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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 23 novembre 2017

Le retour des « déclinistes » ! (IX)


Ils sont incroyables…



Je reprends la série là où je l’avais laissée il y a deux ans, parce que j’ai eu comme un coup de blues qui ne m’a pas du tout fait rire.
Je vous explique : Depuis deux ans, la pauvreté mondiale – celle qui me donne des nausées – aurait tendance à reculer alors que la population mondiale a crû.
Un combat difficile et quotidien de tous les jours pour des milliards d’individus…
Et je vous rapporte le message qu’ils vous adressent une nouvelle fois, à vous, pas « aux autres » : Vous êtes de trop sur cette planète et de plus, jamais vous ne deviendrez riches. Parce que, 1), il faut sauver l’humanité ; 2), vous n’en serez pas !
Aussi simple que ça.


Je reprends donc la suite de cette immense escroquerie qui vous cantonnera à jamais à vous contenter du strict minimum pour survivre. Et encore, seulement si on vous en laisse assez…
C’est qu’ils ont quand même besoin de vous pour vous reproduire (il meurt chaque année 600.000 personnes en « Gauloisie-mortifère », pour la plupart des personnes « plus bonnes-à-rien » [et qui coûtent une blinde aux régimes de retraite et d’assurance-maladie : On en viendra à ce qu’on vous soigne uniquement si vous pouvez continuer « à servir à quelque-chose »] ; pour l’heure ça permet d’entretenir le « système-médical » en l’état), pour que vos gamins subissent à-peu-près le même sort « d’esclave-consentant », à savoir des « consommateurs/producteurs » maintenus sous lien de subordination étroit.


Bon, il y a quelques compensations à ce statut, il faut bien le reconnaître, telles qu’il apparaît encore « attractif », prenant pour modèle les « revenus-à-vie » de la fonction publique.
Ce n’est pas rien.
Mais surtout, surtout, ni vous ni vos mômes ne devez jamais devenir « indépendants », d’abord parce que ce sera l’occasion de vous racketter un maximum tout au long de votre et de leur vie (ainsi que les rentes que vous leur aurait constituées), mais surtout parce que l’avenir de la planète en dépend !
Vous ne le savez pas encore tous, vous-nous, sommes des « crades », des étrons qui en plus salopent la précieuse planète-bleue. Et plus vous en faites, plus vous la dégradez.
Or, pour l’heure, il y’en a qu’une, de planète-bleue…


En plus, comble de malheur, quand on vous demande votre avis par pure commodité « démocratique », vous-nous décidons collectivement que des konneries en barre.
Ça a commencé sérieusement avec le référendum de 2005, ça s’est poursuivi, ailleurs il est vrai, par l’arrivée de « Tsitsi-Passe » en Grèce, par celui sur le « Brexit », par le suivant de « Matéo-le-rital », par les élections autrichiennes et ça se termine avec l’élection de « Trompe » (je vous passez Chavez, naturellement qui parvient à faire faillite assis sur une éponge à « or-noir »…).
Enfin quoi, il n’y avait qu’un choix « raisonnable » mais vous avez préféré écouter le chant des sirènes venues de « Moscou » armant les « populistes »…
Eh bien, vous serez privés de jouer avec les bulletins, sales gamins que vous êtes. Faut pas dékonner avec la planète non plus, et les « sachants » qui sachent tout mieux que vous de votre propre bonheur… et celui de la planète vous le disent depuis « La-Roue-Toute-Rousse » (« l’idiot-utile » du moment) et sur tous les tons, et vous le rabâchent encore tout récemment.
Vous êtes mûrs d’ailleurs. Combien de « votants-utiles » dernièrement ? 75,78 % seulement. Dix points de moins que « la norme » habituelle, 4,7 millions de déserteurs en plus.
Encore un effort, et il n’y en aura plus que la moitié en « Gauloisie-démocratique ».


C’est prévu : Une élection-libre, ça coûte cher, c’est dangereux pour l’avenir, demain, ce seront des grands-électeurs qui seront désignés pour élire leur patron. C’est le système « Beau-Raie-L’Eau » et en plus, c’était dans la constitution originelle de 1958 !
D’ailleurs, on vous y prépare : J’ai lu que « Jupiter » aimerait bien « dépolitiser » les débats sur la vie de la cité…
Et si j’étais lui, la date d’un « 2 décembre » serait parfaite…
Un dimanche.
Si vous ne savez pas pourquoi, aller donc dans vos livres d’Histoire !


Vous n’étiez peut-être pas encore nés (mais moi si !), mais en 1992, 1.700 scientifiques, dont près d’une centaine de prix Nobel, lançaient à l’occasion du Sommet de la Terre à Rio, premier du genre, le « World Scientist’s Warning to Humanity ». Cet avertissement à l’humanité décrivait déjà la destruction de l’environnement, peu conscientisée à l’époque, et soulignait combien notre espèce était « sur une trajectoire de collision avec le monde naturel », si elle ne réagit pas.
Les premiers « déclinistes », et parmi les plus prestigieux, payés pour ça en plus, et armés de bonnes raisons.


Vingt-cinq ans plus tard, leurs héritiers la semaine dépassée, le « monde-scientifique » constate que la situation ne s’est pas améliorée. Au contraire, elle aurait empiré dans tous les domaines en crise, avec une exception, l’affaiblissement du trou de la couche d’ozone, réduit grâce à une forte mobilisation internationale.
Alors 15.364 scientifiques du monde entier (184 pays) ont signé un nouveau cri d’alarme, d’une ampleur sans précédent. Le texte a été publié le 13 novembre dans la revue scientifique BioScience alors que se déroulait jusqu’au 17 novembre, la COP23, sur le climat, à Bonn.
Qui restera un bide monumental…


Ils mettent en garde contre la « destruction du monde entier » causée par l’humanité. Les signataires de l’appel vous conseillent, à titre individuel, de « limiter notre propre reproduction (l’idéal étant de s’en tenir au maximum au niveau de renouvellement de la population) ». Mieux encore, parmi leurs propositions de politiques publiques, ils proposent de « déterminer à long terme une taille de population humaine soutenable et scientifiquement défendable tout en s’assurant le soutien des pays et des responsables mondiaux pour atteindre cet objectif vital ».
Vous avez bien lu : Autrement dit, de limiter de manière concertée et obligatoire la croissance de la population, sur la base des conclusions de la communauté scientifique…
Ils sont fabuleux, non ?
Ils veulent empêcher certains humains de naître (mais lesquels donc ?) pour que les autres puissent survivre dans un environnement propice. Il ne s’agit pas de protéger la « nature », qui ne se pense pas elle-même, mais bien de sauver l’humanité.


Moi, je rigole ! Cette volonté de contrôler la taille du groupe est aussi vieille que notre civilisation. Vous aurez noté que dans le fameux chapitre de la « République » consacré à la démographie de la Cité idéale, Platon souhaitait déjà que les dirigeants décident de la quantité des mariages, « de façon qu’ils préservent le plus possible le même nombre de guerriers et que notre cité, autant que possible, ne grandisse ni ne diminue ». Il ira ensuite encore plus loin et inaugurera l’eugénisme en proposant de sélectionner les jeunes les plus vaillants pour que leur semence se propage davantage…
Et rappelez-vous qu’il aura fallu attendre l’âge industriel pour que la croissance de la population, devenue exponentielle, soit vécue comme une menace plus que comme un désordre.
D’où la fameuse thèse de l’économiste et pasteur anglican Thomas-Robert Malthus dans son Essai sur le principe de la population (1798) : Le rythme d’accroissement de la population l’emporte sur celui de l’augmentation des subsistances, ce qui est facteur de misère et freine « le progrès de l’humanité vers le bonheur », but pour le moins assez sympathique que se propose Malthus.
Mais contrairement à un emploi erroné de l’adjectif  « malthusien », le bon pasteur ne suggère pas à l’État d’intervenir sur la procréation des citoyens. En disciple d’Adam Smith, il croit aux vertus de l’autorégulation. Ainsi l’accroissement de la population doit-il se résoudre par une combinaison d’obstacles « destructifs » (les mauvaises conditions de vie qu’engendre la rareté de la nourriture) et d’obstacles « préventifs » (la contraception), l’homme étant doté de la faculté « de prévoir et d’apprécier des conséquences éloignées ».
Malthus parie lui aussi sur la responsabilité individuelle de chacun. Il se méfie explicitement des gouvernements, trop prompts à « opprimer à loisir leurs sujets en rejetant tout le blâme sur les lois de la nature ».
Leur rôle est plutôt seulement éduquer et de contrôler.
Rappel à « l’ordre-juste » par les « scienteux » du moment : Puisque « ça ne marche pas » ils signent une pétition…
Fabuleuse époque, finalement !


Leur appel vise à agir concrètement contre « une souffrance généralisée (c’est pour votre bonheur de bien-vivre !) et une perte catastrophique de biodiversité ».
Nous avons un « impératif moral » à agir sans tarder contre le « péril » qui menace l’avenir de notre planète sur le plan écologique.
Ils entendent ainsi à interpeller spécialistes, décideurs et le grand public qu’ils appellent à gober leurs fadaises sans discuter : Et je vous le prédis, ils vont être nombreux à le faire pour ce sentir « en souffrance » dans ce monde qu’ils ne comprennent plus (l’ont-ils jamais compris, puisqu’on ne les a pas formés à ça ?) !
ls en disent qu’il est temps de « se remémorer » les mises en garde de leurs aînés et « d’évaluer les réponses que l’humanité a apportées » à cet appel. Depuis 1992, « non seulement l’humanité a échoué à accomplir des progrès suffisants pour résoudre ces défis environnementaux annoncés, mais il est très inquiétant de constater que la plupart d’entre eux se sont considérablement aggravés ». Ils s’appuient, pour ce constat, sur les indicateurs utilisés en 1992 – ressources en eau, déforestation, hausse des températures… – et mis à jour avec les données récentes.


Pointant les conséquences de l’augmentation du volume des gaz à effet de serre (on n’en reparlera, car il ne s’agit toujours pas du CO2 qui plonge au raz-du sol ou dans les océans), de la déforestation et de la production agricole (alors que le dioxyde de carbone c’est pour les tomates et toutes les plantes), les signataires soulignent par ailleurs qu’un « phénomène d’extinction de masse » est en cours, qui pourrait déboucher sur la disparition de plusieurs formes de vie. « L’humanité se voit aujourd’hui adresser une seconde mise en garde », résume le texte.
« Nous mettons en péril notre avenir » en ne prenant pas conscience de certaines problématiques, à commencer par « notre consommation matérielle intense » et la croissance démographique mondiale « rapide et continue », ou encore l’échec à enrayer la pollution et à protéger les habitats naturels.
« L’humanité omet de prendre les mesures urgentes indispensables pour préserver notre biosphère en danger », résume le texte.
« Les responsables politiques étant sensibles aux pressions, les scientifiques, les personnalités médiatiques et les citoyens ordinaires doivent exiger de leurs gouvernements qu’ils prennent des mesures immédiates », affirment-ils, invitant à mettre en place « une pression de la société civile » et des campagnes rôdées fondée sur « des preuves, un leadership politique et une solide compréhension des instruments politiques, des marchés et d’autres facteurs ».
Mais ce n’est pas tout : Outre la nécessaire action des politiques, « il est également temps de réexaminer nos comportements individuels », que ce soit « en limitant notre propre reproduction » ou « en diminuant drastiquement notre consommation par tête de combustibles fossiles, de viande et d'autres ressources ». Pour les scientifiques, « il s'agit là d’un impératif moral vis-à-vis des générations actuelles et futures des êtres humains et des autres formes de vie. »
Vous n’avez pas pigé ?
« Soyez moins nombreux et vivez pauvrement », SVP !
Pas question d’être plus nombreux, pas question d’être « plus riche »…

Les 1 % de l’humanité qui possèdent autant que tous les autres sont largement suffisants pour la planète et l’humanité !


Et, n’étant pas à un paradoxe près dans leur discours alarmiste, comme pour mieux vous expliquer qu’ils ont raison, ils rajoutent que plusieurs éléments montrent que « nous sommes capables d’opérer des changements positifs quand nous agissons avec détermination ». La diminution rapide des substances néfastes pour la couche d’ozone (qui est probablement due aux « colères » de notre étoile), la lutte contre la famine et l’extrême pauvreté, ainsi que la baisse du taux de fécondité dans plusieurs zones (qui est une question de présence ou non d’un réseau électrique capable de faire tourner une télé) ou du rythme de la déforestation (qui n’est pas enrayée), sont autant de signes que « nous avons beaucoup appris ».
Mais, ces avancées sont toutefois « loin d'être satisfaisantes » et doivent déboucher sur de nouvelles mesures.
Le texte liste ainsi plusieurs exemples de « mesures efficaces et diversifiées que l’humanité pourrait prendre ». Parmi elles, protéger ou « ré-ensauvager » des régions afin de préserver la diversité des habitats (raser les villes et y installer la « jungle » comme celle de Calais) et des espèces et « rétablir des processus écologiques », réduire le gaspillage alimentaire, privilégier une alimentation d’origine végétale (aux herbicides ? Bé je m’en voudrais !…), consommer des énergies « vertes » en diminuant la part des combustibles fossiles (le nucléaire-propre au thorium est-il « fossile » ?), développer des technologies vertes, ou encore aborder la question de la taille de la population humaine.


Je vais te vous dire : Mon niveau de vie actuel (et son confort très relatif), je ne suis pas sûr de pouvoir le maintenir ne serait-ce que quelques années encore.
L’améliorer encore, sûrement pas et à quoi bon d’ailleurs ?
Déjà que, manger un bon steak frit bien saignant et croquant autrement qu’en viande hachée, là où j’exile, ça n’a rien d’évident. Picoler des alcools forts pour oublier, ça devient « hors-de-prix ». Cloper ma pipe au bec, c’est interdit là où je bosse et c’est mal vu dans la « street » voisine.
Et ce n’est pas fini.
Mais de là à « m’euthanasier », « effacer » mon génie-naturel, bé qu’ils sachent que je saurai les recevoir.
Pas né « Corsu » pour rien, avec toute la diversité génétique que je porte en moi, non mais !
Vous en revanche, vous auriez intérêt à leur claquemurer le beignet en leur coupant les subventions payées avec l’impôt piqué dans vos portefeuilles : Ils cesseront peut-être de raconter leurs konneries eugénistes abominables qui se cachent derrière leurs propos de « scienteux » !

5 commentaires:

  1. Vous avez raison dans le sens où vous m'avez convaincue que vous aviez tort.
    La surpopulation galopante est une catastrophe écologique, économique, intellectuelle et humaniste majeure.
    Oui, oui, tout ça !
    Pas pour une question de répartition des ressources qui de toute façon ne seront jamais suffisantes; on ne peut pas pomper la nature indéfiniment comme des shadoks inconscients…
    Mais parce que statistiquement, plus il y a d’humains et plus la crétinerie est importante.
    Les kons que vous dénoncez à longueur de lignes se reproduisent figurez-vous et pas qu’un peu.
    Moi je dis qu’il vaut mieux la qualité à la quantité.
    Horreur ! Serais-je une abominable facho, réac ? Heureusement que je ne me suis pas dupliquée (je reste donc logique avec moi-même ).

    Admirativement vôtre, malgré tout…
    ComtesseÔPiedsNus

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    1. Ô charmante Comtesse au pied dénudé,

      Je suis ravi d'avoir le tord de vous donner raison, puisque voua avez raison de me donner tord d'avoir raison, justifiant probablement et à raison d'avoir eu le tord de ne pas vous êtes "reproduite" pour de bonnes raisons !
      Je vais vous dire : C'est parce que vous ne m'avez pas croisé suffisamment tôt, là où j'aurai pu vous fournir les raisons d'avoir tord de ne pas avoir raison en raison de vos tords prérequis !
      Tant pis : La vie a peut-être eu raison de ne pas nous faire reconnaître nos tords, c'est comme ça ! Pas de bol, quoi.

      Ceci dit, votre raison a probablement tord d'induire que la crétinerie évolue à raison de la quantité d'humains déversée à tord pour de mauvaises raisons.
      Votre propos a raison de signaler le fait... "quantitatif" mais provoque, peut-être à tord, la raison de mon effroi : Vous savez bien qu'il s'agit de "proportionnalité" que vous avez tord d'écarter sans raison.

      Je m'explique : Dans tout ensemble d'humains, quel qu'il soit, sur le plateau de Saclay (grandes ékoles d'ingénieurs et de commerce de "Gauloisie-estudiantine") ou les équipes de football de seconde division (peu importe), voire les cabinets ministériel, il y a toujours la même proportion de "crétins" (parfois de haute altitude et d'élite) et d'asociaux.
      Ceux-là on sait : 4 % d'après les meilleures études scientifiques.
      Personnellement, je pense que la densité est un peu supérieure dans les centrales pénitentiaires (quoique là, on n'y trouve que des "mauvais" qui ont réussi à se faire piquer, pas tous les autres) où de toute façon, on retrouve encore les fameux 4 % de "plus-plus".
      Par conséquent, quelle que soit la taille de l'humanité demain, vous aurez toujours autant de "crétins" pour faire chier tous les autres : Vous auriez donc tord de penser avoir eu raison du phénomène !...

      Et je vous rappelle au passage qu'on a environ 60 % de citoyens "honnêtes" et pas forcément "asociaux" (ils ne sont que 4 %) près à infliger des tortures inadmissibles et allant jusqu'à la mort, sur simple demande un peu "charpentée" (cf. les études de Milgram, et comme d'un remake, l'émission de "RF2" : https://www.youtube.com/watch?v=6w_nlgekIzw)
      Edifiant !

      Ceci dit, derrière le "déclinisme", outre la destruction de notre humanité et au passage de nos pays et leurs économies, se prépare un "coup à trois bandes".
      Vous avez sans doute eu raison de voir l'offensive de "Terra-Nova" sur l'alimentation (après les effets de manches sur le gaspillage alimentaire, les restos du cœur et tout le bataclan)
      La prochaine offensive en cours aura pour cible les peuples d'Afrique (l'homme noir) puisque ce sont eux qui font croître l'humanité le plus vite.
      Détectez-vous oui ou non, à tord ou à raison, le racisme qui se cache derrière ces belles "idées humanistes" ?

      Le troisième coup de la bande, c'est l'islam : On va vous expliquer que c'est LA religion qui prospère le plus vite, qu'il y a 70 fois plus de mosquées en "Gauloisie-religieuse" qu'à Ryad...
      Vous suivez toujours ?

      Et le GIEC (et de nombreux autres) sont les bras armés de bonnes intentions qui sont purement américaines, des "religieux-américains", précise-je annonçant les "prochaines purges" ethniques.

      Je m'en fous, je ne serai plus là pour le voir, et ça tombe bien, ce n'est pas "mon" monde.
      Mais vous avez peut-être des raisons pour que ce soit le vôtre, je ne sais pas.

      Bien cordialement et respectueusement à vous !

      I-Cube

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  2. Et bien, si vous avez 1h30 à déduire sur votre temps, je vous recommande ce reportage :

    https://www.youtube.com/watch?v=TgbGGwwUk6c&feature=youtu.be

    ComtesseÔPiedsNus

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    1. J'ai des dossiers à clôturer et rendre avant de reprendre l'avion pour finir de réparer mon voilier (et congeler la viande dans mon frigo monégasque pour une prochaine fois...)
      Mais je connais cette vidéo, bien sûr et beaucoup d'autres du même type.

      1 - Demandez-vous qui a donc les moyens de financer ce type de film "pro" ?
      2 - Pourquoi l'espèce homo-sapiens-sapiens est-elle née "omnivore" et non pas végétarienne ou végétalienne ?
      (Ou carrément "poisson" voire seulement fructrivore) ?

      Passons ce sont des détails dont un des aspects est exposé là :

      http://flibustier20260.blogspot.fr/2015/05/le-retour-des-declinistes-ii.html

      Notez que toute la série les aborde peu ou prou...

      Permettez-moi seulement de rester très optimiste quant à la capacité de l'humain à surmonter toutes les épreuves que l'espèce à rencontré depuis son avènement : La preuve, vous êtes là à réjouir mon neurone !
      (Et moi aussi).
      Je ne suis décidément pas un ludiste, même si je n'ai pas la capacité de répondre à tous les défis par moi-même, naturellement.

      Vous expliquerez tout ça à ma descendance.

      Bien à vous, Chère Ô comtesse au pied dénudé.

      Bien à vous,

      I-Cube

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  3. @ La Comtesse au pied dénudé :

    Et puis excusez mes "fautes frappe" de ma première réponse...
    Amusé-et-énervé, gugusse.
    Il fallait notamment lire "tort" et non pas "tord".
    Encore des lapsus répétés et révélateurs.

    Bonne fin de week-end à vous !

    I-Cube

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