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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 11 mai 2017

La « Providence LLC » et les « MacRondLeaks »

Y’a un « truc » qui me chiffonne

Souvenez-vous, on s’interrogeait l’autre fois ensemble sur les zones d’ombre du premier de la classe du premier tour des élections présidentielles récentes.
Notamment sur ce point : « Alors qu’il a dirigé une transaction de 9 milliards d’euros, comment se fait-il qu’on ne trouve aucune trace de bonus dans ses déclarations ? »
Depuis, il a été élu « par défaut » à la Présidence de la République pour 5 ans.

Quand moi je fais une opération de ce type-là, avec mes moyens limités, c’est beaucoup de boulot. Un gars veut vendre (ou acheter) une activité, une boutique, un terrain, une maison. Il faut d’abord se faire une idée de qui peut l’acheter (ou la vendre). C’est la phase de « screening ». Passer une annonce serait contreproductif quand il s’agit d’une société, naturellement… L’impératif c’est que tout soit discret.
Il faut ensuite collecter des informations sur les cibles visées.
Ne serait-ce que pour savoir qui contacter. Mais aussi se renseigner sur la valeur à l’échange, actif, passif, volume d’affaires, le positionnement sur le marché, sa croissance, la situation juridique, financière, détecter et chiffrer les synergies possibles, etc.
Puis engager des contacts utiles avec les décideurs. Fixer « un prix qui ne se refuse pas », y revenir 100 fois, lever les barrières psychologiques, physiques, juridiques, financières et autres, une à une.
C’est complexe, compliqué et quand on arrive, peut-être, à un accord, il faut mettre en place, rédiger, régler les « problèmes d’intendance » de dernière minute et autres qu’on n’avait pas vus de prime abord.
Tout ça se rémunère, bien entendu.

Les heures de travail, mais aussi, en cas de réussite finale, c’est-à-dire en ayant convaincu le vendeur et l’acheteur qu’ils ont fait tous les deux une bonne, voire une excellente affaire, ça se paye par des commissions qui couvrent les honoraires (qu’on aurait de toute façon facturés en cas d’échec) et il faut en plus qu’ils soient contents de les payer.
La com’ est là pour ça et est déterminée à l’avance en pourcentage du montant de la transaction. De 3 à 5 % pour les notaires et les petites affaires. Un peu moins chez les avocats.
Jusqu’à un minimum syndical de 0,5 % pour les plus grosses affaires chez les banquiers (qui se rattrapent en vendant l’argent nécessaire à l’opération à travers un prêt, lui-même refinancé par un emprunt).
Or, 0,5 % de 9 milliards, ça fait 45 millions…
Avec ça, on rémunère le staff, le back-office, l’actionnaire de la structure qui a fait l’affaire, l’apporteur de l’affaire, les intermédiaires et environ le tiers revient au type qui a fait « office de » cheville ouvrière (en fait, de chef d’orchestre de l’opération) : Je sais, j’ai déjà fait.
Or, un tiers de 45 millions, ça fait 15 millions (d’après la « calculette-Windows », merci infiniment à Bill Gates…).
Vous comprenez mieux le propos de votre nouveau Président quand il affirmait qu’il était « à l’abri du besoin pour le reste de ses jours »…
Parce que 15 millions, c’est un train de vie de 1.000 euros/jour pendant 41 ans.
À peu près ce qu’il en disait d’ailleurs par ailleurs…

Oui mais alors, maintenant qu’il est élu pour 5 ans à gagner un peu plus du SMIC présidentiel, pourquoi ces « MacRondLeaks » sont venues polluer les toutes dernières heures de la campagne officielle ?
À quoi ça sert, puisque ça n’a de toute façon pas le même effet que le « Pénélopegate » qui a ravagé la candidature de « Fifi-le-souteneur », le « gagne-petit », depuis des semaines et des semaines, voire de longs mois entiers ?
Ça ne vous interroge pas, vous ?
Moi si.

On nous y révèle (on va y revenir) un « truc » qui n’est pas à la portée de tout le monde, mais qui reste une solution qui tombe sous le sens : Mettez-vous une seconde à la place du mek qui vient de toucher un bonus de 15 millions à pas 35 ans. Une fois les impôts payés « au pays », il en resterait certes un peu moins, mais il a tout intérêt à planquer son magot assez loin et se tirer avec : On refait rarement deux fois ce genre d’opération dans une même vie.
Et si ça disparaît du patrimoine du titulaire, c’est que c’est tombé dans un « trou-noir ».
Les « trous noirs », les « Panama-Pampers » en étaient farcis, mais rien n’en est sorti…
Car il n’a pas qu’en physique que cette « singularité » existe, mais également en droit, figurez-vous.
Très simple, je vous en ai d’ailleurs fait une « description-magnifique » dans le roman de l’été dernier (celui qui s’est prolongé outrageusement jusqu’en janvier de cette année) : Vous n’avez qu’à vous y référer et jeter un œil sur le mécanisme juridique du « patrimoine d’affectation ».
D’une simplicité biblique, d’autant que c’est parfaitement légal jusqu’en « Gauloisie-de-la-fiducie » (et pas seulement au Luxembourg ou aux îles tropicales).

Ceci dit, ce qui reste un « peu compliqué » pour celui qui s’y engage, c’est de ressortir les avoirs d’un trust vers un bénéficiaire désigné (hors décès du constituant), tout au long de sa vie.
Vous connaissez le fisc-gauloisien (et d’ailleurs), à chaque fois que « ça bouge », ça le démange.
L’astuce à employer c’est de mettre une société-écran qui fait « tampon » entre le trust et le bénéficiaire ou son constituant (qui devient également bénéficiaire). Le patrimoine est dans le trust, il n’appartient plus à son constituant : Plus d’ISF ni d’impôt sur le revenu sur les gains.
La société-écran, tant qu’elle n’a rien, c’est ensemble-vide. Et tant que « ça ne bouge pas » sur son compte, il n’y a même pas de déclaration à faire.
En revanche, quand « ça bouge », il faut ne pas pouvoir remonter jusqu’au trust, qu’on domicilie sans peine dans un paradis-opaque, ainsi que la société-écran qui va avec : Il sera alors toujours temps de payer de l’impôt sur ce qui ressort pour le croquer et ce n’est même pas de la fraude (contrairement à ce qu’en pense tous les abrutis qui ne savent pas).
Simple.

Pour résumer, s’il n’y a plus de patrimoine « MacRonesque », les revenus de celui-ci sont et seront de toute façon « blanchis » via une société écran, seulement quand le constituant-bénéficiaire en aura besoin.
Quand il n’en a pas besoin, il ne se passe rien : Même pas une déclaration d’existence à fournir au fisc-gauloisien.
Et justement, c’est ce qui se passe sous notre nez.
Certains ont relevé un compte bancaire non déclaré à la First Caribbean International Bank qui possède deux établissements, à Basseterre et à Nevis, dans l’État de Saint Kitts & Nevis, dans les Caraïbes (un gros rocher planté dans l’océan dominé par volcan du même nom).
Fax et coordonnées correspondent (ça, c’est facile) et le compte porte sur un « operating agreement », daté du 4 mai 2012, qui lui-même porte le nom et la signature de « MacRond », soit seulement 11 jours avant que l’intéressé ne quitte son poste à la Banque Rothschild & Cie, pour aller bosser chez « François III ».
Il ne savait pas encore et se voyait bien prof des facultés…

Pour moi, il ne s’agit pas de sa signature, mais on peut la modifier (je suis bien incapable de faire deux fois le même paraphe, mais je suis en revanche capable, parmi des milliers de faux, de reconnaître les signatures à « ma main ») et on peut disposer d’une fausse identité : On nous a déjà fait le coup avec « Nagy de Bosca », avec les comptes japonais du « Chi », j’en passe et des meilleures, puisque dans les fichiers « Clearstream » on a même été jusqu’à emmerder un homonyme italien d’un présumé farceur-fraudeur…

Ceci dit, ce n’est pas le plus intéressant dans ces « fuites ». Là où ça devient assez drôle c’est que cette signature emporte la formation d’une LLC dite « La Providence LLC », enregistrée tout ce qu’il y a de plus conforme avec le droit local.
« La Providence », j’imagine que ça vous parle, puisqu’il s’agit du nom du bahut où « Brille-gîte-Trognon » enseignait le francilien-natif et le latin-antique…
Jusque sous les tropiques, un nom qui peut paraître curieux, non ?

Précisons pour les béotiens, qu’une « limited liability company » (LLC) est une forme hybride de société qui abrite ses propriétaires derrière une responsabilité limitée dans la grande majorité des juridictions des États-Unis. Et pour exister, elles n’ont pas besoin d’être organisées à but lucratif. Une sorte de SARL civile, associative, pas commerciale.
La caractéristique principale d’une LLC qu’elle partage avec les « corporations » est certes la responsabilité limitée de ses membres, mais elle est aussi affranchie d’impôt sur les bénéfices.
Elle est souvent plus flexible qu’une corporation et est bien adaptée pour les entreprises avec un seul propriétaire, « unipersonnelle ».
Donc un choix d’éligibilité à l’imposition : Une LLC peut choisir d’être imposée en tant qu’entreprise individuelle, ou non. En utilisant la classification fiscale par défaut, les profits sont imposés personnellement au niveau des membres, non pas au niveau LLC.
Par ailleurs, les propriétaires d’une LLC sont appelés « membres » et non pas associés.
Et quand il n’y a pas de recettes, il n’y a pas de bénéfice, il n’y a donc pas d’impôt, pas plus qu’aucun mouvement bancaire, donc pas de déclaration à faire…
Tout en finesse !

De là à la nommer « Providence », soit c’est un coup tordu d’un « service qui n’existe pas », car ça date de 2012, pas ultérieurement, et il fallait être visionnaire quant aux chances du « petit-Manu » une demie-décennie plus tard, soit que nenni : C’est lui qui ne veut pas qu’on mette le nez dans ses affaires…
Et finalement, les « MacRondLeaks » ne nous apprennent rien de plus que ce qu’on pouvait savoir déjà : Elles confirment ce qu’on supposait.
Tout ceci est d’autant plus bizarre que si on avait vraiment voulu lui nuire, ces fuites auraient dû sortir en janvier ou février, au plus tard, pas en avril, date présumé du piratage, et certainement pas après le débat et avant le second tour.
Déduction logique : On ne veut pas vraiment lui nuire.
Juste l’avertir qu’on aurait pu le faire.
Juste lui rappeler « ses devoirs »…
Oui mais qui donc ?

Les 9 Go de données personnelles appartenant à l’entourage politique du boss d’en Marche ont fait surface et ont été rapidement relayées par Wikileaks.
Elles proviendraient, à première vue, du forum anonyme 4chan pro-trompiste.
Curieux !
Celui-là vient tout juste de passer le cap des 100 jours, se prend des coups de Trafalgar des juges en pluie serrée et il aurait eu le temps d’initier et de monter ce piratage ?
Le temps et la volonté d’impacter les élections gauloisiennes…
N’importe quoi !

Réplique : Un communiqué officiel « d’En Marche » a confirmé rapidement l’authenticité de ces documents tout en affirmant que des faux documents se glissaient dans l’ensemble.
Là, ils sont très forts.
On y trouve pêle-mêle ce qui semble être le contenu d’un disque dur et plusieurs courriels de collaborateurs et responsables politiques « d’En Marche ». Il faudra du temps pour passer au crible tout ça, mais à première vue, il s’agit de documents tout à fait banals.
Mais eux savent déjà qu’il y a des tromperies entremêlées.
Invraisemblable : Ils étaient prévenus, ce n’est pas possible autrement…

On y trouve d’ailleurs des notes de synthèse, des factures, des emprunts dont les montants sont loin d’être délirants, des recommandations et autres réservations, au milieu, bien entendu, d’échanges strictement personnels et privés, des notes personnelles sur la pluie et le beau temps, courriels de confirmation pour l’édition d’un roman, réservation d’une table entre amis etc…
Certains documents, notamment ceux présents sous la forme d’archive et de dossiers, ne semblent pas avoir le moindre lien avec le boss : Ils peuvent avoir été volés sur un espace appartenant à l’un de ses proches et n’ont donc pas forcément de rapport avec le nouvel élu.
S’il est possible également que des faux se glissent au milieu de cette montagne de documents qui ont plus ou moins d’intérêt, il faudra du temps pour les trouver.

De même, cela semble particulièrement difficile de penser qu’il y aura des documents compromettant dans ces échanges. Si cela avait été le cas, les leakers n’auraient pas attendu aussi longtemps avant de les sortir : Ils auraient fait tout leur possible pour remettre dans les mains de la presse ou de l’opposition des preuves accablantes contre leur cible. Même Wikileaks estime qu’il sera difficile de sortir quoi que ce soit avant longtemps et que cela ne devrait pas servir à grand-chose pour influencer le scrutin d’une quelconque manière.
Confirmation d’une chose : On ne veut pas influencer les électeurs.
Le message est totalement différent…

D’autant que jusque-là, les précédentes « révélations » portaient sur un tout autre aspect de celui qui n’était alors que candidat. Notamment un mail reçu de « VestiaireGay » laissant penser que l’honorable-Président serait homosexuel.
Un raccourci intéressant, d’autant que le courriel en question est envoyé à l’assistant parlementaire d’Alain Tourret, Françis Amorim Machado, pas à « Manu-soi-même ».
Justement l’assistant parlementaire d’Alain Tourret aurait commandé, pour le compte de ce dernier (70 ans au compteur) ou pour son propre compte et à trois reprises, de la drogue sur un site, en payant en Bitcoins…
Et si l’on cherche dans la chaîne de bloc Bitcoins, on trouve en effet trois transactions dont les dates et montants correspondent, ainsi que les adresses Bitcoin de destination des paiements indiqués dans les courriels.
Mais contrairement à ce que prétend certain, rien ne relie les adresses Bitcoin utilisées à Alain Tourret ou à son assistant. 

Et la drogue, c’est visiblement un truc qui plait chez « Manu-MacRond » puisqu’on aurait découvert un courriel de commande de cocaïne pour lui-même…
Dans une photo d’un écran on peut voir, à l’appui des allégations, que Raphael Coulhon, à la direction des affaires finances de « En Marche », écrire à son destinataire « VIAL Domicile » d’acheter de la « c.. » pour le « boss ».
Arf : C’est sûr qu’on peut penser qu’il est chargé, mais pas à la drogue !
Aux amphétamines de guerre, beaucoup plus probablement, vu le rythme qu’il s’est imposé durant cette campagne.
De toute façon et jusqu’à preuve du contraire, aucune trace de ce mail dans le leak.
Ni aucune de « VIAL Domicile ».
Tout cela a fait « pschitt » comme en a dit « le Chi » à son époque.

Parmi tous les documents auxquels il est possible d’accéder, grâce à un lien apparaissant sur le compte Twitter de Wikileaks, en revanche on retrouve bien la trace d’un « operating agreement ». Le lien de Wikileaks conduit au site « Pastebin » un bloc-notes public en ligne permettant de publier des documents de manière relativement anonyme.
Et c’est bien là qu’on retrouve « La Providence LLC » du nom du lycée jésuite qui avait l’accueilli à Amiens dès 1993.
Un autre document trouvé sur « Pastebin » est un fax concernant une transaction entre « La Providence LLC » et la First Caribbean International Bank.
Le fax qu’aurait adressé la banque caribéenne à « La Providence » par un employé qui existe bien, date du 11 février 2015. Pas de 2012.
Plus sérieusement, un mois après le rachat d’une partie d’Alstom par General Electric. 

Or, on se souvient que le 26 août 2014, il n’était pas encore candidat à rien, mais se voyait attribuer le poste de ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique dans le gouvernement de « Menuet-Valse ». À ce poste, il refuse la position prônée par son prédécesseur qui s’opposait au rachat de la branche Energie d’Alstom par la firme américaine General Electric. Le 4 novembre 2014, il autorise l’opération, pour un montant de 12 milliards d’euros.
Le rachat de la branche Energie d’Alstom par GE rapporte à vingt-et-un dirigeants d’Alstom – dont le mari de « Valy-Péte-cresse » – une prime spéciale à hauteur de 30 millions d’euros… 
Le 22 décembre de la même année, Alstom accepte, après négociations, de verser la somme de 772 millions de dollars au Département de la Justice des États-Unis. Il s’agit d’une amende pour des faits de corruption en Indonésie. Alstom avait plaidé coupable, après avoir déjà été condamnée pour des faits du même ressort en 2012 par la Banque Mondiale. 
Rappelons qu’en janvier 2016, General Electric a annoncé la suppression de 6.500 emplois en Europe, dont 765 en « Gauloisie », dans les activités Energie d’Alstom faut-il se rappeler…

Si des sommes d’argent ont été versées à « La Providence » par Alstom et/ou la General Electric, comme il est suggéré par cette mise en relation internetique, il n’y aurait pas d’autre option que de poursuivre le nouvel élu pour corruption.
C’est ce qu’on tentera de nous expliquer.
Là, franchement, depuis l’affaire des « bottines » des « frégates de Taïwan », je ne vois plus un ministre s’amuser à ce genre de chose : Beaucoup trop dangereux.
Ce serait à mourir de rire, surtout après l’affaire « Kaka-zut-hack » le ministre fraudeur de la lutte anti-fraude fiscale…
Ça ne tient pas debout une seule seconde.
Ceci dit, ces attaques incessantes n’ont pas fait grand-bruit. Pas plus que le dernier piratage du site du parti.
Alors, pour répondre au sens du message, faut-il chercher d’où vient le dernier coup ?

La plupart des observateurs pointent la Russie du doigt, car le mode opératoire de ce hacking ressemble à celui qui avait frappé le parti Démocrate américain et qui avait sans doute joué un rôle dans la défaite « d’Il-a-rit-Pine-tonne ».
D’autant que l’essentiel des media russes, très influencés par la présidence de « Vlad-Poux-Tine », se déchaînait jusque-là contre « MacRond ».
Depuis, il y en a un des deux qui a félicité l’autre et l’appelle même à travailler ensemble pour la stabilité du continent européen « sans crainte mutuelle »…
Curieux, mais si c’est « encore un coup des Russes », ils savent pertinemment qu’ils vont être découverts, à tout le moins, les individus qu’ils ont mandatés pour effectuer le job. Mais ce n’est pas ce qui pourrait déstabiliser le Kremlin qui n’a pas de comptes à rendre à la Commission Nationale de Contrôle de la Campagne Électorale en vue de l’Élection Présidentielle (CNCCEP).
Et puis peu importe à « Poux-Tine » qu’il ait semé le trouble dans le fonctionnement démocratique d’un pays européen : C’est un peu une constance de sa politique, un comportement « normal » de son point de vue, qui consiste principalement en un rapport de force simple.
Toujours affaiblir les autres et renforcer la Russie.
Donc ce n’est pas ce qu’il a recherché, d’autant que la manœuvre est arrivée trop tard pour vraiment faire mentir les sondages.

C’est pourquoi j’assume de dire que ce « MacRondLeaks », c’est dans l’ordre du « coup à trois-bandes » : On cherche seulement à faire prendre conscience au nouvel élu ses propres faiblesses.
Lui dire qu’il doit savoir que l’on sait.
C’est largement suffisant pour être dissuasif et qu’il ait à assumer ce pourquoi il a été élu par le peuple de Gauloisie, mais aussi choisi par ses obligés…
Il a désormais des devoirs à assumer, c’est clair, et même les « Popov » le lui ont fait savoir qu’ils savaient… Ni plus ni moins.

Et ce « coup à trois-bandes » alors ?
Mais c’est si simple : Si les affaires de « Mythe-errant » des années 90 ressortent, c’est une mèche-longue qui va se propager jusqu’aux USA.
On rappelle à ce sujet que 40 milliards de dollars ont disparu des coffres du Koweït à cette époque-là.
Ça ne laisse pas indifférent, même au KGB impuissant, en plein « chute du mur ».
D’autant que ces dollars ont bien dû passer quelle que part, puisque les irakiens continuent de rembourser…
Or, solder les années « Boubouche » ne sera pas pour déplaire ni au maître du Kremlin, ni même à « Mac-Donald-Trompe » qui bataille contre son propre Congrès Républicain…
La suite est donc à venir et ça risque d’être très « déstabilisant » pour quelques-uns.
Le résultat « d’élections sous influence », finalement.

2 commentaires:

  1. C’est franchement très mauvais, très, très, mauvais…
    Mauvais départ…

    Mais ces affaires ne feront jamais la une des journaux, ni des médias.
    Comme le reste.

    Je vais faire mon possible pour lui venir en aide.
    Même si ça peut vous surprendre…

    J’ai préparé une lettre à Mac-Rond (envoie dans deux jours) où je lance l’idée de construction de grands voiliers-écoles, avec un développement où j’ai l’intention d’étudier la possibilité de créer une ligne de grands voiliers-écoles qui permettra, chaque été, à des jeunes Français et à des jeunes Russes de naviguer ensemble entre Le Havre et St-Pétersbourg, en faisant escale le long des côtes de la Mer du Nord et de la Baltique.
    Cela permettra de rapprocher la Russie de la France, de développer nos échanges commerciaux, de mieux nous connaître.

    Il faut lui donner des idées qui rassemblent !...

    Bien à vous !...

    Haddock

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    1. Oui, j'ai lu et je vous remercie de cet envoi.

      Mais ce qui va rester intéressant, comme je vous le dis en réponse de votre courriel, ça va être sa propre réponse.
      Qui, quoi, comment et quand.
      Entre la simple courtoisie et l'intérêt réel.
      Donc à suivre.

      Quant à moi, je reste persuadé que les comptes vont être réglés même sur ces affaires-là de 1991. Ce n'est plus possible autrement et tout y pousse.
      Et puis c'est dans l'air du temps : Regardez donc comment les anglais commencent à se mordre les doigts de leur Brexit : Après l'euphorie, les déconvenues.
      Ils ont juste gagné un peu de temps : On croyait que le Brexit commençait juste après le référendum. Faux, il commence seulement maintenant.
      Et l'addition va être lourde.

      L'époque, vous dis-je !

      Bien à vous.

      I-Cube

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