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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 18 avril 2018

Avant de commenter les dernières interventions de « Jupiter »

Revenons aux déclarations de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »

D’abord, il a « enflé ». Pas seulement du bide et de la bouille (alors que je maigris…) mais également de l’égo. Incroyable mais vrai.
Et on apprend rapidement combien il peut être drôle, finalement : Un vrai festival de « blagounettes ».
C’était la semaine passée et le sieur faisait la promotion de son bouquin…au JT de 20 heures de mardi 10 avril sur « trance-deuze ».
En fait probablement (je ne le lirai pas, faute de temps : Vous me direz !) un « bouquin-bilan » de son quinquennat, puisqu’il n’a pas encore pu en présenter un devant ses électeurs…
« J’avais un devoir de regarder si les résultats de l’action de mes gouvernements avaient produit leur effet », estime-t-il. « Et j’ai pensé que c’était à moi de le dire. »
Bé oui, puisqu’il n’y a plus personne pour reprendre « son héritage ».


Évidemment, « l’ex » se glorifie à bon compte vantant « une croissance rétablie au-delà de 2 %, un déficit du budget en dessous de 3 % » : Il est bien le seul à avoir vu ça…
« Le taux de chômage a baissé et des emplois ont été créés », estime-t-il sans rire.
« Le pays avait une compétitivité réduite à rien » lors de son arrivée au pouvoir, fait-il encore valoir, estimant que le contexte d’alors « était très dégradé ».
Là, c’est vrai. Mais ça ne s’est pas franchement amélioré pendant 5 ans non plus…


Et puis il recommence ses piques à l’égard de son successeur : « Comment accepter que les titulaires des gros patrimoines soient aujourd’hui ceux qui ont la redistribution que nous avons tous souhaitée ? »
« Jupiter » fait un pari « qui n’est pas le bon » qui évoque un contexte mondial de « creusement des inégalités ».
Là encore, très drôle : La part des « plus pôvres » est tombée autour de 10 % dans le monde là où il était de plus de 30 % il y a plus d’une décennie !
Et on ne peut pas accuser les déficits démographiques, puisque la population mondiale est en passe de doubler depuis ma naissance (et la sienne)…


Interrogé sur la personnalité de son successeur, il rappelle qu’il l’a aidé à sortir de l’anonymat, tout en adressant quelques reproches en filigrane à son ancien collaborateur. « Si je n’avais pas été séduit (par « Jupiter »), je ne l’aurais pas choisi comme conseiller et après comme ministre. » Grand comique, va…
T’avais donc pas vu qu’il t’aurait fait cocu ?
Faut être niais de la dernière pluie, tout de même.


« La SNCF prend de l’activité partout en Europe ». Ah oui, mais en « Gauloisie-ferroviaire » où on a fermé tellement de lignes… ?
« Si on veut supprimer le statut des cheminots, on ne le fera pas sans concertation et sans une convention collective pour tous les salariés du secteur ferroviaire, qui soit au même niveau que le niveau actuel. »
Notez que c’est exactement comme ça que ça se terminera : C’est marqué depuis le début. Ou l’art de défoncer les portes ouvertes.
Dur de ne plus être aux affaires…


La Syrie ? « La seule réaction possible est une frappe, des frappes… Barack Obama avait fixé une ligne rouge. J’ai moi-même demandé une réponse de l’ensemble de la communauté internationale et dit que la France ferait appel à des frappes puisqu’il y avait eu l’utilisation d’une arme totalement prohibée à l’échelle internationale ». En vain : « Il était impossible de partir seul ».
« Le Chi » n’avait pas longtemps hésité à aller bombarder la plaine de la Beeka, en son temps…
Il estime que cette absence de réponse a consolidé le régime de « Bachar Al-As-El-chimique ».
Là où il a fait la kouille-molle, il se veut ferme depuis qu’il n’est plus au poste de pilotage : « Quand une ligne rouge est violée, dépassée, transgressée, la seule réaction possible est une frappe ou des frappes. »
Bon, ce n’est pas grave pour son matricule : Lui ne risque aucun attentat.
Les « Gauloisiens », ils n’ont peut-être pas payé encore le prix des « va-t’en-guerre »…


Naturellement, il revient sur le twist de « Rottweiler » qui avait exprimé son soutien à la candidature du « dissident » contre « Ségololo » : « Je suis pudique et j’ai toujours voulu séparer la vie privée et la vie publique. Quand la vie privée vient interférer dans la vie publique, c’est vrai que cela crée des conséquences et des complications. Et sur la vie publique – cela a eu un certain nombre d’impacts – et sur la vie privée – cela a sans doute contribué à notre séparation ».
Oh ?
« Je reconnais une responsabilité » (Oh ?), répond-il interrogé sur la photographie le présentant sur un scooter, alors qu’il rejoignait en catimini « Juju-Gallet ».
Non mais se rend-il compte, au juste de l’humiliation, l’ingrat, là ?


Sur un autre sujet : « Les raisons qui me conduisaient à ne pas être candidat étaient politiques » !
Oh le gros guignol !
« Une gauche divisée, la candidature déclarée d’Emmanuel Macron, et une droite qui était assurée, nous disait-on, d’être au second tour contre l’extrême droite. »
La faute à qui ? Qui donc a trahi les espérances – tout au long de l’Europe – qui l’avait porté en 2012 ?
Et lui d’invoquer un « sacrifice personnel en connaissance de cause », afin d’éviter un duel entre les Républicains-Démocrates et le « F.haine ».
Erreur d’analyse : De toute façon, il aurait pu faire un peu mieux que « Deux-noix-Âme-Mont », mais en piquant des voix à « Mes-Luches »…
« J’aurais pu battre Emmanuel Macron, mais je ne l’ai pas voulu. » Le gros vantard !
« Ce n’est pas moi qui aurais gagné, ce n’est pas lui qui aurait gagné. »
Mais alors qui donc, grand-Dieu ?


Ceci dit, même dans son mæ-culpa, il n’en rate pas une : « Je m’en suis voulu ».
« J’aurais dû mieux écouter Christiane Taubira ! Quand je me retourne sur mon quinquennat, c'est mon premier regret. » : Un mois après les attentats de Paris et Saint-Denis, devant le Congrès réuni à Versailles il prévoit de déchoir les terroristes condamnés de leur nationalité Gauloisienne, « le consensus s’est fissuré » au sein de l’équipe gouvernementale. La ministre « garde-des-sots » (et autres établissements pénitencier), vent debout, explique que cette décision « renvoie à une initiative qu’avait prise » « Bling-Bling ».
« Tel est mon regret : avoir sous-estimé l’impact émotionnel de la déchéance de nationalité ».
« La gauche se déchire autour d’un symbole et la droite observe avec cynisme la majorité s’écharper autour d’une réforme qu’elle a préconisée mais qu’elle répugne désormais à voter ».
Pure démagogie politicienne : Quand donc les dogmes des « autistes-trisomiques » laisseront la place à l’intérêt général dans ce foutu pays qui est le mien ?


À l’été 2017, le premier de son quinquennat il prend une dizaine de jours de vacances au Fort de Brégançon et parce que le mobilier est « notoirement usés et défraîchis », il engage la dépense d’une petite rénovation un « aménagement pourtant dérisoire ouvre une polémique. (…) À croire que mes coussins étaient brodés avec un fil d’or. »
Pourtant, il reconnaît une bévue, de communication : « Je ne prête guère attention aux échos qui paraissent ici et là. J’ai tort. Il ne faut jamais rien laisser sans réponse, surtout quand il s’agit de médiocrité. On ne s’y abaisse point. On s’en délivre. »
Tel est son regret éternel du moment…
Comique, non, pour le responsable du pays que vous avez élu ?


Plus important, les questions européennes : « À côté du Parlement et de la Commission, le Conseil s’est progressivement imposé comme la principale instance de décision alors que son organisation, ses méthodes et sa lourdeur ralentissent tout. Ce qui explique à mes yeux le retard avec lequel il a répondu aux graves turbulences qu’a connues l’Europe ces dernières années », analyse-t-il.
Ainsi, lorsqu’il émet l’idée d’une mutualisation des dettes futures des États membres, à la « teutonne » est hostile, il mesure « l’écart, pour ne pas dire le fossé, qui me sépare d’un bon nombre de dirigeants ». Et s'inquiète enfin sur un sujet sérieux : « Ai-je été trop sage ? Devais-je menacer, interrompre, bousculer la discussion ? Partir ? Ce n’est pas ma méthode. Mieux vaut négocier car il n’y a pas de solution solitaire. En fait, je dois convaincre l’Allemagne : les autres suivront. »
Nabot du neurone qu’il est…
Il reconnaît pourtant dans un éclair de lucidité qu’en « économie, le temps perdu se paye en austérité supplémentaire. En politique, en drames humains et en autorité perdue. Dans la crise migratoire, l’Europe a sacrifié son crédit, son image et surtout son honneur », ajoute-t-il.
Bé alors ? Bé il est resté les bras croisés…
Fabuleusement comique.


« On regrette aussi ce qu’on n’a pas fait », quand il évoque l’élargissement de la PMA (procréation médicalement assistée) aux couples de lesbiennes. « Je m’étais prononcé en sa faveur dans un entretien de presse. C’était à mes yeux le prolongement logique de l’égalité des droits pour les couples. »
Drôle de conception (sans jeux de mots) : « La réforme de la PMA se fera. (…) Elle s’imposera tôt ou tard, tant elle est conforme aux droits élémentaires de la personne. »
Bé alors, il fallait avancer, puisqu’il a même fait voter le « mariage-pour-tous »…
« Son ajout à la loi (bioéthique) aurait alimenté la propagande des opposants au mariage pour tous, qui auraient utilisé l’argument de ‘‘l’engrenage fatal’’, qui va de la reconnaissance des droits des homosexuels à la PMA et à la gestation pour autrui (GPA), laquelle pose des problèmes éthiques autrement plus délicats, avec la ‘‘marchandisation des corps’’ que je refuse. »
Me fait doucement rire : La marchandisation de la chair humaine, c’est quoi quand on laisse progresser la prostitution et les vidéos pornos ?
C’est combien une vie écrasée sur un chantier ou au coin d’une route mal équipée ?
« Je m’en suis néanmoins voulu d’avoir manqué d’audace. »
Voilà qui est audacieux, justement…


Comme pour le droit de vote aux étrangers non-européens aux élections locales, un serpent de mer de gôche qui figurait dans les 110 propositions de… François « Mythe-errant » en 1981 ! « Il eut été impossible de réunir le vote des deux tiers des parlementaires », argue « Tagada-à-la-fraise-des-bois » : La réforme nécessite en effet une révision de la Constitution.
Justement « Jupiter » va vous la réformer…
« Il m’aurait été reproché d’avoir ourdi une sombre manœuvre voire de faire le jeu du Front national en poussant une réforme dont je savais à l’avance qu’elle échouerait. J’ai eu tort de m’arrêter à cette considération : mieux valait un échec qu’un évitement. »
Pas doué, oui : Moi, j’aurai enterré le problème et puis c’est tout.


Sa com’ : « J’ai tout essayé. Un journal allongé, un entretien en direct de l’Élysée, un dialogue avec les Français ou une intervention plus courte sur les chaînes d’information. J’en tire une seule leçon : il n’y a pas de format idéal. »
Et il en profite pour tresser des lauriers à son inépuisable conseiller en la matière, conscient de lui « avoir infligé des fièvres ardentes et des sueurs froides ».
Rigolo : Je demande à voir dans quel état les « twists » de « Trompe » laissent ses conseillers…


Leonarda ? Il revient sur une des plus grosses cacophonies du quinquennat. En octobre 2013, le chef de l’État proposait en direct de laisser revenir Leonarda Dibrani, une jeune collégienne originaire du Kosovo interpellée lors d’une sortie scolaire et expulsée avec sa famille : une dérogation immédiatement refusée par l’adolescente, par chaîne d’info interposée.
Le gros gag de l’époque…
« L’école doit être tenue pour un sanctuaire. (…) J’ai toujours plaidé pour une régulation humaine en matière d’immigration économique. »
Avec quelle brillante réussite objective…
« Je sais qu’une dérogation annoncée par Matignon serait un désaveu pour Manuel Valls. Quant à Jean-Marc Ayrault, il ne peut admettre de voir son autorité de Premier ministre mise en cause. (…) Compte tenu du différend public qui s’est installé, je décide de présenter moi-même la solution trouvée. C’est une erreur. »
Ah ça, y’a pas à dire !
Le ridicule de la situation collera pendant quatre ans aux basques présidentielles.


Et la « loi El-Konnerie » ? « La loi El Khomri, qui tenait l’équilibre entre flexibilité et sécurité, a déclenché un conflit long et amer alors que, huit mois plus tard, les ordonnances Pénicaud, dénuées de toute compensation favorable aux salariés, et marquant des reculs de leurs droits, susciteront un mouvement sans élan réel. »
La loi était « justifiée, même si elle ne figurait pas dans mon programme ».
« Je reconnais néanmoins une erreur de méthode et de calendrier. Préparé dans une période où les attentats mobilisaient notre attention, le texte n’a pas fait l'objet d’une concertation suffisante. Sa présentation a été précipitée.
L’annonce maladroite d’un recours au 49-3 avant même l’ouverture du débat parlementaire, qui tenait du coup de menton, avait été perçue au mieux comme une maladresse, au pire comme une provocation. »
Salopard de « Menuet-Valse » : « Poser cet acte au début, c’était empêcher tout compromis à la fin. »
Évidemment !
Or, il n’est pas totalement niais : « La procédure des ordonnances, qui peut s’analyser comme un ‘‘super 49-3’’, suscitera bien moins de critiques ».
Suscita infiniment moins de critiques…
Mais c’est logique : Avec une majorité désunie, avec frondeurs et révoltés, une opposition qui compte les coups, il ne pouvait même pas espérer réformer quoique ce soit.


D’ailleurs, il n’a rien réformé, même pas son « ennemi qui ne vote pas » et la séparation promise des banques d’affaires et des banques de dépôts.
Un quinquennat pour rien après celui de « Bling-Bling » qui a tant de fois fait demi-tour au milieu du gué…


Il n’empêche qu’il paraît que le meilleur du bouquin, ça reste le portrait qu’il fait de son successeur. On savait que les deux hommes s’évitent et finiront par se détester si ce n’est déjà fait.
« Pour lui, une volonté clairement affirmée et beaucoup de séduction pourvoient à tout. C’est sa méthode. Qu’en dirais-je de plus ? Il a été mon conseiller. Je ne suis pas le sien ».
Avec son ironie acide, il s’amuse du « tutoiement facile » de « Jupiter », ou de sa « tendance à embrasser ses visiteurs comme du bon pain, y compris Pierre Gattaz qui n’en demandait pas tant ».
Bé quoi ? Il aime les contacts virils de la chair et il sait ce qu’il doit à qu’il le doit, lui, pas comme certains qui ont oublié qui l’avait porté à l’Élysée.
« Je remarque qu’il abandonne un salaire mirobolant chez Rothschild pour un traitement dix fois moindre auprès de moi, ce qui plaide en sa faveur. Mais peut-être ce sacrifice était-il aussi un investissement d’avenir. »
Dix fois, il exagère : 9 à 15 millions d’euro tout de même !


La création « d’En Marche-même-pas-en-rêve » ? « Il m’annonce qu’il va fonder sous sa bannière un mouvement destiné à animer le débat d’idées et à mobiliser nos soutiens. Ce n’est pas un nouveau parti, dit-il, c’est un réseau. Il ne concurrencera pas le PS. »
Et de constater, amer : « Il ne veut pas concilier le PS. Il veut le remplacer. Avant de me rejoindre à l’Élysée, en 2012, il a été un spécialiste des fusions-acquisitions : l’opération qu’il prépare n’est pas un rapprochement. C’est une absorption. »
Et ce n’est pas fini.
Mais laissons-le conclure l’auteur du bouquin « d’un homme qui a tout raté » : « Je ne crois pas me tromper en disant qu’il éprouve autant de joie qu’il ressent de gêne. Se sent-il coupable de quelque chose ? »
D’être arrivé là par effraction, probablement.
Et d’avoir tué le père.
Brutus ou Œdipe ?

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