, des médias, de la science, de la philosophie pour ouvrir leurs meilleurs au plus grand nombre avec mille nuances jusqu’aux « malveillants ».
Ceux-là usent et abusent des mêmes ressources et n’hésitent pas à « manipuler », les peuples, les nations, les hommes-politiques et bravent la loi des hommes et les institutions des pays qui les portent en vue d’instaurer un « chaos-organisé », quitte à provoquer des conflits graves.
C’est leur doxa à tous : de toute façon, l’humain est en nombre trop grand pour prospérer sur la planète, si petite, sans la saloper définitivement.
Tous, les bienveillants comme les malveillants en sont persuadés.

Et puis, dans le lot, il y a des « petits-génies », nés d’expertises nouvelles, qui n’ont pas vocation première de créer un « monde nouveau », mais, grâce aux technologies du numérique, sont capables « d’inventer » des applications fabuleuses.
Paul, Huyck et Dimitri et leur logiciel « BBR », qu’ils envisagent de faire évoluer pour le perfectionner, en font partie.
D’autres, notamment au Canada – exactement en Nouvelle-Colombie, sur la côte du Pacifique – visent le « micro-markéting ». Une chose assez simple : ça consiste à croiser les données relatives à des personnes qui ont une vie internetique. Comme elles sont toujours plus nombreuses à travers les réseaux sociaux, en suivant leurs navigations sur la toile, leurs amis, leurs « like », leur « production » (toutes choses mises gratuitement en ligne par lesdits acteurs), il est relativement simple de dresser un « portrait-robot » du citoyen qu’il y a derrière et ainsi de lui proposer des publicités-ciblées.
Les industriels adorent et les GAFA revendent à qui paye ces données-ciblées.
D’ailleurs, ils sont les premiers à user directement de vos données pour vous refiler des placards publicitaires non-sollicités. Mais on peut faire mieux.
Guider l’acte d’achat – puisqu’il s’agit de ça – de tout à chacun en proposant un message plus finement élaboré en fonction du profil de l’internaute.
Et quand ce monde-là des « geeks » croise l’autre monde, celui des « malveillants », ça peut donner un « paquet de dollars » pour acquérir les savoir-faire, et permettre des expérimentations plus pointues, dans le domaine « politique » notamment.

Les premiers essais ont eu lieu dans les îles-caraïbes. Pas vraiment dirimant, mais des résultats encourageants.
Le second a été organisé en Grande-Bretagne avec une société locale : « Bridge Field » rapprochée pour l’occasion de l’entreprise canadienne « Galacticus » à travers des prises de participations capitalistiques communes. Objectif : tester à grande échelle et à l’occasion du référendum – « imperdable » pour le gouvernement en place – sur le « Brexit ».
Il aura suffi de créer des « buzz » autour des sentiments xénophobes, voire seulement patriotiques, d’une population identifiée comme « en souffrance », relayés par d’autres plus virulents, anti-européens ou seulement antisystème-technocratiques, pour faire basculer une petite minorité indécise vers le « Brexit ».
Bien sûr, tout le monde a mis ce résultat sur un déficit d’information, plus quelques « fakes-news » attribuées à l’armée de « trolls-internetiques » mise en place et financée par le Président russe afin de contrer les campagnes russophobes des médias occidentaux, plus quelques bateleurs « bien conseillés », mais en réalité, personne n’a vu venir cette approche « insidieuse » pour être « individualisée », arrivant jusque sur les écrans de téléphones portables par vague successives et indécelables pour ceux qui n’étaient pas visés…
Même les caciques de la Trilatérale et du groupe Bilderberg, pourtant très au courant, notamment depuis les échanges et questionnements qui ont eu lieu lors du dernier Davos, n’ont pas vu venir la manœuvre.
De toute façon, dans ces cénacles, tout le monde savait et redoutait les travaux à être étalés sur la place publique des « Panama-Papers » et plus tard des « Paradise-papers » encore « dans le flou » à ce moment-là.

L’utilisation massive de ces techniques « d’influence-ciblée » a été utilisée une troisième fois dans le sillage des primaires américaines, puis pour le scrutin de novembre. Trois cibles : les convaincus, chargés inconsciemment de relayer les messages sur les réseaux sociaux ; les indécis, inondés d’images et de messages autour de la menace que représente des « migrants » agressifs ; les « opposants » qu’on tente de faire douter pour qu’ils s’abstiennent le jour du scrutin avec des messages du style, « pas la peine de se déplacer, les dés sont jetés ».
87 millions de comptes ainsi « harcelés ». Pour un résultat déjouant tous les pronostics.
« Les peuples ne décident jamais que des conneries ! »
Mais qui invente les conneries ?
Alors, quand « Pametir » met la main sur la data-base de « BBR », un peu forcé et ne sachant pas comment utiliser les milliards de données rassemblées et pré-triées, finalement, c’était inespéré pour une quatrième utilisation : l’élection majeure des français pour tout un quinquennat.
Divine surprise, les « bienveillants » et les « malveillants » s’accordaient sur le dos de la démocratie pour être actifs sur ce sujet.
Si les médias parvenaient à étriller la candidature de l’ex-premier ministre, c’était jouable avec un moindre effort : il suffisait de surfer sur l’abstention.
Avec seulement la moitié des électeurs se déplaçant au soir du premier tour, le seul risque était de se retrouver au second tour avec deux candidats « populistes ».
L’objectif des « malveillants », financés – pour partie seulement – par des « bienveillants » qui avaient poussé au rachat forcé – et finalement inespéré – de la « data-BBR ».
À la croisée des chemins, c’est finalement « Makarond » qui a tiré ses marrons du feu avant qu’ils ne crament…

Évidemment, devant une telle « réussite », le procédé aura été réutilisé à l’occasion de toutes les élections suivantes, en passant par l’Italie, la Russie, la Hongrie, etc.
Sans même parler d’un « dérivé » chinois, visant à « profiler » tous les citoyens, jusqu’à les « noter » pour qu’ils bénéficient ou non des « bons services » du parti qui dirige l’appareil étatique.
Une dictature « douce » comme une autre.
Et une des premières choses pour le nouvel élu français qui est parfaitement au courant de ce qui est fait pour lui en douce, aura été de se doter, dans l’urgence, d’un mécanisme légal « anti-fakes-news », dont on ne sait pas trop la portée à confronter aux réalités-terrain.
L’autre aura été de poursuivre, aux USA, en Angleterre et encore ailleurs, les « voleurs de démocratie ».
Naturellement, on aura accusé la Russie un peu trop « en pointe » sur le sujet, pas assez bien dissimulée pour ne pas attirer l’attention.
Et puis, plus tard, « Montagne-de-sucre », le patron du plus important des réseaux sociaux, a été accusé de « légèreté » de s’être fait piller les données de son système, quand il n’est tout naturellement pas vendu… à ceux qui payent (sa capitalisation interdisant tout rachat). Sa boîte, c’est pour 95 % de son chiffre d’affaires la vente des « profils ». Et ça se monte à plusieurs milliards… »

C’est juste un « petit-bout », mais il était urgent de le mettre en ligne (la matière-première des « GAFA »).
Merci d’être passé(e)s.

Du coup, je vous souhaite une excellente fin de week-end et, peut-être, quelques méditations ce soir autour de l’apéro.

Bien à toutes et à tous !

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