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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 24 avril 2018

Vous n’imaginez même pas les « transformations » en cours

Et, assez notablement, ça reste « indolore »


C’est encore un des vastes « sujets à controverse » d’avec « mon boss-à-moâ ». Je ne sais pas vraiment si je vais rester encore longtemps son « esclave-salarié », tellement « il m’énerve » (et que c’est réciproque). De toute façon, à London depuis bientôt un an, je glande, je n’améliore même pas mon « English » et plus ça va, moins « ça va ». Je n’ai qu’un hâte, c’est de retrouver mes odeurs de maquis-corsu, ses températures « idoines », son doux climat.
Marre, je vieillis, « mes potes » sont emportés les uns après les autres par la « grande-faucheuse », et moi-même, je deviens stérile, inutile.
J’ai quasiment terminé le prochain « roman d’été » que déjà, je capte de la matière pour un « éventuel suivant », tellement je n’attends plus aucune surprise, bonne ou mauvaise, de mes contemporains : On dirait qu’ils suivent des « traces » des « fils-rouges » déjà évident, faute d’imagination…


La preuve (parmi d’autres) : À de nombreuses reprises, nous nous avons été scotchés, bluffés sur le mystère des taux négatifs.
Dans tous les manuels économiques et financiers traditionnels, on apprenait que prêter donne lieu à une rémunération et qu’un taux d’intérêt avait une limite : 0.
À un moment émis l’hypothèse que le taux négatif était en quelque sorte un « service de coffre-fort » : Des institutionnels préféraient payer des États ou de très grandes entreprises pour conserver leur argent plutôt que se risquer à le laisser traîner dans une banque de santé douteuse. Puis, en 2016, les taux négatifs ont touché le crédit immobilier même en Belgique.
Tu parles d’une « transformation » qui ne doit rien à « Jupiter ».
« C’est comme si une barrière invisible avait été franchie, séparant le monde réel du fantasme total… où le bas est le haut, où oui est non, et n’importe quel panier percé peut désormais… apparemment… vivre gratuitement dans un manoir » d’époque-reculée méditait mon « boss-à-moâ » (avec quelques autres).


En réalité, les taux négatifs peuvent exister parce que le système monétaire financier actuel n’a pas besoin d’épargne. Il a même intérêt à ce que l’épargne disparaisse.
En réalité, la vocation d’un État-providence est de vous prendre en main de la crèche à la tombe.
En réalité, dans ces conditions, pourquoi provisionner pour un coup dur, un accident de la vie ?
En réalité, sans le dire, on avait « nationalisé » vos vies privées…
Imaginez mon spleen de « libertaire », de « foulosophe », d’infreequentable quand surgit ce type d’analyse…
Même si j’ai mis du temps à m’en rende compte, moâ qui ne doit rien à personne, pas même à l’État-providence, sauf à avoir été formé par ses brillants-serviteurs (et à qui j’ai rendu au déculpe)…


C’est marrant parce que d’un côté, le keynésianisme-ambiant (un truc déjà mort) professe que la consommation est le moteur de l’économie. Par conséquent, l’épargne est inutile et même gênante : Elle diffère la consommation et contrecarre les plans de redistribution et « justice sociale ». Ce qu’il faut à un État-providence c’est beaucoup de consommation et du crédit facile à redistribuer pour s’acheter des électeurs. Le système monétaire et financier actuel est parfaitement adapté à cela et les taux négatifs sont la preuve qu’il se passait finalement très bien de l’épargne des particuliers (et des entreprises, les seules, pour simplifier, qui investissent dans leur avenir et le nôtre…).


Autrefois, lorsque l’épargne comptait encore, un État qui voulait dépenser plus que ses rentrées d’impôts devait solliciter des prêteurs dont les moyens étaient limités. Mais ce n’est plus le cas. Jeudi 5 avril 2018, la « Gauloisie-ruinée » empruntait encore sur les marchés financiers.
Ce pays-là est secoué de grèves, de blocages, de manifestations parfois violentes. Le tourisme – qui est devenu une de ses activités de poids – en pâtit déjà. La tendance générale dans le monde est à la hausse des taux d’intérêt. La Banque centrale européenne achète moins de titres financiers que par le passé. La Suisse aussi car elle a renoncé à maintenir la parité stricte euro contre franc suisse. Les États-Unis n’achètent pas de dettes souveraines en euro. Bref, moins d’acheteurs, un contexte haussier de taux d’intérêt, un pays toujours dépensier et secoué de soubresauts sociaux. Vous auriez pu penser que la dette allait nous coûter plus cher…
Raté.


Qui subventionne notre magnifique modèle social que « le monde entier nous envie » mais que personne ne peut se payer ? Qui a acheté la dette Gauloisienne mise aux enchères par les petits génies de l’Agence France Trésor avec suffisamment d’empressement pour que cela nous coûte moins cher encore que l’année dernière ?
Je rappelle que « mon » hypothèse d’un « fonds-dédiés » issu de mes romans n’existe plus depuis juillet 2017.
(Une hypothèse « romanesque »)
Pour un des spécialistes de la comptabilité des banques et de la Banque centrale européenne date sa dernière analyse du 30 mars pour faire apparaître que des non-résidents comblent les trous de la BCE à hauteur de 340 milliards d’euros. Au 30 mars, ces largesses atteignaient un plus haut historique.
« Ces généreux et anonymes non-résidents ne peuvent qu’être des musulmans possédant des capitaux tirés de pays ayant de gigantesques ressources en hydrocarbures, ce qui explique la politique dite migratoire appliquée en Europe. »
Je veux bien le croire pour ne pas avoir de solution alternative crédible.


Car effectivement, des sponsors capables d’une puissance de feu hebdomadaire de 73 milliards d’euros qui ne sont pas des gouvernements ou des entités gouvernementales ne sont pas légion, même si l’hypothèse ne peut pas être prouvée : Ces « généreux donataires » sont anonymes dans la comptabilité de la BCE, et il existe un marché secondaire des titres d’obligations souveraines. Cependant, elle a le mérite de présenter une justification : Il est probable que cette aide ne se limite pas à la BCE.
Jeudi dépassé, la « Gauloisie-impécunieuse » ne levait que la modeste somme de 7,665 milliards d’euros à 30 ans, 16 et 10 ans. La seule catégorie d’obligations boudée fut les « green bonds » ou « OAT vertes » censées financer la transition énergétique. Encore de l’eau au moulin « complotiste » ? Si vous êtes un roi du pétrole, votre abnégation ne va tout de même pas jusqu’à financer les industries concurrentes…
Hypothèses et complots, alors que la question exige transparence et rigueur : Une façon de clarifier les choses serait que les citoyens sachent à qui notre pays vend vraiment sa souveraineté.
Mais à quoi bon : Vous n’en avez rien à faire, du moment que vous touchez votre maigre salaire ou rachitique pension avant prélèvements obligatoires…


Les autorités détestent l’anonymat pour les transactions entre citoyens qu’elles soupçonnent immédiatement d’intentions terroristes ou d’évasion fiscales. Pourquoi accepter l’anonymat dans le cas de cette comptabilité nationale et supranationale ? À quels non-résidents hors Zone euro devons-nous de l’argent ? Si la réponse n’est pas honteuse, elle devrait être simple à obtenir.


Donc l’épargne des particuliers est devenue inutile, la preuve : Les taux d’intérêt servies peuvent devenir négatifs. Un sujet était sans équivalence dans l’histoire économique de l’humanité.
Souvenez-vous des années 90. Nous n’avions presque plus d’inflation et des taux de placement à plus de 10 % ! Normal, les « Teutons » se réunifiaient et ils avaient besoin de se la financer. De quoi littéralement assécher le marché mondial de l’argent, faisant augmenter ses prix. Indirectement, les Gauloisiens ont financé la réunification allemande en payant pendant presque 10 ans des intérêts très élevés sur leurs crédits.
Ce qu’ils ne savent pas – et ne sauront probablement jamais –, c’est que ce sont les fonds détournés par « Mythe-Errant » lors de la guerre du Golfe qui auront, au moins majoritairement, permis ses financements de l’ordre de 5 % de taux d’intérêt.
Il faut lire « mes romans » pour seulement l’envisager, même si son « sherpa » préféré (« Dj’ack-@-Talus ») aura été le premier président de la Berd (Banque européenne de la reconstruction et de développement) : Il n’y a pas de hasard, vous le savez bien !


En principe, c’est comme cela que fonctionne l’économie, au moins jusque sur « le Rocher » monégasque… Enfin, en théorie, et jusqu’en l’an 2000. Avec l’éclatement de la bulle Internet des années 2000 puis le 11 septembre 2001, les banques centrales ont fait volontairement chuter les taux d’intérêt.
Elles ont commencé et mis le doigt dans un engrenage terrible qui consiste à agir sur le prix de l’argent. Progressivement, elles sont allées de plus en plus loin dans cette logique de fixation du prix de l’argent.
Le volume d’épargne n’est pas « élastique », ce qui veut dire qu’il n’est pas extensible et qu’il est en cohérence avec la croissance économique du moment, des déficits commerciaux constatés, et de la capacité d’une population donnée de dégager des excédents financiers. Bref, il n’y a pas de miracle.
Et c’est très pénible comme situation car cela oblige évidemment à évoluer dans un cadre relativement rigide où il n’y a pas de « repas gratuit » (même aux « restau-du-cœur » qui ont un prix).


Pour s’affranchir de ces contraintes purement techniques, nos grands banquiers centraux ont tout simplement décidé de jouer sur la quantité d’épargne disponible.
Ils ont augmenté le volume, un peu, beaucoup, passionnément, puis énormément et désormais considérablement. Comment ?
En créant tout simplement de la monnaie qui a servi à financer les besoins des cigales qui n’étaient plus couverts par les fourmis, ce qui aurait fait exploser les taux d’intérêt à la hausse, mais en imprimant la monnaie nécessaire et en rachetant directement ces nouvelles dettes.
C’est très officiellement historique.
Puisque c’est ce que l’on appelle pudiquement le « quantitative easing », ou « assouplissement quantitatif », terminologie fumeuse voulant dire « planche à billets ».
En augmentant ce volume financier disponible pour financer les dettes à volonté, on a rendu, sans le savoir, l’épargne totalement inutile.
L’épargne ne rapporte plus rien parce qu’il y en a trop ! Il y en a trop pas parce qu’épargner est devenu facile (même si ce n’est pas de votre ressort, puisqu’à vous, on en pompe toujours plus…, car c’est au contraire de plus en plus dur pour l’immense majorité de nos concitoyens). Le système monétaire peut désormais se passer de l’épargne puisque l’on crée l’argent nécessaire de l’autre côté.
Par ailleurs, avec la monnaie « numérique » et la chasse au « cash », nous sommes quasiment dans un système monétaire à cours forcé. Parce que « le système », de manière fort intelligente, a su rendre incontournable l’utilisation de votre argent plastique sous forme de carte de crédit, de virement et d’argent « dématérialisé ». Ce qui est dématérialisé n’a plus de valeur perceptible et tangible.
Parce que toutes les grandes économies agissent également de la même façon, aucune monnaie « papier » (puisqu’elles sont toutes devenues « numériques » à marche forcée) ne vaut plus qu’une autre. Le dollar, l’euro, le yen ou la livre sterling, sans oublier le franc suisse, toutes les grandes banques centrales font la même chose dans l’entreprise monétaire la plus cordonnée de l’histoire…
Ne pas le voir, le percevoir, me rend « dingue » quand il s’agit de « mon boss-à-moi » qui ne bosse qu’avec du « papier-numérique » : Jamais de pognon-fiduciaire, dès fois qu’il se fasse braquer.
Se faire braquer à Monaco, je ne te raconte même pas le délire paranoïaque…


Admettons que cela doive durer encore un peu, il y aura quand même un moment où le système financier devra aussi être en mesure de donner du rendement à l’épargne, ne serait-ce que pour préserver le modèle des retraites par capitalisation. D’où l’idée de la FED de tenter de remonter un peu les taux, mais pas trop. Tout cela n’ira pas très loin parce qu’avec les monceaux de dettes accumulés, cela engendrerait une insolvabilité généralisée.
Quand l’épargne devient inutile, quand l’argent n’a plus de prix, parce que ce qui est rare est cher – et ce qui est abondant est bon marché – alors c’est que l’on a tué l’argent. On a tué le pouvoir d’achat, on a tué la capacité de votre monnaie à stocker de la valeur dans la durée.
Simple à comprendre…


Pourtant si l’épargne est devenue collectivement inutile en termes macro-économiques, elle reste individuellement une nécessité pour se prémunir des aléas.
C’est ce problème-là que chaque épargnant doit donc affronter pour rendre son épargne et ses économies productives et fertiles. Et ce n’est évidemment pas simple. C’est même devenu incroyablement compliqué, presque « mission impossible ».
Notez au passage, comme pour confirmer, que la dette mondiale atteint de nouveaux records.
Selon l’IIF, hausse niveau dette mondiale s’explique notamment progression niveau dette ménages : Ils n’épargnent plus…
Calculez : L’ensemble des dettes sur la planète représente 237.000 milliards de dollars. Un niveau historique.


Au total, les créances cumulées des États, des entreprises et des ménages représentaient 237.000 milliards de dollars (192.000 milliards d’euros) fin 2017. Entre le troisième et le quatrième trimestre 2017, le montant global de la dette a augmenté de 11.000 milliards de dollars, soit l'équivalent du PIB de la Chine.
Cette hausse s’explique notamment par la progression globale du niveau de la dette des ménages, en particulier, cette fois-ci, dans les pays développés. Et à ce petit jeu, c’est l’Europe qui est la zone géographique la plus touchée.
La dette des ménages en pourcentage du PIB est au plus haut en « Gauloisie », en Belgie, au Luxembourg, en Norway, en Suède et en Helvétie. Seuls les ménages irlandais et italiens affichent des niveaux d’endettement en pourcentage du PIB inférieurs à 50 %…
À noter que, si la dette mondiale atteint un record en termes de valeur, elle continue de diminuer par rapport au PIB mondial. Son ratio, par rapport à la richesse planétaire, a diminué à la fin de l'année.
Grâce à la croissance de l’économie mondiale, dans les pays émergents et en Europe, il a reculé de près de 7 points de pourcentage au quatrième trimestre par rapport aux trois mois précédents. Pour atteindre… 317,8 % !
3 ans et 65 jours de toutes les créations de richesse mondiale à venir…
Et toujours pas d’inflation à deux chiffres…


Et on vous casse les pieds avec le ratio de 60 % du PIB pour l’endettement public – ratio de Maastricht oblige – alors que tout le monde dépasse le problème.
Mesdames et messieurs, force est de constater qu’on marche sur la tête !
C’est là le vrai délire de l’époque que le silence des médias vous cache volontiers, c’est là la vraie « transformation » que vous ne voyez même pas.
Pas même « mon boss-à-moâ ».
Soit je suis un konnard de la dernière pluie (et de celles d’antan cumulées) et je n’ai plus ma place dans ses effectifs, soit c’est lui l’autiste, et il n’est plus dans mes « fréquentabilités » possibles…
Le divorce approche…
Et pendant ce temps-là, « Jupiter » affronte les « mouvements-sociaux » archaïques avec sérénité : Lui, manifestement, il sait.

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